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Les chads qui baisent plusieurs fois par semaine des chiennes sur tinder sont des low testos pendant que celestin qui s'abstient est bourré de testo c'est connu
:Macron_Mdr:
Salarié.
il y a un an
Les chads qui baisent plusieurs fois par semaine des chiennes sur tinder sont des low testos pendant que celestin qui s'abstient est bourré de testo c'est connu
:Macron_Mdr:
Vraiment un message de puceau, La baise n'a rien a voir avec la branlette c'est très différent. D'ailleurs les accro au fap bégaie une fois devant une fille a poils
:nazi_7:
il y a un an
1. Ejaculer BAISSE votre testostérone
:sele:


Le taux maximal de testostérone chez un homme est atteint après 7 jours d'abstinence sexuelle. Après l'éjaculation, ce taux chute brusquement. La testostérone est l'hormone mâle par excellence : développement de la musculature, des traits masculins, agressivité, audace, prise de risques, libido forte, motivation, attraction des femmes. A chaque éjaculation, vous êtes moins "homme" et vous devenez un peu femelle (on le verra ensuite). Si vous vous sentez fatigué, pas motivé, déprimé après une éjaculation, c'est la conséquence des variations brutales de deux hormones : testo qui baisse, prolactine qui augmente. De plus, la testostérone joue un rôle dans la socialisation, plus votre taux est fort, plus vous êtes portés à aller vers les autres, à tisser des liens et à conquérir des femmes. Les hommes avec de forts taux de testostérone sont généralement des leaders entreprenants.

2. Ejaculer AUGMENTE votre prolactine
:sele:


A l'inverse, cette hormone augmente pour vous inciter à vous calmer. Lors de l'éjaculation, la testostérone baisse subitement et la prolactine augmente. Or la prolactine est l'hormone des femmes enceintes
:)
chez l'homme, elle sert à lui donner la sensation d'être calmé, apaisé, repus. Ca devient un cercle vicieux masturbation = apaisement = manque de motivation à séduire = nouvelle masturbation etc. Plus vous dopez votre prolactine, moins vous aurez envie d'aller vers des femmes. Le principal trait lié à la prolactine est la baisse du désir sexuel.

3. Le porno DETRAQUE votre dopamine
:sele:


Lors d'une exposition à la pornographie, une nouvelle hormone est activée: la dopamine. C'est l'hormone du plaisir. Le porno bombarde votre cerveau de dopamine, avec des images toujours plus hard. Je parie que lorsque vous trainez sur ces sites, vous ouvrez plein d'onglets, vous fouillez avant de trouver le contenu que vous jugez idéal
:)
C'est bien normal : votre cerveau est devenu accro à la dopamine, il en veut plus, chaque clic lui en donne une dose.
Typiquement, le consommateur de porno peut rester des heures accroché à son écran, comme un sous homme, un légume. Le problème, c'est que cette exposition forte et régulière à des hauts taux de dopamine a des conséquences dramatiques.
Vos récepteurs de dopamines se détraquent : tout ce qui ne contient pas un très fort taux de dopamine devient inintéressant. Voilà pourquoi un consommateur de porno va en général glisser vers des catégories plus hard, des déviances, et le soft finira par le laisser froid. Comme un consommateur d'héroine qui ne sera pas calmé par un joint, c'est le même mécanisme.

De là de graves troubles possibles: déviances sexuelles, troubles de l'orientation sexuelle, pannes d'érection en situation réelle (tout simplement car vous avez habitué votre cerveau à l'excitation visuelle du porno, le porno finit par vous exciter plus que le vrai sexe). Toutes les études montrent une explosion des cas de troubles de l'érection chez les 18-30 ans depuis quinze ans et comme par hasard c'est la première génération exposée massivement au porno sur internet.

Aussi, à cause de ce fait, les petits plaisirs de la vie deviennent sans intérêt, puisque pour un cerveau drogué au porno rien ne vaut un shoot de dopamine fort. Tout devient : mouais, bof... et le branleur devient un légume qui ne vit que virtuellement. En gros, vous avez habitué votre cerveau à ses shoots de dopamine, et il se met à les rechercher avidement. Rien d'autre ne peut lui en apporter autant, même le sport, la nourriture ou le sexe réel.

