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A force de rendre "progressiste" quelque chose voué à rester traditionnel, ca disparaît noyé dans le modernisme ca il n'y pas de différences et de valeurs conservées pour se démarquer.
:Ellie_cafe:
:Jennifer_LeSaintCul:
:Rou_gif_66:
:Asiat_Cute:
:Rou_gif_65:
:Margot_LeSaintCul:
il y a un an
Pas exactement non plus ça fait que quelques décennies que la religion chrétienne est un prétexte au progressisme.
En attendant les gens aujourd'hui sont athees dans leur grande majorité et on a jamais autant été GR, donc l'argument que c'est de la faute du christianisme ne tiens pas.

Les seuls pays à peut-prêts conservateurs aujd sont l'Italie, l'Espagne, le Portugal et les pays de l'est qui sont catholiques.
Espagne c'est la gauche au pouvoir.
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il y a un an
Ca veut rien dire
Euh si ça veut dire que le catholicisme est en voie d'extinction dans notre pays et se fera remplacer par l'islam ou une autre branche du christianisme.
:NNNhutts1:
il y a un an
Il n'y a pas d'interdiction, d'ailleurs, ces "péchés" sont dérivés de l'interprétation de "aime ton prochain comme toi-même", par contre, doctrinalement, cela pose problème, car certains péchés, comme d'être contre les migrants, place ipso facto presque toute l'Eglise dans une position fâcheuse, car on pourra jeter l'anathème sur toute personne allant contre l'accueil des migrants.
:GateauDeLuxeFatigue:
Une autorité catholique normalement sait que prochain = proche, donc famille, amis, voisin et non le monde entier. Donc déjà s'il invente un péché à partir d'une interprétation fausse...
:Yodastone:
ad caseum muliebrem Image
il y a un an
Une autorité catholique normalement sait que prochain = proche, donc famille, amis, voisin et non le monde entier. Donc déjà s'il invente un péché à partir d'une interprétation fausse...
:Yodastone:
C'est ça, l'universalité du catholicisme ne concerne pas ceux qui sont hostiles au catholicisme, on doit les aimer pour les convertir, on peut accepter le martyr pour soi, mais pas forcer les autres à subir la violence de l'étranger
:GateauDeLuxeFatigue:
il y a un an
Faut vraiment être un attardé pour suivre ces religions abrahamerde de boufon
:perenoel:
Le Phoenix renait toujours de son 410 !
il y a un an
ça liste des pêchés mais c'est même pas foutu d'enseigner le catéchisme aux jeunes croyants, ils se foutent de la gueule de qui à nous faire croire que ce sont pas des putains d'imposteurs ces cons ?
il y a un an
Asa
Asa
1 an
ça liste des pêchés mais c'est même pas foutu d'enseigner le catéchisme aux jeunes croyants, ils se foutent de la gueule de qui à nous faire croire que ce sont pas des putains d'imposteurs ces cons ?
Les nouveaux saints se trouvent à l'extrême gauche
:sodiumFatigue:

On pourra bientôt les canoniser à ce rythme
:GateauDeLuxeFatigue:
il y a un an
Je ne sais toujours pas si c est un pape ou un antipape

Mais vivement qu il rejoigne le Seigneur au paradis et qu il libère la place, ce ne sera pas difficile de mieux gouverner pour son successeur
il y a un an
Faut vraiment être un attardé pour suivre ces religions abrahamerde de boufon
:perenoel:
Faut vraiment être un débile profond pour amalgamer 3 religions qui n ont RIEN en commun
il y a un an
ICHTUS
ICHTUS
1 an
Faut vraiment être un débile profond pour amalgamer 3 religions qui n ont RIEN en commun
elles en tout en commun de sucer des chibres de cafard pour recevoir le saint godet géant dans leur gros cul de vermine en disant merci maitre et bander pour ça sinon ils mentent comme des sales serpents venimeux à tout les autres de leur putain de secte de trisomique sinon gros caca nerveux faché satan enfer pipi

Autrement plus sérieusement à tout hasards, toute issue de la même lie de l'hummanité appelée abrahamisme et son pacte de merde avec des aliens, le tout sous fonds de population esclaves où la mentalité de serpillère pour les dieux faché pas gentil, c'est transmise d'annunaki à elohim à el à yahweh/allah/dieu abrahamique
:perenoel:
Le Phoenix renait toujours de son 410 !
il y a un an
Si pas déjà dit sur ce topic probablement prétexte à boucle de débat de la part de l'auteur, un pape ne peut errer en matière de foi.

