Ce sujet a été résolu
Est-ce que c'est une émission que ça vous intéresserait de regarder ?
C'est que de l'amour putain !
il y a 5 mois
Sondage – 37 votes
Non j'en ai rien à branler
Oui ça m'intéresserait
Selon une des débattantes, si les hommes aujourd'hui sont dévirilisés, c'est parce que leur père ne leur faisait pas assez de câlins.
Ça me réconforte que des gens soient payés pour produire ce genre de "pensées".
Ça me réconforte que des gens soient payés pour produire ce genre de "pensées".
C'est que de l'amour putain !
il y a 5 mois
PatrickSebasti1
5 mois
Est-ce que c'est une émission que ça vous intéresserait de regarder ?
La tête des invités déjà... Aucun homme viril
"De la même façon que je me retourne rarement vers le passé, je ne sais jamais de quoi sera fait mon avenir"
il y a 5 mois
Tintinpoulpe
5 mois
On le connait bien leur remède à la crise de la virilité :
bah ça c'est exactement ça en plus, sauf qu'elles ont pas envie
il y a 5 mois
Perte de temps, c'est des conneries de gauche
il y a 5 mois
bah ça c'est exactement ça en plus, sauf qu'elles ont pas envie
On leur demandera plus leur avis quand on importera des hommes virils en masse pour remédier à tout ça
il y a 5 mois
il y a 5 mois
Deux femmes, un pédé, un juif. Soit ceux qui n'avaient pas voix au chapitre avant la crise de la vilité.
il y a 5 mois
J'ai tout écouté en faisant la vaiselle et c'est vraiment une bande d'enfumeurs. C'est 100% de la faute des femmes et de leur abus perpétuel contre les hommes, POINT.
D'un côté, simultanément à leur émancipation effective, elles cherchent ouvertement à faire de l'ombre à la mystique masculine ce qui se matérialise dans des slogans hyper répandus maintenant style "the future is female" ou même le plus frappant "god is a woman" où elles jouissent de transcender les rôles de genre tout en gardant jalousement leur essentialisme qui consiste à attiser le désir masculin/garder leurs privilèges. Elles cherchent la supériorité à travers le déséquilibre et le clament haut et fort : les femmes contemporaines ne respectent pas l'altérité et se voient comme des déesses tout-absorbantes aux pieds desquelles l'homme dépouillé, subverti de sa symbolique propre doit ramper. Chose qui se vérifie largement dans les couples contemporains où le mec moyen est dans une stratégie d'apaisement de bobonne.
Logiquement cela résonne immédiatement avec la crise de la virilité dont ils parlent et par extension même avec la misère sentimentale et affective, mais impossible qu'on puisse être authentiquement critique des femmes dans un média mainstream.
Pourtant ces golios le disent en filigrane, que c'est rien de plus qu'une dynamique antagoniste : à un moment un des mecs prétend qu'en tuant le patriarcat on a tué le père, mais par extension c'est évidemment toute la masculinité qu'on continue de tuer : globalement les femmes ne respectent plus les hommes et les perçoivent par défaut comme des nains symboliques dépersonnifiés et elles continuent de s'en pourlécher, suffit de sortir de chez soi c'est visible autant chez la petite pouf à l'université que chez la matrone acariâtre.
Si par dessus ça tu ajoutes tout le discours hostile que la femme contemporaine plébiscite constamment à l'égard des hommes alors c'est le pompon : t'es pas seulement inférieur, t'es une faillite morale ambulante. Tu dois pas seulement ramper à ses pieds mais t'excuser de vivre.
La "crise de la virilité" c'est ça et rien d'autre : les mecs soit capitulent, trouvent un entre-deux ou font de la surenchère virile face à l'abus des femmes envers les hommes, étalé sur des décennies déjà. Ça avait commencé dès les années 60-70 etc avec les divorces :
On peut voir que les mecs s'interrogent déjà sur la masculinité etc alors qu'on était pas encore au dixième de ce qu'il y a à notre époque.
