Ce sujet a été résolu
Merci à toi L'OP et à toi également @voiture054 c'est le forome que j'aime ça.
il y a un an
Seugondaire
1 an
La BA n'existe pas, mis ce qui est réel en revanche est la méchanceté de ce juif.
Il faut comprendre qu'il n'a pas attendu d'être au courant des camps d'extermination pour vouloir tuer des nazis.
C'est-à-dire, qu'à ce moment, le "nazi" n'était qu'un allemand en ayant marre de subir - entre autres, car l'allemand était victime de bien des choses - le communautarisme des juifs dans son pays, et leurs combines mafieuses. Pour ce juif, ils étaient méchant car ils en avaient marre d'être victimes d'eux. Il n'était pas encore question de leur extermination, que je condamne fermement avec fermeté. L'opinion publique n'était pas encore au courant des crimes nazis, à ce moment, le nazi, ce n'était encore qu'un affamé en révolte contre le pouvoir bourgeois dont les juifs étaient complices. D'ailleurs la question juive en elle-même n'était pas la première préoccupation de l'époque.
Il faut que les goys comprennent par là à quels point les juifs sont très souvent des gens cruels et tyranniques, des sadiques, mêmes. Si tu refuses poliment le racket d'un juif, le juif est sincèrement outré, véxé que tu le refuses. Il ne te tue pas simplement par nécessité pour son business, il considère sincèrement que tu es mauvais, car il ne dissocie pas ce qui lui est nuisible de ce qui est mauvais, le bien et le mal n'existent pas pour lui, il n'y a que le plaisant et le déplaisant. Si tu lui as déplu, il considère que tu es le diable et que tu mérites tous les sévices.
Ce qui est très piégeux pour le goy car la réaction du juif est des plus sincère. Le goy se met donc à croire qu'il y a réellement eu un outrage commis à l'égard du juif, pour qu'il se mette dans de tels états, au lieu de s'enfuir en courbant l'échine. Et c'est le piège : il n'y a eu aucune offense. Un simple "non". "Non s'il te plaît, ne vole pas ça", "non merci pas de poison", "vous n'êtes plus le bienvenue, allez-vous en je vous prie". Rien de plus.
Un peu comme les arabes d'ailleurs, c'est la même chose. Pour l'arabe, le "non" c'est pas entendable, il est sincèrement inconcevable pour l'arabe de ne pas pouvoir jouir de tout à tout instant, d'être exclu. Ce n'est pas qu'un calcul, c'est une aspiration profonde et sincère aux biens et aux droits d'autrui, sans auto-critique. C'est généralement un trait de caractère africain. L'intolérance à la frustration.
Il faut comprendre qu'il n'a pas attendu d'être au courant des camps d'extermination pour vouloir tuer des nazis.
C'est-à-dire, qu'à ce moment, le "nazi" n'était qu'un allemand en ayant marre de subir - entre autres, car l'allemand était victime de bien des choses - le communautarisme des juifs dans son pays, et leurs combines mafieuses. Pour ce juif, ils étaient méchant car ils en avaient marre d'être victimes d'eux. Il n'était pas encore question de leur extermination, que je condamne fermement avec fermeté. L'opinion publique n'était pas encore au courant des crimes nazis, à ce moment, le nazi, ce n'était encore qu'un affamé en révolte contre le pouvoir bourgeois dont les juifs étaient complices. D'ailleurs la question juive en elle-même n'était pas la première préoccupation de l'époque.
Il faut que les goys comprennent par là à quels point les juifs sont très souvent des gens cruels et tyranniques, des sadiques, mêmes. Si tu refuses poliment le racket d'un juif, le juif est sincèrement outré, véxé que tu le refuses. Il ne te tue pas simplement par nécessité pour son business, il considère sincèrement que tu es mauvais, car il ne dissocie pas ce qui lui est nuisible de ce qui est mauvais, le bien et le mal n'existent pas pour lui, il n'y a que le plaisant et le déplaisant. Si tu lui as déplu, il considère que tu es le diable et que tu mérites tous les sévices.
Ce qui est très piégeux pour le goy car la réaction du juif est des plus sincère. Le goy se met donc à croire qu'il y a réellement eu un outrage commis à l'égard du juif, pour qu'il se mette dans de tels états, au lieu de s'enfuir en courbant l'échine. Et c'est le piège : il n'y a eu aucune offense. Un simple "non". "Non s'il te plaît, ne vole pas ça", "non merci pas de poison", "vous n'êtes plus le bienvenue, allez-vous en je vous prie". Rien de plus.
