Ce sujet a été résolu
je commence le taf en fevrier la
Quoi comme taf ?
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 6 mois
Beaucoup de posteurs réguliers, car j'ai pleins de copains trop trop cools qui sont des kheys mais qui postent de temps en temps
Dsl bb je vais essayer d'être là plus souvent
il y a 6 mois
Popamantis
6 mois
Vous savez que Feu il est tellement sincèrement gentil qu'une fois un gars a cru leak des infos privées à mon propos sur jvc, il ne me connaissait ni d'Eve ni d'Adam, il se rappelait juste vaguement de mon pseudo et il est venu direct m'aider à remettre la situation au clair
C'est le genre d'homme qui aide les inconnus qui se font agresser dans la rue
C'est le genre d'homme qui aide les inconnus qui se font agresser dans la rue
T'es tellement bluepilled j'espère que ma fille vivra dans le pays des licornes comme toi
il y a 6 mois
Popamantis
6 mois
Vous savez que Feu il est tellement sincèrement gentil qu'une fois un gars a cru leak des infos privées à mon propos sur jvc, il ne me connaissait ni d'Eve ni d'Adam, il se rappelait juste vaguement de mon pseudo et il est venu direct m'aider à remettre la situation au clair
C'est le genre d'homme qui aide les inconnus qui se font agresser dans la rue
C'est le genre d'homme qui aide les inconnus qui se font agresser dans la rue
Perso j'aide les agresseurs dans la rue
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 6 mois
T'es tellement bluepilled j'espère que ma fille vivra dans le pays des licornes comme toi
toast
il y a 6 mois
il y a une tragédie passionnante ou un bon roman à écrire sur la vie de Porphyre
il y a 6 mois
rien ne sera jamais oublié car tout est perpétuellement écrit dans la vérité et la mémoire de Dieu
il y a 6 mois
oui tout passe ici bas, mais mourir à la mémoire des hommes ce n'est rien et c'est le lot commun, et la gloire ne vaut rien pour elle même puisqu'elle passera un siècle ou l'autre, mais si la mémoire des hommes est courte, la mémoire de Dieu comprend tout le passé et l'avenir, parce que dans le regard Dieu toutes les vérités sont éternellement vivantes et simultanées, moi je crois que rien ne sera jamais véritablement oublié de tout ce qui sera advenu après la fin des temps. finir rongé par les vers c'est la condition de l'existence matérielle, mais nous avons un esprit par ailleurs qui n'est pas matériel et qui nous permet de nous élever au-dessus du désespoir de la finitude radicale qu'est la matérialité qui participe à notre composition. donc il ne faut pas sombrer dans le désespoir et nous en remettre à l'amour de Dieu, qui est la vraie voie de la joie et de l'espérance
il y a 6 mois
moi je pense que si je croyais n'être qu'une entité matérielle, dont tout l'existence est réductible à un processus physico-chimique, je me serais déjà tuée, je ne vois strictement aucun intérêt à une vie sans esprit et sans sacralité
il y a 6 mois
si les sensations, les expériences, les émotions ne sont que des phénomènes chimiques induits dans les comportements de mécanismes biologiques par quelque pression évolutive, si elles sont dénuées de toute sacralité, de toute finalité transcendante, que valent-elles ? ce ne sont que des néants tout juste capables de remuer bizarrement le néant que nous sommes nous mêmes. vanitas vanitatum, refuser a priori toute transcendance ou tout accès à la transcendance à l'homme, c'est nier toute possibilité de sens à son existence
il y a 6 mois
Les vendeuses qui laissent le pain tout en bas avec la fenêtre ouverte..... J'ai failli en enculer 2 c'est bon elles sont belles elles prennent la confiance jsuis misogyne de grade 7 ça prend pas avec moi
il y a 6 mois
bah si tout de nous finit rongé par les vers comme tu disais, c'est que nous n'avons pas d'esprit, tu ne peux pas à la fois nous réduire à une entité somatique et croire que nous pouvons développer une spiritualité qui ait vraiment du sens, c'est contradictoire
nous sommes soumis à notre expérience et nos connaissances, et même plus fondamentalement et tautologiquement nous sommes soumis à nos conditionnements, certes, et nous ne pouvons pas faire fi de la matérialité qui nous compose, mais si nous nous réduisons à cette matérialité, alors nous sommes invinciblement pris dans les rets d'une immanence parfaitement horizontale dans laquelle le sens ne peut pas émerger. c'est tout le problème du structuralisme, si le seul "sens" qui peut émerger est celui de la structure, alors il n'y a pas de sens véritable, parce que tout ce qui pourrait être appelé sens serait pris dans la nappe de la matérialité qui n'a pas en elle-même de sacralité, qui n'a rien d'autotélique, c'est d'ailleurs tout l'objet du discours de Derrida. le seul fondement possible de la sémanticité de la vie humaine, c'est d'accepter (comme si on prend du recul il est très spontané de le faire) le contact inné, intime et inaliénable de l'homme avec une forme de transcendance, et donc une expérience ne peut avoir vraiment de valeur que dans la mesure où elle élève l'homme par sa sacralité ou son contact avec le sacré dans une verticalité ontologique