@PatrickSebasti1
D'un côté, simultanément à leur émancipation effective, elles cherchent ouvertement à faire de l'ombre à la mystique masculine ce qui se matérialise dans des slogans hyper répandus maintenant style "the future is female" ou même le plus frappant "god is a woman" où elles jouissent de transcender les rôles de genre tout en gardant jalousement leur essentialisme qui consiste à attiser le désir masculin/garder leurs privilèges. Elles cherchent la supériorité à travers le déséquilibre et le clament haut et fort : les femmes contemporaines ne respectent pas l'altérité et se voient comme des déesses tout-absorbantes aux pieds desquelles l'homme dépouillé, subverti de sa symbolique propre doit ramper. Chose qui se vérifie largement dans les couples contemporains où le mec moyen est dans une stratégie d'apaisement de bobonne.
Logiquement cela résonne immédiatement avec la crise de la virilité dont ils parlent et par extension même avec la misère sentimentale et affective, mais impossible qu'on puisse être authentiquement critique des femmes dans un média mainstream.
Pourtant ces golios le disent en filigrane, que c'est rien de plus qu'une dynamique antagoniste : à un moment un des mecs prétend qu'en tuant le patriarcat on a tué le père, mais par extension c'est évidemment toute la masculinité qu'on continue de tuer : globalement les femmes ne respectent plus les hommes et les perçoivent par défaut comme des nains symboliques dépersonnifiés et elles continuent de s'en pourlécher, suffit de sortir de chez soi c'est visible autant chez la petite pouf à l'université que chez la matrone acariâtre.
Si par dessus ça tu ajoutes tout le discours hostile que la femme contemporaine plébiscite constamment à l'égard des hommes alors c'est le pompon : t'es pas seulement inférieur, t'es une faillite morale ambulante. Tu dois pas seulement ramper à ses pieds mais t'excuser de vivre.
La "crise de la virilité" c'est ça et rien d'autre : les mecs soit capitulent, trouvent un entre-deux ou font de la surenchère virile face à l'abus des femmes envers les hommes, étalé sur des décennies déjà. Ça avait commencé dès les années 60-70 etc avec les divorces :
On peut voir que les mecs s'interrogent déjà sur la masculinité etc alors qu'on était pas encore au dixième de ce qu'il y a à notre époque.
@PatrickSebasti1
il y a 4 mois
52 minutes à écouter des t'affoles, ça fait beaucoup
Gngngngn la virilité c'est le rap, gngngn déconstruis
Gngngngn la virilité c'est le rap, gngngn déconstruis
il y a 4 mois
Sertorius
4 mois
J'ai tout écouté en faisant la vaiselle et c'est vraiment une bande d'enfumeurs. C'est 100% de la faute des femmes et de leur abus perpétuel contre les hommes, POINT.
D'un côté, simultanément à leur émancipation effective, elles cherchent ouvertement à faire de l'ombre à la mystique masculine ce qui se matérialise dans des slogans hyper répandus maintenant style "the future is female" ou même le plus frappant "god is a woman" où elles jouissent de transcender les rôles de genre tout en gardant jalousement leur essentialisme qui consiste à attiser le désir masculin/garder leurs privilèges. Elles cherchent la supériorité à travers le déséquilibre et le clament haut et fort : les femmes contemporaines ne respectent pas l'altérité et se voient comme des déesses tout-absorbantes aux pieds desquelles l'homme dépouillé, subverti de sa symbolique propre doit ramper. Chose qui se vérifie largement dans les couples contemporains où le mec moyen est dans une stratégie d'apaisement de bobonne.
Logiquement cela résonne immédiatement avec la crise de la virilité dont ils parlent et par extension même avec la misère sentimentale et affective, mais impossible qu'on puisse être authentiquement critique des femmes dans un média mainstream.
Pourtant ces golios le disent en filigrane, que c'est rien de plus qu'une dynamique antagoniste : à un moment un des mecs prétend qu'en tuant le patriarcat on a tué le père, mais par extension c'est évidemment toute la masculinité qu'on continue de tuer : globalement les femmes ne respectent plus les hommes et les perçoivent par défaut comme des nains symboliques dépersonnifiés et elles continuent de s'en pourlécher, suffit de sortir de chez soi c'est visible autant chez la petite pouf à l'université que chez la matrone acariâtre.
Si par dessus ça tu ajoutes tout le discours hostile que la femme contemporaine plébiscite constamment à l'égard des hommes alors c'est le pompon : t'es pas seulement inférieur, t'es une faillite morale ambulante. Tu dois pas seulement ramper à ses pieds mais t'excuser de vivre.
