Ce sujet a été résolu
Sainte
8 mois
faut que je me remette à la poésie
J'essaye d'écrire un sonnet en ce moment, je pourrai te demander ton avis quand j'aurai terminé stp Sainte ?
il y a 8 mois
Montre poésie
le chien
demain
ira
au bois
j'aime
la crème
et les
bolets
demain
ira
au bois
j'aime
la crème
et les
bolets
il y a 8 mois
Merci mais je ne suis pas sûr que tu as bien compris ce que je voulais dire
il y a 8 mois
Pitié je t'en supplie recommence pas cette boucle malaisante
c'est important de parler d'amour
il y a 8 mois
Grave affaire qvi est l’Amovr !
Il semble vne boucle sans fin, qvi n’en finit jamais de se retourner, touyrnant sans relâche qvi fol dingo. Tovs les cœurs en l’Amovr se trouvent pris en ceqve piège sans eschappatoire, en la mesme jactance de passion et de douleur ; tourment éternel d'âme et de sens
Tovs les diables du cœur, les mêmes serments d’amour, les mêmes pleurs et sourires abordés ; ivres de vne douce folie, de la svraye essence du désir. L’Amovr n’est qu’un tourbillon, les mesmes paroles d’adoration & de doute, et tous semblables gestes d'extase, les mesmes tourments des amants
Enstre les serments d'allégresse, qvi se tissent en vne toile d’amour sans fin, les cœurs s’épanouissent puis se fanent, tout cela recommence sans relâche. Vne danse infinie de baisers et de désillusions ; les amants tombent et se relèvent, encore et encore, sans espoir de fin
Les amants qvi s’empoignent et se séparent dans vne valse de regards et de mots d’amour, et de méfiance, battent la mesure d’une symphonie sans conclusion. À chaque caresse, à chaque rupture, c’est le même cycle qui recommence, grincement doux et amer de l’Amovr
Les grippeminavds de l'Amovr, qvi colportent sans fin des histoires d’extase et de chagrin, parlent de ce mal enchanté, de ces plaisirs et souffrances entremêlés, en une boucle infinie de mots semblables : "Je t’aime, je te quitte, je te retrouve, je te perds."
Les cœurs en proie à l’Amovr, semblant cherché à échapper à la fureur de ce cercle, s’y enfoncent davantage à chaque tour ; vne danse de souffrance, un chant sans fin, un tourbillon sans relâche
Ainsi, je vous le dis, l’Amovr, ce diablerie de bovcle sans fin, nous enchaîne et nous égare, dans l’instant de la passion et dans la déchirure du cœur, pour l’éternité

Il semble vne boucle sans fin, qvi n’en finit jamais de se retourner, touyrnant sans relâche qvi fol dingo. Tovs les cœurs en l’Amovr se trouvent pris en ceqve piège sans eschappatoire, en la mesme jactance de passion et de douleur ; tourment éternel d'âme et de sens

Tovs les diables du cœur, les mêmes serments d’amour, les mêmes pleurs et sourires abordés ; ivres de vne douce folie, de la svraye essence du désir. L’Amovr n’est qu’un tourbillon, les mesmes paroles d’adoration & de doute, et tous semblables gestes d'extase, les mesmes tourments des amants

Enstre les serments d'allégresse, qvi se tissent en vne toile d’amour sans fin, les cœurs s’épanouissent puis se fanent, tout cela recommence sans relâche. Vne danse infinie de baisers et de désillusions ; les amants tombent et se relèvent, encore et encore, sans espoir de fin

Les amants qvi s’empoignent et se séparent dans vne valse de regards et de mots d’amour, et de méfiance, battent la mesure d’une symphonie sans conclusion. À chaque caresse, à chaque rupture, c’est le même cycle qui recommence, grincement doux et amer de l’Amovr

Les grippeminavds de l'Amovr, qvi colportent sans fin des histoires d’extase et de chagrin, parlent de ce mal enchanté, de ces plaisirs et souffrances entremêlés, en une boucle infinie de mots semblables : "Je t’aime, je te quitte, je te retrouve, je te perds."

