Sous homme
1. Ejaculer BAISSE votre testostérone
Le taux maximal de testostérone chez un homme est atteint après 7 jours d'abstinence sexuelle. Après l'éjaculation, ce taux chute brusquement. La testostérone est l'hormone mâle par excellence : développement de la musculature, des traits masculins, agressivité, audace, prise de risques, libido forte, motivation, attraction des femmes. A chaque éjaculation, vous êtes moins "homme" et vous devenez un peu femelle (on le verra ensuite). Si vous vous sentez fatigué, pas motivé, déprimé après une éjaculation, c'est la conséquence des variations brutales de deux hormones : testo qui baisse, prolactine qui augmente. De plus, la testostérone joue un rôle dans la socialisation, plus votre taux est fort, plus vous êtes portés à aller vers les autres, à tisser des liens et à conquérir des femmes. Les hommes avec de forts taux de testostérone sont généralement des leaders entreprenants.
2. Ejaculer AUGMENTE votre prolactine
A l'inverse, cette hormone augmente pour vous inciter à vous calmer. Lors de l'éjaculation, la testostérone baisse subitement et la prolactine augmente. Or la prolactine est l'hormone des femmes enceintes
chez l'homme, elle sert à lui donner la sensation d'être calmé, apaisé, repus. Ca devient un cercle vicieux masturbation = apaisement = manque de motivation à séduire = nouvelle masturbation etc. Plus vous dopez votre prolactine, moins vous aurez envie d'aller vers des femmes. Le principal trait lié à la prolactine est la baisse du désir sexuel.
3. Le porno DETRAQUE votre dopamine
Lors d'une exposition à la pornographie, une nouvelle hormone est activée: la dopamine. C'est l'hormone du plaisir. Le porno bombarde votre cerveau de dopamine, avec des images toujours plus hard. Je parie que lorsque vous trainez sur ces sites, vous ouvrez plein d'onglets, vous fouillez avant de trouver le contenu que vous jugez idéal
C'est bien normal : votre cerveau est devenu accro à la dopamine, il en veut plus, chaque clic lui en donne une dose.
Typiquement, le consommateur de porno peut rester des heures accroché à son écran, comme un sous homme, un légume. Le problème, c'est que cette exposition forte et régulière à des hauts taux de dopamine a des conséquences dramatiques.
Vos récepteurs de dopamines se détraquent : tout ce qui ne contient pas un très fort taux de dopamine devient inintéressant. Voilà pourquoi un consommateur de porno va en général glisser vers des catégories plus hard, des déviances, et le soft finira par le laisser froid. Comme un consommateur d'héroine qui ne sera pas calmé par un joint, c'est le même mécanisme.
De là de graves troubles possibles: déviances sexuelles, troubles de l'orientation sexuelle, pannes d'érection en situation réelle (tout simplement car vous avez habitué votre cerveau à l'excitation visuelle du porno, le porno finit par vous exciter plus que le vrai sexe). Toutes les études montrent une explosion des cas de troubles de l'érection chez les 18-30 ans depuis quinze ans et comme par hasard c'est la première génération exposée massivement au porno sur internet.
Aussi, à cause de ce fait, les petits plaisirs de la vie deviennent sans intérêt, puisque pour un cerveau drogué au porno rien ne vaut un shoot de dopamine fort. Tout devient : mouais, bof... et le branleur devient un légume qui ne vit que virtuellement. En gros, vous avez habitué votre cerveau à ses shoots de dopamine, et il se met à les rechercher avidement. Rien d'autre ne peut lui en apporter autant, même le sport, la nourriture ou le sexe réel.
4. La sérotonine est aussi DEREGLEE
Normalement, le cerveau est protégé des excès de dopamine par la sérotonine qui agit naturellement comme un contre-poids. Le problème, c'est qu'à chaque exposition au porno votre taux de sérotonine est lui-même impacté. La sérotonine sert à canaliser l'homme, à l'empêcher de dériver vers l'état de dépression et des conduites suicidaires ou déraisonnées. Plus ce taux est bas, plus vous êtes enclin à vous faire du mal, à ne pas vous respecter, à avoir une piètre estime de vous ou à prendre des risques pour vous même. La sérotonine a également un effet sur la qualité de l'érection chez l'homme.