S'ensuit débat sur l'ex cathedra
Qui êtes vous pour juger libre examen
Exemples malhonnêtes de papes ayant affirmé de faux dogmes salir d'anciens papes
Etc etc
Blog et discord catholique/actu/prophéties : https://tribulatioprophetica.wordpress.com/ - https://discord.gg/XYrAfrk689
il y a un an
il y a un an
la seule vraie boucle d'éclairage dans le marasme nauséabond en bas:

Le chemin de la vie doit embrasser à la fois le céleste et le démoniaque ; les humains ne peuvent pas suivre le même chemin que le divin. En effet, la vie transcende le divin grâce à sa liberté. Le divin est un absolu, et un absolu ne peut être tout ou n'importe quoi—sinon, il cesserait d'être absolu. Il ne peut être que ce qu’il est, un système immuable et constant, voué à répéter les mêmes fonctions indépendamment du temps, incapable d’évoluer. Le but de la vie, cependant, est d'enrichir l'information et de chercher sa propre vérité. Alors que l'univers est déterministe, l'information et l'âme, prises isolément, existent en dehors du temps et de l'espace. Ici, « information » se réfère à un concept métaphysique, quelque chose qui n'est pas défini par l'espace ou le temps. La vie offre une rare opportunité pour que l'information de l'âme change en expérimentant le temps et le monde physique. Bien que le divin soit une constante absolue en dehors du temps et de l'espace, la vie introduit le changement par le libre arbitre, bien qu’il soit limité par la nature immuable et divine de l'âme.
.
Certains disent que la souffrance est une punition, un défi à surmonter, une conséquence des actions, ou une illusion née du désir, mais toutes ces perspectives ne parviennent pas à reconnaître une vérité plus profonde—elles « ne voient pas derrière la montagne ». La souffrance n'est pas une question de moralité ; elle est une nécessité fondamentale de l'ordre naturel. Ce que les gens qualifient de "mal" provient de leur propre peur et hypocrisie—une incapacité à comprendre cet ordre naturel. À l'échelle microscopique et macroscopique, chaque respiration prise par un être vivant entraîne la destruction de millions d'organismes en une fraction de seconde. En ce sens, les êtres vivants ne sont pas différents des ressources non organiques, consommés et transformés pour soutenir d'autres formes de vie dans le cycle de la survie. Aussi cruelle que puisse paraître leur mort, elle sert un but en nourrissant la vie des autres, et la souffrance favorise leur croissance. L'inconfort provoqué par la souffrance favorise la croissance, tant sur le plan biologique que sur le plan de la conscience. L'information d'un individu se développe rapidement à travers la souffrance—lorsque le temps semble passer le plus vite en raison de l'afflux de nouvelles informations—bénéficiant au système vivant dans son ensemble et à l'évolution des êtres.
.
Il n'y a pas de justice dans le monde naturel, seulement les forts qui dominent les faibles. Les formes de vie sont intrinsèquement liées à la cruauté, animées par la volonté de causer de la souffrance. De la même manière qu'une forme de vie plus simple tue, parasite ou consomme les autres, des créatures plus évoluées, comme les dauphins ou les orques, éprouvent un plaisir sadique en jouant avec leur proie. Cette volonté d'imposer leur âme et leur esprit au monde physique ne fait que croître à mesure que leur capacité cognitive se développe. À mesure que les êtres deviennent plus capables de traiter l'information, leur capacité de cruauté et leur complexité augmentent. La vie et l'ordre naturel créent des organismes de plus en plus complexes, égoïstes et conscients d'eux-mêmes, propageant plus de destruction et de souffrance, et il n'y a rien de plus naturel que cela. La vie et la mort font partie du cycle naturel, inhérent à tous les êtres vivants.
.
À la mort, l'âme s'intègre dans un champ d'information où la mémoire et l'expérience persistent. Ce champ, influencé par la présence de la vie, devient de plus en plus complexe, générant de la négentropie. Avec le temps, la vie devient plus complexe, et des êtres de plus en plus conscients d'eux-mêmes apparaissent. Ces êtres, à travers leurs expériences, accélèrent cette complexité dans une boucle de rétroaction positive. Le terme « conscients d'eux-mêmes » se réfère ici à des degrés d'intelligence et à la capacité de s'analyser eux-mêmes et leur environnement, des êtres plus avancés démontrant des niveaux de conscience plus élevés. Ce système de vie fonctionne sur l'équilibre. On ne peut pas trop prendre sans perturber l'équilibre du système. Si trop de personnes se voient refuser l'accès au système, il réagira—non pas comme une punition, mais comme une correction nécessaire pour préserver le cycle continu de la vie, de la mort et de l'enrichissement de l'information. Le système peut contrôler les génomes et la vie elle-même, en influençant la fertilité, en modifiant les aspects physiques des espèces et en ajustant la létalité des agents pathogènes. Ces ajustements peuvent faire progresser les espèces vers des niveaux cognitifs plus élevés ou agir comme des mécanismes de régulation. La sélection naturelle n'est pas uniquement motivée par des pressions environnementales.