Les cœurs en proie à l’Amovr, semblant cherché à échapper à la fureur de ce cercle, s’y enfoncent davantage à chaque tour ; vne danse de souffrance, un chant sans fin, un tourbillon sans relâche

Ainsi, je vous le dis, l’Amovr, ce diablerie de bovcle sans fin, nous enchaîne et nous égare, dans l’instant de la passion et dans la déchirure du cœur, pour l’éternité

Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 8 mois
il y a 8 mois
J'essaye d'écrire un sonnet en ce moment, je pourrai te demander ton avis quand j'aurai terminé stp Sainte ?
oui avec plaisir mais je suis autiste des règles classiques donc gare à toi
il y a 8 mois
Jouhn_Ingroum
8 mois
Grave affaire qvi est l’Amovr !
Il semble vne boucle sans fin, qvi n’en finit jamais de se retourner, touyrnant sans relâche qvi fol dingo. Tovs les cœurs en l’Amovr se trouvent pris en ceqve piège sans eschappatoire, en la mesme jactance de passion et de douleur ; tourment éternel d'âme et de sens
Tovs les diables du cœur, les mêmes serments d’amour, les mêmes pleurs et sourires abordés ; ivres de vne douce folie, de la svraye essence du désir. L’Amovr n’est qu’un tourbillon, les mesmes paroles d’adoration & de doute, et tous semblables gestes d'extase, les mesmes tourments des amants
Enstre les serments d'allégresse, qvi se tissent en vne toile d’amour sans fin, les cœurs s’épanouissent puis se fanent, tout cela recommence sans relâche. Vne danse infinie de baisers et de désillusions ; les amants tombent et se relèvent, encore et encore, sans espoir de fin
Les amants qvi s’empoignent et se séparent dans vne valse de regards et de mots d’amour, et de méfiance, battent la mesure d’une symphonie sans conclusion. À chaque caresse, à chaque rupture, c’est le même cycle qui recommence, grincement doux et amer de l’Amovr
Les grippeminavds de l'Amovr, qvi colportent sans fin des histoires d’extase et de chagrin, parlent de ce mal enchanté, de ces plaisirs et souffrances entremêlés, en une boucle infinie de mots semblables : "Je t’aime, je te quitte, je te retrouve, je te perds."
Les cœurs en proie à l’Amovr, semblant cherché à échapper à la fureur de ce cercle, s’y enfoncent davantage à chaque tour ; vne danse de souffrance, un chant sans fin, un tourbillon sans relâche
Ainsi, je vous le dis, l’Amovr, ce diablerie de bovcle sans fin, nous enchaîne et nous égare, dans l’instant de la passion et dans la déchirure du cœur, pour l’éternité

Il semble vne boucle sans fin, qvi n’en finit jamais de se retourner, touyrnant sans relâche qvi fol dingo. Tovs les cœurs en l’Amovr se trouvent pris en ceqve piège sans eschappatoire, en la mesme jactance de passion et de douleur ; tourment éternel d'âme et de sens

Tovs les diables du cœur, les mêmes serments d’amour, les mêmes pleurs et sourires abordés ; ivres de vne douce folie, de la svraye essence du désir. L’Amovr n’est qu’un tourbillon, les mesmes paroles d’adoration & de doute, et tous semblables gestes d'extase, les mesmes tourments des amants

Enstre les serments d'allégresse, qvi se tissent en vne toile d’amour sans fin, les cœurs s’épanouissent puis se fanent, tout cela recommence sans relâche. Vne danse infinie de baisers et de désillusions ; les amants tombent et se relèvent, encore et encore, sans espoir de fin

Les amants qvi s’empoignent et se séparent dans vne valse de regards et de mots d’amour, et de méfiance, battent la mesure d’une symphonie sans conclusion. À chaque caresse, à chaque rupture, c’est le même cycle qui recommence, grincement doux et amer de l’Amovr

Les grippeminavds de l'Amovr, qvi colportent sans fin des histoires d’extase et de chagrin, parlent de ce mal enchanté, de ces plaisirs et souffrances entremêlés, en une boucle infinie de mots semblables : "Je t’aime, je te quitte, je te retrouve, je te perds."

