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www.youtube.com https://www.youtube.com/l[...]STCv8XyFkDlr7t&t=1431
Adrien Abauzit s'exprime (23'51) :
À la base, la messe, c'est le renouvellement non sanglant du sacrifice de la Croix. Les modernistes, eux, vont nous dire : « Mais non ! La messe, c'est pas ça. La messe, c'est une assemblée eucharistique ou liturgique présidée par un prêtre. [...] Il n'y a plus aucune notion du sacrifice. »


Mais en quoi le fait de parler d'assemblée eucharistique implique que ce ne soit plus un sacrifice ? Si c'est une assemblée eucharistique, c'est justement bien un rassemblement destiné à recevoir le sacrifice eucharistique nom d'un cul
:Cash_2:
Pourquoi il se monte la tête tout seul alors que les textes n'ont jamais varié ?
:risi_chauve:


Institutio generalis de 1969 (pourtant citée par Abauzit), dès le deuxième paragraphe :
Il est donc de la plus grande importance que la célébration de la messe, c’est-à-dire de la Cène du Seigneur, soit réglée de telle façon que les ministres et les fidèles, y participant selon leur condition, en recueillent pleinement les fruits, que le Christ Seigneur a voulu nous faire obtenir en instituant le sacrifice eucharistique de son Corps et de son Sang, et en le confiant, comme le mémorial de sa passion et de sa résurrection, à l’Église, son Épouse bien-aimée.
‏‎


Institutio generalis de 1970 (pourtant citée par Abauzit) :
A la messe ou Cène du Seigneur, le peuple de Dieu est convoqué et rassemblé, sous la présidence du prêtre, qui représente la personne du Christ, pour célébrer le mémorial du Seigneur, ou sacrifice eucharistique. C’est pourquoi ce rassemblement local de la sainte Eglise réalise de façon éminente la promesse du Christ. [...] En effet, dans la célébration de la messe où est perpétué le sacrifice de la croix, le Christ est réellement présent dans l’assemblée elle-même réunie en son nom, dans la personne du ministre, dans sa parole et aussi, mais de façon substantielle et continuelle, sous les espèces eucharistiques.
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Lettre apostolique Desiderio desideravi, 2022 (pourtant citée par Abauzit) :
Participer au sacrifice eucharistique n’est pas un exploit personnel, comme si nous pouvions nous en vanter devant Dieu ou devant nos frères et sœurs. [...] Nous n’avons pas d’autre fierté que celle de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ (cf. Ga 6,14). La Liturgie n’a rien à voir avec un moralisme ascétique : c’est le don de la Pâque du Seigneur qui, accueilli avec docilité, rend notre vie nouvelle. [...] De dimanche en dimanche, la communion au Corps et au Sang du Christ veut faire de notre vie aussi un sacrifice agréable au Père, dans la communion fraternelle du partage, de l’accueil, du service. De dimanche en dimanche, l’énergie du Pain rompu nous soutient dans l’annonce de l’Évangile dans lequel se manifeste l’authenticité de notre célébration.
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Sacrée Congrégation pour la Doctrine de la foi, 1967, lettre au sujet de certaines erreurs modernistes :