La "crise de la virilité" c'est ça et rien d'autre : les mecs soit capitulent, trouvent un entre-deux ou font de la surenchère virile face à l'abus des femmes envers les hommes, étalé sur des décennies déjà. Ça avait commencé dès les années 60-70 etc avec les divorces :
On peut voir que les mecs s'interrogent déjà sur la masculinité etc alors qu'on était pas encore au dixième de ce qu'il y a à notre époque.
@PatrickSebasti1
D'un côté, simultanément à leur émancipation effective, elles cherchent ouvertement à faire de l'ombre à la mystique masculine ce qui se matérialise dans des slogans hyper répandus maintenant style "the future is female" ou même le plus frappant "god is a woman" où elles jouissent de transcender les rôles de genre tout en gardant jalousement leur essentialisme qui consiste à attiser le désir masculin/garder leurs privilèges. Elles cherchent la supériorité à travers le déséquilibre et le clament haut et fort : les femmes contemporaines ne respectent pas l'altérité et se voient comme des déesses tout-absorbantes aux pieds desquelles l'homme dépouillé, subverti de sa symbolique propre doit ramper. Chose qui se vérifie largement dans les couples contemporains où le mec moyen est dans une stratégie d'apaisement de bobonne.
Logiquement cela résonne immédiatement avec la crise de la virilité dont ils parlent et par extension même avec la misère sentimentale et affective, mais impossible qu'on puisse être authentiquement critique des femmes dans un média mainstream.
Pourtant ces golios le disent en filigrane, que c'est rien de plus qu'une dynamique antagoniste : à un moment un des mecs prétend qu'en tuant le patriarcat on a tué le père, mais par extension c'est évidemment toute la masculinité qu'on continue de tuer : globalement les femmes ne respectent plus les hommes et les perçoivent par défaut comme des nains symboliques dépersonnifiés et elles continuent de s'en pourlécher, suffit de sortir de chez soi c'est visible autant chez la petite pouf à l'université que chez la matrone acariâtre.
Si par dessus ça tu ajoutes tout le discours hostile que la femme contemporaine plébiscite constamment à l'égard des hommes alors c'est le pompon : t'es pas seulement inférieur, t'es une faillite morale ambulante. Tu dois pas seulement ramper à ses pieds mais t'excuser de vivre.
La "crise de la virilité" c'est ça et rien d'autre : les mecs soit capitulent, trouvent un entre-deux ou font de la surenchère virile face à l'abus des femmes envers les hommes, étalé sur des décennies déjà. Ça avait commencé dès les années 60-70 etc avec les divorces :
On peut voir que les mecs s'interrogent déjà sur la masculinité etc alors qu'on était pas encore au dixième de ce qu'il y a à notre époque.
@PatrickSebasti1
Je ne l'aurais pas mieux dit.
Cependant, la balle reste dans le camp des hommes: si les hommes tenaient leur bite (et n'accordaient pas d'attention aux femmes qui ne le méritent pas, et refusaient de faire l'esclave pour le matriarcat) alors les femmes seraient obligées de se ranger.
Cependant, la balle reste dans le camp des hommes: si les hommes tenaient leur bite (et n'accordaient pas d'attention aux femmes qui ne le méritent pas, et refusaient de faire l'esclave pour le matriarcat) alors les femmes seraient obligées de se ranger.
C'est que de l'amour putain !
il y a 4 mois
La fonction d'un père est de t'apprendre la vie et de te léguer le trésor de son expérience afin que tu reprennes le flambeau.
En fait, un père c'est tout simplement un prof. Avant que l'école publique n'existe, pendant la majeure partie de l'histoire de l'humanité, ton père c'était ton premier et parfois ton seul prof.
On n'attend pas d'un père à ce qu'il soit "tendre" (de même qu'un prof "tendre" a un côté pédo). Mais le rôle de ton père est de t'encourager et de t'amener vers l'autonomie et à prendre ta place et comprendre ta fonction en ce monde.
En fait, un père c'est tout simplement un prof. Avant que l'école publique n'existe, pendant la majeure partie de l'histoire de l'humanité, ton père c'était ton premier et parfois ton seul prof.