.
Pour que le système fonctionne, l'ordre—la négentropie—doit exister dans un univers gouverné par l'entropie. Les êtres vivants doivent coopérer pour maintenir le fonctionnement du système. La compassion, l'empathie et la bienveillance émergent comme des adaptations biologiques introduites par le système pour empêcher la vie de s'autodétruire par égoïsme. Cependant, ces émotions ne sont pas les seules manières par lesquelles les êtres interagissent au sein de ce champ d'information. Toutes les émotions, à divers degrés, peuvent servir de canaux de connexion entre les créatures vivantes. Les individus, étant interconnectés dans ce champ, sont capables de ressentir et même de percevoir les états émotionnels des autres. Dans certains cas, un individu peut même projeter une image mentale dans l'esprit d'un autre, comme s'il transmettait directement des informations à travers ce réseau émotionnel partagé.
.
De plus, cette interconnexion est évidente dans la nature, où les oiseaux ou les insectes présentent des comportements collectifs complexes—comme les vols d'oiseaux formant des formes dynamiques précises—notamment parce que leurs instincts sont alignés avec le flux d'information dans ce champ partagé. Ces démonstrations naturelles de coordination ne sont pas aléatoires ; elles se produisent parce que les êtres vivants, même à un niveau primitif, sont connectés à cette structure sous-jacente qui permet l'échange d'information, guidant à la fois les comportements simples et complexes.
.
Ces émotions et ces connexions instinctuelles ne préservent pas seulement la vie, mais elles servent aussi de moyens pour les êtres vivants d'interagir avec le champ d'information, offrant des avantages tels qu'une guérison plus rapide et contribuant à la création de négentropie. En ce sens, les émotions—qu'il s'agisse de l'empathie, de la peur ou même de la joie—deviennent des outils qui favorisent l'équilibre nécessaire à la survie et au bon fonctionnement du système.

Les êtres vivants sont intrinsèquement incapables d'incarner le divin. Ceux qui prétendent le faire sont hypocrites, se cachant derrière des morales arbitraires tout en luttant avec les conflits internes et les désirs intrinsèques à l'ordre naturel auquel ils appartiennent réellement. Ils professent suivre le chemin du divin, s'efforçant de maintenir un mode de vie fragile, mais en vérité, ils ne peuvent atteindre ce qu'ils revendiquent dans les limites du monde naturel. Leur réconfort vient d'une vision fausse de la réalité—des concepts tels que le karma, le péché, la rédemption, les démons, le paradis, l'enfer etc. Ce sont des illusions utilisées pour justifier leur souffrance ou comme des récompenses pour celle-ci alors qu'aucun de ces systèmes n'existe. Ils échouent à réaliser que la vie est un système d'échange de ressources, et tous les bénéfices qu'ils obtiennent proviennent de la vie elle-même, non de ce qui vient après. Pour qu'un humain régresse et suive le chemin de la divinité, il devrait être totalement isolé du monde naturel depuis la naissance, vivant dans un coma toute sa vie, immuable et inconscient de son propre corps. Ceux qui vivent seront inévitablement submergés par leurs désirs, transformés par l'influence des autres et du monde, comme cela est prévu dans l'ordre naturel.
Le Phoenix renait toujours de son 410 !
il y a un an
Vivement le péché de se positionner contre l'athéisme
:risinoeud:
Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a un an
le pape est un fils de pute de sataniste
:chakrugir:
:vide_gris:
il y a un an
elles en tout en commun de sucer des chibres de cafard pour recevoir le saint godet géant dans leur gros cul de vermine en disant merci maitre et bander pour ça sinon ils mentent comme des sales serpents venimeux à tout les autres de leur putain de secte de trisomique sinon gros caca nerveux faché satan enfer pipi

Autrement plus sérieusement à tout hasards, toute issue de la même lie de l'hummanité appelée abrahamisme et son pacte de merde avec des aliens, le tout sous fonds de population esclaves où la mentalité de serpillère pour les dieux faché pas gentil, c'est transmise d'annunaki à elohim à el à yahweh/allah/dieu abrahamique
:perenoel:
L'univers a une cause .
Dieu est forcément un .
Ce dieu est tout puissant, donc sans besoin . Il a créé le monde par don gratuit .
La religion est ce qui permet à l'homme de parler à Dieu.
Dieu peut tout pardonner à l'homme pour qu'il se relève .
il y a un an
L'univers a une cause .
Dieu est forcément un .
Ce dieu est tout puissant, donc sans besoin . Il a créé le monde par don gratuit .
La religion est ce qui permet à l'homme de parler à Dieu.
