Ce sujet a été résolu
t ki en fait le nobadge?
La puissance d'un forumeur ne se résume pas à son nombre de badges 

il y a 6 mois
Wtf ce up des enfers
Merci aux messages positifs de tous les crayons
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il y a 5 mois
l'auteur est comme les talibans
et comme les talibans il a une profonde haine envers les femmes du a un rejet de ces dernière ou une homosexualité refoulé
et comme les talibans il a une profonde haine envers les femmes du a un rejet de ces dernière ou une homosexualité refoulé
il y a 5 mois
il y a 5 mois
Maitre-Tison
5 mois
l'auteur est comme les talibans
et comme les talibans il a une profonde haine envers les femmes du a un rejet de ces dernière ou une homosexualité refoulé
et comme les talibans il a une profonde haine envers les femmes du a un rejet de ces dernière ou une homosexualité refoulé
Les femmes blanches ont d’abord voulu fumer, puis voter, ensuite porter des minijupes, enfin avorter. Ce qui les a amenées à finir dans un pays sans enfants, progressivement repeuplé par des musulmans qui entendent bien leur interdire de fumer, de voter, de porter des mini-jupes et d’avorter.
Rager sur le fait que les musulmans sont musulmans ne changera rien aux causes fondamentales du problème qui se trouvent non pas chez les allogènes, mais chez les Blancs.
La cause de l’islamisation est à rechercher dans la perte de vitalité démographique indigène. La racine de cette perte de vitalité se trouve dans la reconfiguration de la société patriarcale en société féministe. Si on place les femmes et leurs attentes au coeur de la société, on obtiendra une société adaptée aux injonctions de l’hypergamie féminine.
Les femmes veulent disposer de tous les filets de sécurité possibles pour pouvoir s’extraire à tout moment d’une relation avec un homme : avortement ; divorce ; pensions compensatoires ; aides sociales ; tout a été conçu à cet effet.
L’abolition du contrôle masculin de la sexualité féminine est l’enjeu principal du féminisme. Sans cadre masculin autoritaire pour maîtriser l’hypergamie féminine, càd le contrôle de l'utérus, le résultat final est invariablement le même :
Si on ne veut pas de l’islamisation, on ne peut pas vouloir du féminisme. Mais si on fait cette critique du féminisme et que l’on appelle à rétablir le patriarcat blanc, les femmes blanches et leurs SIMPS vous accusent immédiatement de vouloir la même chose que les salafistes.
Donc, aucune critique de fond n’est formulée, la situation objective reste la même, le nombre de musulmans augmente, et c’est le patriarcat islamique qui gagne du terrain... Pourtant, d'un point de vu féminin, le patriarcat blanc est bien supérieur.
Créer une société qui garantisse une femme pour chaque homme, ainsi que la famille et les enfants à vie qui vont avec, est la seule façon de résorber cet effondrement démographique, qui permettra ainsi de ré-ancrer l'homme au coeur de la société et le fera redoubler de volonté afin de la servir et de la protéger. Mais cela passe obligatoirement par la fin de la primauté de l’individualisme hédonistique qui sert de terreau au féminisme.
Culturellement, les Blancs sont devenus des consommateurs anarchistes, radicalement opposés à toute espèce de société d’ordre. C’est là que se situe le blocage, et c’est pour cela que toutes les solutions de facilité à court terme sont systématiquement privilégiées, comme l’immigration de masse pour payer les retraites des boomers. La religion de l’avortement en est un bon thermomètre :
En définitive, soit on remet de force les femmes au foyer pour faire des enfants et ainsi perpétuer la race, la patrie, la nation, càd tout ce qui fait la France ; soit on accepte l’islamisation. C’est l’un ou l’autre. Le public blanc n’aime pas du tout voir cette réalité en face et préfère se victimiser en écoutant des lesbiennes comme Mila se plaindre des maghrébins.
Rager sur le fait que les musulmans sont musulmans ne changera rien aux causes fondamentales du problème qui se trouvent non pas chez les allogènes, mais chez les Blancs.