De même, dans la manière de traiter la théologie des sacrements, certains éléments sont ou ignorés ou ne sont pas considérés suffisamment, surtout en ce qui concerne la Très Sainte Eucharistie. Au sujet de la présence réelle du Christ sous les espèces du pain et du vin, il en est qui dissertent en favorisant un symbolisme exagéré, comme si le pain et le vin n’étaient pas changés par la transsubstantiation au corps et au sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ, mais étaient simplement transférés à une certaine signification. Il en est aussi qui, au sujet de la messe, favorisent plus qu’il n’est juste l’idée d’agapes, au détriment de l’idée de sacrifice.
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Audience générale de Paul VI, 1969, sur le Novus Ordo qui va entrer en vigueur :
L'unité entre la Cène du Seigneur, le Sacrifice de la croix, le renouveau représentatif de l'un et de l'autre dans la Messe est affirmée et célébrée de manière inviolable dans le nouvel ordre, comme dans l'ancien. La Messe est et reste le souvenir de la Dernière Cène du Christ, dans laquelle le Seigneur, transformant le pain et le vin en son Corps et en son Sang, a institué le Sacrifice du Nouveau Testament, et a voulu que, par la vertu de son Sacerdoce, conférée aux Apôtres, a été renouvelée dans son identité, seulement offerte d'une manière différente, c'est-à-dire de manière exsangue et sacramentelle, en mémoire éternelle de Lui, jusqu'à son retour définitif. [...] Les conséquences prévues, ou plutôt souhaitées, sont celles de la participation [...] à la réalité mystique du sacrifice sacramentel et propitiatoire du Christ.
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On pourrait en citer mille, mais il suffit de terminer avec le document disposant de la plus haute autorité puisque ratifié lors du méchant deuxième concile œcuménique du Vatican (le terme de sacrifice y apparaît onze fois) :
Constitution liturgique Sacrosanctum Concilium, 1963 :
Notre Sauveur, à la dernière Cène, la nuit où il était livré, institua le sacrifice eucharistique de son Corps et de son Sang pour perpétuer le sacrifice de la croix au long des siècles, jusqu’à ce qu’il vienne, et pour confier ainsi à l’Église, son Épouse bien-aimée, le mémorial de sa mort et de sa résurrection : sacrement de l’amour, signe de l’unité, lien de la charité, banquet pascal dans lequel le Christ est mangé, l’âme est comblée de grâce, et le gage de la gloire future nous est donné.
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Les sédécandaulistes une explication ?
:risiouch:
il y a un an
Bordel qu'est-ce que ça a l'air chiant
:Chat_Caprisun_grimoir_livre:
il y a un an
Bordel qu'est-ce que ça a l'air chiant
:Chat_Caprisun_grimoir_livre:
Je ne te le fais pas dire, le propre du sédécandaulisme est de gloser sur des virgules et nous sommes obligés de rentrer dans ce jeu à la con pour répondre
:Tare2:
il y a un an
www.youtube.com https://www.youtube.com/l[...]STCv8XyFkDlr7t&t=1431
Adrien Abauzit s'exprime (23'51) :
À la base, la messe, c'est le renouvellement non sanglant du sacrifice de la Croix. Les modernistes, eux, vont nous dire : « Mais non ! La messe, c'est pas ça. La messe, c'est une assemblée eucharistique ou liturgique présidée par un prêtre. [...] Il n'y a plus aucune notion du sacrifice. »


