Sinon tu veux pas parler du contenu du topic ?
Nous sommes un.
De quoi ?
Et donc ?
Nous sommes un.
Et donc ?
Sinon tu veux pas parler du contenu du topic ?
Il y a aucune preuve que les FM invoquent Mithra ou une autre divinité, c'est de la spéculation.
D'ailleurs, on prête aux FM des cultes à Isis ou Hecate, là aussi, aucune preuve.
D'ailleurs, on prête aux FM des cultes à Isis ou Hecate, là aussi, aucune preuve.
Consultant en mewing et fiscalité crypto
Tout comme on a aucune preuve que dieu existe et pourtant....
Nous sommes un.
Nous sommes un.
@Appleblack
Nous sommes un.
Nous sommes un.
Nous sommes un.
Abraxas (grec : Αβραξας), Abrasax, ou encore Abracax
Terme gnostique utilisé par le théologien Basilide et qui représente les 365 émanations du Dieu suprême.
Selon Jacques Basnage, Abraxas tire son origine des anciens Égyptiens, car on a trouvé un grand nombre d’amulettes sur lesquelles est représenté Harpocrate assis sur son lotus avec un fouet à la main, et le mot abrasax.
C'est un cryptogramme d'origine hébraïque, écrit initialement sur deux lignes ABRA / XAS, qui lues en boustrophédon hébraïque, font ARBA / XAS, c'est-à-dire : « Que Dieu (ARBA) protège (XAS) ».
Son bouclier porte souvent le nom du dieu IAW (Iaô), forme hellénisée du nom du dieu juif, référence à des passages bibliques où il est dit que Dieu est le bouclier de l'homme.
Ce dieu est souvent associé à Osiris, Harpocrate, Panthée, Hécate.
Il est représenté avec des serpents en guise de jambes, comme les géants de la mythologie grecque (γιγαc), dont le nom est rapproché de l'hébreu GiBW signifiant « un homme grand ». Les Néphilims bordel.
Plusieurs significations :
Les basilidiens, hérétiques du iie siècle, auraient utilisé le terme pour désigner l'ensemble des éons, émanations divines, sortes de génies ou anges, qui présidaient aux 365 cieux. D'autres interprètent le terme comme étant le dieu suprême, mais ce n'est pas conforme à la doctrine de Basilide.
Le terme abraxas composé de sept lettres fait référence dans le système gnostique aux sept planètes (et par extension aux sept archanges, aux sept péchés, aux sept jours, etc.) Décomposées selon le système grec de numérotation (A=1, B=2, R=100, X=60, S=200), puis additionnées, les sept lettres du terme donnent le nombre de jours du cycle annuel, soit 365. Par une logique semblable à celle de la Grande Année, il pourrait être le symbole de la totalité de la Création, du cosmos et de la Connaissance (gnosis).
Selon Saint Jérôme, Abraxas correspondrait au nom mystique et caché de Mithra ou du Soleil, dont la somme des lettres, en grec (αβραξας), donne le nombre 365 correspondant aux jours d'une année solaire.
Pour rappelle, Mithra :
Et la cerise sur le gateau, l'Ordre du Temple utilisait Abraxas comme contre-sceau pour les missives secrètes.
NON-PRÊT
J'espère que vous êtes contents de pouvoir VOTER pour votre prochain bourreau.
Terme gnostique utilisé par le théologien Basilide et qui représente les 365 émanations du Dieu suprême.
Selon Jacques Basnage, Abraxas tire son origine des anciens Égyptiens, car on a trouvé un grand nombre d’amulettes sur lesquelles est représenté Harpocrate assis sur son lotus avec un fouet à la main, et le mot abrasax.
C'est un cryptogramme d'origine hébraïque, écrit initialement sur deux lignes ABRA / XAS, qui lues en boustrophédon hébraïque, font ARBA / XAS, c'est-à-dire : « Que Dieu (ARBA) protège (XAS) ».
Son bouclier porte souvent le nom du dieu IAW (Iaô), forme hellénisée du nom du dieu juif, référence à des passages bibliques où il est dit que Dieu est le bouclier de l'homme.
Ce dieu est souvent associé à Osiris, Harpocrate, Panthée, Hécate.