Un peu comme les arabes d'ailleurs, c'est la même chose. Pour l'arabe, le "non" c'est pas entendable, il est sincèrement inconcevable pour l'arabe de ne pas pouvoir jouir de tout à tout instant, d'être exclu. Ce n'est pas qu'un calcul, c'est une aspiration profonde et sincère aux biens et aux droits d'autrui, sans auto-critique. C'est généralement un trait de caractère africain. L'intolérance à la frustration.
Comment ça ça n’existe pas ?
il y a 7 mois
Epiphanius – Maçonnerie et sectes secrètes, le côté caché de l’Histoire (2005) – p. 303
La nouvelle suivante parut dans la revue du British Israël : "Le bombardier B-29 qui lâcha la première bombe s’appelait ENOLA GAY. [Nom qui] contenait un message crypté, non seulement du fait du 29, nombre de l’attente du Jugement, mais, si nous lisons le nom à l’envers, comme on lit en hébreu, nous avons "YA. G. ALONE", ce qui signifie "Yahweh God Alone" (= "Yahvé est le seul Dieu"). Ceci est le message exact qu’Elie prononça en s’adressant aux Prophètes de Baal avant que le feu ne tombe sur le Mont Carmel. (...) L’ange de la mort marqua en vérité les ennemis du peuple serviteur de Dieu en ce jour du destin au-dessus du Japon." Le bilan : 60 000 morts à Hiroshima, 100 000 à Nagasaki – une ville située sur le 33è parallèle [chiffre maçonnique], stratégiquement peu significative, mais comptant le plus grand nombre de Japonais convertis au Catholicisme. Près de 200 000 autres victimes des effets retardés de la contamination radioactive vinrent s’ajouter à cette liste dans les décennies qui suivirent.
Edit : j'ai été devancé par @Voiture054
La nouvelle suivante parut dans la revue du British Israël : "Le bombardier B-29 qui lâcha la première bombe s’appelait ENOLA GAY. [Nom qui] contenait un message crypté, non seulement du fait du 29, nombre de l’attente du Jugement, mais, si nous lisons le nom à l’envers, comme on lit en hébreu, nous avons "YA. G. ALONE", ce qui signifie "Yahweh God Alone" (= "Yahvé est le seul Dieu"). Ceci est le message exact qu’Elie prononça en s’adressant aux Prophètes de Baal avant que le feu ne tombe sur le Mont Carmel. (...) L’ange de la mort marqua en vérité les ennemis du peuple serviteur de Dieu en ce jour du destin au-dessus du Japon." Le bilan : 60 000 morts à Hiroshima, 100 000 à Nagasaki – une ville située sur le 33è parallèle [chiffre maçonnique], stratégiquement peu significative, mais comptant le plus grand nombre de Japonais convertis au Catholicisme. Près de 200 000 autres victimes des effets retardés de la contamination radioactive vinrent s’ajouter à cette liste dans les décennies qui suivirent.
Edit : j'ai été devancé par @Voiture054
il y a 7 mois
Seugondaire
1 an
La BA n'existe pas, mis ce qui est réel en revanche est la méchanceté de ce juif.
Il faut comprendre qu'il n'a pas attendu d'être au courant des camps d'extermination pour vouloir tuer des nazis.
C'est-à-dire, qu'à ce moment, le "nazi" n'était qu'un allemand en ayant marre de subir - entre autres, car l'allemand était victime de bien des choses - le communautarisme des juifs dans son pays, et leurs combines mafieuses. Pour ce juif, ils étaient méchant car ils en avaient marre d'être victimes d'eux. Il n'était pas encore question de leur extermination, que je condamne fermement avec fermeté. L'opinion publique n'était pas encore au courant des crimes nazis, à ce moment, le nazi, ce n'était encore qu'un affamé en révolte contre le pouvoir bourgeois dont les juifs étaient complices. D'ailleurs la question juive en elle-même n'était pas la première préoccupation de l'époque.
Il faut que les goys comprennent par là à quels point les juifs sont très souvent des gens cruels et tyranniques, des sadiques, mêmes. Si tu refuses poliment le racket d'un juif, le juif est sincèrement outré, véxé que tu le refuses. Il ne te tue pas simplement par nécessité pour son business, il considère sincèrement que tu es mauvais, car il ne dissocie pas ce qui lui est nuisible de ce qui est mauvais, le bien et le mal n'existent pas pour lui, il n'y a que le plaisant et le déplaisant. Si tu lui as déplu, il considère que tu es le diable et que tu mérites tous les sévices.
