Ce sujet a été résolu
On était 6 kheys en tout.
Rien que de le début vaut son pesant de cacahuètes:
Chapitre 1: la route jusqu’au chalet
Le 30 décembre 2024 au soir,
Les parigos avaient pris leurs grosses valises et des baskets, comme je l'avais prédit.
On arrive au parking de la montagne vers 18h-18h30. La route pour aller aux chalets est inaccessible à cause de la neige et il y a 1h30 de marche.
On commence à gravir les premiers 200 mètres. Soudain, t'as 2 mecs en motoneige qui passent, qui s'arrêtent et qui nous demandent:
- "Vous êtes perdus?"
On leur répond:
- "Non, non, on va au village des xxxxxxxxx "
- "Mais c'est hyper loin. Vous êtes complètement fous. "
Ensuite, ils sont partis, et on a continué à marcher pendant 2h sous -7°C dans le noir total, en sachant qu'au fil des heures, il faisait de plus en plus froid. Les parigos continuaient à traîner leurs grosses valises derrière eux, et on s'arrêtait toutes les 15 minutes car ils n'en pouvaient plus.
Au final, on a passé plus de 2h à galérer à gravir un dénivelé de 400 m sur 5-6 km sur 40 cm de neige. (pour que visualisiez bien: le truc qu'on monte c'est un escalier en colimaçon sans les marches, c'est un toboggan de piscine municipale de 6 km de long avec de la neige dessus).
J'arrive enfin vers le fameux village de chalets vers 20h30, et avec les 2 kheys qui étaient déjà arrivés, on a passé 40 minutes à chercher la baraque sous -11°C car les indications que nous avaient donné le proprio étaient totalement foireuses. Le premier khey qui est arrivé au village était dans le noir complet car il n'avait plus de batterie sur son portable et pas de lampe frontale.
Après avoir galéré 40 minutes ensemble (ceux qui étaient arrivés un peu avant ont galéré une bonne heure), on réussit enfin à trouver le chalet. Le proprio avait confondu sa droite et sa gauche à un moment dans ses indications, cet enfoiré : si on avait suivi scrupuleusement ses indications, on serait en train de barboter dans la rivière.
Rien que de le début vaut son pesant de cacahuètes:
Chapitre 1: la route jusqu’au chalet
Le 30 décembre 2024 au soir,
Les parigos avaient pris leurs grosses valises et des baskets, comme je l'avais prédit.
On arrive au parking de la montagne vers 18h-18h30. La route pour aller aux chalets est inaccessible à cause de la neige et il y a 1h30 de marche.
On commence à gravir les premiers 200 mètres. Soudain, t'as 2 mecs en motoneige qui passent, qui s'arrêtent et qui nous demandent:
- "Vous êtes perdus?"

On leur répond:
- "Non, non, on va au village des xxxxxxxxx "
- "Mais c'est hyper loin. Vous êtes complètement fous. "

Ensuite, ils sont partis, et on a continué à marcher pendant 2h sous -7°C dans le noir total, en sachant qu'au fil des heures, il faisait de plus en plus froid. Les parigos continuaient à traîner leurs grosses valises derrière eux, et on s'arrêtait toutes les 15 minutes car ils n'en pouvaient plus.
Au final, on a passé plus de 2h à galérer à gravir un dénivelé de 400 m sur 5-6 km sur 40 cm de neige. (pour que visualisiez bien: le truc qu'on monte c'est un escalier en colimaçon sans les marches, c'est un toboggan de piscine municipale de 6 km de long avec de la neige dessus).
J'arrive enfin vers le fameux village de chalets vers 20h30, et avec les 2 kheys qui étaient déjà arrivés, on a passé 40 minutes à chercher la baraque sous -11°C car les indications que nous avaient donné le proprio étaient totalement foireuses. Le premier khey qui est arrivé au village était dans le noir complet car il n'avait plus de batterie sur son portable et pas de lampe frontale.
Après avoir galéré 40 minutes ensemble (ceux qui étaient arrivés un peu avant ont galéré une bonne heure), on réussit enfin à trouver le chalet. Le proprio avait confondu sa droite et sa gauche à un moment dans ses indications, cet enfoiré : si on avait suivi scrupuleusement ses indications, on serait en train de barboter dans la rivière.
il y a 6 mois
Chapitre 2 : l’arrivée au chalet
On ouvre la porte du chalet avec les clés qui étaient cachées dans un boîtier à l’entrée. L’intérieur est plutôt mignon. On a allumé le feu avec la chaudières à bois (seul mode de chauffage dispo) et il y avait une hache qui traînait au milieu de la réserve de bois. Il n’y a pas d’eau courante dans le chalet, juste 10 L d’eau en bouteilles. A ce moment-là, on était 3 kheys dans le chalet : les 3 warriors.
