Elle va quitter son mec ?
putain mais l'OP cucke moi ce fils de lâche, la queen a choisi son roi et c'est pas lui, c'est toi khey
Ahi la satisfaction de me sentir enfin désiré quand elle m'écrivait des messages et que je répondais pas forcément
Aaaya cette salope
I dont feel the same at all Im havin percocet withdrawl
SWEET 5 : 136
Résumé du rendez-vous de samedi soir.
Après avoir fait une petite sieste pour me rattraper de ma nuit blanche, après avoir un peu galéré à lui expliquer le fonctionnement des transports, je la retrouve à 19h30 assise sur un banc.
Elle se lève en me voyant arriver au loin.
De grands sourires sur nos lèvres mais je ne l'embrasse pas.
Pas d'inquiétude jusque là là nonobstant.
On prend le métro et je l'emmène dans Paris.
Pendant le transport, je la serre au niveau de la taille et elle se blottit.
Qu'est-ce que ça fait plaisir d'avoir cette fois rencontré une fille coopérative sur le plan PHYSIQUE bordel, moi qui ne suis qu'à peine un débutant.
On se promène vraiment au hasard dans Paris, je n'avais pas prévu de l'emmener visiter quelque chose en particulier.
Mais au fur et à mesure que l'on marche, je me rend compte que j'ai beaucoup de mal à alimenter la conversation.
À un moment on se pose sur un muret à ras de Seine.
Elle continue de parler mais le malaise grandit chez moi et me rappelle de mauvais souvenirs de ma dernière relation.
"Pitié c'est pas le moment de croire que je vais t'embrasser stp vite comment éviter le malaise"
Face à ma Célestinerie qui refait surface, je me lève brusquement pour l'inviter à aller plus loin.
Je vise le devant de l'Île de la Cité, mais naturellement c'est déjà blindé de couples et de yeslifes.
Je rebrousse donc chemin et on s'accoude sur le Pont Neuf à regarder le coucher de soleil.
À partir de là le malaise commence à se réduire et je me remets à passer un bon moment.
Toujours accoudée, je finis même par coller son dos contre moi, tout en prenant ses mains dans les miennes.
Nos visages sont si proches et ma bite est collée à sa cuisse, mais je n'arrive vraiment pas à prendre l'initiative de venir chercher ses lèvres avec les miennes.
Au bout d'un certain temps évidemment elle se lasse voyant que je ne vais encore pas agir, donc elle se libère et me fait remarquer l'heure.
Le retour du Célestin qui attend toujours le dernier moment pour se bouger le cul, bordel je flippe vraiment à ce moment là en me disant que j'ai encore une fois laissé passer la chance qui m'était donnée.
Mais fort heureusement pour moi, elle n'est pas si pressée de rentrer chez elle en réalité.
De plus c'est moi qui dirige la course et je continue rue de Rivoli sans réel but.
On rigole toujours plus et elle devient de plus en plus tactile en me faisant des petits pics pour me stimuler.
Elle fait plusieurs remarques sur la Tour Eiffel illuminée qui se rapproche, ce qui me donne un nouveau but en tête pour arriver à mes fins.
Il faut aussi noter qu'à plusieurs reprises elle me lance des remarques implicites par rapport à mon inaction face à son évident désir.
Exemple (en prenant une photo de la ville) : tu sais je fais ça car j'aimerais bien avoir un souvenir de cette soirée avec toi
Bref je finis par l'amener là où je voulais : en bord de Seine juste en face de la Tour Eiffel illuminée, de sorte à ce qu'on ait la plus belle vue.
Le problème c'est que nous sommes nous deux accoudés côte à côte, mais que je recommence à perdre mes couilles.
Mais après 5 minutes à m'être sermoné mentalement en m'insultant de toutes les manières possibles, je finis par enfin agir.
Je commence par toucher ses mains du bout des doigts puis jouer avec les siens.
Elle est coopérative évidemment.
Je lui passe un bras derrière les dos pour la serrer contre moi, et ma bite se retrouve encore une fois collée à elle.
Malgré tout je tarde un peu à me lancer dans l'assaut final.
Nonobstant, cette fois elle fait quelques chose qui m'aide vraiment :
"Maverick ton cœur bat vite je le sens"
"C'est vrai. Et le tiens est à combien de BPM ?"
(Il faut savoir qu'elle avait une Apple Watch)
"136"
Je la regarde dans les yeux plusieurs secondes sans bouger puis me rapproche et dirige mes lèvres vers les siennes.