La cause de l’islamisation est à rechercher dans la perte de vitalité démographique indigène. La racine de cette perte de vitalité se trouve dans la reconfiguration de la société patriarcale en société féministe. Si on place les femmes et leurs attentes au coeur de la société, on obtiendra une société adaptée aux injonctions de l’hypergamie féminine.
Les femmes veulent disposer de tous les filets de sécurité possibles pour pouvoir s’extraire à tout moment d’une relation avec un homme : avortement ; divorce ; pensions compensatoires ; aides sociales ; tout a été conçu à cet effet.
L’abolition du contrôle masculin de la sexualité féminine est l’enjeu principal du féminisme. Sans cadre masculin autoritaire pour maîtriser l’hypergamie féminine, càd le contrôle de l'utérus, le résultat final est invariablement le même :

Si on ne veut pas de l’islamisation, on ne peut pas vouloir du féminisme. Mais si on fait cette critique du féminisme et que l’on appelle à rétablir le patriarcat blanc, les femmes blanches et leurs SIMPS vous accusent immédiatement de vouloir la même chose que les salafistes.
Donc, aucune critique de fond n’est formulée, la situation objective reste la même, le nombre de musulmans augmente, et c’est le patriarcat islamique qui gagne du terrain... Pourtant, d'un point de vu féminin, le patriarcat blanc est bien supérieur.
Créer une société qui garantisse une femme pour chaque homme, ainsi que la famille et les enfants à vie qui vont avec, est la seule façon de résorber cet effondrement démographique, qui permettra ainsi de ré-ancrer l'homme au coeur de la société et le fera redoubler de volonté afin de la servir et de la protéger. Mais cela passe obligatoirement par la fin de la primauté de l’individualisme hédonistique qui sert de terreau au féminisme.
Culturellement, les Blancs sont devenus des consommateurs anarchistes, radicalement opposés à toute espèce de société d’ordre. C’est là que se situe le blocage, et c’est pour cela que toutes les solutions de facilité à court terme sont systématiquement privilégiées, comme l’immigration de masse pour payer les retraites des boomers. La religion de l’avortement en est un bon thermomètre :

En définitive, soit on remet de force les femmes au foyer pour faire des enfants et ainsi perpétuer la race, la patrie, la nation, càd tout ce qui fait la France ; soit on accepte l’islamisation. C’est l’un ou l’autre. Le public blanc n’aime pas du tout voir cette réalité en face et préfère se victimiser en écoutant des lesbiennes comme Mila se plaindre des maghrébins.
il y a 5 mois
À partir du moment où il y a plus de 60% de femmes au taff, plus personne ne vient
Je suis un parfait anonyme. https://jvflux.fr/Pokonche
il y a 5 mois
Les femmes blanches ont d’abord voulu fumer, puis voter, ensuite porter des minijupes, enfin avorter. Ce qui les a amenées à finir dans un pays sans enfants, progressivement repeuplé par des musulmans qui entendent bien leur interdire de fumer, de voter, de porter des mini-jupes et d’avorter.
Rager sur le fait que les musulmans sont musulmans ne changera rien aux causes fondamentales du problème qui se trouvent non pas chez les allogènes, mais chez les Blancs.
La cause de l’islamisation est à rechercher dans la perte de vitalité démographique indigène. La racine de cette perte de vitalité se trouve dans la reconfiguration de la société patriarcale en société féministe. Si on place les femmes et leurs attentes au coeur de la société, on obtiendra une société adaptée aux injonctions de l’hypergamie féminine.
Les femmes veulent disposer de tous les filets de sécurité possibles pour pouvoir s’extraire à tout moment d’une relation avec un homme : avortement ; divorce ; pensions compensatoires ; aides sociales ; tout a été conçu à cet effet.
L’abolition du contrôle masculin de la sexualité féminine est l’enjeu principal du féminisme. Sans cadre masculin autoritaire pour maîtriser l’hypergamie féminine, càd le contrôle de l'utérus, le résultat final est invariablement le même :
Si on ne veut pas de l’islamisation, on ne peut pas vouloir du féminisme. Mais si on fait cette critique du féminisme et que l’on appelle à rétablir le patriarcat blanc, les femmes blanches et leurs SIMPS vous accusent immédiatement de vouloir la même chose que les salafistes.