Les autres (les parigos qui avaient fait le caprice de venir jusqu’ici) étaient encore paumés dehors dans la neige. Ils sont arrivés 30 minutes plus tard avec leurs valises.
Puis, plus tard dans la soirée, vers 22h30, t’as une bande de 4 punks survivalistes qui débarquent dans notre chalet (apparemment les 3 derniers kheys les avaient rencontrés dans le village). On n’a pas fermé à clé et ils sont entrés comme dans un moulin, comme si c’était chez mémé. Ils se mettaient à toucher un peu à tout en disant que c’était 1000 fois mieux que leur chalet.
Les mecs, ça faisait plus d’1 semaine qu’ils étaient là et qu’ils n’avaient pas vu d’autres êtres humains. Ils étaient tout content de nous voir.
Ils nous disaient que chez eux, c’était encore plus merdique que chez nous car ils n’avaient non seulement pas d’eau aux robinets (comme nous), mais ils n’avaient pas non plus d’électricité. Ils nous ont proposé de passer boire l’apéro le lendemain.
T’as un des mecs qui avait pris la hache (ça me faisait trop bader) et qui la tapait contre les morceaux de bois. J’étais posé sur le canapé et ma tête était à 30 cm des coups qu’il donnait. Je me suis dit « mais qu’est-ce qu’il fait ce con? Il va falloir la cacher, cette hache, car j’ai un mauvais pressentiment ».
Du coup, quand les punks sont partis et que les autres sont montés dormir, on a caché la hache avec @AhuriKJ.
On ouvre la porte du chalet avec les clés qui étaient cachées dans un boîtier à l’entrée. L’intérieur est plutôt mignon. On a allumé le feu avec la chaudières à bois (seul mode de chauffage dispo) et il y avait une hache qui traînait au milieu de la réserve de bois. Il n’y a pas d’eau courante dans le chalet, juste 10 L d’eau en bouteilles. A ce moment-là, on était 3 kheys dans le chalet : les 3 warriors.
Les autres (les parigos qui avaient fait le caprice de venir jusqu’ici) étaient encore paumés dehors dans la neige. Ils sont arrivés 30 minutes plus tard avec leurs valises.
Puis, plus tard dans la soirée, vers 22h30, t’as une bande de 4 punks survivalistes qui débarquent dans notre chalet (apparemment les 3 derniers kheys les avaient rencontrés dans le village). On n’a pas fermé à clé et ils sont entrés comme dans un moulin, comme si c’était chez mémé. Ils se mettaient à toucher un peu à tout en disant que c’était 1000 fois mieux que leur chalet.
Les mecs, ça faisait plus d’1 semaine qu’ils étaient là et qu’ils n’avaient pas vu d’autres êtres humains. Ils étaient tout content de nous voir.
Ils nous disaient que chez eux, c’était encore plus merdique que chez nous car ils n’avaient non seulement pas d’eau aux robinets (comme nous), mais ils n’avaient pas non plus d’électricité. Ils nous ont proposé de passer boire l’apéro le lendemain.
T’as un des mecs qui avait pris la hache (ça me faisait trop bader) et qui la tapait contre les morceaux de bois. J’étais posé sur le canapé et ma tête était à 30 cm des coups qu’il donnait. Je me suis dit « mais qu’est-ce qu’il fait ce con? Il va falloir la cacher, cette hache, car j’ai un mauvais pressentiment ».
Du coup, quand les punks sont partis et que les autres sont montés dormir, on a caché la hache avec @AhuriKJ.
il y a 6 mois
Madokabestanime
6 mois
Chapitre 2 : l’arrivée au chalet
On ouvre la porte du chalet avec les clés qui étaient cachées dans un boîtier à l’entrée. L’intérieur est plutôt mignon. On a allumé le feu avec la chaudières à bois (seul mode de chauffage dispo) et il y avait une hache qui traînait au milieu de la réserve de bois. Il n’y a pas d’eau courante dans le chalet, juste 10 L d’eau en bouteilles. A ce moment-là, on était 3 kheys dans le chalet : les 3 warriors.
Les autres (les parigos qui avaient fait le caprice de venir jusqu’ici) étaient encore paumés dehors dans la neige. Ils sont arrivés 30 minutes plus tard avec leurs valises.
Puis, plus tard dans la soirée, vers 22h30, t’as une bande de 4 punks survivalistes qui débarquent dans notre chalet (apparemment les 3 derniers kheys les avaient rencontrés dans le village). On n’a pas fermé à clé et ils sont entrés comme dans un moulin, comme si c’était chez mémé. Ils se mettaient à toucher un peu à tout en disant que c’était 1000 fois mieux que leur chalet.