Je ne saurais trop décrire la situation mais disons que cette fois j'ai réussi à y mettre la langue naturellement, et que le baiser à duré plus d'une seconde
Voici donc le premier réel "French Kiss" de ma vie, et ce devant la Tour Eiffel, ça c'est beau.
Nous nous stoppons ensuite en nous décollant, puis j'en remets un coup cette fois-ci face à elle en lui tenant les mains.
Nous nous dégageons et là je pense dans ma tête ironiquement :
*Toutes ces hésitations pour ça, alors que ce n'était vraiment pas si sorcier au final*
Le cœur léger et fier de ce que je viens enfin d'accomplir, je l'emmène vers la station de métro la plus proche.
Nous terminons le trajet en bus et avant de descendre elle me fait un dernier smack rapide.
Je sais alors que le lendemain elle rentrera déjà dans sa ville.
Pendant que je termine seul le trajet jusqu'à chez moi, je pense sincèrement que cette histoire n'ira pas plus loin.
Mais ai-je raison de penser cela ?
Résumé du rendez-vous de samedi soir.
Après avoir fait une petite sieste pour me rattraper de ma nuit blanche, après avoir un peu galéré à lui expliquer le fonctionnement des transports, je la retrouve à 19h30 assise sur un banc.
Elle se lève en me voyant arriver au loin.
De grands sourires sur nos lèvres mais je ne l'embrasse pas.
Pas d'inquiétude jusque là là nonobstant.
On prend le métro et je l'emmène dans Paris.
Pendant le transport, je la serre au niveau de la taille et elle se blottit.
Qu'est-ce que ça fait plaisir d'avoir cette fois rencontré une fille coopérative sur le plan PHYSIQUE bordel, moi qui ne suis qu'à peine un débutant.
On se promène vraiment au hasard dans Paris, je n'avais pas prévu de l'emmener visiter quelque chose en particulier.
Mais au fur et à mesure que l'on marche, je me rend compte que j'ai beaucoup de mal à alimenter la conversation.
À un moment on se pose sur un muret à ras de Seine.
Elle continue de parler mais le malaise grandit chez moi et me rappelle de mauvais souvenirs de ma dernière relation.
"Pitié c'est pas le moment de croire que je vais t'embrasser stp vite comment éviter le malaise"
Face à ma Célestinerie qui refait surface, je me lève brusquement pour l'inviter à aller plus loin.
Je vise le devant de l'Île de la Cité, mais naturellement c'est déjà blindé de couples et de yeslifes.
Je rebrousse donc chemin et on s'accoude sur le Pont Neuf à regarder le coucher de soleil.
À partir de là le malaise commence à se réduire et je me remets à passer un bon moment.
Toujours accoudée, je finis même par coller son dos contre moi, tout en prenant ses mains dans les miennes.
Nos visages sont si proches et ma bite est collée à sa cuisse, mais je n'arrive vraiment pas à prendre l'initiative de venir chercher ses lèvres avec les miennes.
Au bout d'un certain temps évidemment elle se lasse voyant que je ne vais encore pas agir, donc elle se libère et me fait remarquer l'heure.
Le retour du Célestin qui attend toujours le dernier moment pour se bouger le cul, bordel je flippe vraiment à ce moment là en me disant que j'ai encore une fois laissé passer la chance qui m'était donnée.
Mais fort heureusement pour moi, elle n'est pas si pressée de rentrer chez elle en réalité.
De plus c'est moi qui dirige la course et je continue rue de Rivoli sans réel but.
On rigole toujours plus et elle devient de plus en plus tactile en me faisant des petits pics pour me stimuler.
Elle fait plusieurs remarques sur la Tour Eiffel illuminée qui se rapproche, ce qui me donne un nouveau but en tête pour arriver à mes fins.
Il faut aussi noter qu'à plusieurs reprises elle me lance des remarques implicites par rapport à mon inaction face à son évident désir.
Exemple (en prenant une photo de la ville) : tu sais je fais ça car j'aimerais bien avoir un souvenir de cette soirée avec toi
Bref je finis par l'amener là où je voulais : en bord de Seine juste en face de la Tour Eiffel illuminée, de sorte à ce qu'on ait la plus belle vue.
Le problème c'est que nous sommes nous deux accoudés côte à côte, mais que je recommence à perdre mes couilles.