On n'attend pas d'un père à ce qu'il soit "tendre" (de même qu'un prof "tendre" a un côté pédo). Mais le rôle de ton père est de t'encourager et de t'amener vers l'autonomie et à prendre ta place et comprendre ta fonction en ce monde.
C'est que de l'amour putain !
il y a 4 mois
Je ne l'aurais pas mieux dit.
Cependant, la balle reste dans le camp des hommes: si les hommes tenaient leur bite (et n'accordaient pas d'attention aux femmes qui ne le méritent pas, et refusaient de faire l'esclave pour le matriarcat) alors les femmes seraient obligées de se ranger.
Cependant, la balle reste dans le camp des hommes: si les hommes tenaient leur bite (et n'accordaient pas d'attention aux femmes qui ne le méritent pas, et refusaient de faire l'esclave pour le matriarcat) alors les femmes seraient obligées de se ranger.
Oui pas faux c'est d'ailleurs mon cas mais j'ai pas de faux espoir comme quoi je leur fais la nique de quelque manière que ce soit en restant dans mon coin
après tout, ce que j'ai dit peut pas se départir du fait qu'elles nous voient comme des sous-merdes et nous aiment pas à un niveau fondamental. Difficile de reprocher à la tradition d'avoir voulu contenir un tel démon qui semble-t-il attendait juste son heure pour nous cracher à la figure.
il y a 4 mois
De toute façon quand les hommes sont sensibles et montrent leurs émotions ça ne va pas parce qu'il faudrait que les femmes aient le monopole du cœur et de la souffrance... J'ai même pas envie d'écouter une minute du reportage ça a l'air rincé et hors sol encore
Je suis le donut du forum
il y a 4 mois
Oui pas faux c'est d'ailleurs mon cas mais j'ai pas de faux espoir comme quoi je leur fais la nique de quelque manière que ce soit en restant dans mon coin
après tout, ce que j'ai dit peut pas se départir du fait qu'elles nous voient comme des sous-merdes et nous aiment pas à un niveau fondamental. Difficile de reprocher à la tradition d'avoir voulu contenir un tel démon qui semble-t-il attendait juste son heure pour nous cracher à la figure.
Je ne vois pas en quoi la balle est dans le camp des hommes, pour moi le problème principal c'est la mentalité de beaucoup de femmes occidentales qui veulent avoir le monopole de la pleurniche à faire genre que la condition féminine est atroce et que c'est mieux d'être un homme, qui sont hostiles et irrespectueuses envers les hommes et incapables de la moindre remise en question...en même temps le narratif féministe radical misandre est soigneusement entretenu...
Les hommes occidentaux clairement subissent pour beaucoup.
Les hommes occidentaux clairement subissent pour beaucoup.
Je suis le donut du forum
il y a 4 mois
De toute façon quand les hommes sont sensibles et montrent leurs émotions ça ne va pas parce qu'il faudrait que les femmes aient le monopole du cœur et de la souffrance... J'ai même pas envie d'écouter une minute du reportage ça a l'air rincé et hors sol encore
Mais à un moment un mec dans la vidéo dit que dans un siècle passé (oublié lequel) pleurer pouvait être un signe de virilité, que ces choses là pouvaient changer selon les époques. En vérité ça donne de l'eau à notre moulin : les féministes etc ont pas le monopole d'une masculinité saine ou que sais-je, c'est des couillonnades.
La vérité c'est qu'il y a rien de plus cruel pour les hommes que des femmes ou encore que des discours politiques de merde peu importe d'où ils viennent se fassent arbitres de leur masculinité or c'est exactement ce qui se passe à notre époque. Mais mon avis c'est que c'est contingent à la libération de la femme, qui entraîne irrémédiablement une faille dans le cosmos.
Il me semble qu'un romain connu disait qu'en rendant les femmes nos égales on deviendrait leurs esclaves et il avait totalement raison.
La vérité c'est qu'il y a rien de plus cruel pour les hommes que des femmes ou encore que des discours politiques de merde peu importe d'où ils viennent se fassent arbitres de leur masculinité or c'est exactement ce qui se passe à notre époque. Mais mon avis c'est que c'est contingent à la libération de la femme, qui entraîne irrémédiablement une faille dans le cosmos.
Il me semble qu'un romain connu disait qu'en rendant les femmes nos égales on deviendrait leurs esclaves et il avait totalement raison.
il y a 4 mois