Donc, aucune critique de fond n’est formulée, la situation objective reste la même, le nombre de musulmans augmente, et c’est le patriarcat islamique qui gagne du terrain... Pourtant, d'un point de vu féminin, le patriarcat blanc est bien supérieur.
Créer une société qui garantisse une femme pour chaque homme, ainsi que la famille et les enfants à vie qui vont avec, est la seule façon de résorber cet effondrement démographique, qui permettra ainsi de ré-ancrer l'homme au coeur de la société et le fera redoubler de volonté afin de la servir et de la protéger. Mais cela passe obligatoirement par la fin de la primauté de l’individualisme hédonistique qui sert de terreau au féminisme.
Culturellement, les Blancs sont devenus des consommateurs anarchistes, radicalement opposés à toute espèce de société d’ordre. C’est là que se situe le blocage, et c’est pour cela que toutes les solutions de facilité à court terme sont systématiquement privilégiées, comme l’immigration de masse pour payer les retraites des boomers. La religion de l’avortement en est un bon thermomètre :
En définitive, soit on remet de force les femmes au foyer pour faire des enfants et ainsi perpétuer la race, la patrie, la nation, càd tout ce qui fait la France ; soit on accepte l’islamisation. C’est l’un ou l’autre. Le public blanc n’aime pas du tout voir cette réalité en face et préfère se victimiser en écoutant des lesbiennes comme Mila se plaindre des maghrébins.
Rager sur le fait que les musulmans sont musulmans ne changera rien aux causes fondamentales du problème qui se trouvent non pas chez les allogènes, mais chez les Blancs.
La cause de l’islamisation est à rechercher dans la perte de vitalité démographique indigène. La racine de cette perte de vitalité se trouve dans la reconfiguration de la société patriarcale en société féministe. Si on place les femmes et leurs attentes au coeur de la société, on obtiendra une société adaptée aux injonctions de l’hypergamie féminine.
Les femmes veulent disposer de tous les filets de sécurité possibles pour pouvoir s’extraire à tout moment d’une relation avec un homme : avortement ; divorce ; pensions compensatoires ; aides sociales ; tout a été conçu à cet effet.
L’abolition du contrôle masculin de la sexualité féminine est l’enjeu principal du féminisme. Sans cadre masculin autoritaire pour maîtriser l’hypergamie féminine, càd le contrôle de l'utérus, le résultat final est invariablement le même :

Si on ne veut pas de l’islamisation, on ne peut pas vouloir du féminisme. Mais si on fait cette critique du féminisme et que l’on appelle à rétablir le patriarcat blanc, les femmes blanches et leurs SIMPS vous accusent immédiatement de vouloir la même chose que les salafistes.
Donc, aucune critique de fond n’est formulée, la situation objective reste la même, le nombre de musulmans augmente, et c’est le patriarcat islamique qui gagne du terrain... Pourtant, d'un point de vu féminin, le patriarcat blanc est bien supérieur.
Créer une société qui garantisse une femme pour chaque homme, ainsi que la famille et les enfants à vie qui vont avec, est la seule façon de résorber cet effondrement démographique, qui permettra ainsi de ré-ancrer l'homme au coeur de la société et le fera redoubler de volonté afin de la servir et de la protéger. Mais cela passe obligatoirement par la fin de la primauté de l’individualisme hédonistique qui sert de terreau au féminisme.
Culturellement, les Blancs sont devenus des consommateurs anarchistes, radicalement opposés à toute espèce de société d’ordre. C’est là que se situe le blocage, et c’est pour cela que toutes les solutions de facilité à court terme sont systématiquement privilégiées, comme l’immigration de masse pour payer les retraites des boomers. La religion de l’avortement en est un bon thermomètre :

En définitive, soit on remet de force les femmes au foyer pour faire des enfants et ainsi perpétuer la race, la patrie, la nation, càd tout ce qui fait la France ; soit on accepte l’islamisation. C’est l’un ou l’autre. Le public blanc n’aime pas du tout voir cette réalité en face et préfère se victimiser en écoutant des lesbiennes comme Mila se plaindre des maghrébins.