Les mecs, ça faisait plus d’1 semaine qu’ils étaient là et qu’ils n’avaient pas vu d’autres êtres humains. Ils étaient tout content de nous voir.
Ils nous disaient que chez eux, c’était encore plus merdique que chez nous car ils n’avaient non seulement pas d’eau aux robinets (comme nous), mais ils n’avaient pas non plus d’électricité. Ils nous ont proposé de passer boire l’apéro le lendemain.
T’as un des mecs qui avait pris la hache (ça me faisait trop bader) et qui la tapait contre les morceaux de bois. J’étais posé sur le canapé et ma tête était à 30 cm des coups qu’il donnait. Je me suis dit « mais qu’est-ce qu’il fait ce con? Il va falloir la cacher, cette hache, car j’ai un mauvais pressentiment ».
Du coup, quand les punks sont partis et que les autres sont montés dormir, on a caché la hache avec @AhuriKJ.
On ouvre la porte du chalet avec les clés qui étaient cachées dans un boîtier à l’entrée. L’intérieur est plutôt mignon. On a allumé le feu avec la chaudières à bois (seul mode de chauffage dispo) et il y avait une hache qui traînait au milieu de la réserve de bois. Il n’y a pas d’eau courante dans le chalet, juste 10 L d’eau en bouteilles. A ce moment-là, on était 3 kheys dans le chalet : les 3 warriors.
Les autres (les parigos qui avaient fait le caprice de venir jusqu’ici) étaient encore paumés dehors dans la neige. Ils sont arrivés 30 minutes plus tard avec leurs valises.
Puis, plus tard dans la soirée, vers 22h30, t’as une bande de 4 punks survivalistes qui débarquent dans notre chalet (apparemment les 3 derniers kheys les avaient rencontrés dans le village). On n’a pas fermé à clé et ils sont entrés comme dans un moulin, comme si c’était chez mémé. Ils se mettaient à toucher un peu à tout en disant que c’était 1000 fois mieux que leur chalet.
Les mecs, ça faisait plus d’1 semaine qu’ils étaient là et qu’ils n’avaient pas vu d’autres êtres humains. Ils étaient tout content de nous voir.
Ils nous disaient que chez eux, c’était encore plus merdique que chez nous car ils n’avaient non seulement pas d’eau aux robinets (comme nous), mais ils n’avaient pas non plus d’électricité. Ils nous ont proposé de passer boire l’apéro le lendemain.
T’as un des mecs qui avait pris la hache (ça me faisait trop bader) et qui la tapait contre les morceaux de bois. J’étais posé sur le canapé et ma tête était à 30 cm des coups qu’il donnait. Je me suis dit « mais qu’est-ce qu’il fait ce con? Il va falloir la cacher, cette hache, car j’ai un mauvais pressentiment ».
Du coup, quand les punks sont partis et que les autres sont montés dormir, on a caché la hache avec @AhuriKJ.
Sweet
il y a 6 mois
FreeW0lf
6 mois
Chapitre 3: les photos.
Mais nofake hein
Mais nofake hein
100% No fake. Les photos arrivent. Il faut juste que je les transferts de mon portable à mon ordi pour que ce soit plus commode.
il y a 6 mois
Wooo
6 mois
Non, 0 kheyette, malheureusement.
C'est fragile une fouffe, ça n'aurait pas pu faire tout ce qu'on a fait. Déjà que nous, on en a réellement chié, alors une foufoune geignarde, imagine...
C'est fragile une fouffe, ça n'aurait pas pu faire tout ce qu'on a fait. Déjà que nous, on en a réellement chié, alors une foufoune geignarde, imagine...
il y a 6 mois
T'es un trap mignon tout épilé de partout comme Lydra, toi aussi? @Lydra
il y a 6 mois
Chapitre 3 (version censurée) : la journée du 31
Le 31 décembre 2024 à 11h,
Lors de notre première montée de la veille, on n’a pu apporter que certaines affaires : principalement le linge, des lingettes, un peu d’alcool et quelques trucs à bouffer.
Les parigos se sont trimballés des enceintes et des sièges de jardin dans leur valise (j’ai cru halluciner quand j’ai vu ça) pour pouvoir se poser dehors devant le chalet et regarder la montagne et les étoiles en étant complètement foncedés. Ils ont visiblement le sens des priorités, ces gens-là.
Mais tout ça n’était pas suffisant pour tenir 3 jours (jusqu’au 2 janvier), donc il fallait redescendre pour aller faire des courses afin de pouvoir passer un bon réveillon.