Dieu peut tout pardonner à l'homme pour qu'il se relève .
lis ça et apprends

Le chemin de la vie doit embrasser à la fois le céleste et le démoniaque ; les humains ne peuvent pas suivre le même chemin que le divin. En effet, la vie transcende le divin grâce à sa liberté. Le divin est un absolu, et un absolu ne peut être tout ou n'importe quoi—sinon, il cesserait d'être absolu. Il ne peut être que ce qu’il est, un système immuable et constant, voué à répéter les mêmes fonctions indépendamment du temps, incapable d’évoluer. Le but de la vie, cependant, est d'enrichir l'information et de chercher sa propre vérité. Alors que l'univers est déterministe, l'information et l'âme, prises isolément, existent en dehors du temps et de l'espace. Ici, « information » se réfère à un concept métaphysique, quelque chose qui n'est pas défini par l'espace ou le temps. La vie offre une rare opportunité pour que l'information de l'âme change en expérimentant le temps et le monde physique. Bien que le divin soit une constante absolue en dehors du temps et de l'espace, la vie introduit le changement par le libre arbitre, bien qu’il soit limité par la nature immuable et divine de l'âme.
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Certains disent que la souffrance est une punition, un défi à surmonter, une conséquence des actions, ou une illusion née du désir, mais toutes ces perspectives ne parviennent pas à reconnaître une vérité plus profonde—elles « ne voient pas derrière la montagne ». La souffrance n'est pas une question de moralité ; elle est une nécessité fondamentale de l'ordre naturel. Ce que les gens qualifient de "mal" provient de leur propre peur et hypocrisie—une incapacité à comprendre cet ordre naturel. À l'échelle microscopique et macroscopique, chaque respiration prise par un être vivant entraîne la destruction de millions d'organismes en une fraction de seconde. En ce sens, les êtres vivants ne sont pas différents des ressources non organiques, consommés et transformés pour soutenir d'autres formes de vie dans le cycle de la survie. Aussi cruelle que puisse paraître leur mort, elle sert un but en nourrissant la vie des autres, et la souffrance favorise leur croissance. L'inconfort provoqué par la souffrance favorise la croissance, tant sur le plan biologique que sur le plan de la conscience. L'information d'un individu se développe rapidement à travers la souffrance—lorsque le temps semble passer le plus vite en raison de l'afflux de nouvelles informations—bénéficiant au système vivant dans son ensemble et à l'évolution des êtres.
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Il n'y a pas de justice dans le monde naturel, seulement les forts qui dominent les faibles. Les formes de vie sont intrinsèquement liées à la cruauté, animées par la volonté de causer de la souffrance. De la même manière qu'une forme de vie plus simple tue, parasite ou consomme les autres, des créatures plus évoluées, comme les dauphins ou les orques, éprouvent un plaisir sadique en jouant avec leur proie. Cette volonté d'imposer leur âme et leur esprit au monde physique ne fait que croître à mesure que leur capacité cognitive se développe. À mesure que les êtres deviennent plus capables de traiter l'information, leur capacité de cruauté et leur complexité augmentent. La vie et l'ordre naturel créent des organismes de plus en plus complexes, égoïstes et conscients d'eux-mêmes, propageant plus de destruction et de souffrance, et il n'y a rien de plus naturel que cela. La vie et la mort font partie du cycle naturel, inhérent à tous les êtres vivants.
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À la mort, l'âme s'intègre dans un champ d'information où la mémoire et l'expérience persistent. Ce champ, influencé par la présence de la vie, devient de plus en plus complexe, générant de la négentropie. Avec le temps, la vie devient plus complexe, et des êtres de plus en plus conscients d'eux-mêmes apparaissent. Ces êtres, à travers leurs expériences, accélèrent cette complexité dans une boucle de rétroaction positive. Le terme « conscients d'eux-mêmes » se réfère ici à des degrés d'intelligence et à la capacité de s'analyser eux-mêmes et leur environnement, des êtres plus avancés démontrant des niveaux de conscience plus élevés. Ce système de vie fonctionne sur l'équilibre. On ne peut pas trop prendre sans perturber l'équilibre du système. Si trop de personnes se voient refuser l'accès au système, il réagira—non pas comme une punition, mais comme une correction nécessaire pour préserver le cycle continu de la vie, de la mort et de l'enrichissement de l'information. Le système peut contrôler les génomes et la vie elle-même, en influençant la fertilité, en modifiant les aspects physiques des espèces et en ajustant la létalité des agents pathogènes. Ces ajustements peuvent faire progresser les espèces vers des niveaux cognitifs plus élevés ou agir comme des mécanismes de régulation. La sélection naturelle n'est pas uniquement motivée par des pressions environnementales.
.