Ce qui est très piégeux pour le goy car la réaction du juif est des plus sincère. Le goy se met donc à croire qu'il y a réellement eu un outrage commis à l'égard du juif, pour qu'il se mette dans de tels états, au lieu de s'enfuir en courbant l'échine. Et c'est le piège : il n'y a eu aucune offense. Un simple "non". "Non s'il te plaît, ne vole pas ça", "non merci pas de poison", "vous n'êtes plus le bienvenue, allez-vous en je vous prie". Rien de plus.
Un peu comme les arabes d'ailleurs, c'est la même chose. Pour l'arabe, le "non" c'est pas entendable, il est sincèrement inconcevable pour l'arabe de ne pas pouvoir jouir de tout à tout instant, d'être exclu. Ce n'est pas qu'un calcul, c'est une aspiration profonde et sincère aux biens et aux droits d'autrui, sans auto-critique. C'est généralement un trait de caractère africain. L'intolérance à la frustration.
Il faut comprendre qu'il n'a pas attendu d'être au courant des camps d'extermination pour vouloir tuer des nazis.
C'est-à-dire, qu'à ce moment, le "nazi" n'était qu'un allemand en ayant marre de subir - entre autres, car l'allemand était victime de bien des choses - le communautarisme des juifs dans son pays, et leurs combines mafieuses. Pour ce juif, ils étaient méchant car ils en avaient marre d'être victimes d'eux. Il n'était pas encore question de leur extermination, que je condamne fermement avec fermeté. L'opinion publique n'était pas encore au courant des crimes nazis, à ce moment, le nazi, ce n'était encore qu'un affamé en révolte contre le pouvoir bourgeois dont les juifs étaient complices. D'ailleurs la question juive en elle-même n'était pas la première préoccupation de l'époque.
Il faut que les goys comprennent par là à quels point les juifs sont très souvent des gens cruels et tyranniques, des sadiques, mêmes. Si tu refuses poliment le racket d'un juif, le juif est sincèrement outré, véxé que tu le refuses. Il ne te tue pas simplement par nécessité pour son business, il considère sincèrement que tu es mauvais, car il ne dissocie pas ce qui lui est nuisible de ce qui est mauvais, le bien et le mal n'existent pas pour lui, il n'y a que le plaisant et le déplaisant. Si tu lui as déplu, il considère que tu es le diable et que tu mérites tous les sévices.
Ce qui est très piégeux pour le goy car la réaction du juif est des plus sincère. Le goy se met donc à croire qu'il y a réellement eu un outrage commis à l'égard du juif, pour qu'il se mette dans de tels états, au lieu de s'enfuir en courbant l'échine. Et c'est le piège : il n'y a eu aucune offense. Un simple "non". "Non s'il te plaît, ne vole pas ça", "non merci pas de poison", "vous n'êtes plus le bienvenue, allez-vous en je vous prie". Rien de plus.
Un peu comme les arabes d'ailleurs, c'est la même chose. Pour l'arabe, le "non" c'est pas entendable, il est sincèrement inconcevable pour l'arabe de ne pas pouvoir jouir de tout à tout instant, d'être exclu. Ce n'est pas qu'un calcul, c'est une aspiration profonde et sincère aux biens et aux droits d'autrui, sans auto-critique. C'est généralement un trait de caractère africain. L'intolérance à la frustration.
Totalement d'accord depuis le temps que je dis que les juifs c'est une pensée de négre
il y a 7 mois
Totalement d'accord depuis le temps que je dis que les juifs c'est une pensée de négre
C'est exactement ça. Les juifs et les arabes ont du sang africain et un tempérament d'africain, combiné avec la tendance névrotique des blancs. Ils pensent comme des noirs, mais en plus torturés.
Je suis Seugondaire.
il y a 7 mois
Il y a de la géométrie dans le bourdonnement des cordes, il y a de la musique dans l'espacement des sphères.
il y a 7 mois
Seugondaire
1 an
La BA n'existe pas, mis ce qui est réel en revanche est la méchanceté de ce juif.
Il faut comprendre qu'il n'a pas attendu d'être au courant des camps d'extermination pour vouloir tuer des nazis.