J'arrête là car il y a d'autres hormones secondaires qui entrent en compte et je n'ai pas parlé de toutes les conséquences, mais c'est déjà largement assez pour comprendre le mécanisme pervers lié à une masturbation fréquente.
En bref pour ceux qui ont la flemme de lire
masturbation régulière = dopamine + prolactine en hausse / testostérone et sérotonine en baisse
conséquences = déviances sexuelles, désintérêt pour la vie réelle, fatigue, déprime, troubles, manque d'énergie
Dernière chose : se masturber sans éjaculer NE CHANGE RIEN car pour votre corps, lorsque vous ressentez l'orgasme, c'est comme si vous aviez éjaculé, même si vous vous bouchez le gland ou ce que vous voulez. C'est même encore pire car ça a des conséquences possibles sur la santé, c'est une pratique débile et risquée. Et pareil, regarder du porno sans se masturber ne change rien, les hormones sont quand même activées. Donc inutile d'essayer de contourner.
Le taux maximal de testostérone chez un homme est atteint après 7 jours d'abstinence sexuelle. Après l'éjaculation, ce taux chute brusquement. La testostérone est l'hormone mâle par excellence : développement de la musculature, des traits masculins, agressivité, audace, prise de risques, libido forte, motivation, attraction des femmes. A chaque éjaculation, vous êtes moins "homme" et vous devenez un peu femelle (on le verra ensuite). Si vous vous sentez fatigué, pas motivé, déprimé après une éjaculation, c'est la conséquence des variations brutales de deux hormones : testo qui baisse, prolactine qui augmente. De plus, la testostérone joue un rôle dans la socialisation, plus votre taux est fort, plus vous êtes portés à aller vers les autres, à tisser des liens et à conquérir des femmes. Les hommes avec de forts taux de testostérone sont généralement des leaders entreprenants.
2. Ejaculer AUGMENTE votre prolactine
A l'inverse, cette hormone augmente pour vous inciter à vous calmer. Lors de l'éjaculation, la testostérone baisse subitement et la prolactine augmente. Or la prolactine est l'hormone des femmes enceintes
3. Le porno DETRAQUE votre dopamine
Lors d'une exposition à la pornographie, une nouvelle hormone est activée: la dopamine. C'est l'hormone du plaisir. Le porno bombarde votre cerveau de dopamine, avec des images toujours plus hard. Je parie que lorsque vous trainez sur ces sites, vous ouvrez plein d'onglets, vous fouillez avant de trouver le contenu que vous jugez idéal
Typiquement, le consommateur de porno peut rester des heures accroché à son écran, comme un sous homme, un légume. Le problème, c'est que cette exposition forte et régulière à des hauts taux de dopamine a des conséquences dramatiques.
Vos récepteurs de dopamines se détraquent : tout ce qui ne contient pas un très fort taux de dopamine devient inintéressant. Voilà pourquoi un consommateur de porno va en général glisser vers des catégories plus hard, des déviances, et le soft finira par le laisser froid. Comme un consommateur d'héroine qui ne sera pas calmé par un joint, c'est le même mécanisme.
De là de graves troubles possibles: déviances sexuelles, troubles de l'orientation sexuelle, pannes d'érection en situation réelle (tout simplement car vous avez habitué votre cerveau à l'excitation visuelle du porno, le porno finit par vous exciter plus que le vrai sexe). Toutes les études montrent une explosion des cas de troubles de l'érection chez les 18-30 ans depuis quinze ans et comme par hasard c'est la première génération exposée massivement au porno sur internet.
Aussi, à cause de ce fait, les petits plaisirs de la vie deviennent sans intérêt, puisque pour un cerveau drogué au porno rien ne vaut un shoot de dopamine fort. Tout devient : mouais, bof... et le branleur devient un légume qui ne vit que virtuellement. En gros, vous avez habitué votre cerveau à ses shoots de dopamine, et il se met à les rechercher avidement. Rien d'autre ne peut lui en apporter autant, même le sport, la nourriture ou le sexe réel.
