L’Église catholique définit sept nouveaux péchés

La logique. Insulter le créateur suprême de toute chose et ne pas se faire aimer par lui est la dernière des choses qu'un être raisonné voudrait.

Je te parle que ton monde d'athée est ce qui engendre l'enfer dans lequel nous nous trouvons, où chacun peut laisser libre cours à sa morale de dégénéré

Ne par leur donner ta maison, ta femme et ta fille

Je ne suis pas pêcheur, juste fatigué

Ne pas leur donner une villa, une porche Carrera neuve, un million d'€ et dix femmes blondes vierges dès leur arrivée sur le sol fronçais.

Ne pas leur donner une villa, une porche Carrera neuve, un million d'€ et dix femmes blondes vierges dès leur arrivée sur le sol fronçais.

Tu sais ce qu'est une preuve ?

Spoiler : Ta réponse n'en est pas une.

C'est terrible cette maladie qu'est la zététique. Vouloir des preuves physiques pour tout, ne pas être capable de raisonner sans une évidence palpable, n'avoir plus aucun moyen de penser par soit même par la raison et la logique.
Dieu existe car il est logique qu'il existe. Je peux débattre avec des agnostiques qui croient en Dieu mais pas aux dogmes, cependant je ne peux pas avec des athées car vous n'êtes pas doué de réflexion par vous-même.

Depuis Aristote, les savants ont toujours démontré la nécessite de l'existence d'un Dieu unique. Mais évidemment, pour quelqu'un qui attend la preuve scientifique, tu n'est pas capable de comprendre cela

L’Église catholique définit sept nouveaux péchés :

Le « péché contre la création, contre les peuples indigènes, contre les migrants »
Sept cardinaux ont lu des textes d'explication que le pape avait rédigés pour ces sept nouveaux péchés. Premier de cette liste : le « péché contre la paix ». Vient ensuite le « péché contre la création, contre les peuples indigènes, contre les migrants ». Selon Le Figaro, c'est le cardinal Michael Czerny qui a demandé « pardon » et dit sa « honte » dès lors qu'ils n'ont « pas reconnu le droit et la dignité de chaque personne humaine, en la discriminant et en l'exploitant – je pense en particulier aux peuples indigènes – et pour les moments où nous avons été complices de systèmes qui ont favorisé l'esclavage et le colonialisme ».

« Je demande pardon, avec un sentiment de honte, pour avoir pris part à la mondialisation de l'indifférence face aux tragédies qui font passer les routes maritimes et les frontières entre les nations d'un chemin d'espoir à un chemin de mort pour tant de migrants. La valeur de la personne est toujours plus grande que celle de la frontière », a-t-il souligné, portant autour du cou une croix qui lui avait été offerte par des réfugiés à Lampedusa.

Le « péché contre les femmes, la famille, les jeunes »
À quoi s'ajoutent le « péché d'abus » et le « péché contre les femmes, la famille, les jeunes ». « Je demande pardon au nom de toute l'Église, en particulier de nous, les hommes, en ayant honte de toutes les fois où nous n'avons pas reconnu et défendu la dignité des femmes, où nous les avons rendues muettes et soumises, et bien souvent exploitées, en particulier dans la condition de la vie consacrée », a dit le cardinal irlandais Kevin Joseph Farrell, en référence au scandale des religieuses abusées par des prêtres, notamment en Afrique.

Cinquième péché évoqué, celui « de la doctrine utilisée comme des pierres à jeter ». Le cardinal argentin Victor Manuel Fernandez a ainsi demandé « pardon » et dit sa « honte » pour « toutes les fois où, dans l'Église, en particulier nous, les pasteurs, à qui est confiée la tâche de confirmer nos frères et sœurs dans la foi, nous n'avons pas su sauvegarder et proposer l'Évangile comme une source vivante de nouveauté éternelle, en « l'endoctrinant » et en risquant de le réduire à un tas de pierres mortes à jeter sur les autres ».


Enfin, le « péché contre la pauvreté » et le « péché contre la synodalité, le manque d'écoute, de communion et de participation de tous » ont été cités.


https://www.lepoint.fr/so[...]02-10-2024-2571743_23.php

Ils veulent vraiment que je devienne sedevacantiste ces fils de pute

L’Église catholique définit sept nouveaux péchés :

Le « péché contre la création, contre les peuples indigènes, contre les migrants »
Sept cardinaux ont lu des textes d'explication que le pape avait rédigés pour ces sept nouveaux péchés. Premier de cette liste : le « péché contre la paix ». Vient ensuite le « péché contre la création, contre les peuples indigènes, contre les migrants ». Selon Le Figaro, c'est le cardinal Michael Czerny qui a demandé « pardon » et dit sa « honte » dès lors qu'ils n'ont « pas reconnu le droit et la dignité de chaque personne humaine, en la discriminant et en l'exploitant – je pense en particulier aux peuples indigènes – et pour les moments où nous avons été complices de systèmes qui ont favorisé l'esclavage et le colonialisme ».

« Je demande pardon, avec un sentiment de honte, pour avoir pris part à la mondialisation de l'indifférence face aux tragédies qui font passer les routes maritimes et les frontières entre les nations d'un chemin d'espoir à un chemin de mort pour tant de migrants. La valeur de la personne est toujours plus grande que celle de la frontière », a-t-il souligné, portant autour du cou une croix qui lui avait été offerte par des réfugiés à Lampedusa.

Le « péché contre les femmes, la famille, les jeunes »
À quoi s'ajoutent le « péché d'abus » et le « péché contre les femmes, la famille, les jeunes ». « Je demande pardon au nom de toute l'Église, en particulier de nous, les hommes, en ayant honte de toutes les fois où nous n'avons pas reconnu et défendu la dignité des femmes, où nous les avons rendues muettes et soumises, et bien souvent exploitées, en particulier dans la condition de la vie consacrée », a dit le cardinal irlandais Kevin Joseph Farrell, en référence au scandale des religieuses abusées par des prêtres, notamment en Afrique.

Cinquième péché évoqué, celui « de la doctrine utilisée comme des pierres à jeter ». Le cardinal argentin Victor Manuel Fernandez a ainsi demandé « pardon » et dit sa « honte » pour « toutes les fois où, dans l'Église, en particulier nous, les pasteurs, à qui est confiée la tâche de confirmer nos frères et sœurs dans la foi, nous n'avons pas su sauvegarder et proposer l'Évangile comme une source vivante de nouveauté éternelle, en « l'endoctrinant » et en risquant de le réduire à un tas de pierres mortes à jeter sur les autres ».


Enfin, le « péché contre la pauvreté » et le « péché contre la synodalité, le manque d'écoute, de communion et de participation de tous » ont été cités.


https://www.lepoint.fr/so[...]02-10-2024-2571743_23.php

Les cathos, votre excuses pour ne pas devenir sédévacandiste?

La secte moderniste pousse les catholique à comprendre l'imposture dans laquelle nous vivons. Bergoglio n'est pas pape.

On attend quoi pour foutre cette religion au fond des chiottes?

Les cathos, votre excuses pour ne pas devenir sédévacandiste?