Ce sujet a été résolu
Nofake ca m'a donné un boost d'énergie pour continuer à progresser IRL et tchatcher de la 8+/10 :lebosslire:
🇮🇪
il y a un an
C'est à cause des juifs et de leurs mensonges sur les chambre à gaz, ne mélange pas tout.
Oui oui bien sûr, avoir foutu l'Europe a feu et a sang pour satisfaire son délire de pouvoir n'est pas du tout en cause. Hitler n'a pas tué que des juifs et des gitans, il a surtout tué des blancs européens et voulu détruire leurs cultures pour imposer l'Allemagne.
C'est impossible de soutenir ça si t'aimes la France et les cultures blanches.
aïcha avait 9 ans quand mohamed le prophète pédophile l'a violé.
il y a un an-PEMT
Je rajouterai qu'en plus c'est a cause de lui, et Mussolini et Franco dans une moindre mesure, qu'aujourd'hui les blancs n'ont plus le droit au nationalisme, au communautarisme ni a l'identité sans se faire emmerder juridiquement dans les 3/4 des pays d'occident. Il n'y a plus de solidarité blanche depuis qu'ils ont fait les cons et on en souffre encore les conséquences.
Les famines, la révolution d'Octobre, les goulags, plusieurs cadres bolchéviques juifs qui ont fait pire que cette Shoah. Les juifs sont clairement voués à la gangrène, aussi bien dans la victimisation que dans la guerre contre les nations.
Ils détournent les forces pour se croire forts mais au final, les peuples du monde constatent ce qu'ils sont, prétention divine et dans les actes, des parasites.
Ils détournent les forces pour se croire forts mais au final, les peuples du monde constatent ce qu'ils sont, prétention divine et dans les actes, des parasites.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Oui oui bien sûr, avoir foutu l'Europe a feu et a sang pour satisfaire son délire de pouvoir n'est pas du tout en cause. Hitler n'a pas tué que des juifs et des gitans, il a surtout tué des blancs européens et voulu détruire leurs cultures pour imposer l'Allemagne.
C'est impossible de soutenir ça si t'aimes la France et les cultures blanches.
Hitler ne voulait pas la guerre... Reporte-toi à tout le travail de Reynouard sur la question, c'est l'Angleterre qui a encore une fois, poussé à la confrontation.
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a un an
Oui oui bien sûr, avoir foutu l'Europe a feu et a sang pour satisfaire son délire de pouvoir n'est pas du tout en cause. Hitler n'a pas tué que des juifs et des gitans, il a surtout tué des blancs européens et voulu détruire leurs cultures pour imposer l'Allemagne.
C'est impossible de soutenir ça si t'aimes la France et les cultures blanches.
C'est les cultures blanche dont les juifs et slave que tu nous parlent ?
il y a un an
FIDÉLITÉ AU NATIONAL-SOCIALISME
(Je suis partout, 28 juillet 1944)
J’en ai déjà averti les lecteurs des « Décombres » : je préfère être insulté que de commettre une impropriété de langage ou de me donner le ridicule d’une périphrase. Le chef du Reich allemand, qui vient d’échapper de la plus miraculeuse manière à la bombe de ses ennemis, est un mortel de la grande espèce. Avant vingt ans, quel que soit l’état du monde, ces simples mots, qui apparaissent aujourd’hui à tant de citoyens des deux hémisphères comme une énorme provocation, seront naturels dans toutes les bouches et sous toutes les plumes. La plupart des citoyens dont je viens de parler sont convaincus que la chute de Hitler est imminente, et qu’une fois cet ogre par terre, on n’en entendra plus jamais parler. Telles sont les vues de M. Durand et de M. Smith, vues confirmées à outrance par les renards de tout poil qui ont besoin des sous, des voix, du sang, des enfants de M. Durand et de M. Smith pour leurs implacables entreprises. Mais les jugements de l’histoire n’ont jamais rien eu de commun avec les « opinions » des MM. Durand et des MM. Smith.
Admettons que Hitler soit sur le point d’être vaincu. Mais que l’on songe alors aux efforts monstrueux sous lesquels il aura succombé : six ans d’une guerre larvée acharnée, conduite par un blocus financier quasi universel, par une propagande planétaire, par d’incessantes machinations diplomatiques, toutes les églises, toutes les morales, toutes les philosophies, toutes les académies lancées dans cet assaut ; l’union « sacrée » (!) contre l’hitlérisme des prêtres, et des maçons, des objecteurs de conscience communistes et des pires traîneurs de sabres, du Gotha et de l’usine, de la République laïque et judaïque et de « L’Action française » antisémite ; puis, la guerre réelle, totale, dressant les quatre plus grandes puissances du globe, l’Angleterre, l’Amérique, la Russie et Israël, sans compter leurs vassaux, en une coalition hétéroclite mais monstrueuse, et cinq ans — au moins ! — de cette guerre infernale, menée avec les moyens les plus sauvages et les plus dégoûtants, vingt millions de morts, un continent rasé ; tout cela pour faire mordre la poussière au fils d’un douanier autrichien, à un ancien caporal d’infanterie bavaroise, au minuscule agitateur entré dans la politique avec un « parti » de six membres qui tenait ses assises dans un bistro de faubourg et avait sept marks cinquante en caisse. Dans de tels cas, n’en doutez pas — et nous en avons déjà eu quelques exemples assez illustres ! — c’est le vaincu qui laisse les traces les plus profondes, qui met son empreinte à son siècle, qui modèle les idées et les régimes, qui a une postérité politique, spirituelle, alors que ses ennemis se sont désunis et déjugés avant même d’avoir tiré le dernier coup de canon. Une petite conséquence, entre mille autres, de ceci : les gens de lettres, les artistes, qui aiment leurs aises morales et physiques, et ne placent en somme rien au-dessus, maudissent d’habitude le « tyran », « l’usurpateur » sous lequel ils vivent. Mais à la génération suivante, ils chantent l’épopée du héros…
La taille de Hitler se mesure aux insultes qui lui sont prodiguées, aux haines frénétiques et imbéciles qu’il inspire. Les plus grands phares de la politique ont toujours été traités ainsi, en bourreaux, en antéchrists, en ennemis du genre humain.
