Ce sujet a été résolu
Mdrrrrrrrrr, allez bonne nuit la reuss
il y a 5 mois
Elle a collé complet la couz nan dinguerie quand jvais raconter ça à tatie wlh
ça veut dire quoi tout ça ?
il y a 5 mois
C’est qu’aussi bien le pauvre diable n’avait rien ou presque rien du poète, que la rage de le devenir. Non-seulement le style, mais l’harmonie, le mouvement, l’Imagination, lui manquent. Pas de vers plus pénibles, plus essoufflés que les siens, pas de construction plus laborieuse, ou de période moins aisée, moins aérée, si je puis ainsi dire. Et quand il tient une image, comme il la serre, de peur qu’elle ne lui échappe ! Comme il suit ses métaphores, quand il en rencontre une, parce qu’il sait bien que des mois succéderont aux mois avant qu’il en rencontre une autre ! Il ne développe guère que des lieux-communs, et je consens qu’il réussisse quelquefois, par les moyens que l’on a vus, à les rendre plus communs encore. Mais le pouvoir qu’il n’a pas, en dépit de ses prétentions à l’originalité, c’est précisément celui de les renouveler, et de la seule manière qu’il y en ait, en remontant d’expérience en expérience, et d’âge en âge, à travers l’histoire de l’humanité, jusqu’à leur origine. Car enfin, on dirait que nous ne le savons plus, mais autant qu’il est facile de développer un lieu-commun, autant l’est-il d’y contredire, de le retourner en quelque sorte, et de le renverser. Philosophique ou littéraire, l’originalité serait vraiment à trop bon marché s’il y suffisait de nier ce que les autres affirment, d’affecter le mépris ou le dégoût de ce qu’ils aiment, de pleurer où ils rient, de rire où ils pleurent, de cracher sur ce qu’ils respectent. Entre le lieu-commun et son contraire, ce n’est pas nous qui sommes juges, ni nos impressions, — dans lesquelles souvent nous sommes pour si peu de chose, et notre hérédité, notre éducation, le milieu, les circonstances pour une si grande part, — mais c’est la vie, c’est l’expérience, c’est l’histoire qui nous apprennent tantôt à recevoir le préjugé commun, tantôt à le repousser. Baudelaire, pour lui, s’est contenté de le repousser, ce qui n’est qu’une autre manière d’en demeurer l’esclave. Si la préoccupation de « plaire » est fatale au véritable artiste, celle de « déplaire » ne l’est pas moins ; mais la seconde a cela d’admirable qu’elle ramène toujours la première, attendu que pour « déplaire » il faut être soi-même attentif à tout ce qui peut « plaire. » C’est le cas de Baudelaire ; et c’est l’explication à la fois de ce qu’il y a de paradoxal, de banal tout de même, et d’artificiel dans ses Fleurs du mal.
C’en est trop, je pars écouter la Saison en Enfer
je lis le texte demain j’ai mal aux yeux
il y a 5 mois
vous etes toujours pareils les grands à jamais vouloir que je joue avec vous vous voulez jamais m'expliquer
il y a 5 mois
pourquoi ça va pas ? déprime pas sisyphe
fais lui un bisou sur la joue pour qu’il aille mieux . . .
On it again
il y a 5 mois
fais lui un bisou sur la joue pour qu’il aille mieux . . .
tu penses que ça aiderait ?
il y a 5 mois
il y a 5 mois