C’est ainsi que les 3 warriors de la veille (dont moi) se sont retapés le trajet pour aller chercher de la bouffe à ramener, alors que les 3 parisiens ne voulaient pas redescendre : ils sont restés dans le chalet pour se fonceder toute la journée.
Quand j’étais en bas avec les 2 autres kheys, on a fait resto chinois et on est allé à la piscine pour se laver un peu. Un de mes kheys a demandé aux parasix qui étaient restés en haut de ramener dans le chalet du bois de la pile qui était dehors et de nettoyer un peu la table avant qu’on arrive. Je lui ai prédit que c’était inutile car ils n’allaient rien foutre, ces feignasses de parisix. Puis, vers 16h, on a recommencé à grimper pour ramener de la bouffe, de l’alcool et de l’eau.
On arrive dans le chalet avec les provisions vers 19h et les parigos sont complètement explosés. Il y a des vapeurs dans toute la baraque.
Evidemment, ils n'ont rien branlé: ils n'ont pas fait le ménage et on n'a plus de bois à foutre dans le poêle (alors qu'il est 19h et qu'il commence à faire hyper froid dehors, et que les parisix avaient eu toute la journée pour en ramener) . Qui l'eût cru?
La soirée commence…
La version non censurée du chapitre 3, qui correspond à la journée des parigos restés dans le chalet, sera postée sur le +18 . Je mettrai le lien ici.
Le 31 décembre 2024 à 11h,
Lors de notre première montée de la veille, on n’a pu apporter que certaines affaires : principalement le linge, des lingettes, un peu d’alcool et quelques trucs à bouffer.
Les parigos se sont trimballés des enceintes et des sièges de jardin dans leur valise (j’ai cru halluciner quand j’ai vu ça) pour pouvoir se poser dehors devant le chalet et regarder la montagne et les étoiles en étant complètement foncedés. Ils ont visiblement le sens des priorités, ces gens-là.
Mais tout ça n’était pas suffisant pour tenir 3 jours (jusqu’au 2 janvier), donc il fallait redescendre pour aller faire des courses afin de pouvoir passer un bon réveillon.
C’est ainsi que les 3 warriors de la veille (dont moi) se sont retapés le trajet pour aller chercher de la bouffe à ramener, alors que les 3 parisiens ne voulaient pas redescendre : ils sont restés dans le chalet pour se fonceder toute la journée.
Quand j’étais en bas avec les 2 autres kheys, on a fait resto chinois et on est allé à la piscine pour se laver un peu. Un de mes kheys a demandé aux parasix qui étaient restés en haut de ramener dans le chalet du bois de la pile qui était dehors et de nettoyer un peu la table avant qu’on arrive. Je lui ai prédit que c’était inutile car ils n’allaient rien foutre, ces feignasses de parisix. Puis, vers 16h, on a recommencé à grimper pour ramener de la bouffe, de l’alcool et de l’eau.
On arrive dans le chalet avec les provisions vers 19h et les parigos sont complètement explosés. Il y a des vapeurs dans toute la baraque.
Evidemment, ils n'ont rien branlé: ils n'ont pas fait le ménage et on n'a plus de bois à foutre dans le poêle (alors qu'il est 19h et qu'il commence à faire hyper froid dehors, et que les parisix avaient eu toute la journée pour en ramener) . Qui l'eût cru?
La soirée commence…
La version non censurée du chapitre 3, qui correspond à la journée des parigos restés dans le chalet, sera postée sur le +18 . Je mettrai le lien ici.
il y a 6 mois
Saga666
6 mois
Ça devait être rock n’roll pour arriver au chalet
Ouais, surtout le premier soir, la nuit, avec tous les bagages. Et surtout pour les parasix avec leurs valises et leurs baskets dans la neige. ça méritait une photo souvenir.
il y a 6 mois
Il y a pas mal d'ingrédients pour que ça finisse de façon folklorique
Le peuple demande la sweet
Il y avait aucun moyen de monter en bagnole ? Même pneus neige et chaînes ça ne serait pas passé ?
Le peuple demande la sweet
Il y avait aucun moyen de monter en bagnole ? Même pneus neige et chaînes ça ne serait pas passé ?
Appuie sur Shift pour que s'étale mon nom BASTE en lettres capitales
il y a 6 mois
Madokabestanime
6 mois
On était 6 kheys en tout.
Rien que de le début vaut son pesant de cacahuètes:
Chapitre 1: la route jusqu’au chalet
Le 30 décembre 2024 au soir,
Les parigos avaient pris leurs grosses valises et des baskets, comme je l'avais prédit.