C'est-à-dire, qu'à ce moment, le "nazi" n'était qu'un allemand en ayant marre de subir - entre autres, car l'allemand était victime de bien des choses - le communautarisme des juifs dans son pays, et leurs combines mafieuses. Pour ce juif, ils étaient méchant car ils en avaient marre d'être victimes d'eux. Il n'était pas encore question de leur extermination, que je condamne fermement avec fermeté. L'opinion publique n'était pas encore au courant des crimes nazis, à ce moment, le nazi, ce n'était encore qu'un affamé en révolte contre le pouvoir bourgeois dont les juifs étaient complices. D'ailleurs la question juive en elle-même n'était pas la première préoccupation de l'époque.
Il faut que les goys comprennent par là à quels point les juifs sont très souvent des gens cruels et tyranniques, des sadiques, mêmes. Si tu refuses poliment le racket d'un juif, le juif est sincèrement outré, véxé que tu le refuses. Il ne te tue pas simplement par nécessité pour son business, il considère sincèrement que tu es mauvais, car il ne dissocie pas ce qui lui est nuisible de ce qui est mauvais, le bien et le mal n'existent pas pour lui, il n'y a que le plaisant et le déplaisant. Si tu lui as déplu, il considère que tu es le diable et que tu mérites tous les sévices.
Ce qui est très piégeux pour le goy car la réaction du juif est des plus sincère. Le goy se met donc à croire qu'il y a réellement eu un outrage commis à l'égard du juif, pour qu'il se mette dans de tels états, au lieu de s'enfuir en courbant l'échine. Et c'est le piège : il n'y a eu aucune offense. Un simple "non". "Non s'il te plaît, ne vole pas ça", "non merci pas de poison", "vous n'êtes plus le bienvenue, allez-vous en je vous prie". Rien de plus.
Un peu comme les arabes d'ailleurs, c'est la même chose. Pour l'arabe, le "non" c'est pas entendable, il est sincèrement inconcevable pour l'arabe de ne pas pouvoir jouir de tout à tout instant, d'être exclu. Ce n'est pas qu'un calcul, c'est une aspiration profonde et sincère aux biens et aux droits d'autrui, sans auto-critique. C'est généralement un trait de caractère africain. L'intolérance à la frustration.
Il faut comprendre qu'il n'a pas attendu d'être au courant des camps d'extermination pour vouloir tuer des nazis.
C'est-à-dire, qu'à ce moment, le "nazi" n'était qu'un allemand en ayant marre de subir - entre autres, car l'allemand était victime de bien des choses - le communautarisme des juifs dans son pays, et leurs combines mafieuses. Pour ce juif, ils étaient méchant car ils en avaient marre d'être victimes d'eux. Il n'était pas encore question de leur extermination, que je condamne fermement avec fermeté. L'opinion publique n'était pas encore au courant des crimes nazis, à ce moment, le nazi, ce n'était encore qu'un affamé en révolte contre le pouvoir bourgeois dont les juifs étaient complices. D'ailleurs la question juive en elle-même n'était pas la première préoccupation de l'époque.
Il faut que les goys comprennent par là à quels point les juifs sont très souvent des gens cruels et tyranniques, des sadiques, mêmes. Si tu refuses poliment le racket d'un juif, le juif est sincèrement outré, véxé que tu le refuses. Il ne te tue pas simplement par nécessité pour son business, il considère sincèrement que tu es mauvais, car il ne dissocie pas ce qui lui est nuisible de ce qui est mauvais, le bien et le mal n'existent pas pour lui, il n'y a que le plaisant et le déplaisant. Si tu lui as déplu, il considère que tu es le diable et que tu mérites tous les sévices.
Ce qui est très piégeux pour le goy car la réaction du juif est des plus sincère. Le goy se met donc à croire qu'il y a réellement eu un outrage commis à l'égard du juif, pour qu'il se mette dans de tels états, au lieu de s'enfuir en courbant l'échine. Et c'est le piège : il n'y a eu aucune offense. Un simple "non". "Non s'il te plaît, ne vole pas ça", "non merci pas de poison", "vous n'êtes plus le bienvenue, allez-vous en je vous prie". Rien de plus.
Un peu comme les arabes d'ailleurs, c'est la même chose. Pour l'arabe, le "non" c'est pas entendable, il est sincèrement inconcevable pour l'arabe de ne pas pouvoir jouir de tout à tout instant, d'être exclu. Ce n'est pas qu'un calcul, c'est une aspiration profonde et sincère aux biens et aux droits d'autrui, sans auto-critique. C'est généralement un trait de caractère africain. L'intolérance à la frustration.
il y a 2 mois