Mais après 5 minutes à m'être sermoné mentalement en m'insultant de toutes les manières possibles, je finis par enfin agir.
Je commence par toucher ses mains du bout des doigts puis jouer avec les siens.
Elle est coopérative évidemment.
Je lui passe un bras derrière les dos pour la serrer contre moi, et ma bite se retrouve encore une fois collée à elle.
Malgré tout je tarde un peu à me lancer dans l'assaut final.
Nonobstant, cette fois elle fait quelques chose qui m'aide vraiment :
"Maverick ton cœur bat vite je le sens"
"C'est vrai. Et le tiens est à combien de BPM ?"
(Il faut savoir qu'elle avait une Apple Watch)
"136"
Je la regarde dans les yeux plusieurs secondes sans bouger puis me rapproche et dirige mes lèvres vers les siennes.
Je ne saurais trop décrire la situation mais disons que cette fois j'ai réussi à y mettre la langue naturellement, et que le baiser à duré plus d'une seconde
Voici donc le premier réel "French Kiss" de ma vie, et ce devant la Tour Eiffel, ça c'est beau.
Nous nous stoppons ensuite en nous décollant, puis j'en remets un coup cette fois-ci face à elle en lui tenant les mains.
Nous nous dégageons et là je pense dans ma tête ironiquement :
*Toutes ces hésitations pour ça, alors que ce n'était vraiment pas si sorcier au final*
Le cœur léger et fier de ce que je viens enfin d'accomplir, je l'emmène vers la station de métro la plus proche.
Nous terminons le trajet en bus et avant de descendre elle me fait un dernier smack rapide.
Je sais alors que le lendemain elle rentrera déjà dans sa ville.
Pendant que je termine seul le trajet jusqu'à chez moi, je pense sincèrement que cette histoire n'ira pas plus loin.
Mais ai-je raison de penser cela ?
t'as baisé alors ?
->
->
->
MAIS BAISE LA MERDE
BAAAAISSEEEEEEEEE LAAAAAAAAAAAAAAAA
BAAAAISSEEEEEEEEE LAAAAAAAAAAAAAAAA
:z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z::z1z:
Maverick et ses tentatives de vidange de couilles, ça m'avait manqué
Total erezione
SWEET 5 : 136
Résumé du rendez-vous de samedi soir.
Après avoir fait une petite sieste pour me rattraper de ma nuit blanche, après avoir un peu galéré à lui expliquer le fonctionnement des transports, je la retrouve à 19h30 assise sur un banc.
Elle se lève en me voyant arriver au loin.
De grands sourires sur nos lèvres mais je ne l'embrasse pas.
Pas d'inquiétude jusque là là nonobstant.
On prend le métro et je l'emmène dans Paris.
Pendant le transport, je la serre au niveau de la taille et elle se blottit.
Qu'est-ce que ça fait plaisir d'avoir cette fois rencontré une fille coopérative sur le plan PHYSIQUE bordel, moi qui ne suis qu'à peine un débutant.
On se promène vraiment au hasard dans Paris, je n'avais pas prévu de l'emmener visiter quelque chose en particulier.
Mais au fur et à mesure que l'on marche, je me rend compte que j'ai beaucoup de mal à alimenter la conversation.
À un moment on se pose sur un muret à ras de Seine.
Elle continue de parler mais le malaise grandit chez moi et me rappelle de mauvais souvenirs de ma dernière relation.
"Pitié c'est pas le moment de croire que je vais t'embrasser stp vite comment éviter le malaise"
Face à ma Célestinerie qui refait surface, je me lève brusquement pour l'inviter à aller plus loin.
Je vise le devant de l'Île de la Cité, mais naturellement c'est déjà blindé de couples et de yeslifes.
Je rebrousse donc chemin et on s'accoude sur le Pont Neuf à regarder le coucher de soleil.
À partir de là le malaise commence à se réduire et je me remets à passer un bon moment.
Toujours accoudée, je finis même par coller son dos contre moi, tout en prenant ses mains dans les miennes.
Nos visages sont si proches et ma bite est collée à sa cuisse, mais je n'arrive vraiment pas à prendre l'initiative de venir chercher ses lèvres avec les miennes.
Au bout d'un certain temps évidemment elle se lasse voyant que je ne vais encore pas agir, donc elle se libère et me fait remarquer l'heure.
Le retour du Célestin qui attend toujours le dernier moment pour se bouger le cul, bordel je flippe vraiment à ce moment là en me disant que j'ai encore une fois laissé passer la chance qui m'était donnée.