On arrive au parking de la montagne vers 18h-18h30. La route pour aller aux chalets est inaccessible à cause de la neige et il y a 1h30 de marche.
On commence à gravir les premiers 200 mètres. Soudain, t'as 2 mecs en motoneige qui passent, qui s'arrêtent et qui nous demandent:
- "Vous êtes perdus?"
On leur répond:
- "Non, non, on va au village des xxxxxxxxx "
- "Mais c'est hyper loin. Vous êtes complètement fous. "
Ensuite, ils sont partis, et on a continué à marcher pendant 2h sous -7°C dans le noir total, en sachant qu'au fil des heures, il faisait de plus en plus froid. Les parigos continuaient à traîner leurs grosses valises derrière eux, et on s'arrêtait toutes les 15 minutes car ils n'en pouvaient plus.
Au final, on a passé plus de 2h à galérer à gravir un dénivelé de 400 m sur 5-6 km sur 40 cm de neige. (pour que visualisiez bien: le truc qu'on monte c'est un escalier en colimaçon sans les marches, c'est un toboggan de piscine municipale de 6 km de long avec de la neige dessus).
J'arrive enfin vers le fameux village de chalets vers 20h30, et avec les 2 kheys qui étaient déjà arrivés, on a passé 40 minutes à chercher la baraque sous -11°C car les indications que nous avaient donné le proprio étaient totalement foireuses. Le premier khey qui est arrivé au village était dans le noir complet car il n'avait plus de batterie sur son portable et pas de lampe frontale.
Après avoir galéré 40 minutes ensemble (ceux qui étaient arrivés un peu avant ont galéré une bonne heure), on réussit enfin à trouver le chalet. Le proprio avait confondu sa droite et sa gauche à un moment dans ses indications, cet enfoiré : si on avait suivi scrupuleusement ses indications, on serait en train de barboter dans la rivière.
Rien que de le début vaut son pesant de cacahuètes:
Chapitre 1: la route jusqu’au chalet
Le 30 décembre 2024 au soir,
Les parigos avaient pris leurs grosses valises et des baskets, comme je l'avais prédit.
On arrive au parking de la montagne vers 18h-18h30. La route pour aller aux chalets est inaccessible à cause de la neige et il y a 1h30 de marche.
On commence à gravir les premiers 200 mètres. Soudain, t'as 2 mecs en motoneige qui passent, qui s'arrêtent et qui nous demandent:
- "Vous êtes perdus?"

On leur répond:
- "Non, non, on va au village des xxxxxxxxx "
- "Mais c'est hyper loin. Vous êtes complètement fous. "

Ensuite, ils sont partis, et on a continué à marcher pendant 2h sous -7°C dans le noir total, en sachant qu'au fil des heures, il faisait de plus en plus froid. Les parigos continuaient à traîner leurs grosses valises derrière eux, et on s'arrêtait toutes les 15 minutes car ils n'en pouvaient plus.
Au final, on a passé plus de 2h à galérer à gravir un dénivelé de 400 m sur 5-6 km sur 40 cm de neige. (pour que visualisiez bien: le truc qu'on monte c'est un escalier en colimaçon sans les marches, c'est un toboggan de piscine municipale de 6 km de long avec de la neige dessus).
J'arrive enfin vers le fameux village de chalets vers 20h30, et avec les 2 kheys qui étaient déjà arrivés, on a passé 40 minutes à chercher la baraque sous -11°C car les indications que nous avaient donné le proprio étaient totalement foireuses. Le premier khey qui est arrivé au village était dans le noir complet car il n'avait plus de batterie sur son portable et pas de lampe frontale.
Après avoir galéré 40 minutes ensemble (ceux qui étaient arrivés un peu avant ont galéré une bonne heure), on réussit enfin à trouver le chalet. Le proprio avait confondu sa droite et sa gauche à un moment dans ses indications, cet enfoiré : si on avait suivi scrupuleusement ses indications, on serait en train de barboter dans la rivière.
Rien que le début est épique, bon sang... et les parisiens en baskets avec leurs grosses valises
il y a 6 mois
Rien que le début est épique, bon sang... et les parisiens en baskets avec leurs grosses valises
Les parigots ne devraient pas êtres autorisés à sortir de leur trou à merde
Partie du fdce.Pour le retou de l'errance chevaleresque https://onche.org/topic/5[...]u-chevalier-errant#messag
il y a 6 mois
Lien vers le chapitre 3 bis sur le +18: version non censurée de la journée du 31 décembre:
https://onche.org/topic/7[...]avec-les-kheys-no-censure
il y a 6 mois