Il est représenté avec des serpents en guise de jambes, comme les géants de la mythologie grecque (γιγαc), dont le nom est rapproché de l'hébreu GiBW signifiant « un homme grand ». Les Néphilims bordel.
Plusieurs significations :
Les basilidiens, hérétiques du iie siècle, auraient utilisé le terme pour désigner l'ensemble des éons, émanations divines, sortes de génies ou anges, qui présidaient aux 365 cieux. D'autres interprètent le terme comme étant le dieu suprême, mais ce n'est pas conforme à la doctrine de Basilide.
Le terme abraxas composé de sept lettres fait référence dans le système gnostique aux sept planètes (et par extension aux sept archanges, aux sept péchés, aux sept jours, etc.) Décomposées selon le système grec de numérotation (A=1, B=2, R=100, X=60, S=200), puis additionnées, les sept lettres du terme donnent le nombre de jours du cycle annuel, soit 365. Par une logique semblable à celle de la Grande Année, il pourrait être le symbole de la totalité de la Création, du cosmos et de la Connaissance (gnosis).
Selon Saint Jérôme, Abraxas correspondrait au nom mystique et caché de Mithra ou du Soleil, dont la somme des lettres, en grec (αβραξας), donne le nombre 365 correspondant aux jours d'une année solaire.
Pour rappelle, Mithra :
Et la cerise sur le gateau, l'Ordre du Temple utilisait Abraxas comme contre-sceau pour les missives secrètes.
NON-PRÊT
J'espère que vous êtes contents de pouvoir VOTER pour votre prochain bourreau.
En gros la même secte a survécu à travers les âges aux effondrements et retour des États, avec des noms différents et a même pu présider à leur naissance et déclin
Et là le Dieu des juifs n'est pas Dieu mais un sous-produit animé par le désir de vengeance et de destruction, ce qui expliquerait la violence systématique des chutes des civilisations, dont la nôtre
J'ai bon ?
Et là le Dieu des juifs n'est pas Dieu mais un sous-produit animé par le désir de vengeance et de destruction, ce qui expliquerait la violence systématique des chutes des civilisations, dont la nôtre
J'ai bon ?
En gros la même secte a survécu à travers les âges aux effondrements et retour des États, avec des noms différents et a même pu présider à leur naissance et déclin
Et là le Dieu des juifs n'est pas Dieu mais un sous-produit animé par le désir de vengeance et de destruction, ce qui expliquerait la violence systématique des chutes des civilisations, dont la nôtre
J'ai bon ?
Et là le Dieu des juifs n'est pas Dieu mais un sous-produit animé par le désir de vengeance et de destruction, ce qui expliquerait la violence systématique des chutes des civilisations, dont la nôtre
J'ai bon ?
C'est ta version des choses
Nous sommes un.
C'est ta version des choses
Mais qu'est-ce qu'il protège du coup ce dieu ? J'ai plutôt l'impression qu'il casse les couilles
Mais qu'est-ce qu'il protège du coup ce dieu ? J'ai plutôt l'impression qu'il casse les couilles
Encore une fois, c'est ta version des choses.
Pour moi les dieux sont neutres.
C'est comme les démons de la Goethia. Beaucoup de gens les prient et pourtant ne tuent pas
Pour moi les dieux sont neutres.
C'est comme les démons de la Goethia. Beaucoup de gens les prient et pourtant ne tuent pas
Nous sommes un.
Abraxas (grec : Αβραξας), Abrasax, ou encore Abracax
Terme gnostique utilisé par le théologien Basilide et qui représente les 365 émanations du Dieu suprême.
Selon Jacques Basnage, Abraxas tire son origine des anciens Égyptiens, car on a trouvé un grand nombre d’amulettes sur lesquelles est représenté Harpocrate assis sur son lotus avec un fouet à la main, et le mot abrasax.
C'est un cryptogramme d'origine hébraïque, écrit initialement sur deux lignes ABRA / XAS, qui lues en boustrophédon hébraïque, font ARBA / XAS, c'est-à-dire : « Que Dieu (ARBA) protège (XAS) ».
Son bouclier porte souvent le nom du dieu IAW (Iaô), forme hellénisée du nom du dieu juif, référence à des passages bibliques où il est dit que Dieu est le bouclier de l'homme.