Mais fort heureusement pour moi, elle n'est pas si pressée de rentrer chez elle en réalité.
De plus c'est moi qui dirige la course et je continue rue de Rivoli sans réel but.
On rigole toujours plus et elle devient de plus en plus tactile en me faisant des petits pics pour me stimuler.
Elle fait plusieurs remarques sur la Tour Eiffel illuminée qui se rapproche, ce qui me donne un nouveau but en tête pour arriver à mes fins.
Il faut aussi noter qu'à plusieurs reprises elle me lance des remarques implicites par rapport à mon inaction face à son évident désir.
Exemple (en prenant une photo de la ville) : tu sais je fais ça car j'aimerais bien avoir un souvenir de cette soirée avec toi
Bref je finis par l'amener là où je voulais : en bord de Seine juste en face de la Tour Eiffel illuminée, de sorte à ce qu'on ait la plus belle vue.
Le problème c'est que nous sommes nous deux accoudés côte à côte, mais que je recommence à perdre mes couilles.
Mais après 5 minutes à m'être sermoné mentalement en m'insultant de toutes les manières possibles, je finis par enfin agir.
Je commence par toucher ses mains du bout des doigts puis jouer avec les siens.
Elle est coopérative évidemment.
Je lui passe un bras derrière les dos pour la serrer contre moi, et ma bite se retrouve encore une fois collée à elle.
Malgré tout je tarde un peu à me lancer dans l'assaut final.
Nonobstant, cette fois elle fait quelques chose qui m'aide vraiment :
"Maverick ton cœur bat vite je le sens"
"C'est vrai. Et le tiens est à combien de BPM ?"
(Il faut savoir qu'elle avait une Apple Watch)
"136"
Je la regarde dans les yeux plusieurs secondes sans bouger puis me rapproche et dirige mes lèvres vers les siennes.
Je ne saurais trop décrire la situation mais disons que cette fois j'ai réussi à y mettre la langue naturellement, et que le baiser à duré plus d'une seconde
Voici donc le premier réel "French Kiss" de ma vie, et ce devant la Tour Eiffel, ça c'est beau.
Nous nous stoppons ensuite en nous décollant, puis j'en remets un coup cette fois-ci face à elle en lui tenant les mains.
Nous nous dégageons et là je pense dans ma tête ironiquement :
*Toutes ces hésitations pour ça, alors que ce n'était vraiment pas si sorcier au final*
Le cœur léger et fier de ce que je viens enfin d'accomplir, je l'emmène vers la station de métro la plus proche.
Nous terminons le trajet en bus et avant de descendre elle me fait un dernier smack rapide.
Je sais alors que le lendemain elle rentrera déjà dans sa ville.
Pendant que je termine seul le trajet jusqu'à chez moi, je pense sincèrement que cette histoire n'ira pas plus loin.
Mais ai-je raison de penser cela ?
Résumé du rendez-vous de samedi soir.
Après avoir fait une petite sieste pour me rattraper de ma nuit blanche, après avoir un peu galéré à lui expliquer le fonctionnement des transports, je la retrouve à 19h30 assise sur un banc.
Elle se lève en me voyant arriver au loin.
De grands sourires sur nos lèvres mais je ne l'embrasse pas.
Pas d'inquiétude jusque là là nonobstant.
On prend le métro et je l'emmène dans Paris.
Pendant le transport, je la serre au niveau de la taille et elle se blottit.
Qu'est-ce que ça fait plaisir d'avoir cette fois rencontré une fille coopérative sur le plan PHYSIQUE bordel, moi qui ne suis qu'à peine un débutant.
On se promène vraiment au hasard dans Paris, je n'avais pas prévu de l'emmener visiter quelque chose en particulier.
Mais au fur et à mesure que l'on marche, je me rend compte que j'ai beaucoup de mal à alimenter la conversation.
À un moment on se pose sur un muret à ras de Seine.
Elle continue de parler mais le malaise grandit chez moi et me rappelle de mauvais souvenirs de ma dernière relation.
"Pitié c'est pas le moment de croire que je vais t'embrasser stp vite comment éviter le malaise"
Face à ma Célestinerie qui refait surface, je me lève brusquement pour l'inviter à aller plus loin.
Je vise le devant de l'Île de la Cité, mais naturellement c'est déjà blindé de couples et de yeslifes.