4. La sérotonine est aussi DEREGLEE
Normalement, le cerveau est protégé des excès de dopamine par la sérotonine qui agit naturellement comme un contre-poids. Le problème, c'est qu'à chaque exposition au porno votre taux de sérotonine est lui-même impacté. La sérotonine sert à canaliser l'homme, à l'empêcher de dériver vers l'état de dépression et des conduites suicidaires ou déraisonnées. Plus ce taux est bas, plus vous êtes enclin à vous faire du mal, à ne pas vous respecter, à avoir une piètre estime de vous ou à prendre des risques pour vous même. La sérotonine a également un effet sur la qualité de l'érection chez l'homme.
J'arrête là car il y a d'autres hormones secondaires qui entrent en compte et je n'ai pas parlé de toutes les conséquences, mais c'est déjà largement assez pour comprendre le mécanisme pervers lié à une masturbation fréquente.
En bref pour ceux qui ont la flemme de lire
masturbation régulière = dopamine + prolactine en hausse / testostérone et sérotonine en baisse
conséquences = déviances sexuelles, désintérêt pour la vie réelle, fatigue, déprime, troubles, manque d'énergie
Dernière chose : se masturber sans éjaculer NE CHANGE RIEN car pour votre corps, lorsque vous ressentez l'orgasme, c'est comme si vous aviez éjaculé, même si vous vous bouchez le gland ou ce que vous voulez. C'est même encore pire car ça a des conséquences possibles sur la santé, c'est une pratique débile et risquée. Et pareil, regarder du porno sans se masturber ne change rien, les hormones sont quand même activées. Donc inutile d'essayer de contourner.
Que se passe till si on arrête le FAP + porno pendant 1 semaine ? 1 mois ?
Combien de temps faut-il au corps et cerveau pour remettre en état son système ?
Combien de temps faut-il au corps et cerveau pour remettre en état son système ?
Connerie, les seuls moment où j'ai eu une panne c'était à 4g... Même un plan cul qui m'appelle au dernier moment en soirée apres une journée de branlette, j'ai toujours été chaud.
Après j'ai quasiment stoppé, c'est quand même de la merde en soit le porn pour le cerveau je pense.
Après j'ai quasiment stoppé, c'est quand même de la merde en soit le porn pour le cerveau je pense.
1. Ejaculer BAISSE votre testostérone
Le taux maximal de testostérone chez un homme est atteint après 7 jours d'abstinence sexuelle. Après l'éjaculation, ce taux chute brusquement. La testostérone est l'hormone mâle par excellence : développement de la musculature, des traits masculins, agressivité, audace, prise de risques, libido forte, motivation, attraction des femmes. A chaque éjaculation, vous êtes moins "homme" et vous devenez un peu femelle (on le verra ensuite). Si vous vous sentez fatigué, pas motivé, déprimé après une éjaculation, c'est la conséquence des variations brutales de deux hormones : testo qui baisse, prolactine qui augmente. De plus, la testostérone joue un rôle dans la socialisation, plus votre taux est fort, plus vous êtes portés à aller vers les autres, à tisser des liens et à conquérir des femmes. Les hommes avec de forts taux de testostérone sont généralement des leaders entreprenants.
2. Ejaculer AUGMENTE votre prolactine
A l'inverse, cette hormone augmente pour vous inciter à vous calmer. Lors de l'éjaculation, la testostérone baisse subitement et la prolactine augmente. Or la prolactine est l'hormone des femmes enceintes
chez l'homme, elle sert à lui donner la sensation d'être calmé, apaisé, repus. Ca devient un cercle vicieux masturbation = apaisement = manque de motivation à séduire = nouvelle masturbation etc. Plus vous dopez votre prolactine, moins vous aurez envie d'aller vers des femmes. Le principal trait lié à la prolactine est la baisse du désir sexuel.