Ce dieu est souvent associé à Osiris, Harpocrate, Panthée, Hécate.
Il est représenté avec des serpents en guise de jambes, comme les géants de la mythologie grecque (γιγαc), dont le nom est rapproché de l'hébreu GiBW signifiant « un homme grand ». Les Néphilims bordel.
Plusieurs significations :
Les basilidiens, hérétiques du iie siècle, auraient utilisé le terme pour désigner l'ensemble des éons, émanations divines, sortes de génies ou anges, qui présidaient aux 365 cieux. D'autres interprètent le terme comme étant le dieu suprême, mais ce n'est pas conforme à la doctrine de Basilide.
Le terme abraxas composé de sept lettres fait référence dans le système gnostique aux sept planètes (et par extension aux sept archanges, aux sept péchés, aux sept jours, etc.) Décomposées selon le système grec de numérotation (A=1, B=2, R=100, X=60, S=200), puis additionnées, les sept lettres du terme donnent le nombre de jours du cycle annuel, soit 365. Par une logique semblable à celle de la Grande Année, il pourrait être le symbole de la totalité de la Création, du cosmos et de la Connaissance (gnosis).
Selon Saint Jérôme, Abraxas correspondrait au nom mystique et caché de Mithra ou du Soleil, dont la somme des lettres, en grec (αβραξας), donne le nombre 365 correspondant aux jours d'une année solaire.
Pour rappelle, Mithra :
Et la cerise sur le gateau, l'Ordre du Temple utilisait Abraxas comme contre-sceau pour les missives secrètes.
NON-PRÊT
J'espère que vous êtes contents de pouvoir VOTER pour votre prochain bourreau.
Terme gnostique utilisé par le théologien Basilide et qui représente les 365 émanations du Dieu suprême.
Selon Jacques Basnage, Abraxas tire son origine des anciens Égyptiens, car on a trouvé un grand nombre d’amulettes sur lesquelles est représenté Harpocrate assis sur son lotus avec un fouet à la main, et le mot abrasax.
C'est un cryptogramme d'origine hébraïque, écrit initialement sur deux lignes ABRA / XAS, qui lues en boustrophédon hébraïque, font ARBA / XAS, c'est-à-dire : « Que Dieu (ARBA) protège (XAS) ».
Son bouclier porte souvent le nom du dieu IAW (Iaô), forme hellénisée du nom du dieu juif, référence à des passages bibliques où il est dit que Dieu est le bouclier de l'homme.
Ce dieu est souvent associé à Osiris, Harpocrate, Panthée, Hécate.
Il est représenté avec des serpents en guise de jambes, comme les géants de la mythologie grecque (γιγαc), dont le nom est rapproché de l'hébreu GiBW signifiant « un homme grand ». Les Néphilims bordel.
Plusieurs significations :
Les basilidiens, hérétiques du iie siècle, auraient utilisé le terme pour désigner l'ensemble des éons, émanations divines, sortes de génies ou anges, qui présidaient aux 365 cieux. D'autres interprètent le terme comme étant le dieu suprême, mais ce n'est pas conforme à la doctrine de Basilide.
Le terme abraxas composé de sept lettres fait référence dans le système gnostique aux sept planètes (et par extension aux sept archanges, aux sept péchés, aux sept jours, etc.) Décomposées selon le système grec de numérotation (A=1, B=2, R=100, X=60, S=200), puis additionnées, les sept lettres du terme donnent le nombre de jours du cycle annuel, soit 365. Par une logique semblable à celle de la Grande Année, il pourrait être le symbole de la totalité de la Création, du cosmos et de la Connaissance (gnosis).
Selon Saint Jérôme, Abraxas correspondrait au nom mystique et caché de Mithra ou du Soleil, dont la somme des lettres, en grec (αβραξας), donne le nombre 365 correspondant aux jours d'une année solaire.
Pour rappelle, Mithra :
Et la cerise sur le gateau, l'Ordre du Temple utilisait Abraxas comme contre-sceau pour les missives secrètes.
NON-PRÊT
J'espère que vous êtes contents de pouvoir VOTER pour votre prochain bourreau.
C'est olivier roney ?
Un meilleur sport que la lutte bordel de merde ?
Et faire l'autruche
Nous sommes un.
Nous sommes un.