Je rebrousse donc chemin et on s'accoude sur le Pont Neuf à regarder le coucher de soleil.
À partir de là le malaise commence à se réduire et je me remets à passer un bon moment.
Toujours accoudée, je finis même par coller son dos contre moi, tout en prenant ses mains dans les miennes.
Nos visages sont si proches et ma bite est collée à sa cuisse, mais je n'arrive vraiment pas à prendre l'initiative de venir chercher ses lèvres avec les miennes.
Au bout d'un certain temps évidemment elle se lasse voyant que je ne vais encore pas agir, donc elle se libère et me fait remarquer l'heure.
Le retour du Célestin qui attend toujours le dernier moment pour se bouger le cul, bordel je flippe vraiment à ce moment là en me disant que j'ai encore une fois laissé passer la chance qui m'était donnée.
Mais fort heureusement pour moi, elle n'est pas si pressée de rentrer chez elle en réalité.
De plus c'est moi qui dirige la course et je continue rue de Rivoli sans réel but.
On rigole toujours plus et elle devient de plus en plus tactile en me faisant des petits pics pour me stimuler.
Elle fait plusieurs remarques sur la Tour Eiffel illuminée qui se rapproche, ce qui me donne un nouveau but en tête pour arriver à mes fins.
Il faut aussi noter qu'à plusieurs reprises elle me lance des remarques implicites par rapport à mon inaction face à son évident désir.
Exemple (en prenant une photo de la ville) : tu sais je fais ça car j'aimerais bien avoir un souvenir de cette soirée avec toi
Bref je finis par l'amener là où je voulais : en bord de Seine juste en face de la Tour Eiffel illuminée, de sorte à ce qu'on ait la plus belle vue.
Le problème c'est que nous sommes nous deux accoudés côte à côte, mais que je recommence à perdre mes couilles.
Mais après 5 minutes à m'être sermoné mentalement en m'insultant de toutes les manières possibles, je finis par enfin agir.
Je commence par toucher ses mains du bout des doigts puis jouer avec les siens.
Elle est coopérative évidemment.
Je lui passe un bras derrière les dos pour la serrer contre moi, et ma bite se retrouve encore une fois collée à elle.
Malgré tout je tarde un peu à me lancer dans l'assaut final.
Nonobstant, cette fois elle fait quelques chose qui m'aide vraiment :
"Maverick ton cœur bat vite je le sens"
"C'est vrai. Et le tiens est à combien de BPM ?"
(Il faut savoir qu'elle avait une Apple Watch)
"136"
Je la regarde dans les yeux plusieurs secondes sans bouger puis me rapproche et dirige mes lèvres vers les siennes.
Je ne saurais trop décrire la situation mais disons que cette fois j'ai réussi à y mettre la langue naturellement, et que le baiser à duré plus d'une seconde
Voici donc le premier réel "French Kiss" de ma vie, et ce devant la Tour Eiffel, ça c'est beau.
Nous nous stoppons ensuite en nous décollant, puis j'en remets un coup cette fois-ci face à elle en lui tenant les mains.
Nous nous dégageons et là je pense dans ma tête ironiquement :
*Toutes ces hésitations pour ça, alors que ce n'était vraiment pas si sorcier au final*
Le cœur léger et fier de ce que je viens enfin d'accomplir, je l'emmène vers la station de métro la plus proche.
Nous terminons le trajet en bus et avant de descendre elle me fait un dernier smack rapide.
Je sais alors que le lendemain elle rentrera déjà dans sa ville.
Pendant que je termine seul le trajet jusqu'à chez moi, je pense sincèrement que cette histoire n'ira pas plus loin.
Mais ai-je raison de penser cela ?
GG MON POTE, tu t'es dépucelé de la bouche?
Tu fais quoi dans la vie t'es étudiant?
Tu fais quoi dans la vie t'es étudiant?
mais t'attends quoi putain
c'est open bar la elle attends que ça
Maverick et ses tentatives de vidange de couilles, ça m'avait manqué
C'est peut-être la bonne cette fois clé
GG MON POTE, tu t'es dépucelé de la bouche?
Tu fais quoi dans la vie t'es étudiant?
Tu fais quoi dans la vie t'es étudiant?
Mon tout premier dépucelage des lèvres s'est fait aussi cette année avec une autre fille, mais avec qui j'ai complétement foiré malgré le fait qu'elle devait tenir énormément à moi et m'avait laissé beaucoup de chances.