3. Le porno DETRAQUE votre dopamine
Lors d'une exposition à la pornographie, une nouvelle hormone est activée: la dopamine. C'est l'hormone du plaisir. Le porno bombarde votre cerveau de dopamine, avec des images toujours plus hard. Je parie que lorsque vous trainez sur ces sites, vous ouvrez plein d'onglets, vous fouillez avant de trouver le contenu que vous jugez idéal
C'est bien normal : votre cerveau est devenu accro à la dopamine, il en veut plus, chaque clic lui en donne une dose.
Typiquement, le consommateur de porno peut rester des heures accroché à son écran, comme un sous homme, un légume. Le problème, c'est que cette exposition forte et régulière à des hauts taux de dopamine a des conséquences dramatiques.
Vos récepteurs de dopamines se détraquent : tout ce qui ne contient pas un très fort taux de dopamine devient inintéressant. Voilà pourquoi un consommateur de porno va en général glisser vers des catégories plus hard, des déviances, et le soft finira par le laisser froid. Comme un consommateur d'héroine qui ne sera pas calmé par un joint, c'est le même mécanisme.
De là de graves troubles possibles: déviances sexuelles, troubles de l'orientation sexuelle, pannes d'érection en situation réelle (tout simplement car vous avez habitué votre cerveau à l'excitation visuelle du porno, le porno finit par vous exciter plus que le vrai sexe). Toutes les études montrent une explosion des cas de troubles de l'érection chez les 18-30 ans depuis quinze ans et comme par hasard c'est la première génération exposée massivement au porno sur internet.
Aussi, à cause de ce fait, les petits plaisirs de la vie deviennent sans intérêt, puisque pour un cerveau drogué au porno rien ne vaut un shoot de dopamine fort. Tout devient : mouais, bof... et le branleur devient un légume qui ne vit que virtuellement. En gros, vous avez habitué votre cerveau à ses shoots de dopamine, et il se met à les rechercher avidement. Rien d'autre ne peut lui en apporter autant, même le sport, la nourriture ou le sexe réel.
4. La sérotonine est aussi DEREGLEE
Normalement, le cerveau est protégé des excès de dopamine par la sérotonine qui agit naturellement comme un contre-poids. Le problème, c'est qu'à chaque exposition au porno votre taux de sérotonine est lui-même impacté. La sérotonine sert à canaliser l'homme, à l'empêcher de dériver vers l'état de dépression et des conduites suicidaires ou déraisonnées. Plus ce taux est bas, plus vous êtes enclin à vous faire du mal, à ne pas vous respecter, à avoir une piètre estime de vous ou à prendre des risques pour vous même. La sérotonine a également un effet sur la qualité de l'érection chez l'homme.
J'arrête là car il y a d'autres hormones secondaires qui entrent en compte et je n'ai pas parlé de toutes les conséquences, mais c'est déjà largement assez pour comprendre le mécanisme pervers lié à une masturbation fréquente.
En bref pour ceux qui ont la flemme de lire
masturbation régulière = dopamine + prolactine en hausse / testostérone et sérotonine en baisse
conséquences = déviances sexuelles, désintérêt pour la vie réelle, fatigue, déprime, troubles, manque d'énergie
Dernière chose : se masturber sans éjaculer NE CHANGE RIEN car pour votre corps, lorsque vous ressentez l'orgasme, c'est comme si vous aviez éjaculé, même si vous vous bouchez le gland ou ce que vous voulez. C'est même encore pire car ça a des conséquences possibles sur la santé, c'est une pratique débile et risquée. Et pareil, regarder du porno sans se masturber ne change rien, les hormones sont quand même activées. Donc inutile d'essayer de contourner.
Le taux maximal de testostérone chez un homme est atteint après 7 jours d'abstinence sexuelle. Après l'éjaculation, ce taux chute brusquement. La testostérone est l'hormone mâle par excellence : développement de la musculature, des traits masculins, agressivité, audace, prise de risques, libido forte, motivation, attraction des femmes. A chaque éjaculation, vous êtes moins "homme" et vous devenez un peu femelle (on le verra ensuite). Si vous vous sentez fatigué, pas motivé, déprimé après une éjaculation, c'est la conséquence des variations brutales de deux hormones : testo qui baisse, prolactine qui augmente. De plus, la testostérone joue un rôle dans la socialisation, plus votre taux est fort, plus vous êtes portés à aller vers les autres, à tisser des liens et à conquérir des femmes. Les hommes avec de forts taux de testostérone sont généralement des leaders entreprenants.