4. La sérotonine est aussi DEREGLEE
:sele:


Normalement, le cerveau est protégé des excès de dopamine par la sérotonine qui agit naturellement comme un contre-poids. Le problème, c'est qu'à chaque exposition au porno votre taux de sérotonine est lui-même impacté. La sérotonine sert à canaliser l'homme, à l'empêcher de dériver vers l'état de dépression et des conduites suicidaires ou déraisonnées. Plus ce taux est bas, plus vous êtes enclin à vous faire du mal, à ne pas vous respecter, à avoir une piètre estime de vous ou à prendre des risques pour vous même. La sérotonine a également un effet sur la qualité de l'érection chez l'homme.

J'arrête là car il y a d'autres hormones secondaires qui entrent en compte et je n'ai pas parlé de toutes les conséquences, mais c'est déjà largement assez pour comprendre le mécanisme pervers lié à une masturbation fréquente.

En bref pour ceux qui ont la flemme de lire

masturbation régulière = dopamine + prolactine en hausse / testostérone et sérotonine en baisse
conséquences = déviances sexuelles, désintérêt pour la vie réelle, fatigue, déprime, troubles, manque d'énergie

Dernière chose : se masturber sans éjaculer NE CHANGE RIEN car pour votre corps, lorsque vous ressentez l'orgasme, c'est comme si vous aviez éjaculé, même si vous vous bouchez le gland ou ce que vous voulez. C'est même encore pire car ça a des conséquences possibles sur la santé, c'est une pratique débile et risquée. Et pareil, regarder du porno sans se masturber ne change rien, les hormones sont quand même activées. Donc inutile d'essayer de contourner.
Je vais me branler sur ton pavé et tu vas rien faire !
:cash_pique:
Nous sommes un.
:Mindflayer:
il y a un an
Véridique
:chat_lunettes:
il y a un an
GIF
Non merci.
il y a un an
:tarer:
il y a un an
à cause des femmes
il y a un an
Par là j'entends que rien n'avait changé entre le lendemain de la dernière masturbation et les 6 mois.
:KurtAngle:
Le problème me semble évident
:KurtAngle:
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a un an
Y a de grosse chance , plus tu as commencé tôt plus les ravages sont élevés
:chat_lunettes:
il y a un an
si vous avez des questions, allez y
:chat_lunettes:
il y a un an
:elton-john:
il y a un an
75j de nofap ici je suis redevenu à l'aise avec les normies et en publique plus de malaise et j'ai envie de bosser
:feldup_zoom:
Il y a de la géométrie dans le bourdonnement des cordes, il y a de la musique dans l'espacement des sphères.
il y a un an
1. Ejaculer BAISSE votre testostérone
:sele:


Le taux maximal de testostérone chez un homme est atteint après 7 jours d'abstinence sexuelle. Après l'éjaculation, ce taux chute brusquement. La testostérone est l'hormone mâle par excellence : développement de la musculature, des traits masculins, agressivité, audace, prise de risques, libido forte, motivation, attraction des femmes. A chaque éjaculation, vous êtes moins "homme" et vous devenez un peu femelle (on le verra ensuite). Si vous vous sentez fatigué, pas motivé, déprimé après une éjaculation, c'est la conséquence des variations brutales de deux hormones : testo qui baisse, prolactine qui augmente. De plus, la testostérone joue un rôle dans la socialisation, plus votre taux est fort, plus vous êtes portés à aller vers les autres, à tisser des liens et à conquérir des femmes. Les hommes avec de forts taux de testostérone sont généralement des leaders entreprenants.

2. Ejaculer AUGMENTE votre prolactine
:sele:


A l'inverse, cette hormone augmente pour vous inciter à vous calmer. Lors de l'éjaculation, la testostérone baisse subitement et la prolactine augmente. Or la prolactine est l'hormone des femmes enceintes
:)
chez l'homme, elle sert à lui donner la sensation d'être calmé, apaisé, repus. Ca devient un cercle vicieux masturbation = apaisement = manque de motivation à séduire = nouvelle masturbation etc. Plus vous dopez votre prolactine, moins vous aurez envie d'aller vers des femmes. Le principal trait lié à la prolactine est la baisse du désir sexuel.