J'avais dû ne l'embrasser 3 fois en tout, de surcroît en mode smack bordel la honte vu que je n'avais absolument aucune XP.
Pardonne moi Elena
+ Je suis étudiant 19 ans et ma nouvelle dulcinée aussi
J'avais dû ne l'embrasser 3 fois en tout, de surcroît en mode smack bordel la honte vu que je n'avais absolument aucune XP.
Pardonne moi Elena
+ Je suis étudiant 19 ans et ma nouvelle dulcinée aussi
mais t'attends quoi putain
c'est open bar la elle attends que ça
On en parlera dans la prochaine sweet clé
Gg beau gosse, j'aime bien quand une fiction de puceau se finit bien
Je vois des gens qui sont trans. 
SWEET 5 : 136
Résumé du rendez-vous de samedi soir.
Après avoir fait une petite sieste pour me rattraper de ma nuit blanche, après avoir un peu galéré à lui expliquer le fonctionnement des transports, je la retrouve à 19h30 assise sur un banc.
Elle se lève en me voyant arriver au loin.
De grands sourires sur nos lèvres mais je ne l'embrasse pas.
Pas d'inquiétude jusque là là nonobstant.
On prend le métro et je l'emmène dans Paris.
Pendant le transport, je la serre au niveau de la taille et elle se blottit.
Qu'est-ce que ça fait plaisir d'avoir cette fois rencontré une fille coopérative sur le plan PHYSIQUE bordel, moi qui ne suis qu'à peine un débutant.
On se promène vraiment au hasard dans Paris, je n'avais pas prévu de l'emmener visiter quelque chose en particulier.
Mais au fur et à mesure que l'on marche, je me rend compte que j'ai beaucoup de mal à alimenter la conversation.
À un moment on se pose sur un muret à ras de Seine.
Elle continue de parler mais le malaise grandit chez moi et me rappelle de mauvais souvenirs de ma dernière relation.
"Pitié c'est pas le moment de croire que je vais t'embrasser stp vite comment éviter le malaise"
Face à ma Célestinerie qui refait surface, je me lève brusquement pour l'inviter à aller plus loin.
Je vise le devant de l'Île de la Cité, mais naturellement c'est déjà blindé de couples et de yeslifes.
Je rebrousse donc chemin et on s'accoude sur le Pont Neuf à regarder le coucher de soleil.
À partir de là le malaise commence à se réduire et je me remets à passer un bon moment.
Toujours accoudée, je finis même par coller son dos contre moi, tout en prenant ses mains dans les miennes.
Nos visages sont si proches et ma bite est collée à sa cuisse, mais je n'arrive vraiment pas à prendre l'initiative de venir chercher ses lèvres avec les miennes.
Au bout d'un certain temps évidemment elle se lasse voyant que je ne vais encore pas agir, donc elle se libère et me fait remarquer l'heure.
Le retour du Célestin qui attend toujours le dernier moment pour se bouger le cul, bordel je flippe vraiment à ce moment là en me disant que j'ai encore une fois laissé passer la chance qui m'était donnée.
Mais fort heureusement pour moi, elle n'est pas si pressée de rentrer chez elle en réalité.
De plus c'est moi qui dirige la course et je continue rue de Rivoli sans réel but.
On rigole toujours plus et elle devient de plus en plus tactile en me faisant des petits pics pour me stimuler.
Elle fait plusieurs remarques sur la Tour Eiffel illuminée qui se rapproche, ce qui me donne un nouveau but en tête pour arriver à mes fins.
Il faut aussi noter qu'à plusieurs reprises elle me lance des remarques implicites par rapport à mon inaction face à son évident désir.
Exemple (en prenant une photo de la ville) : tu sais je fais ça car j'aimerais bien avoir un souvenir de cette soirée avec toi
Bref je finis par l'amener là où je voulais : en bord de Seine juste en face de la Tour Eiffel illuminée, de sorte à ce qu'on ait la plus belle vue.
Le problème c'est que nous sommes nous deux accoudés côte à côte, mais que je recommence à perdre mes couilles.
Mais après 5 minutes à m'être sermoné mentalement en m'insultant de toutes les manières possibles, je finis par enfin agir.
Je commence par toucher ses mains du bout des doigts puis jouer avec les siens.
Elle est coopérative évidemment.
Je lui passe un bras derrière les dos pour la serrer contre moi, et ma bite se retrouve encore une fois collée à elle.