Pour que le système fonctionne, l'ordre—la négentropie—doit exister dans un univers gouverné par l'entropie. Les êtres vivants doivent coopérer pour maintenir le fonctionnement du système. La compassion, l'empathie et la bienveillance émergent comme des adaptations biologiques introduites par le système pour empêcher la vie de s'autodétruire par égoïsme. Cependant, ces émotions ne sont pas les seules manières par lesquelles les êtres interagissent au sein de ce champ d'information. Toutes les émotions, à divers degrés, peuvent servir de canaux de connexion entre les créatures vivantes. Les individus, étant interconnectés dans ce champ, sont capables de ressentir et même de percevoir les états émotionnels des autres. Dans certains cas, un individu peut même projeter une image mentale dans l'esprit d'un autre, comme s'il transmettait directement des informations à travers ce réseau émotionnel partagé.
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De plus, cette interconnexion est évidente dans la nature, où les oiseaux ou les insectes présentent des comportements collectifs complexes—comme les vols d'oiseaux formant des formes dynamiques précises—notamment parce que leurs instincts sont alignés avec le flux d'information dans ce champ partagé. Ces démonstrations naturelles de coordination ne sont pas aléatoires ; elles se produisent parce que les êtres vivants, même à un niveau primitif, sont connectés à cette structure sous-jacente qui permet l'échange d'information, guidant à la fois les comportements simples et complexes.
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Ces émotions et ces connexions instinctuelles ne préservent pas seulement la vie, mais elles servent aussi de moyens pour les êtres vivants d'interagir avec le champ d'information, offrant des avantages tels qu'une guérison plus rapide et contribuant à la création de négentropie. En ce sens, les émotions—qu'il s'agisse de l'empathie, de la peur ou même de la joie—deviennent des outils qui favorisent l'équilibre nécessaire à la survie et au bon fonctionnement du système.

Les êtres vivants sont intrinsèquement incapables d'incarner le divin. Ceux qui prétendent le faire sont hypocrites, se cachant derrière des morales arbitraires tout en luttant avec les conflits internes et les désirs intrinsèques à l'ordre naturel auquel ils appartiennent réellement. Ils professent suivre le chemin du divin, s'efforçant de maintenir un mode de vie fragile, mais en vérité, ils ne peuvent atteindre ce qu'ils revendiquent dans les limites du monde naturel. Leur réconfort vient d'une vision fausse de la réalité—des concepts tels que le karma, le péché, la rédemption, les démons, le paradis, l'enfer etc. Ce sont des illusions utilisées pour justifier leur souffrance ou comme des récompenses pour celle-ci alors qu'aucun de ces systèmes n'existe. Ils échouent à réaliser que la vie est un système d'échange de ressources, et tous les bénéfices qu'ils obtiennent proviennent de la vie elle-même, non de ce qui vient après. Pour qu'un humain régresse et suive le chemin de la divinité, il devrait être totalement isolé du monde naturel depuis la naissance, vivant dans un coma toute sa vie, immuable et inconscient de son propre corps. Ceux qui vivent seront inévitablement submergés par leurs désirs, transformés par l'influence des autres et du monde, comme cela est prévu dans l'ordre naturel.
Le Phoenix renait toujours de son 410 !
il y a un an
lis ça et apprends

Le chemin de la vie doit embrasser à la fois le céleste et le démoniaque ; les humains ne peuvent pas suivre le même chemin que le divin. En effet, la vie transcende le divin grâce à sa liberté. Le divin est un absolu, et un absolu ne peut être tout ou n'importe quoi—sinon, il cesserait d'être absolu. Il ne peut être que ce qu’il est, un système immuable et constant, voué à répéter les mêmes fonctions indépendamment du temps, incapable d’évoluer. Le but de la vie, cependant, est d'enrichir l'information et de chercher sa propre vérité. Alors que l'univers est déterministe, l'information et l'âme, prises isolément, existent en dehors du temps et de l'espace. Ici, « information » se réfère à un concept métaphysique, quelque chose qui n'est pas défini par l'espace ou le temps. La vie offre une rare opportunité pour que l'information de l'âme change en expérimentant le temps et le monde physique. Bien que le divin soit une constante absolue en dehors du temps et de l'espace, la vie introduit le changement par le libre arbitre, bien qu’il soit limité par la nature immuable et divine de l'âme.
.