En écrivant aujourd’hui ces lignes, je souhaite prendre date pour 1964.
J’admire Hitler. Nous admirons Hitler, et nous avons pour cela de très sérieuses raisons.
Dans la lutte contre toutes les foutaises périmées du XIXe siècle, Hitler a eu d’innombrables devanciers, analystes, dialecticiens plus brillants et plus agiles que lui. Mais c’est lui qui a réellement fait passer dans l’action l’immense courant des idées antidémocratiques. C’est lui qui portera devant l’histoire l’honneur d’avoir liquidé la démocratie.
Je viens de relire les pages de « Mein Kampf », de ses discours, qui renferment l’essentiel de sa doctrine. Il faut beaucoup de mauvaise foi pour prétendre être dérouté par cette doctrine. Dégagée des falsifications et déformations qui en ont été répandues, elle est familière à tous les Français qui depuis cent ans, dans le sillage de Balzac, de Maistre, de Taine, de Drumont, de Maurras, ont dénoncé les tares fatales du système démocratique. Hitler, qui n’a pas dû fréquenter beaucoup ces penseurs français, les rejoint en opposant l’absurde gouvernement du nombre au gouvernement de ce que je voudrais appeler « l’aristocratie » (aristos, le meilleur), l’élite, pour employer une terminologie plus volontiers reçue.
Hitler ne croit ni à l’égalité, ni à la fraternité, ni au mythe de la liberté qui accompagne les précédents sur les frontons « républicains ». Mais il croit aux bienfaits de l’Autorité, de la Hiérarchie, de la Responsabilité, de la Compétence. Mais il sait qu’elles ne surgiront pas, par génération spontanée, des masses démocratiques, soi-disant maîtresses de leurs destins.
« A-t-on vu une seule fois, écrit-il, une multitude comprendre une idée avant que le succès en ait révélé la grandeur ? Toute action de génie n’est-elle pas ici-bas une offensive du génie contre l’inertie de la masse ?… Peut-on encore croire que le progrès humain vienne, si peu que ce soit, du cerveau d’une majorité et non de la tête d’un homme ? »
Par ces notions si claires, et ce qui en découle (substitution par exemple des assemblées consultatives aux assemblées représentatives), après cent cinquante années de chimères dont la vie ne pouvait être que brève, Hitler entend restaurer les formes naturelles, éternelles, du gouvernement des hommes. Il se soucie peu d’étayer par des développements philosophiques ces vérités qui vivent en lui avec tant de force. Il laisse ce soin aux littérateurs professionnels. Son rôle, à lui, est de travailler au succès effectif de ses idées. Il n’est aucun homme d’Etat moderne qui ait dressé plus complètement le manuel pratique, technique de l’accession au pouvoir, de l’organisation du pouvoir et de la réussite dans le pouvoir.
C’est là, surtout, dans la vision si exacte et pénétrante des hommes, et de ce qu’on en peut raisonnablement attendre, que se manifeste un réalisme génial, d’autant plus génial qu’à l’époque où Hitler le fixait sur le papier, au fond de sa prison, son expérience politique avait été courte. Je tombe à l’instant même sur les lignes où Hitler, traitant de la rédaction du programme du parti, déclare qu’il suffit d’une doctrine dont les grandes lignes sont d’une trop évidente justesse pour pouvoir être mises en cause et qu’il faut se garder de la retoucher dans la forme « car le caractère superficiel des hommes leur ferait apparaître cette question de pure forme comme la tâche essentielle du mouvement ». Quelle critique aiguë, et dont les nationalistes français auraient à faire profit plus que personne, des parlotes, des comités, des enquêtes, de cette énorme agitation écrivassière, doctrinale, cérébrale, qui constitue pour tant d’hommes de partis la fallacieuse figure de l’action ! Hitler leur rappelle implicitement que, lorsqu’on attache un pareil prix à l’idée en soi et à sa forme, on n’a qu’à se spécialiser dans la philosophie ou l’ontologie, qu’il est très inopportun de voir dans la politique la fin de toute l’activité intellectuelle, que la politique se suffit de quelques idées saines, mais qu’elle est l’art de donner réalité à ces idées.