Malgré tout je tarde un peu à me lancer dans l'assaut final.
Nonobstant, cette fois elle fait quelques chose qui m'aide vraiment :
"Maverick ton cœur bat vite je le sens"
"C'est vrai. Et le tiens est à combien de BPM ?"
(Il faut savoir qu'elle avait une Apple Watch)
"136"
Je la regarde dans les yeux plusieurs secondes sans bouger puis me rapproche et dirige mes lèvres vers les siennes.
Je ne saurais trop décrire la situation mais disons que cette fois j'ai réussi à y mettre la langue naturellement, et que le baiser à duré plus d'une seconde
Voici donc le premier réel "French Kiss" de ma vie, et ce devant la Tour Eiffel, ça c'est beau.
Nous nous stoppons ensuite en nous décollant, puis j'en remets un coup cette fois-ci face à elle en lui tenant les mains.
Nous nous dégageons et là je pense dans ma tête ironiquement :
*Toutes ces hésitations pour ça, alors que ce n'était vraiment pas si sorcier au final*
Le cœur léger et fier de ce que je viens enfin d'accomplir, je l'emmène vers la station de métro la plus proche.
Nous terminons le trajet en bus et avant de descendre elle me fait un dernier smack rapide.
Je sais alors que le lendemain elle rentrera déjà dans sa ville.
Pendant que je termine seul le trajet jusqu'à chez moi, je pense sincèrement que cette histoire n'ira pas plus loin.
Mais ai-je raison de penser cela ?
Résumé du rendez-vous de samedi soir.
Après avoir fait une petite sieste pour me rattraper de ma nuit blanche, après avoir un peu galéré à lui expliquer le fonctionnement des transports, je la retrouve à 19h30 assise sur un banc.
Elle se lève en me voyant arriver au loin.
De grands sourires sur nos lèvres mais je ne l'embrasse pas.
Pas d'inquiétude jusque là là nonobstant.
On prend le métro et je l'emmène dans Paris.
Pendant le transport, je la serre au niveau de la taille et elle se blottit.
Qu'est-ce que ça fait plaisir d'avoir cette fois rencontré une fille coopérative sur le plan PHYSIQUE bordel, moi qui ne suis qu'à peine un débutant.
On se promène vraiment au hasard dans Paris, je n'avais pas prévu de l'emmener visiter quelque chose en particulier.
Mais au fur et à mesure que l'on marche, je me rend compte que j'ai beaucoup de mal à alimenter la conversation.
À un moment on se pose sur un muret à ras de Seine.
Elle continue de parler mais le malaise grandit chez moi et me rappelle de mauvais souvenirs de ma dernière relation.
"Pitié c'est pas le moment de croire que je vais t'embrasser stp vite comment éviter le malaise"
Face à ma Célestinerie qui refait surface, je me lève brusquement pour l'inviter à aller plus loin.
Je vise le devant de l'Île de la Cité, mais naturellement c'est déjà blindé de couples et de yeslifes.
Je rebrousse donc chemin et on s'accoude sur le Pont Neuf à regarder le coucher de soleil.
À partir de là le malaise commence à se réduire et je me remets à passer un bon moment.
Toujours accoudée, je finis même par coller son dos contre moi, tout en prenant ses mains dans les miennes.
Nos visages sont si proches et ma bite est collée à sa cuisse, mais je n'arrive vraiment pas à prendre l'initiative de venir chercher ses lèvres avec les miennes.
Au bout d'un certain temps évidemment elle se lasse voyant que je ne vais encore pas agir, donc elle se libère et me fait remarquer l'heure.
Le retour du Célestin qui attend toujours le dernier moment pour se bouger le cul, bordel je flippe vraiment à ce moment là en me disant que j'ai encore une fois laissé passer la chance qui m'était donnée.
Mais fort heureusement pour moi, elle n'est pas si pressée de rentrer chez elle en réalité.
De plus c'est moi qui dirige la course et je continue rue de Rivoli sans réel but.
On rigole toujours plus et elle devient de plus en plus tactile en me faisant des petits pics pour me stimuler.
Elle fait plusieurs remarques sur la Tour Eiffel illuminée qui se rapproche, ce qui me donne un nouveau but en tête pour arriver à mes fins.
Il faut aussi noter qu'à plusieurs reprises elle me lance des remarques implicites par rapport à mon inaction face à son évident désir.