Mais en quoi le fait de parler d'assemblée eucharistique implique que ce ne soit plus un sacrifice ? Si c'est une assemblée eucharistique, c'est justement bien un rassemblement destiné à recevoir le sacrifice eucharistique nom d'un cul
:Cash_2:
Pourquoi il se monte la tête tout seul alors que les textes n'ont jamais varié ?
:risi_chauve:


Institutio generalis de 1969 (pourtant citée par Abauzit), dès le deuxième paragraphe :
Il est donc de la plus grande importance que la célébration de la messe, c’est-à-dire de la Cène du Seigneur, soit réglée de telle façon que les ministres et les fidèles, y participant selon leur condition, en recueillent pleinement les fruits, que le Christ Seigneur a voulu nous faire obtenir en instituant le sacrifice eucharistique de son Corps et de son Sang, et en le confiant, comme le mémorial de sa passion et de sa résurrection, à l’Église, son Épouse bien-aimée.
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Institutio generalis de 1970 (pourtant citée par Abauzit) :
A la messe ou Cène du Seigneur, le peuple de Dieu est convoqué et rassemblé, sous la présidence du prêtre, qui représente la personne du Christ, pour célébrer le mémorial du Seigneur, ou sacrifice eucharistique. C’est pourquoi ce rassemblement local de la sainte Eglise réalise de façon éminente la promesse du Christ. [...] En effet, dans la célébration de la messe où est perpétué le sacrifice de la croix, le Christ est réellement présent dans l’assemblée elle-même réunie en son nom, dans la personne du ministre, dans sa parole et aussi, mais de façon substantielle et continuelle, sous les espèces eucharistiques.
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Lettre apostolique Desiderio desideravi, 2022 (pourtant citée par Abauzit) :
Participer au sacrifice eucharistique n’est pas un exploit personnel, comme si nous pouvions nous en vanter devant Dieu ou devant nos frères et sœurs. [...] Nous n’avons pas d’autre fierté que celle de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ (cf. Ga 6,14). La Liturgie n’a rien à voir avec un moralisme ascétique : c’est le don de la Pâque du Seigneur qui, accueilli avec docilité, rend notre vie nouvelle. [...] De dimanche en dimanche, la communion au Corps et au Sang du Christ veut faire de notre vie aussi un sacrifice agréable au Père, dans la communion fraternelle du partage, de l’accueil, du service. De dimanche en dimanche, l’énergie du Pain rompu nous soutient dans l’annonce de l’Évangile dans lequel se manifeste l’authenticité de notre célébration.
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Sacrée Congrégation pour la Doctrine de la foi, 1967, lettre au sujet de certaines erreurs modernistes :
De même, dans la manière de traiter la théologie des sacrements, certains éléments sont ou ignorés ou ne sont pas considérés suffisamment, surtout en ce qui concerne la Très Sainte Eucharistie. Au sujet de la présence réelle du Christ sous les espèces du pain et du vin, il en est qui dissertent en favorisant un symbolisme exagéré, comme si le pain et le vin n’étaient pas changés par la transsubstantiation au corps et au sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ, mais étaient simplement transférés à une certaine signification. Il en est aussi qui, au sujet de la messe, favorisent plus qu’il n’est juste l’idée d’agapes, au détriment de l’idée de sacrifice.
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Audience générale de Paul VI, 1969, sur le Novus Ordo qui va entrer en vigueur :
L'unité entre la Cène du Seigneur, le Sacrifice de la croix, le renouveau représentatif de l'un et de l'autre dans la Messe est affirmée et célébrée de manière inviolable dans le nouvel ordre, comme dans l'ancien. La Messe est et reste le souvenir de la Dernière Cène du Christ, dans laquelle le Seigneur, transformant le pain et le vin en son Corps et en son Sang, a institué le Sacrifice du Nouveau Testament, et a voulu que, par la vertu de son Sacerdoce, conférée aux Apôtres, a été renouvelée dans son identité, seulement offerte d'une manière différente, c'est-à-dire de manière exsangue et sacramentelle, en mémoire éternelle de Lui, jusqu'à son retour définitif. [...] Les conséquences prévues, ou plutôt souhaitées, sont celles de la participation [...] à la réalité mystique du sacrifice sacramentel et propitiatoire du Christ.
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On pourrait en citer mille, mais il suffit de terminer avec le document disposant de la plus haute autorité puisque ratifié lors du méchant deuxième concile œcuménique du Vatican (le terme de sacrifice y apparaît onze fois) :
Constitution liturgique Sacrosanctum Concilium, 1963 :
Notre Sauveur, à la dernière Cène, la nuit où il était livré, institua le sacrifice eucharistique de son Corps et de son Sang pour perpétuer le sacrifice de la croix au long des siècles, jusqu’à ce qu’il vienne, et pour confier ainsi à l’Église, son Épouse bien-aimée, le mémorial de sa mort et de sa résurrection : sacrement de l’amour, signe de l’unité, lien de la charité, banquet pascal dans lequel le Christ est mangé, l’âme est comblée de grâce, et le gage de la gloire future nous est donné.
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Les sédécandaulistes une explication ?
:risiouch:
Bonjour,

Tu t'attaches à un détail. Ce n'est pas pour ça que le sacrement de l'eucharistie n'est pas valide dans vos messes.

Au revoir
il y a un an
Bonjour,

Tu t'attaches à un détail. Ce n'est pas pour ça que le sacrement de l'eucharistie n'est pas valide dans vos messes.

Au revoir
Dans ce cas, pourquoi mentir sur des détails insignifiants ? Pourquoi est-ce un argument récurrent chez les sédévacantistes ? Désolé, le sacrifice eucharistique ne sera jamais un point de détail dans la liturgie catholique.
il y a un an
Si un catho pouvait m'expliquer un truc

Selon le catéchisme l'offertoire serait un sacrifice non sanglant, mais on y présenterait le corps et le sang de Jésus.

Comment ca peut etre non sanglant du coup ?
il y a un an
:Pape_clope:
il y a un an
Beaucoup de blabla pour rien, il suffit d'ouvrir une bible pour avoir les réponses à toutes ces questions
:Black_Sun_badge:
:Badge_Ovni:
:Lulu_Royaliste:
Dieu nous a envoyé
il y a un an
Si un catho pouvait m'expliquer un truc

Selon le catéchisme l'offertoire serait un sacrifice non sanglant, mais on y présenterait le corps et le sang de Jésus.