« Hitler ? disaient les Juifs. Un énergumène, un épileptique écumant. » Or, chez cet épileptique, chez cet énergumène, ce qui nous saisit le plus, c’est le bon sens, « ce grand bon sens à la Machiavel, disait Baudelaire, qui marche devant le sage, comme une colonne lumineuse à travers le désert de l’histoire ».
Mais les raisons du succès extraordinaire de Hitler ne sont pas seulement dans ce bon sens et ce réalisme. Il y a eu, avec Hitler, d’autres apologistes de l’ordre, de l’autorité. Ils ne pouvaient réussir, parce qu’ils étaient des conservateurs. Hitler, c’est l’âme d’un chef d’airain dans un homme du peuple. Cet aristocrate de la pensée politique, incarnant les aphorismes les plus hautains et les plus énergiques de Nietzsche, est un tout petit bourgeois d’origine, tombé dans le prolétariat. Il est fraternel aux besoins de ce prolétariat. Il sait que c’est d’abord aux classes des travailleurs que le chef politique se doit.
Les démocraties feignent de s’en remettre aux volontés du peuple, le flattent dans sa vanité égalitaire (en France), dans son puritanisme étroit (en Angleterre et en Amérique) pour mieux l’asservir aux oligarchies internationales dont elles sont les agents. Le peuple participe à la frime des votes, en ignorant tous les secrets de la cuisine électorale. Toutes les décisions financières, diplomatiques, militaires qui règlent son destin sont prises, à mille piques au-dessus de lui par des clans, par une poignée de meneurs ou de potentats. Face à cette monumentale hypocrisie, Hitler représente l’honnête vérité. Il ne croit pas que les hommes soient nés « libres et égaux en droit ». Il sait que les « masses » sont incapables de se conduire, de prendre une décision qui leur soit bienfaisante. Mais c’est justement pour cela qu’après avoir détruit la fiction du gouvernement démocratique, ce démophile s’institue défenseur du peuple et défenseur non pas sur les estrades, mais dans la réalité, dans la pratique.
Ces caractères de l’action hitlérienne nous avaient séduit ici, bien avant la guerre, et dès une époque où, aussi sincèrement que nous sommes aujourd’hui partisan d’une entente étroite de la France et le Reich, nous clamions notre inquiétude devant la remilitarisation de l’Allemagne, ce qui nous valait du reste à l’époque les sarcasmes du clan youtrophile prêt à exterminer aujourd’hui deux cents millions de Blancs pour avoir la peau de Hitler.
(Je suis partout, 28 juillet 1944)
J’en ai déjà averti les lecteurs des « Décombres » : je préfère être insulté que de commettre une impropriété de langage ou de me donner le ridicule d’une périphrase. Le chef du Reich allemand, qui vient d’échapper de la plus miraculeuse manière à la bombe de ses ennemis, est un mortel de la grande espèce. Avant vingt ans, quel que soit l’état du monde, ces simples mots, qui apparaissent aujourd’hui à tant de citoyens des deux hémisphères comme une énorme provocation, seront naturels dans toutes les bouches et sous toutes les plumes. La plupart des citoyens dont je viens de parler sont convaincus que la chute de Hitler est imminente, et qu’une fois cet ogre par terre, on n’en entendra plus jamais parler. Telles sont les vues de M. Durand et de M. Smith, vues confirmées à outrance par les renards de tout poil qui ont besoin des sous, des voix, du sang, des enfants de M. Durand et de M. Smith pour leurs implacables entreprises. Mais les jugements de l’histoire n’ont jamais rien eu de commun avec les « opinions » des MM. Durand et des MM. Smith.
Admettons que Hitler soit sur le point d’être vaincu. Mais que l’on songe alors aux efforts monstrueux sous lesquels il aura succombé : six ans d’une guerre larvée acharnée, conduite par un blocus financier quasi universel, par une propagande planétaire, par d’incessantes machinations diplomatiques, toutes les églises, toutes les morales, toutes les philosophies, toutes les académies lancées dans cet assaut ; l’union « sacrée » (!) contre l’hitlérisme des prêtres, et des maçons, des objecteurs de conscience communistes et des pires traîneurs de sabres, du Gotha et de l’usine, de la République laïque et judaïque et de « L’Action française » antisémite ; puis, la guerre réelle, totale, dressant les quatre plus grandes puissances du globe, l’Angleterre, l’Amérique, la Russie et Israël, sans compter leurs vassaux, en une coalition hétéroclite mais monstrueuse, et cinq ans — au moins ! — de cette guerre infernale, menée avec les moyens les plus sauvages et les plus dégoûtants, vingt millions de morts, un continent rasé ; tout cela pour faire mordre la poussière au fils d’un douanier autrichien, à un ancien caporal d’infanterie bavaroise, au minuscule agitateur entré dans la politique avec un « parti » de six membres qui tenait ses assises dans un bistro de faubourg et avait sept marks cinquante en caisse. Dans de tels cas, n’en doutez pas — et nous en avons déjà eu quelques exemples assez illustres ! — c’est le vaincu qui laisse les traces les plus profondes, qui met son empreinte à son siècle, qui modèle les idées et les régimes, qui a une postérité politique, spirituelle, alors que ses ennemis se sont désunis et déjugés avant même d’avoir tiré le dernier coup de canon. Une petite conséquence, entre mille autres, de ceci : les gens de lettres, les artistes, qui aiment leurs aises morales et physiques, et ne placent en somme rien au-dessus, maudissent d’habitude le « tyran », « l’usurpateur » sous lequel ils vivent. Mais à la génération suivante, ils chantent l’épopée du héros…
La taille de Hitler se mesure aux insultes qui lui sont prodiguées, aux haines frénétiques et imbéciles qu’il inspire. Les plus grands phares de la politique ont toujours été traités ainsi, en bourreaux, en antéchrists, en ennemis du genre humain.