Les cœurs en proie à l’Amovr, semblant cherché à échapper à la fureur de ce cercle, s’y enfoncent davantage à chaque tour ; vne danse de souffrance, un chant sans fin, un tourbillon sans relâche

Ainsi, je vous le dis, l’Amovr, ce diablerie de bovcle sans fin, nous enchaîne et nous égare, dans l’instant de la passion et dans la déchirure du cœur, pour l’éternité

Oui-da l'artisan de ce fin billet ! Lors, quelle identité covalente fige ton être dans l'exdurantisme nécessaire à l'attachement neuronal virtualisé de nos engoncements nouménaux nous ouvrant à la possibilité d'un échange ?
Oncques manifestation hypostatique ci-apparentes n'a établi de conscience isochronique en réponse à ton transport grumeleux.
Escomptes-tu par ce décubitus lettreux mutiler nos bourrichons en une effroyable prosopométamorphopsie ?
L'oscillation constituante de nos palingénésies subsumées dans l'illusion de nos égos monistes se trouve troublée par l'hystérésis induit par ton mouvement lorentzien, lequel nous fait tous gravement redouter notre dissolution entropique hâtée par ton passage.
Au demeurant quelle prise sur ces ectoplasmes fanés et poussiéreux ont nos lourds appendices de pantins albuminés, sinon la certitude d'un apaisement à défaut de envers ta potentialité ductile auto-validante ?
Oncques manifestation hypostatique ci-apparentes n'a établi de conscience isochronique en réponse à ton transport grumeleux.
Escomptes-tu par ce décubitus lettreux mutiler nos bourrichons en une effroyable prosopométamorphopsie ?
L'oscillation constituante de nos palingénésies subsumées dans l'illusion de nos égos monistes se trouve troublée par l'hystérésis induit par ton mouvement lorentzien, lequel nous fait tous gravement redouter notre dissolution entropique hâtée par ton passage.
Au demeurant quelle prise sur ces ectoplasmes fanés et poussiéreux ont nos lourds appendices de pantins albuminés, sinon la certitude d'un apaisement à défaut de envers ta potentialité ductile auto-validante ?
il y a 8 mois
oui avec plaisir mais je suis autiste des règles classiques donc gare à toi
autiste tout court d'ailleurs
il y a 8 mois
Oui-da l'artisan de ce fin billet ! Lors, quelle identité covalente fige ton être dans l'exdurantisme nécessaire à l'attachement neuronal virtualisé de nos engoncements nouménaux nous ouvrant à la possibilité d'un échange ?
Oncques manifestation hypostatique ci-apparentes n'a établi de conscience isochronique en réponse à ton transport grumeleux.
Escomptes-tu par ce décubitus lettreux mutiler nos bourrichons en une effroyable prosopométamorphopsie ?
L'oscillation constituante de nos palingénésies subsumées dans l'illusion de nos égos monistes se trouve troublée par l'hystérésis induit par ton mouvement lorentzien, lequel nous fait tous gravement redouter notre dissolution entropique hâtée par ton passage.
Au demeurant quelle prise sur ces ectoplasmes fanés et poussiéreux ont nos lourds appendices de pantins albuminés, sinon la certitude d'un apaisement à défaut de envers ta potentialité ductile auto-validante ?
Oncques manifestation hypostatique ci-apparentes n'a établi de conscience isochronique en réponse à ton transport grumeleux.
Escomptes-tu par ce décubitus lettreux mutiler nos bourrichons en une effroyable prosopométamorphopsie ?
L'oscillation constituante de nos palingénésies subsumées dans l'illusion de nos égos monistes se trouve troublée par l'hystérésis induit par ton mouvement lorentzien, lequel nous fait tous gravement redouter notre dissolution entropique hâtée par ton passage.
Au demeurant quelle prise sur ces ectoplasmes fanés et poussiéreux ont nos lourds appendices de pantins albuminés, sinon la certitude d'un apaisement à défaut de envers ta potentialité ductile auto-validante ?
il y a 8 mois
C'est plus ou moins véridique ?
c'est un peu du vent , tu aurais pu résumer le giga pave en a peine quelques lignes :
Sisyphe, héritier de l'esprit bourgeois, critique ce système depuis l'intérieur grâce à une analyse profonde de ses mécanismes et de ses contradictions. Son anti-bourgeoisisme, réfléchi et pertinent, rejette les valeurs bourgeoises pour en proposer d'autres, plus saines ou traditionnelles, et aspire à une transformation radicale de la société.
Sisyphe, héritier de l'esprit bourgeois, critique ce système depuis l'intérieur grâce à une analyse profonde de ses mécanismes et de ses contradictions. Son anti-bourgeoisisme, réfléchi et pertinent, rejette les valeurs bourgeoises pour en proposer d'autres, plus saines ou traditionnelles, et aspire à une transformation radicale de la société.
Maybe I just want to maybe...
il y a 8 mois
oui avec plaisir mais je suis autiste des règles classiques donc gare à toi
Alors c'est parfait, car j'ai essayé de m'y plier, et j'aime une critique rigoureuse pour me permettre de m'améliorer !
il y a 8 mois
L'Amovr este tel vne bovcle sans fin 

Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 8 mois
Jouhn_Ingroum
8 mois
Grave affaire qvi est l’Amovr !
Il semble vne boucle sans fin, qvi n’en finit jamais de se retourner, touyrnant sans relâche qvi fol dingo. Tovs les cœurs en l’Amovr se trouvent pris en ceqve piège sans eschappatoire, en la mesme jactance de passion et de douleur ; tourment éternel d'âme et de sens
Tovs les diables du cœur, les mêmes serments d’amour, les mêmes pleurs et sourires abordés ; ivres de vne douce folie, de la svraye essence du désir. L’Amovr n’est qu’un tourbillon, les mesmes paroles d’adoration & de doute, et tous semblables gestes d'extase, les mesmes tourments des amants
Enstre les serments d'allégresse, qvi se tissent en vne toile d’amour sans fin, les cœurs s’épanouissent puis se fanent, tout cela recommence sans relâche. Vne danse infinie de baisers et de désillusions ; les amants tombent et se relèvent, encore et encore, sans espoir de fin
Les amants qvi s’empoignent et se séparent dans vne valse de regards et de mots d’amour, et de méfiance, battent la mesure d’une symphonie sans conclusion. À chaque caresse, à chaque rupture, c’est le même cycle qui recommence, grincement doux et amer de l’Amovr
Les grippeminavds de l'Amovr, qvi colportent sans fin des histoires d’extase et de chagrin, parlent de ce mal enchanté, de ces plaisirs et souffrances entremêlés, en une boucle infinie de mots semblables : "Je t’aime, je te quitte, je te retrouve, je te perds."
Les cœurs en proie à l’Amovr, semblant cherché à échapper à la fureur de ce cercle, s’y enfoncent davantage à chaque tour ; vne danse de souffrance, un chant sans fin, un tourbillon sans relâche
Ainsi, je vous le dis, l’Amovr, ce diablerie de bovcle sans fin, nous enchaîne et nous égare, dans l’instant de la passion et dans la déchirure du cœur, pour l’éternité

Il semble vne boucle sans fin, qvi n’en finit jamais de se retourner, touyrnant sans relâche qvi fol dingo. Tovs les cœurs en l’Amovr se trouvent pris en ceqve piège sans eschappatoire, en la mesme jactance de passion et de douleur ; tourment éternel d'âme et de sens

Tovs les diables du cœur, les mêmes serments d’amour, les mêmes pleurs et sourires abordés ; ivres de vne douce folie, de la svraye essence du désir. L’Amovr n’est qu’un tourbillon, les mesmes paroles d’adoration & de doute, et tous semblables gestes d'extase, les mesmes tourments des amants

Enstre les serments d'allégresse, qvi se tissent en vne toile d’amour sans fin, les cœurs s’épanouissent puis se fanent, tout cela recommence sans relâche. Vne danse infinie de baisers et de désillusions ; les amants tombent et se relèvent, encore et encore, sans espoir de fin

Les amants qvi s’empoignent et se séparent dans vne valse de regards et de mots d’amour, et de méfiance, battent la mesure d’une symphonie sans conclusion. À chaque caresse, à chaque rupture, c’est le même cycle qui recommence, grincement doux et amer de l’Amovr

Les grippeminavds de l'Amovr, qvi colportent sans fin des histoires d’extase et de chagrin, parlent de ce mal enchanté, de ces plaisirs et souffrances entremêlés, en une boucle infinie de mots semblables : "Je t’aime, je te quitte, je te retrouve, je te perds."

Les cœurs en proie à l’Amovr, semblant cherché à échapper à la fureur de ce cercle, s’y enfoncent davantage à chaque tour ; vne danse de souffrance, un chant sans fin, un tourbillon sans relâche

Ainsi, je vous le dis, l’Amovr, ce diablerie de bovcle sans fin, nous enchaîne et nous égare, dans l’instant de la passion et dans la déchirure du cœur, pour l’éternité

c'est bellement écrit quand meme ça m'a fait un haut le coeur
il y a 8 mois