Comment ca peut etre non sanglant du coup ?
Parce que le corps du Seigneur se présente sous les accidents du pain et du vin
il y a un an
Parce que le corps du Seigneur se présente sous les accidents du pain et du vin
oui je comprend ca,
mais pourquoi c'est non sanglant du coup ?
il y a un an
Beaucoup de blabla pour rien, il suffit d'ouvrir une bible pour avoir les réponses à toutes ces questions
La plupart de ce qui est exposé ici va a l'encontre du message de l'épître aux Hébreux si on lit les deux corpus (l'épître et les documents de l'op) littéralement.
il y a un an
Bravo pour ton topic sérieux l’auteur.
:face_risitas:


Je fav et je le lis quand je peux.
:face_risitas:


Et je pense que tu peux nous avouer que tu es Matthieu Lavagna
:face_risitas:
:les_juifs:
il y a un an
www.youtube.com https://www.youtube.com/l[...]STCv8XyFkDlr7t&t=1431
Adrien Abauzit s'exprime (23'51) :
À la base, la messe, c'est le renouvellement non sanglant du sacrifice de la Croix. Les modernistes, eux, vont nous dire : « Mais non ! La messe, c'est pas ça. La messe, c'est une assemblée eucharistique ou liturgique présidée par un prêtre. [...] Il n'y a plus aucune notion du sacrifice. »


Mais en quoi le fait de parler d'assemblée eucharistique implique que ce ne soit plus un sacrifice ? Si c'est une assemblée eucharistique, c'est justement bien un rassemblement destiné à recevoir le sacrifice eucharistique nom d'un cul
:Cash_2:
Pourquoi il se monte la tête tout seul alors que les textes n'ont jamais varié ?
:risi_chauve:


Institutio generalis de 1969 (pourtant citée par Abauzit), dès le deuxième paragraphe :
Il est donc de la plus grande importance que la célébration de la messe, c’est-à-dire de la Cène du Seigneur, soit réglée de telle façon que les ministres et les fidèles, y participant selon leur condition, en recueillent pleinement les fruits, que le Christ Seigneur a voulu nous faire obtenir en instituant le sacrifice eucharistique de son Corps et de son Sang, et en le confiant, comme le mémorial de sa passion et de sa résurrection, à l’Église, son Épouse bien-aimée.
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Institutio generalis de 1970 (pourtant citée par Abauzit) :
A la messe ou Cène du Seigneur, le peuple de Dieu est convoqué et rassemblé, sous la présidence du prêtre, qui représente la personne du Christ, pour célébrer le mémorial du Seigneur, ou sacrifice eucharistique. C’est pourquoi ce rassemblement local de la sainte Eglise réalise de façon éminente la promesse du Christ. [...] En effet, dans la célébration de la messe où est perpétué le sacrifice de la croix, le Christ est réellement présent dans l’assemblée elle-même réunie en son nom, dans la personne du ministre, dans sa parole et aussi, mais de façon substantielle et continuelle, sous les espèces eucharistiques.
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Lettre apostolique Desiderio desideravi, 2022 (pourtant citée par Abauzit) :
Participer au sacrifice eucharistique n’est pas un exploit personnel, comme si nous pouvions nous en vanter devant Dieu ou devant nos frères et sœurs. [...] Nous n’avons pas d’autre fierté que celle de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ (cf. Ga 6,14). La Liturgie n’a rien à voir avec un moralisme ascétique : c’est le don de la Pâque du Seigneur qui, accueilli avec docilité, rend notre vie nouvelle. [...] De dimanche en dimanche, la communion au Corps et au Sang du Christ veut faire de notre vie aussi un sacrifice agréable au Père, dans la communion fraternelle du partage, de l’accueil, du service. De dimanche en dimanche, l’énergie du Pain rompu nous soutient dans l’annonce de l’Évangile dans lequel se manifeste l’authenticité de notre célébration.
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Sacrée Congrégation pour la Doctrine de la foi, 1967, lettre au sujet de certaines erreurs modernistes :
De même, dans la manière de traiter la théologie des sacrements, certains éléments sont ou ignorés ou ne sont pas considérés suffisamment, surtout en ce qui concerne la Très Sainte Eucharistie. Au sujet de la présence réelle du Christ sous les espèces du pain et du vin, il en est qui dissertent en favorisant un symbolisme exagéré, comme si le pain et le vin n’étaient pas changés par la transsubstantiation au corps et au sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ, mais étaient simplement transférés à une certaine signification. Il en est aussi qui, au sujet de la messe, favorisent plus qu’il n’est juste l’idée d’agapes, au détriment de l’idée de sacrifice.
‏‎