En écrivant aujourd’hui ces lignes, je souhaite prendre date pour 1964.
J’admire Hitler. Nous admirons Hitler, et nous avons pour cela de très sérieuses raisons.
Dans la lutte contre toutes les foutaises périmées du XIXe siècle, Hitler a eu d’innombrables devanciers, analystes, dialecticiens plus brillants et plus agiles que lui. Mais c’est lui qui a réellement fait passer dans l’action l’immense courant des idées antidémocratiques. C’est lui qui portera devant l’histoire l’honneur d’avoir liquidé la démocratie.
Je viens de relire les pages de « Mein Kampf », de ses discours, qui renferment l’essentiel de sa doctrine. Il faut beaucoup de mauvaise foi pour prétendre être dérouté par cette doctrine. Dégagée des falsifications et déformations qui en ont été répandues, elle est familière à tous les Français qui depuis cent ans, dans le sillage de Balzac, de Maistre, de Taine, de Drumont, de Maurras, ont dénoncé les tares fatales du système démocratique. Hitler, qui n’a pas dû fréquenter beaucoup ces penseurs français, les rejoint en opposant l’absurde gouvernement du nombre au gouvernement de ce que je voudrais appeler « l’aristocratie » (aristos, le meilleur), l’élite, pour employer une terminologie plus volontiers reçue.
Hitler ne croit ni à l’égalité, ni à la fraternité, ni au mythe de la liberté qui accompagne les précédents sur les frontons « républicains ». Mais il croit aux bienfaits de l’Autorité, de la Hiérarchie, de la Responsabilité, de la Compétence. Mais il sait qu’elles ne surgiront pas, par génération spontanée, des masses démocratiques, soi-disant maîtresses de leurs destins.
« A-t-on vu une seule fois, écrit-il, une multitude comprendre une idée avant que le succès en ait révélé la grandeur ? Toute action de génie n’est-elle pas ici-bas une offensive du génie contre l’inertie de la masse ?… Peut-on encore croire que le progrès humain vienne, si peu que ce soit, du cerveau d’une majorité et non de la tête d’un homme ? »
Par ces notions si claires, et ce qui en découle (substitution par exemple des assemblées consultatives aux assemblées représentatives), après cent cinquante années de chimères dont la vie ne pouvait être que brève, Hitler entend restaurer les formes naturelles, éternelles, du gouvernement des hommes. Il se soucie peu d’étayer par des développements philosophiques ces vérités qui vivent en lui avec tant de force. Il laisse ce soin aux littérateurs professionnels. Son rôle, à lui, est de travailler au succès effectif de ses idées. Il n’est aucun homme d’Etat moderne qui ait dressé plus complètement le manuel pratique, technique de l’accession au pouvoir, de l’organisation du pouvoir et de la réussite dans le pouvoir.
C’est là, surtout, dans la vision si exacte et pénétrante des hommes, et de ce qu’on en peut raisonnablement attendre, que se manifeste un réalisme génial, d’autant plus génial qu’à l’époque où Hitler le fixait sur le papier, au fond de sa prison, son expérience politique avait été courte. Je tombe à l’instant même sur les lignes où Hitler, traitant de la rédaction du programme du parti, déclare qu’il suffit d’une doctrine dont les grandes lignes sont d’une trop évidente justesse pour pouvoir être mises en cause et qu’il faut se garder de la retoucher dans la forme « car le caractère superficiel des hommes leur ferait apparaître cette question de pure forme comme la tâche essentielle du mouvement ». Quelle critique aiguë, et dont les nationalistes français auraient à faire profit plus que personne, des parlotes, des comités, des enquêtes, de cette énorme agitation écrivassière, doctrinale, cérébrale, qui constitue pour tant d’hommes de partis la fallacieuse figure de l’action ! Hitler leur rappelle implicitement que, lorsqu’on attache un pareil prix à l’idée en soi et à sa forme, on n’a qu’à se spécialiser dans la philosophie ou l’ontologie, qu’il est très inopportun de voir dans la politique la fin de toute l’activité intellectuelle, que la politique se suffit de quelques idées saines, mais qu’elle est l’art de donner réalité à ces idées.
« Hitler ? disaient les Juifs. Un énergumène, un épileptique écumant. » Or, chez cet épileptique, chez cet énergumène, ce qui nous saisit le plus, c’est le bon sens, « ce grand bon sens à la Machiavel, disait Baudelaire, qui marche devant le sage, comme une colonne lumineuse à travers le désert de l’histoire ».