Certains disent que la souffrance est une punition, un défi à surmonter, une conséquence des actions, ou une illusion née du désir, mais toutes ces perspectives ne parviennent pas à reconnaître une vérité plus profonde—elles « ne voient pas derrière la montagne ». La souffrance n'est pas une question de moralité ; elle est une nécessité fondamentale de l'ordre naturel. Ce que les gens qualifient de "mal" provient de leur propre peur et hypocrisie—une incapacité à comprendre cet ordre naturel. À l'échelle microscopique et macroscopique, chaque respiration prise par un être vivant entraîne la destruction de millions d'organismes en une fraction de seconde. En ce sens, les êtres vivants ne sont pas différents des ressources non organiques, consommés et transformés pour soutenir d'autres formes de vie dans le cycle de la survie. Aussi cruelle que puisse paraître leur mort, elle sert un but en nourrissant la vie des autres, et la souffrance favorise leur croissance. L'inconfort provoqué par la souffrance favorise la croissance, tant sur le plan biologique que sur le plan de la conscience. L'information d'un individu se développe rapidement à travers la souffrance—lorsque le temps semble passer le plus vite en raison de l'afflux de nouvelles informations—bénéficiant au système vivant dans son ensemble et à l'évolution des êtres.
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Il n'y a pas de justice dans le monde naturel, seulement les forts qui dominent les faibles. Les formes de vie sont intrinsèquement liées à la cruauté, animées par la volonté de causer de la souffrance. De la même manière qu'une forme de vie plus simple tue, parasite ou consomme les autres, des créatures plus évoluées, comme les dauphins ou les orques, éprouvent un plaisir sadique en jouant avec leur proie. Cette volonté d'imposer leur âme et leur esprit au monde physique ne fait que croître à mesure que leur capacité cognitive se développe. À mesure que les êtres deviennent plus capables de traiter l'information, leur capacité de cruauté et leur complexité augmentent. La vie et l'ordre naturel créent des organismes de plus en plus complexes, égoïstes et conscients d'eux-mêmes, propageant plus de destruction et de souffrance, et il n'y a rien de plus naturel que cela. La vie et la mort font partie du cycle naturel, inhérent à tous les êtres vivants.
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À la mort, l'âme s'intègre dans un champ d'information où la mémoire et l'expérience persistent. Ce champ, influencé par la présence de la vie, devient de plus en plus complexe, générant de la négentropie. Avec le temps, la vie devient plus complexe, et des êtres de plus en plus conscients d'eux-mêmes apparaissent. Ces êtres, à travers leurs expériences, accélèrent cette complexité dans une boucle de rétroaction positive. Le terme « conscients d'eux-mêmes » se réfère ici à des degrés d'intelligence et à la capacité de s'analyser eux-mêmes et leur environnement, des êtres plus avancés démontrant des niveaux de conscience plus élevés. Ce système de vie fonctionne sur l'équilibre. On ne peut pas trop prendre sans perturber l'équilibre du système. Si trop de personnes se voient refuser l'accès au système, il réagira—non pas comme une punition, mais comme une correction nécessaire pour préserver le cycle continu de la vie, de la mort et de l'enrichissement de l'information. Le système peut contrôler les génomes et la vie elle-même, en influençant la fertilité, en modifiant les aspects physiques des espèces et en ajustant la létalité des agents pathogènes. Ces ajustements peuvent faire progresser les espèces vers des niveaux cognitifs plus élevés ou agir comme des mécanismes de régulation. La sélection naturelle n'est pas uniquement motivée par des pressions environnementales.
.
Pour que le système fonctionne, l'ordre—la négentropie—doit exister dans un univers gouverné par l'entropie. Les êtres vivants doivent coopérer pour maintenir le fonctionnement du système. La compassion, l'empathie et la bienveillance émergent comme des adaptations biologiques introduites par le système pour empêcher la vie de s'autodétruire par égoïsme. Cependant, ces émotions ne sont pas les seules manières par lesquelles les êtres interagissent au sein de ce champ d'information. Toutes les émotions, à divers degrés, peuvent servir de canaux de connexion entre les créatures vivantes. Les individus, étant interconnectés dans ce champ, sont capables de ressentir et même de percevoir les états émotionnels des autres. Dans certains cas, un individu peut même projeter une image mentale dans l'esprit d'un autre, comme s'il transmettait directement des informations à travers ce réseau émotionnel partagé.
.
De plus, cette interconnexion est évidente dans la nature, où les oiseaux ou les insectes présentent des comportements collectifs complexes—comme les vols d'oiseaux formant des formes dynamiques précises—notamment parce que leurs instincts sont alignés avec le flux d'information dans ce champ partagé. Ces démonstrations naturelles de coordination ne sont pas aléatoires ; elles se produisent parce que les êtres vivants, même à un niveau primitif, sont connectés à cette structure sous-jacente qui permet l'échange d'information, guidant à la fois les comportements simples et complexes.
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Ces émotions et ces connexions instinctuelles ne préservent pas seulement la vie, mais elles servent aussi de moyens pour les êtres vivants d'interagir avec le champ d'information, offrant des avantages tels qu'une guérison plus rapide et contribuant à la création de négentropie. En ce sens, les émotions—qu'il s'agisse de l'empathie, de la peur ou même de la joie—deviennent des outils qui favorisent l'équilibre nécessaire à la survie et au bon fonctionnement du système.