Exemple (en prenant une photo de la ville) : tu sais je fais ça car j'aimerais bien avoir un souvenir de cette soirée avec toi
Bref je finis par l'amener là où je voulais : en bord de Seine juste en face de la Tour Eiffel illuminée, de sorte à ce qu'on ait la plus belle vue.
Le problème c'est que nous sommes nous deux accoudés côte à côte, mais que je recommence à perdre mes couilles.
Mais après 5 minutes à m'être sermoné mentalement en m'insultant de toutes les manières possibles, je finis par enfin agir.
Je commence par toucher ses mains du bout des doigts puis jouer avec les siens.
Elle est coopérative évidemment.
Je lui passe un bras derrière les dos pour la serrer contre moi, et ma bite se retrouve encore une fois collée à elle.
Malgré tout je tarde un peu à me lancer dans l'assaut final.
Nonobstant, cette fois elle fait quelques chose qui m'aide vraiment :
"Maverick ton cœur bat vite je le sens"
"C'est vrai. Et le tiens est à combien de BPM ?"
(Il faut savoir qu'elle avait une Apple Watch)
"136"
Je la regarde dans les yeux plusieurs secondes sans bouger puis me rapproche et dirige mes lèvres vers les siennes.
Je ne saurais trop décrire la situation mais disons que cette fois j'ai réussi à y mettre la langue naturellement, et que le baiser à duré plus d'une seconde
Voici donc le premier réel "French Kiss" de ma vie, et ce devant la Tour Eiffel, ça c'est beau.
Nous nous stoppons ensuite en nous décollant, puis j'en remets un coup cette fois-ci face à elle en lui tenant les mains.
Nous nous dégageons et là je pense dans ma tête ironiquement :
*Toutes ces hésitations pour ça, alors que ce n'était vraiment pas si sorcier au final*
Le cœur léger et fier de ce que je viens enfin d'accomplir, je l'emmène vers la station de métro la plus proche.
Nous terminons le trajet en bus et avant de descendre elle me fait un dernier smack rapide.
Je sais alors que le lendemain elle rentrera déjà dans sa ville.
Pendant que je termine seul le trajet jusqu'à chez moi, je pense sincèrement que cette histoire n'ira pas plus loin.
Mais ai-je raison de penser cela ?
Super Maverick
Tu t'es pas dégonflé pour l'embrasser, tu vois au final c'est pas quelque chose qui vaut la peine d'en faire une montagne
Bon prochaine fille tu sais quelle étape il te reste à passer
Tu t'es pas dégonflé pour l'embrasser, tu vois au final c'est pas quelque chose qui vaut la peine d'en faire une montagne
Bon prochaine fille tu sais quelle étape il te reste à passer
"De la même façon que je me retourne rarement vers le passé, je ne sais jamais de quoi sera fait mon avenir"
Putain je sais pas ce que j attends le plus
Le moment ou tu vas la baiser ou le moments ou tu vas complètement te déchirer
En attendant vite la SWEET
Le moment ou tu vas la baiser ou le moments ou tu vas complètement te déchirer
En attendant vite la SWEET
Libre , je suis libre !!!
Super Maverick
Tu t'es pas dégonflé pour l'embrasser, tu vois au final c'est pas quelque chose qui vaut la peine d'en faire une montagne
Bon prochaine fille tu sais quelle étape il te reste à passer
Tu t'es pas dégonflé pour l'embrasser, tu vois au final c'est pas quelque chose qui vaut la peine d'en faire une montagne
Bon prochaine fille tu sais quelle étape il te reste à passer
Salut clé merci
Tu sais quand tu me disais que t'avais attendu que des meufs entreprenantent viennent vers toi, bah au final c'est vraiment ce qu'il se passe et c'est le top pour un débutant comme moi
Elle est tombée de nulle part en étant intéressée, comme la fille de ma première "relation", sauf qu'elle doit avoir plus d'expérience et sait vraiment me mettre à l'aise
Edit: + le fait d'avoir raté une fois m'interdit de réitérer mon erreur
Tu sais quand tu me disais que t'avais attendu que des meufs entreprenantent viennent vers toi, bah au final c'est vraiment ce qu'il se passe et c'est le top pour un débutant comme moi
Elle est tombée de nulle part en étant intéressée, comme la fille de ma première "relation", sauf qu'elle doit avoir plus d'expérience et sait vraiment me mettre à l'aise
Edit: + le fait d'avoir raté une fois m'interdit de réitérer mon erreur