Mais les raisons du succès extraordinaire de Hitler ne sont pas seulement dans ce bon sens et ce réalisme. Il y a eu, avec Hitler, d’autres apologistes de l’ordre, de l’autorité. Ils ne pouvaient réussir, parce qu’ils étaient des conservateurs. Hitler, c’est l’âme d’un chef d’airain dans un homme du peuple. Cet aristocrate de la pensée politique, incarnant les aphorismes les plus hautains et les plus énergiques de Nietzsche, est un tout petit bourgeois d’origine, tombé dans le prolétariat. Il est fraternel aux besoins de ce prolétariat. Il sait que c’est d’abord aux classes des travailleurs que le chef politique se doit.
Les démocraties feignent de s’en remettre aux volontés du peuple, le flattent dans sa vanité égalitaire (en France), dans son puritanisme étroit (en Angleterre et en Amérique) pour mieux l’asservir aux oligarchies internationales dont elles sont les agents. Le peuple participe à la frime des votes, en ignorant tous les secrets de la cuisine électorale. Toutes les décisions financières, diplomatiques, militaires qui règlent son destin sont prises, à mille piques au-dessus de lui par des clans, par une poignée de meneurs ou de potentats. Face à cette monumentale hypocrisie, Hitler représente l’honnête vérité. Il ne croit pas que les hommes soient nés « libres et égaux en droit ». Il sait que les « masses » sont incapables de se conduire, de prendre une décision qui leur soit bienfaisante. Mais c’est justement pour cela qu’après avoir détruit la fiction du gouvernement démocratique, ce démophile s’institue défenseur du peuple et défenseur non pas sur les estrades, mais dans la réalité, dans la pratique.
Ces caractères de l’action hitlérienne nous avaient séduit ici, bien avant la guerre, et dès une époque où, aussi sincèrement que nous sommes aujourd’hui partisan d’une entente étroite de la France et le Reich, nous clamions notre inquiétude devant la remilitarisation de l’Allemagne, ce qui nous valait du reste à l’époque les sarcasmes du clan youtrophile prêt à exterminer aujourd’hui deux cents millions de Blancs pour avoir la peau de Hitler.
il y a un an
Dès 1934, on a opposé à nos sympathiques pour le national-socialisme une première objection : « Comment établissez-vous la limite entre ce national-socialisme et le communisme que vous combattez ? » Il est évident que national-socialisme et communisme sont nés des mêmes faits historiques : création des nouvelles féodalités financières et industrielles, extension à l’infini du machinisme, nouveau servage par le machinisme, que, dans le principe, le fossé est bien moins large entre le national-socialisme et le communisme qu’entre le national-socialisme et le capitalisme démocratique. Notre hostilité au communisme a tenu d’abord à ses origines juives, à sa formidable façade d’utopie démagogique, la fiction démocratique à la centième puissance, qui lui a valu les faveurs bouffonnes des vieilles tripes quarante-huitardes, à la manière d’Edouard Herriot. Il n’y a pas à dissimuler que la transformation de moins en moins déguisée du stalinisme en une autocratie de fer est, dans l’absolu, dans le domaine de l’idée gratuite, moins odieuse que l’affreuse cafardise du biblisme capitaliste des Anglo-Américains, avec ses papes puritains, ses milliardaires juifs, ses dynasties du coffre-fort. Je ne suis pas très loin, pour ma part, de penser : « Tout, plutôt qu’une victoire du capitalisme américain, régnant en maître sur une Europe dont il aura anéanti par ses bombes la civilisation, qu’il exploitera avec sa vieille férocité boursière, pour perpétuer ce bluff, ces privilèges exorbitants de quelques classes et cet énorme et désespérant paupérisme des millions de sans-travail qui constituent exactement l’actif de ses « libertés démocratiques », ces libertés si commodes pour les rois du dollar et dont ils sont, et pour cause, les conservateurs intolérants. Tout plutôt que ces réactionnaires-là. Si le genre humain est assez bête pour vouloir à tout prix goûter des principes égalitaires poussés jusqu’à leurs dernières conséquences, eh bien ! qu’il en goûte. Le plus tôt sera le mieux, puisque aussi bien, au terme d’une brève période d’hypercapitalisme à direction yankee, il faudra en passer par là. Et puisqu’il est prouvé qu’au bout du communisme il y a le pouvoir absolu, cette forme de gouvernement-là est sans conteste moins « antiphysique », moins décadence, plus riche, qui sait ? d’avenir, que la putréfaction du parlementarisme « libéral ». Voilà certainement les propos que nous aurions tenus depuis longtemps si nous étions des cyniques, ayant rompu toute attache avec notre passé d’Occidentaux. Mais la question du bolchevisme est avant tout une question de longitude. Tous les arguments qu’on peut lui opposer s’expriment en un mot : asiatisme. Nous ne pouvons considérer sans effroi, sans un mouvement instinctif de défense l’importation à l’état brut, chez nous, d’un régime né si loin de nous, dans les steppes vagues de l’Eurasie, dans les pays classiques des satrapies, chez des peuples ayant sur nous cinq siècles de retard. Que ce régime, après d’effroyables dégâts, se soit finalement adapté à ces peuples, c’est possible, puisqu’il a subi sans plier l’épreuve du feu, puisqu’il a trouvé des millions de défenseurs. Il n’est pas le moins du monde interdit d’envisager des rapports économiques avec la Russie stalinienne, s’organisant à sa manière dans ses énormes espaces, pas interdit non plus d’étudier certaines de ses expériences. Mais nous ne pouvons admettre l’extension indéfinie d’un système qui se proclame lui-même universel, qui a déterminé chez nous la dénationalisation radicale de ses adeptes.