Les êtres vivants sont intrinsèquement incapables d'incarner le divin. Ceux qui prétendent le faire sont hypocrites, se cachant derrière des morales arbitraires tout en luttant avec les conflits internes et les désirs intrinsèques à l'ordre naturel auquel ils appartiennent réellement. Ils professent suivre le chemin du divin, s'efforçant de maintenir un mode de vie fragile, mais en vérité, ils ne peuvent atteindre ce qu'ils revendiquent dans les limites du monde naturel. Leur réconfort vient d'une vision fausse de la réalité—des concepts tels que le karma, le péché, la rédemption, les démons, le paradis, l'enfer etc. Ce sont des illusions utilisées pour justifier leur souffrance ou comme des récompenses pour celle-ci alors qu'aucun de ces systèmes n'existe. Ils échouent à réaliser que la vie est un système d'échange de ressources, et tous les bénéfices qu'ils obtiennent proviennent de la vie elle-même, non de ce qui vient après. Pour qu'un humain régresse et suive le chemin de la divinité, il devrait être totalement isolé du monde naturel depuis la naissance, vivant dans un coma toute sa vie, immuable et inconscient de son propre corps. Ceux qui vivent seront inévitablement submergés par leurs désirs, transformés par l'influence des autres et du monde, comme cela est prévu dans l'ordre naturel.
J'ai pas lu + " personne n'ira vers le père sans moi "
il y a un an
la seule vraie boucle d'éclairage dans le marasme nauséabond en bas:

Le chemin de la vie doit embrasser à la fois le céleste et le démoniaque ; les humains ne peuvent pas suivre le même chemin que le divin. En effet, la vie transcende le divin grâce à sa liberté. Le divin est un absolu, et un absolu ne peut être tout ou n'importe quoi—sinon, il cesserait d'être absolu. Il ne peut être que ce qu’il est, un système immuable et constant, voué à répéter les mêmes fonctions indépendamment du temps, incapable d’évoluer. Le but de la vie, cependant, est d'enrichir l'information et de chercher sa propre vérité. Alors que l'univers est déterministe, l'information et l'âme, prises isolément, existent en dehors du temps et de l'espace. Ici, « information » se réfère à un concept métaphysique, quelque chose qui n'est pas défini par l'espace ou le temps. La vie offre une rare opportunité pour que l'information de l'âme change en expérimentant le temps et le monde physique. Bien que le divin soit une constante absolue en dehors du temps et de l'espace, la vie introduit le changement par le libre arbitre, bien qu’il soit limité par la nature immuable et divine de l'âme.
.
Certains disent que la souffrance est une punition, un défi à surmonter, une conséquence des actions, ou une illusion née du désir, mais toutes ces perspectives ne parviennent pas à reconnaître une vérité plus profonde—elles « ne voient pas derrière la montagne ». La souffrance n'est pas une question de moralité ; elle est une nécessité fondamentale de l'ordre naturel. Ce que les gens qualifient de "mal" provient de leur propre peur et hypocrisie—une incapacité à comprendre cet ordre naturel. À l'échelle microscopique et macroscopique, chaque respiration prise par un être vivant entraîne la destruction de millions d'organismes en une fraction de seconde. En ce sens, les êtres vivants ne sont pas différents des ressources non organiques, consommés et transformés pour soutenir d'autres formes de vie dans le cycle de la survie. Aussi cruelle que puisse paraître leur mort, elle sert un but en nourrissant la vie des autres, et la souffrance favorise leur croissance. L'inconfort provoqué par la souffrance favorise la croissance, tant sur le plan biologique que sur le plan de la conscience. L'information d'un individu se développe rapidement à travers la souffrance—lorsque le temps semble passer le plus vite en raison de l'afflux de nouvelles informations—bénéficiant au système vivant dans son ensemble et à l'évolution des êtres.
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Il n'y a pas de justice dans le monde naturel, seulement les forts qui dominent les faibles. Les formes de vie sont intrinsèquement liées à la cruauté, animées par la volonté de causer de la souffrance. De la même manière qu'une forme de vie plus simple tue, parasite ou consomme les autres, des créatures plus évoluées, comme les dauphins ou les orques, éprouvent un plaisir sadique en jouant avec leur proie. Cette volonté d'imposer leur âme et leur esprit au monde physique ne fait que croître à mesure que leur capacité cognitive se développe. À mesure que les êtres deviennent plus capables de traiter l'information, leur capacité de cruauté et leur complexité augmentent. La vie et l'ordre naturel créent des organismes de plus en plus complexes, égoïstes et conscients d'eux-mêmes, propageant plus de destruction et de souffrance, et il n'y a rien de plus naturel que cela. La vie et la mort font partie du cycle naturel, inhérent à tous les êtres vivants.