3. Le porno DETRAQUE votre dopamine
:sele:


Lors d'une exposition à la pornographie, une nouvelle hormone est activée: la dopamine. C'est l'hormone du plaisir. Le porno bombarde votre cerveau de dopamine, avec des images toujours plus hard. Je parie que lorsque vous trainez sur ces sites, vous ouvrez plein d'onglets, vous fouillez avant de trouver le contenu que vous jugez idéal
:)
C'est bien normal : votre cerveau est devenu accro à la dopamine, il en veut plus, chaque clic lui en donne une dose.
Typiquement, le consommateur de porno peut rester des heures accroché à son écran, comme un sous homme, un légume. Le problème, c'est que cette exposition forte et régulière à des hauts taux de dopamine a des conséquences dramatiques.
Vos récepteurs de dopamines se détraquent : tout ce qui ne contient pas un très fort taux de dopamine devient inintéressant. Voilà pourquoi un consommateur de porno va en général glisser vers des catégories plus hard, des déviances, et le soft finira par le laisser froid. Comme un consommateur d'héroine qui ne sera pas calmé par un joint, c'est le même mécanisme.

De là de graves troubles possibles: déviances sexuelles, troubles de l'orientation sexuelle, pannes d'érection en situation réelle (tout simplement car vous avez habitué votre cerveau à l'excitation visuelle du porno, le porno finit par vous exciter plus que le vrai sexe). Toutes les études montrent une explosion des cas de troubles de l'érection chez les 18-30 ans depuis quinze ans et comme par hasard c'est la première génération exposée massivement au porno sur internet.

Aussi, à cause de ce fait, les petits plaisirs de la vie deviennent sans intérêt, puisque pour un cerveau drogué au porno rien ne vaut un shoot de dopamine fort. Tout devient : mouais, bof... et le branleur devient un légume qui ne vit que virtuellement. En gros, vous avez habitué votre cerveau à ses shoots de dopamine, et il se met à les rechercher avidement. Rien d'autre ne peut lui en apporter autant, même le sport, la nourriture ou le sexe réel.

4. La sérotonine est aussi DEREGLEE
:sele:


Normalement, le cerveau est protégé des excès de dopamine par la sérotonine qui agit naturellement comme un contre-poids. Le problème, c'est qu'à chaque exposition au porno votre taux de sérotonine est lui-même impacté. La sérotonine sert à canaliser l'homme, à l'empêcher de dériver vers l'état de dépression et des conduites suicidaires ou déraisonnées. Plus ce taux est bas, plus vous êtes enclin à vous faire du mal, à ne pas vous respecter, à avoir une piètre estime de vous ou à prendre des risques pour vous même. La sérotonine a également un effet sur la qualité de l'érection chez l'homme.

J'arrête là car il y a d'autres hormones secondaires qui entrent en compte et je n'ai pas parlé de toutes les conséquences, mais c'est déjà largement assez pour comprendre le mécanisme pervers lié à une masturbation fréquente.

En bref pour ceux qui ont la flemme de lire

masturbation régulière = dopamine + prolactine en hausse / testostérone et sérotonine en baisse
conséquences = déviances sexuelles, désintérêt pour la vie réelle, fatigue, déprime, troubles, manque d'énergie

Dernière chose : se masturber sans éjaculer NE CHANGE RIEN car pour votre corps, lorsque vous ressentez l'orgasme, c'est comme si vous aviez éjaculé, même si vous vous bouchez le gland ou ce que vous voulez. C'est même encore pire car ça a des conséquences possibles sur la santé, c'est une pratique débile et risquée. Et pareil, regarder du porno sans se masturber ne change rien, les hormones sont quand même activées. Donc inutile d'essayer de contourner.
Je up ce topic de qualité qui vaut vraiment le coup d'être lu, si ta d'autres idées de topics qui peuvent nous éviter de tomber dans les pièges de cette société Moderne, n'hésite pas
:risibo:
il y a un an