Ce sujet a été résolu
Ton analyse suppose que les normes imposées finissent toujours par favoriser une minorité naturellement adaptée, tandis que les autres disparaissent progressivement. Pourtant, cela repose sur une vision statique et déterministe des sociétés humaines. Les humains ne sont pas de simples réceptacles des règles qu’on leur impose, ils sont capables de les questionner, de les ajuster et même de les renverser. Une norme n’est pas figée dans le temps, elle évolue en réponse à ses propres limites ou aux nouveaux contextes qui émergent. Si une recommandation nutritionnelle, par exemple, s’avère inefficace ou nuisible, elle finit généralement par être révisée grâce à l’observation et aux progrès scientifiques. De plus, l’idée que seule une minorité tirerait profit d’une norme généralisée néglige le fait que les sociétés modernes ont souvent la capacité d’aménager des espaces d’exception ou de solidarité pour ceux qui dévient de la norme. Enfin, réduire les transformations culturelles et sociales, comme celles qui ont suivi les guerres mondiales, à une simple sélection biologique ou culturelle est réducteur. Ces évolutions découlent aussi de décisions politiques, économiques et philosophiques, et non pas seulement d’un tri naturel. Les normes façonnent certes les populations, mais elles ne le font ni de manière absolue ni de manière irréversible, car l’humanité reste fondamentalement capable de s’adapter et de se réinventer.
Ce tissus d'hommes de paille
il y a 9 mois
Wilgen
9 mois
Résumé du pavé que j'ai pas lu, par ChatGPT:
"Le message explore des réflexions philosophiques et sociétales sur la santé, l'identité, la culture, et la nation. L’auteur discute d'une étude suggérant que la supplémentation en vitamines pourrait réduire l'espérance de vie et en déduit que les prescriptions nutritionnelles ne profitent pas à tous de la même manière. Il affirme que les lois ou normes imposées à une population influencent le type biologique de ses membres. L'auteur critique aussi la France et son système, rejetant l'idée de s'y identifier, soulignant le contraste entre la France d’hier et celle d’aujourd’hui. Il évoque la souffrance et les sacrifices des soldats durant les guerres mondiales pour critiquer la libération sexuelle actuelle et les valeurs qu’elle incarne, qu’il associe à une perte d'intégrité morale et à l’idéologie du "progressisme". Enfin, il conclut sur l’idée que l’authentique fidélité et l’humanité ne se trouvent que dans le "rester-mort", un symbole de ceux qui ont été sacrifiés."
"Le message explore des réflexions philosophiques et sociétales sur la santé, l'identité, la culture, et la nation. L’auteur discute d'une étude suggérant que la supplémentation en vitamines pourrait réduire l'espérance de vie et en déduit que les prescriptions nutritionnelles ne profitent pas à tous de la même manière. Il affirme que les lois ou normes imposées à une population influencent le type biologique de ses membres. L'auteur critique aussi la France et son système, rejetant l'idée de s'y identifier, soulignant le contraste entre la France d’hier et celle d’aujourd’hui. Il évoque la souffrance et les sacrifices des soldats durant les guerres mondiales pour critiquer la libération sexuelle actuelle et les valeurs qu’elle incarne, qu’il associe à une perte d'intégrité morale et à l’idéologie du "progressisme". Enfin, il conclut sur l’idée que l’authentique fidélité et l’humanité ne se trouvent que dans le "rester-mort", un symbole de ceux qui ont été sacrifiés."
C'est toujours trop long
il y a 9 mois