C’est pourquoi, depuis tant d’années déjà, nous lui opposons le national-socialisme. Avec lui, nous possédons, aux problèmes politiques et économiques de ce siècle, une solution adaptée à nos climats, nos traditions, nos institutions. Entre le bolchevisme russe et l’hypercapitalisme yankee, le national-socialisme occidental seul demeure à la mesure de l’homme, laisse à la vie de l’individu ses prérogatives, sa personnalité. C’est une des preuves les plus manifestes de l’anarchie intellectuelle où nous sommes que l’on ait justement attaqué le national-socialisme au nom de ces « valeurs humaines » que seul il peut garantir.
Une autre objection est née depuis peu : « Nous l’avons vu, votre fameux national-socialisme. Nous y sommes jusqu’au cou. Et jamais la misère n’a été plus grande. »
Voilà notre réponse : le national-socialisme est une révolution. Toute révolution a besoin pour s’accomplir, pour porter ses fruits, d’une période de libre activité. Le national-socialisme allemand a eu en tout et pour tout six années d’une demi-paix horriblement difficile. En dépit de tous les obstacles, et dans ce délai si court, il est parvenu au redressement complet d’un pays brisé, et qui, depuis, a suffisamment prouvé, dans la plus dure des guerres, à quel degré de force et d’unité il est parvenu. Qui a connu l’Allemagne de 1933 à 1939 conserve pour toujours dans sa mémoire les prodigieux tableaux d’un peuple tiré du tombeau, de la plus passionnante explosion de vitalité, de joie retrouvée qu’il soit possible d’imaginer sur cette terre.
C’est justement cette foudroyante réussite qui a déterminé la coalition judéo-capitaliste à choisir la guerre et à y acculer l’Allemagne. Malgré tant d’obstacles, Hitler était parvenu à faire revivre normalement un peuple de quatre-vingts millions d’habitants, à lui rendre son prestige et sa puissance, et cela en bridant le capitalisme, en crevant les baudruches démocratiques, en excluant les Juifs. La méthode était trop bonne, trop dangereuse pour les féodaux de l’or. Il ne leur restait plus qu’un moyen : le canon.
Nos ennemis ont beau jeu pour railler aujourd’hui l’état de l’Europe, les souffrances de ses habitants. Mais qui a créé, sinon eux, les conditions de cette misère ? Les pseudo-libertés qui s’attachaient encore à la démocratie sont d’ailleurs mortes partout. Comme Dominique Sordet l’a démontré mieux que personne, les démocraties se sont condamnées elles-mêmes en déclenchant leur guerre, qu’elles ne peuvent plus conduire que par des moyens dictatoriaux, en déterminant, sur le globe entier, un chaos dont on ne pourra sortir que par l’instauration de l’ordre le plus strict.
Il est vrai que la national-socialisme de l’occupant s’est fort peu manifesté sur notre sol. Mais l’en accuser ne reviendrait-il pas à lui reprocher de nous avoir laissé le maximum de souveraineté politique ? Quel usage l’Etat français a-t-il fait de cette souveraineté ? Voilà le point sur lequel doit porter avant tout la critique. Je n’ai pas besoin de redire aux lecteurs de ce journal que, depuis quatre ans, les seuls efforts accomplis chez nous l’ont été pour saboter, discréditer sournoisement cette « Révolution nationale » dont le nom est devenu synonyme de la plus honteuse escroquerie.
Il y a dans la doctrine de Hitler une part considérable de points et de soucis spécifiquement allemands, sur lesquels ce vigoureux empiriste a toujours insisté. Les principes autoritaires et socialistes renfermés dans cette doctrine n’appartiennent pas cependant au seul Hitler et à la seule Allemagne. Mais parce que Hitler et le peuple allemand en ont les premiers fait des réalités solides (j’écris ceci sans oublier la part qui revient à Mussolini, le génial précurseur, trop solitaire malheureusement dans son pays), il est juste que l’on donne à ces principes le nom de national-socialisme, qui lui a été donné en terre allemande.
Avant même que le national-socialisme eût triomphé, nous savions qu’il renfermait des principes valables pour tous les peuples. Les exemples italien, espagnol et, dans une certaine mesure, portugais l’ont bien prouvé. C’est un immense malheur que l’Occident entier ne se soit pas, de 1935 à 1939, aligné sur ces principes. La guerre a été le résultat de cette impuissance. Du plus profond de la guerre, de l’angoisse, de la misère, nous pensons, plus fermement que jamais, que le salut, pour l’Occident, est dans le national-socialisme. Mais nous pensons aussi que les conditions les plus élémentaires du national-socialisme ne sont toujours pas réalisées en France, et que c’est maintenant non seulement pour nous, mais pour l’Occident entier, une question urgente de vie ou de mort.
Lucien REBATET.