mdr j'ai pas lu Mohammed
il y a 5 mois
mdr j'ai pas lu Mohammed
il y a 5 mois
Hormis les femmes blanches qui savent rien foutre
Il y aussi la malhonnêteté des entreprises qui engagent des handicapés et migrants pour juste être subventionnés
Il y aussi la malhonnêteté des entreprises qui engagent des handicapés et migrants pour juste être subventionnés
Bonjour, bonsoir, bon courage
il y a 5 mois
1) Qu'elles fassent le taf ou pas ; peu importe. Nous avons besoin de femmes qui fondent des familles nombreuses et font beaucoup d'enfants, activité incompatible avec de longues études et une longue carrière qui suit. Nous n'avons pas besoin de femmes à la recherche de buts personnels, matérialistes, et servant de terreau fertile au Capital. Tout ce qu'une femme fait, un homme peut le faire ; à une exception près : donner la vie.
2) Oui je confirme ce propos mais le phénomène est tout de même intéressant à observer ; je sais bien qu'en cas de crise majeure toutes ces entreprises renonceront au wokisme et à la politique d'inclusivité lorsque la survie de l'entreprise sera en jeu. Il n'y aura plus ce genre de politiques lorsqu'il faudra se bouffer les uns les autres pour avoir du pain sur la table.
3) Je ne suis pas cette actualité mais je te remercie pour ce partage.
2) Oui je confirme ce propos mais le phénomène est tout de même intéressant à observer ; je sais bien qu'en cas de crise majeure toutes ces entreprises renonceront au wokisme et à la politique d'inclusivité lorsque la survie de l'entreprise sera en jeu. Il n'y aura plus ce genre de politiques lorsqu'il faudra se bouffer les uns les autres pour avoir du pain sur la table.
3) Je ne suis pas cette actualité mais je te remercie pour ce partage.
« Tout ce qu'une femme fait, un homme peut le faire »
Bordel ce khey qui reprend les slogans féministes des années 70
Bordel ce khey qui reprend les slogans féministes des années 70
il y a 5 mois
Le_Batiment_H
5 mois
Wtf ce up des enfers
Merci aux messages positifs de tous les crayons
Merci aux messages positifs de tous les crayons
Tu as dit les termes Excellence
il y a 5 mois
Maitre-Tison
5 mois
l'auteur est comme les talibans
et comme les talibans il a une profonde haine envers les femmes du a un rejet de ces dernière ou une homosexualité refoulé
et comme les talibans il a une profonde haine envers les femmes du a un rejet de ces dernière ou une homosexualité refoulé
C'est une justification
il y a 5 mois
Les femmes blanches ont d’abord voulu fumer, puis voter, ensuite porter des minijupes, enfin avorter. Ce qui les a amenées à finir dans un pays sans enfants, progressivement repeuplé par des musulmans qui entendent bien leur interdire de fumer, de voter, de porter des mini-jupes et d’avorter.
Rager sur le fait que les musulmans sont musulmans ne changera rien aux causes fondamentales du problème qui se trouvent non pas chez les allogènes, mais chez les Blancs.
La cause de l’islamisation est à rechercher dans la perte de vitalité démographique indigène. La racine de cette perte de vitalité se trouve dans la reconfiguration de la société patriarcale en société féministe. Si on place les femmes et leurs attentes au coeur de la société, on obtiendra une société adaptée aux injonctions de l’hypergamie féminine.
Les femmes veulent disposer de tous les filets de sécurité possibles pour pouvoir s’extraire à tout moment d’une relation avec un homme : avortement ; divorce ; pensions compensatoires ; aides sociales ; tout a été conçu à cet effet.
L’abolition du contrôle masculin de la sexualité féminine est l’enjeu principal du féminisme. Sans cadre masculin autoritaire pour maîtriser l’hypergamie féminine, càd le contrôle de l'utérus, le résultat final est invariablement le même :
Si on ne veut pas de l’islamisation, on ne peut pas vouloir du féminisme. Mais si on fait cette critique du féminisme et que l’on appelle à rétablir le patriarcat blanc, les femmes blanches et leurs SIMPS vous accusent immédiatement de vouloir la même chose que les salafistes.