Audience générale de Paul VI, 1969, sur le Novus Ordo qui va entrer en vigueur :
L'unité entre la Cène du Seigneur, le Sacrifice de la croix, le renouveau représentatif de l'un et de l'autre dans la Messe est affirmée et célébrée de manière inviolable dans le nouvel ordre, comme dans l'ancien. La Messe est et reste le souvenir de la Dernière Cène du Christ, dans laquelle le Seigneur, transformant le pain et le vin en son Corps et en son Sang, a institué le Sacrifice du Nouveau Testament, et a voulu que, par la vertu de son Sacerdoce, conférée aux Apôtres, a été renouvelée dans son identité, seulement offerte d'une manière différente, c'est-à-dire de manière exsangue et sacramentelle, en mémoire éternelle de Lui, jusqu'à son retour définitif. [...] Les conséquences prévues, ou plutôt souhaitées, sont celles de la participation [...] à la réalité mystique du sacrifice sacramentel et propitiatoire du Christ.
‏‎



On pourrait en citer mille, mais il suffit de terminer avec le document disposant de la plus haute autorité puisque ratifié lors du méchant deuxième concile œcuménique du Vatican (le terme de sacrifice y apparaît onze fois) :
Constitution liturgique Sacrosanctum Concilium, 1963 :
Notre Sauveur, à la dernière Cène, la nuit où il était livré, institua le sacrifice eucharistique de son Corps et de son Sang pour perpétuer le sacrifice de la croix au long des siècles, jusqu’à ce qu’il vienne, et pour confier ainsi à l’Église, son Épouse bien-aimée, le mémorial de sa mort et de sa résurrection : sacrement de l’amour, signe de l’unité, lien de la charité, banquet pascal dans lequel le Christ est mangé, l’âme est comblée de grâce, et le gage de la gloire future nous est donné.
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Les sédécandaulistes une explication ?
:risiouch:
Je suis non croyant et même moi je sais que le pain et le vin c'est symboliquement le sacrifice ultime, celui du fils de Dieu, qui remplace les sacrifices animaliers
:pote_de_ADlaurent:
Nous sommes un.
:Mindflayer:
il y a un an
oui je comprend ca,
mais pourquoi c'est non sanglant du coup ?
parce que le pain et le vin ça saignent pas
:avortin_anime:
Il est doux à tout âge de se laisser guider par la fantaisie.
il y a un an
Si un catho pouvait m'expliquer un truc

Selon le catéchisme l'offertoire serait un sacrifice non sanglant, mais on y présenterait le corps et le sang de Jésus.

Comment ca peut etre non sanglant du coup ?
C'est du sang Divin c'est spécial
:Black_Sun_badge:
:Badge_Ovni:
:Lulu_Royaliste:
Dieu nous a envoyé
il y a un an
@LePropheteAryen
La sacramentologie catholique, il faut un œil vraiment charitable pour rendre ca compatible avec Hebreux.
Les textes au-dessus peuvent être lues dans un sens compatible, mais comme toujours avec les textes des papes, ce n'est jamais le sens premier, il faut en jeter toutes les allégories et les parallélismes ronflants.

C'est peut-être moi qui suis autiste aussi, mais je préfère de loin les dogmatiques bien clairs.
il y a un an
@LePropheteAryen
La sacramentologie catholique, il faut un œil vraiment charitable pour rendre ca compatible avec Hebreux.
Les textes au-dessus peuvent être lues dans un sens compatible, mais comme toujours avec les textes des papes, ce n'est jamais le sens premier, il faut en jeter toutes les allégories et les parallélismes ronflants.

C'est peut-être moi qui suis autiste aussi, mais je préfère de loin les dogmatiques bien clairs.
Il faut lire la Bible et appliquer
:Black_Sun_badge:
:Badge_Ovni:
:Lulu_Royaliste:
Dieu nous a envoyé
il y a un an
Bravo pour ton topic sérieux l’auteur.
:face_risitas:


Je fav et je le lis quand je peux.
:face_risitas:


Et je pense que tu peux nous avouer que tu es Matthieu Lavagna
:face_risitas:
Je respecte Matthéo Lavania mais je suis ColRoulin, mon génie est singulier.
:Glandu:
il y a un an
Lavagna qui ragepost sur onche.org suite à son débat avec Abauzit
:nez2:
:les_juifs:
il y a un an
Je suis non croyant et même moi je sais que le pain et le vin c'est symboliquement le sacrifice ultime, celui du fils de Dieu, qui remplace les sacrifices animaliers
:pote_de_ADlaurent:
Symboliquement il a dit...
:risitas_en_feu:
il y a un an