P.-S. — Pour les lecteurs « érudits » qui objecteraient encore à cet article les pages connues de Mein Kampf, je recopie ces quelques lignes de mon bouquin, Les Décombres : « Etait-il nécessaire que la fameuse philippique de Mein Kampf contre la France, écrite en plein jurisme poincariste par un soldat vaincu, nous cachât éternellement tant d’autres pages, où cet homme proclamait la stérilité de la lutte entre la France et l’Allemagne… ? » Je rappelle les nombreux discours où, de 1935 à 1939, le chancelier Hitler a formulé toutes les conditions d’une paix solide entre la France et l’Allemagne.
Quant aux reproches classiques d’opportunisme et de flagornerie, je veux espérer qu’au mois de juillet 1944 ils n’ont plus d’objet…
C’est pourquoi, depuis tant d’années déjà, nous lui opposons le national-socialisme. Avec lui, nous possédons, aux problèmes politiques et économiques de ce siècle, une solution adaptée à nos climats, nos traditions, nos institutions. Entre le bolchevisme russe et l’hypercapitalisme yankee, le national-socialisme occidental seul demeure à la mesure de l’homme, laisse à la vie de l’individu ses prérogatives, sa personnalité. C’est une des preuves les plus manifestes de l’anarchie intellectuelle où nous sommes que l’on ait justement attaqué le national-socialisme au nom de ces « valeurs humaines » que seul il peut garantir.
Une autre objection est née depuis peu : « Nous l’avons vu, votre fameux national-socialisme. Nous y sommes jusqu’au cou. Et jamais la misère n’a été plus grande. »
Voilà notre réponse : le national-socialisme est une révolution. Toute révolution a besoin pour s’accomplir, pour porter ses fruits, d’une période de libre activité. Le national-socialisme allemand a eu en tout et pour tout six années d’une demi-paix horriblement difficile. En dépit de tous les obstacles, et dans ce délai si court, il est parvenu au redressement complet d’un pays brisé, et qui, depuis, a suffisamment prouvé, dans la plus dure des guerres, à quel degré de force et d’unité il est parvenu. Qui a connu l’Allemagne de 1933 à 1939 conserve pour toujours dans sa mémoire les prodigieux tableaux d’un peuple tiré du tombeau, de la plus passionnante explosion de vitalité, de joie retrouvée qu’il soit possible d’imaginer sur cette terre.
C’est justement cette foudroyante réussite qui a déterminé la coalition judéo-capitaliste à choisir la guerre et à y acculer l’Allemagne. Malgré tant d’obstacles, Hitler était parvenu à faire revivre normalement un peuple de quatre-vingts millions d’habitants, à lui rendre son prestige et sa puissance, et cela en bridant le capitalisme, en crevant les baudruches démocratiques, en excluant les Juifs. La méthode était trop bonne, trop dangereuse pour les féodaux de l’or. Il ne leur restait plus qu’un moyen : le canon.
Nos ennemis ont beau jeu pour railler aujourd’hui l’état de l’Europe, les souffrances de ses habitants. Mais qui a créé, sinon eux, les conditions de cette misère ? Les pseudo-libertés qui s’attachaient encore à la démocratie sont d’ailleurs mortes partout. Comme Dominique Sordet l’a démontré mieux que personne, les démocraties se sont condamnées elles-mêmes en déclenchant leur guerre, qu’elles ne peuvent plus conduire que par des moyens dictatoriaux, en déterminant, sur le globe entier, un chaos dont on ne pourra sortir que par l’instauration de l’ordre le plus strict.
Il est vrai que la national-socialisme de l’occupant s’est fort peu manifesté sur notre sol. Mais l’en accuser ne reviendrait-il pas à lui reprocher de nous avoir laissé le maximum de souveraineté politique ? Quel usage l’Etat français a-t-il fait de cette souveraineté ? Voilà le point sur lequel doit porter avant tout la critique. Je n’ai pas besoin de redire aux lecteurs de ce journal que, depuis quatre ans, les seuls efforts accomplis chez nous l’ont été pour saboter, discréditer sournoisement cette « Révolution nationale » dont le nom est devenu synonyme de la plus honteuse escroquerie.
Il y a dans la doctrine de Hitler une part considérable de points et de soucis spécifiquement allemands, sur lesquels ce vigoureux empiriste a toujours insisté. Les principes autoritaires et socialistes renfermés dans cette doctrine n’appartiennent pas cependant au seul Hitler et à la seule Allemagne. Mais parce que Hitler et le peuple allemand en ont les premiers fait des réalités solides (j’écris ceci sans oublier la part qui revient à Mussolini, le génial précurseur, trop solitaire malheureusement dans son pays), il est juste que l’on donne à ces principes le nom de national-socialisme, qui lui a été donné en terre allemande.
Avant même que le national-socialisme eût triomphé, nous savions qu’il renfermait des principes valables pour tous les peuples. Les exemples italien, espagnol et, dans une certaine mesure, portugais l’ont bien prouvé. C’est un immense malheur que l’Occident entier ne se soit pas, de 1935 à 1939, aligné sur ces principes. La guerre a été le résultat de cette impuissance. Du plus profond de la guerre, de l’angoisse, de la misère, nous pensons, plus fermement que jamais, que le salut, pour l’Occident, est dans le national-socialisme. Mais nous pensons aussi que les conditions les plus élémentaires du national-socialisme ne sont toujours pas réalisées en France, et que c’est maintenant non seulement pour nous, mais pour l’Occident entier, une question urgente de vie ou de mort.
