Ce sujet a été résolu
Dans un soucis de réalisme MAIS de confidentialité, ce topic sera illustré grâce à l'intelligence artificielle.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
il y a un an
Volutes
1 an
Dans un soucis de réalisme MAIS de confidentialité, ce topic sera illustré grâce à l'intelligence artificielle.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
il y a un an
Apparition fantomatique
C'est l'été ! Ton excuse pour rester affalé et ne pas BAISER ?!
il y a un an
C'est super touchant comme histoire
Quomodo vales ? Nam ego sum Solanum tuberosum !
il y a un an
Jaylu c'est une histoire d'apparition, c'est bienveillant elle a fait une apparition pour dire qu'elle est encore parmis ses proche
il y a un an
J'ai tendance à y croire j'ai eu un xp similaire mais à deux je n'était pas seul ce qui confirme le nofake, allu ou rêverie sont exclue :encoreunstickerfdv14:
il y a un an
C est une chouette histoire
C’est émouvante et plein d amour
Et puis tu as l air d être très complice avec ta soeur
C’est émouvante et plein d amour
Et puis tu as l air d être très complice avec ta soeur
Libre , je suis libre !!!
il y a un an
CleaMolette
1 an
C'est super touchant comme histoire
This c’est vraiment émouvant et bien raconté l’op
il y a un an
Sympa l'histoire , j'ai une histoire étrange d'ovni dans ma famille... faudrait que je l'écrive sur le fofo...
il y a un an
J'ai la même voiture.
Pas grand chose a en dire dessus si ce n'est qu'elle vas surement être vendu pour pièces.
Pas grand chose a en dire dessus si ce n'est qu'elle vas surement être vendu pour pièces.
Je passe et repasse de temps en temps.
il y a un an
Volutes
1 an
Dans un soucis de réalisme MAIS de confidentialité, ce topic sera illustré grâce à l'intelligence artificielle.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
lugubre
Chaîne youtube aux vidéos effrayantes https://youtube.com/@reve[...]t3110?si=DrDCiPpZTQq6hDwx
il y a un an
Tout est vrai, même pour le paranormal ? En tout cas beau partage
J'ai ma propre anecdote de voiture même si c'est plutôt celle d'une vieille amie à mes parents
J'ai ma propre anecdote de voiture même si c'est plutôt celle d'une vieille amie à mes parents

il y a un an
Volutes
1 an
Dans un soucis de réalisme MAIS de confidentialité, ce topic sera illustré grâce à l'intelligence artificielle.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
g pa lu + post ou cancer
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a un an
Volutes
1 an
Dans un soucis de réalisme MAIS de confidentialité, ce topic sera illustré grâce à l'intelligence artificielle.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
Fake .
L'ancienne est assise sur le siège conducteur sur l'image à la fin.
L'ancienne est assise sur le siège conducteur sur l'image à la fin.
Certain disent l'avoir vu trainer dans leur potager la nuit
il y a un an
Volutes
1 an
Dans un soucis de réalisme MAIS de confidentialité, ce topic sera illustré grâce à l'intelligence artificielle.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
Nous sommes en 2011, je suis un jeune garçon de 11 ans et ma grande soeur vient tout juste d'avoir son permis de conduire.
Elle est l'aînée parmi tous les enfants de ma famille, incluant mon autre soeur et mes cousins. Elle a beaucoup de chance car elle va hériter de la Clio 2 de mon arrière grand-père, qui est toujours en vie à ce moment là mais qui a 92 ans, il ne conduit donc plus.
Découverte alors pour moi de la liberté de déplacement sans mes parents, juste avec ma grande soeur.
Nous en profitons pour aller à la fête foraine, à 15 minutes de route de la maison. On a eu 30€ chacun de la part de mes parents, on fait un peu tout et n'importe quand sans avoir l'aval de ces derniers : c'est génial !
Ma mère refusait que j'aille dans de grosses attractions dangereuses... Elle avait plus peur que moi qui était un peu casse-cou.
Nos virées en voiture étaient ponctuées de rires et de conversations légères, mais parfois, un étrange sentiment de présence semblait planer dans l'habitacle. Comme si les souvenirs imprégnés dans les fibres de la Clio résonnaient encore...
Mais bref, elle a son permis, sa liberté de mouvement, elle fait profiter la fraterie, ses amies... Une histoire totalement normale !
Revenons à cette voiture, la Clio 2.
C'était une Clio 2 grise, somme toute banale, déjà un peu dépassée pour l'époque, mais c'était la voiture typique des jeunes conducteurs. Elle avait appartenu à mes arrière-grands-parents, Andrée et Honoré.
Mon arrière-grand-mère Andrée avait craqué pour ce modèle, et son mari Honoré avait voulu lui faire plaisir en la lui offrant. Je suis issu d'une petite famille de paysans qui, par la suite, avait bifurqué vers l'industrie avec les usines Michelin implantées non loin.
Nous n'étions pas très riches, mais l'industrie avait permis à Honoré d'avoir de meilleurs revenus, et il avait ainsi pu faire plaisir à sa femme. Quel homme admirable !
Malheureusement, mon arrière-grand-mère, que je n'ai jamais connue, était décédée peu de temps après l'achat de cette voiture, à cause d'un problème cardiaque. Ma famille, et particulièrement ma mère qui avait été en grande partie élevée par cette femme, était anéantie. Paix à son âme, j'ai eu écho qu'elle était une personne merveilleuse.
Honoré avait le coeur brisé. Il a vidé tout le bordel de son garage afin d'y loger la voiture, il en prenait le plus grand soin, elle est toujours restée dans un état impeccable. Comme si entretenir cet héritage matériel était un moyen de perpétuer le lien qui le liait à sa défunte épouse...
Il était très fier d'avoir pu la léguer à sa première arrière petite-fille, une dizaine d'années plus tard !
Justement, revenons en 2011, l'année où ma sœur avait obtenu son permis et vivait ses premières expériences de liberté.
Un soir, elle se gara comme d'habitude sur le trottoir, visible depuis la fenêtre de notre salon.
Ce même soir, alors que la nuit tombait et que ma mère fermait les volets du salon, elle tomba nez à nez avec la silhouette de sa grand-mère, Andrée, assise du côté passager, la regardant et lui souriant.
Ma mère n'en dormit pas de la nuit, certaine de ce qu'elle venait de voir.
Fin.
Fake .
L'ancienne est assise sur le siège conducteur sur l'image à la fin.
L'ancienne est assise sur le siège conducteur sur l'image à la fin.
Certain disent l'avoir vu trainer dans leur potager la nuit
il y a un an