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À la mort, l'âme s'intègre dans un champ d'information où la mémoire et l'expérience persistent. Ce champ, influencé par la présence de la vie, devient de plus en plus complexe, générant de la négentropie. Avec le temps, la vie devient plus complexe, et des êtres de plus en plus conscients d'eux-mêmes apparaissent. Ces êtres, à travers leurs expériences, accélèrent cette complexité dans une boucle de rétroaction positive. Le terme « conscients d'eux-mêmes » se réfère ici à des degrés d'intelligence et à la capacité de s'analyser eux-mêmes et leur environnement, des êtres plus avancés démontrant des niveaux de conscience plus élevés. Ce système de vie fonctionne sur l'équilibre. On ne peut pas trop prendre sans perturber l'équilibre du système. Si trop de personnes se voient refuser l'accès au système, il réagira—non pas comme une punition, mais comme une correction nécessaire pour préserver le cycle continu de la vie, de la mort et de l'enrichissement de l'information. Le système peut contrôler les génomes et la vie elle-même, en influençant la fertilité, en modifiant les aspects physiques des espèces et en ajustant la létalité des agents pathogènes. Ces ajustements peuvent faire progresser les espèces vers des niveaux cognitifs plus élevés ou agir comme des mécanismes de régulation. La sélection naturelle n'est pas uniquement motivée par des pressions environnementales.
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Pour que le système fonctionne, l'ordre—la négentropie—doit exister dans un univers gouverné par l'entropie. Les êtres vivants doivent coopérer pour maintenir le fonctionnement du système. La compassion, l'empathie et la bienveillance émergent comme des adaptations biologiques introduites par le système pour empêcher la vie de s'autodétruire par égoïsme. Cependant, ces émotions ne sont pas les seules manières par lesquelles les êtres interagissent au sein de ce champ d'information. Toutes les émotions, à divers degrés, peuvent servir de canaux de connexion entre les créatures vivantes. Les individus, étant interconnectés dans ce champ, sont capables de ressentir et même de percevoir les états émotionnels des autres. Dans certains cas, un individu peut même projeter une image mentale dans l'esprit d'un autre, comme s'il transmettait directement des informations à travers ce réseau émotionnel partagé.
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De plus, cette interconnexion est évidente dans la nature, où les oiseaux ou les insectes présentent des comportements collectifs complexes—comme les vols d'oiseaux formant des formes dynamiques précises—notamment parce que leurs instincts sont alignés avec le flux d'information dans ce champ partagé. Ces démonstrations naturelles de coordination ne sont pas aléatoires ; elles se produisent parce que les êtres vivants, même à un niveau primitif, sont connectés à cette structure sous-jacente qui permet l'échange d'information, guidant à la fois les comportements simples et complexes.
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Ces émotions et ces connexions instinctuelles ne préservent pas seulement la vie, mais elles servent aussi de moyens pour les êtres vivants d'interagir avec le champ d'information, offrant des avantages tels qu'une guérison plus rapide et contribuant à la création de négentropie. En ce sens, les émotions—qu'il s'agisse de l'empathie, de la peur ou même de la joie—deviennent des outils qui favorisent l'équilibre nécessaire à la survie et au bon fonctionnement du système.

Les êtres vivants sont intrinsèquement incapables d'incarner le divin. Ceux qui prétendent le faire sont hypocrites, se cachant derrière des morales arbitraires tout en luttant avec les conflits internes et les désirs intrinsèques à l'ordre naturel auquel ils appartiennent réellement. Ils professent suivre le chemin du divin, s'efforçant de maintenir un mode de vie fragile, mais en vérité, ils ne peuvent atteindre ce qu'ils revendiquent dans les limites du monde naturel. Leur réconfort vient d'une vision fausse de la réalité—des concepts tels que le karma, le péché, la rédemption, les démons, le paradis, l'enfer etc. Ce sont des illusions utilisées pour justifier leur souffrance ou comme des récompenses pour celle-ci alors qu'aucun de ces systèmes n'existe. Ils échouent à réaliser que la vie est un système d'échange de ressources, et tous les bénéfices qu'ils obtiennent proviennent de la vie elle-même, non de ce qui vient après. Pour qu'un humain régresse et suive le chemin de la divinité, il devrait être totalement isolé du monde naturel depuis la naissance, vivant dans un coma toute sa vie, immuable et inconscient de son propre corps. Ceux qui vivent seront inévitablement submergés par leurs désirs, transformés par l'influence des autres et du monde, comme cela est prévu dans l'ordre naturel.
Putain, comment c'est lunaire ton truc
:zahi:
il y a un an