Lucien REBATET.
P.-S. — Pour les lecteurs « érudits » qui objecteraient encore à cet article les pages connues de Mein Kampf, je recopie ces quelques lignes de mon bouquin, Les Décombres : « Etait-il nécessaire que la fameuse philippique de Mein Kampf contre la France, écrite en plein jurisme poincariste par un soldat vaincu, nous cachât éternellement tant d’autres pages, où cet homme proclamait la stérilité de la lutte entre la France et l’Allemagne… ? » Je rappelle les nombreux discours où, de 1935 à 1939, le chancelier Hitler a formulé toutes les conditions d’une paix solide entre la France et l’Allemagne.
Quant aux reproches classiques d’opportunisme et de flagornerie, je veux espérer qu’au mois de juillet 1944 ils n’ont plus d’objet…
il y a un an
Hitler ne voulait pas la guerre... Reporte-toi à tout le travail de Reynouard sur la question, c'est l'Angleterre qui a encore une fois, poussé à la confrontation.
Putain on croirait entendre un musulman qui défend les terroristes.
C'est pas sa faute si il a massacré des centaines de personnes, il l'a fait sans le vouloir !
aïcha avait 9 ans quand mohamed le prophète pédophile l'a violé.
il y a un an
Les famines, la révolution d'Octobre, les goulags, plusieurs cadres bolchéviques juifs qui ont fait pire que cette Shoah. Les juifs sont clairement voués à la gangrène, aussi bien dans la victimisation que dans la guerre contre les nations.
Ils détournent les forces pour se croire forts mais au final, les peuples du monde constatent ce qu'ils sont, prétention divine et dans les actes, des parasites.
Ils détournent les forces pour se croire forts mais au final, les peuples du monde constatent ce qu'ils sont, prétention divine et dans les actes, des parasites.
Que les bolcheviques aient fait pire n'empêche pas qu'Hitler a été l'ennemi du nationalisme dans tous les pays d'Europe et le destructeur d'une partie de l'unité blanche a cause de ses délires.
aïcha avait 9 ans quand mohamed le prophète pédophile l'a violé.
il y a un an
C'est justement en grande partie a cause de lui qu'on en est la aujourd'hui. Ses délires ont précipité la chute de l'occident en rendant le blanc incapable de s'unir et s'assumer et en lui donnant un complexe de lui même. Ne jamais oublier que l'extrême droite française résistait pendant que les socialistes collaboraient. Êtes vous socialistes ?
aïcha avait 9 ans quand mohamed le prophète pédophile l'a violé.
il y a un an
C'est justement en grande partie a cause de lui qu'on en est la aujourd'hui. Ses délires ont précipité la chute de l'occident en rendant le blanc incapable de s'unir et s'assumer et en lui donnant un complexe de lui même. Ne jamais oublier que l'extrême droite française résistait pendant que les socialistes collaboraient. Êtes vous socialistes ?
Lis Lucien Rebatet, le pleutre.
il y a un an
Que les bolcheviques aient fait pire n'empêche pas qu'Hitler a été l'ennemi du nationalisme dans tous les pays d'Europe et le destructeur d'une partie de l'unité blanche a cause de ses délires.
Il a soutenu les nationalistes espagnols qui ont vaincu les cocos juifs mais dans l'ensemble, il aurait pu faire une alliance au lieu d'attaquer en Pologne, mais il faut voir le contexte historique, il ressort de la WW1, il n'avait pas de recul, il voulait avant tout une Allemagne forte uniquement, quand on voit la crise qu'on subit les Allemands avec le boycott international.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Il a soutenu les nationalistes espagnols qui ont vaincu les cocos juifs mais dans l'ensemble, il aurait pu faire une alliance au lieu d'attaquer en Pologne, mais il faut voir le contexte historique, il ressort de la WW1, il n'avait pas de recul, il voulait avant tout une Allemagne forte uniquement, quand on voit la crise qu'on subit les Allemands avec le boycott international.
Il voulais une Allemagne forte en détruisant les voisins et rivaux de l'Allemagne c'est a dire nous entre autres. C'est pour ça que les socialistes l'adoraient. La haine de la grandeur de la France les réunissait. Van der Leyen et Macron sont comme Hitler et les socialistes français, unis pour la grandeur de l'Allemagne au détriment de la France.
aïcha avait 9 ans quand mohamed le prophète pédophile l'a violé.
il y a un an
Putain on croirait entendre un musulman qui défend les terroristes.
C'est pas sa faute si il a massacré des centaines de personnes, il l'a fait sans le vouloir !
Renseigne-toi au lieu de tout gober de l'histoire officielle...
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a un an
Il voulais une Allemagne forte en détruisant les voisins et rivaux de l'Allemagne c'est a dire nous entre autres. C'est pour ça que les socialistes l'adoraient. La haine de la grandeur de la France les réunissait. Van der Leyen et Macron sont comme Hitler et les socialistes français, unis pour la grandeur de l'Allemagne au détriment de la France.
Mais l'histoire permet d'apprendre des erreurs.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an