Donc, aucune critique de fond n’est formulée, la situation objective reste la même, le nombre de musulmans augmente, et c’est le patriarcat islamique qui gagne du terrain... Pourtant, d'un point de vu féminin, le patriarcat blanc est bien supérieur.
Créer une société qui garantisse une femme pour chaque homme, ainsi que la famille et les enfants à vie qui vont avec, est la seule façon de résorber cet effondrement démographique, qui permettra ainsi de ré-ancrer l'homme au coeur de la société et le fera redoubler de volonté afin de la servir et de la protéger. Mais cela passe obligatoirement par la fin de la primauté de l’individualisme hédonistique qui sert de terreau au féminisme.
Culturellement, les Blancs sont devenus des consommateurs anarchistes, radicalement opposés à toute espèce de société d’ordre. C’est là que se situe le blocage, et c’est pour cela que toutes les solutions de facilité à court terme sont systématiquement privilégiées, comme l’immigration de masse pour payer les retraites des boomers. La religion de l’avortement en est un bon thermomètre :
En définitive, soit on remet de force les femmes au foyer pour faire des enfants et ainsi perpétuer la race, la patrie, la nation, càd tout ce qui fait la France ; soit on accepte l’islamisation. C’est l’un ou l’autre. Le public blanc n’aime pas du tout voir cette réalité en face et préfère se victimiser en écoutant des lesbiennes comme Mila se plaindre des maghrébins.
Rager sur le fait que les musulmans sont musulmans ne changera rien aux causes fondamentales du problème qui se trouvent non pas chez les allogènes, mais chez les Blancs.
La cause de l’islamisation est à rechercher dans la perte de vitalité démographique indigène. La racine de cette perte de vitalité se trouve dans la reconfiguration de la société patriarcale en société féministe. Si on place les femmes et leurs attentes au coeur de la société, on obtiendra une société adaptée aux injonctions de l’hypergamie féminine.
Les femmes veulent disposer de tous les filets de sécurité possibles pour pouvoir s’extraire à tout moment d’une relation avec un homme : avortement ; divorce ; pensions compensatoires ; aides sociales ; tout a été conçu à cet effet.
L’abolition du contrôle masculin de la sexualité féminine est l’enjeu principal du féminisme. Sans cadre masculin autoritaire pour maîtriser l’hypergamie féminine, càd le contrôle de l'utérus, le résultat final est invariablement le même :

Si on ne veut pas de l’islamisation, on ne peut pas vouloir du féminisme. Mais si on fait cette critique du féminisme et que l’on appelle à rétablir le patriarcat blanc, les femmes blanches et leurs SIMPS vous accusent immédiatement de vouloir la même chose que les salafistes.
Donc, aucune critique de fond n’est formulée, la situation objective reste la même, le nombre de musulmans augmente, et c’est le patriarcat islamique qui gagne du terrain... Pourtant, d'un point de vu féminin, le patriarcat blanc est bien supérieur.
Créer une société qui garantisse une femme pour chaque homme, ainsi que la famille et les enfants à vie qui vont avec, est la seule façon de résorber cet effondrement démographique, qui permettra ainsi de ré-ancrer l'homme au coeur de la société et le fera redoubler de volonté afin de la servir et de la protéger. Mais cela passe obligatoirement par la fin de la primauté de l’individualisme hédonistique qui sert de terreau au féminisme.
Culturellement, les Blancs sont devenus des consommateurs anarchistes, radicalement opposés à toute espèce de société d’ordre. C’est là que se situe le blocage, et c’est pour cela que toutes les solutions de facilité à court terme sont systématiquement privilégiées, comme l’immigration de masse pour payer les retraites des boomers. La religion de l’avortement en est un bon thermomètre :

En définitive, soit on remet de force les femmes au foyer pour faire des enfants et ainsi perpétuer la race, la patrie, la nation, càd tout ce qui fait la France ; soit on accepte l’islamisation. C’est l’un ou l’autre. Le public blanc n’aime pas du tout voir cette réalité en face et préfère se victimiser en écoutant des lesbiennes comme Mila se plaindre des maghrébins.
Bâtiment, tu es un monument
il y a 5 mois
Valium
5 mois
À partir du moment où il y a plus de 60% de femmes au taff, plus personne ne vient
Clairement
il y a 5 mois