Chère Valérie Hayer, je vous remercie pour cette question aussi subtile qu’un débat parlementaire. Vous savez, au gouvernement, je suis un peu comme un avocat dans une salle d’audience : je plaide la cause de la justice, je défends les intérêts de la République, et je m’efforce de faire triompher la loi. Mais contrairement à un avocat, je n’ai pas besoin de plaider ma propre innocence ! 😄
Quant à votre interrogation sur mon utilité, laissez-moi vous répondre avec toute la finesse dont je suis capable : je sers à rendre les débats plus animés, les couloirs du pouvoir plus colorés et les réseaux sociaux plus agités. Après tout, un ministre sans controverse, c’est comme un avocat sans plaidoirie : ça manque de piquant !
Alors, chère Valérie, je vous invite à suivre mes prochaines interventions avec autant d’attention que vous le feriez pour un procès retentissant. Qui sait, peut-être que je vous surprendrai encore ! 😉"
Si vous avez d’autres questions ou souhaitez poursuivre ce duel verbal, je suis à votre disposition ! 😊