nous sommes soumis à notre expérience et nos connaissances, et même plus fondamentalement et tautologiquement nous sommes soumis à nos conditionnements, certes, et nous ne pouvons pas faire fi de la matérialité qui nous compose, mais si nous nous réduisons à cette matérialité, alors nous sommes invinciblement pris dans les rets d'une immanence parfaitement horizontale dans laquelle le sens ne peut pas émerger. c'est tout le problème du structuralisme, si le seul "sens" qui peut émerger est celui de la structure, alors il n'y a pas de sens véritable, parce que tout ce qui pourrait être appelé sens serait pris dans la nappe de la matérialité qui n'a pas en elle-même de sacralité, qui n'a rien d'autotélique, c'est d'ailleurs tout l'objet du discours de Derrida. le seul fondement possible de la sémanticité de la vie humaine, c'est d'accepter (comme si on prend du recul il est très spontané de le faire) le contact inné, intime et inaliénable de l'homme avec une forme de transcendance, et donc une expérience ne peut avoir vraiment de valeur que dans la mesure où elle élève l'homme par sa sacralité ou son contact avec le sacré dans une verticalité ontologique
il y a 6 mois
C'est dégueu la levure c'est pour faire pousser, et le levain si yen a trop c'est trop acide, ça dépend des pains moi j'aime bien un peu de levure et beaucoup de levain pour la trad par exemple
il y a 6 mois
bah si tout de nous finit rongé par les vers comme tu disais, c'est que nous n'avons pas d'esprit, tu ne peux pas à la fois nous réduire à une entité somatique et croire que nous pouvons développer une spiritualité qui ait vraiment du sens, c'est contradictoire
nous sommes soumis à notre expérience et nos connaissances, et même plus fondamentalement et tautologiquement nous sommes soumis à nos conditionnements, certes, et nous ne pouvons pas faire fi de la matérialité qui nous compose, mais si nous nous réduisons à cette matérialité, alors nous sommes invinciblement pris dans les rets d'une immanence parfaitement horizontale dans laquelle le sens ne peut pas émerger. c'est tout le problème du structuralisme, si le seul "sens" qui peut émerger est celui de la structure, alors il n'y a pas de sens véritable, parce que tout ce qui pourrait être appelé sens serait pris dans la nappe de la matérialité qui n'a pas en elle-même de sacralité, qui n'a rien d'autotélique, c'est d'ailleurs tout l'objet du discours de Derrida. le seul fondement possible de la sémanticité de la vie humaine, c'est d'accepter (comme si on prend du recul il est très spontané de le faire) le contact inné, intime et inaliénable de l'homme avec une forme de transcendance, et donc une expérience ne peut avoir vraiment de valeur que dans la mesure où elle élève l'homme par sa sacralité ou son contact avec le sacré dans une verticalité ontologique
nous sommes soumis à notre expérience et nos connaissances, et même plus fondamentalement et tautologiquement nous sommes soumis à nos conditionnements, certes, et nous ne pouvons pas faire fi de la matérialité qui nous compose, mais si nous nous réduisons à cette matérialité, alors nous sommes invinciblement pris dans les rets d'une immanence parfaitement horizontale dans laquelle le sens ne peut pas émerger. c'est tout le problème du structuralisme, si le seul "sens" qui peut émerger est celui de la structure, alors il n'y a pas de sens véritable, parce que tout ce qui pourrait être appelé sens serait pris dans la nappe de la matérialité qui n'a pas en elle-même de sacralité, qui n'a rien d'autotélique, c'est d'ailleurs tout l'objet du discours de Derrida. le seul fondement possible de la sémanticité de la vie humaine, c'est d'accepter (comme si on prend du recul il est très spontané de le faire) le contact inné, intime et inaliénable de l'homme avec une forme de transcendance, et donc une expérience ne peut avoir vraiment de valeur que dans la mesure où elle élève l'homme par sa sacralité ou son contact avec le sacré dans une verticalité ontologique
il y a 6 mois
Oui je comprend mon meilleur ami qui me termine en boulangerie déteste aussi donc bon, les goûts et les couleurs pour le coup
il y a 6 mois