2. Ejaculer AUGMENTE votre prolactine
A l'inverse, cette hormone augmente pour vous inciter à vous calmer. Lors de l'éjaculation, la testostérone baisse subitement et la prolactine augmente. Or la prolactine est l'hormone des femmes enceintes
3. Le porno DETRAQUE votre dopamine
Lors d'une exposition à la pornographie, une nouvelle hormone est activée: la dopamine. C'est l'hormone du plaisir. Le porno bombarde votre cerveau de dopamine, avec des images toujours plus hard. Je parie que lorsque vous trainez sur ces sites, vous ouvrez plein d'onglets, vous fouillez avant de trouver le contenu que vous jugez idéal
Typiquement, le consommateur de porno peut rester des heures accroché à son écran, comme un sous homme, un légume. Le problème, c'est que cette exposition forte et régulière à des hauts taux de dopamine a des conséquences dramatiques.
Vos récepteurs de dopamines se détraquent : tout ce qui ne contient pas un très fort taux de dopamine devient inintéressant. Voilà pourquoi un consommateur de porno va en général glisser vers des catégories plus hard, des déviances, et le soft finira par le laisser froid. Comme un consommateur d'héroine qui ne sera pas calmé par un joint, c'est le même mécanisme.
De là de graves troubles possibles: déviances sexuelles, troubles de l'orientation sexuelle, pannes d'érection en situation réelle (tout simplement car vous avez habitué votre cerveau à l'excitation visuelle du porno, le porno finit par vous exciter plus que le vrai sexe). Toutes les études montrent une explosion des cas de troubles de l'érection chez les 18-30 ans depuis quinze ans et comme par hasard c'est la première génération exposée massivement au porno sur internet.
Aussi, à cause de ce fait, les petits plaisirs de la vie deviennent sans intérêt, puisque pour un cerveau drogué au porno rien ne vaut un shoot de dopamine fort. Tout devient : mouais, bof... et le branleur devient un légume qui ne vit que virtuellement. En gros, vous avez habitué votre cerveau à ses shoots de dopamine, et il se met à les rechercher avidement. Rien d'autre ne peut lui en apporter autant, même le sport, la nourriture ou le sexe réel.
4. La sérotonine est aussi DEREGLEE
Normalement, le cerveau est protégé des excès de dopamine par la sérotonine qui agit naturellement comme un contre-poids. Le problème, c'est qu'à chaque exposition au porno votre taux de sérotonine est lui-même impacté. La sérotonine sert à canaliser l'homme, à l'empêcher de dériver vers l'état de dépression et des conduites suicidaires ou déraisonnées. Plus ce taux est bas, plus vous êtes enclin à vous faire du mal, à ne pas vous respecter, à avoir une piètre estime de vous ou à prendre des risques pour vous même. La sérotonine a également un effet sur la qualité de l'érection chez l'homme.
J'arrête là car il y a d'autres hormones secondaires qui entrent en compte et je n'ai pas parlé de toutes les conséquences, mais c'est déjà largement assez pour comprendre le mécanisme pervers lié à une masturbation fréquente.
En bref pour ceux qui ont la flemme de lire
masturbation régulière = dopamine + prolactine en hausse / testostérone et sérotonine en baisse
conséquences = déviances sexuelles, désintérêt pour la vie réelle, fatigue, déprime, troubles, manque d'énergie
Dernière chose : se masturber sans éjaculer NE CHANGE RIEN car pour votre corps, lorsque vous ressentez l'orgasme, c'est comme si vous aviez éjaculé, même si vous vous bouchez le gland ou ce que vous voulez. C'est même encore pire car ça a des conséquences possibles sur la santé, c'est une pratique débile et risquée. Et pareil, regarder du porno sans se masturber ne change rien, les hormones sont quand même activées. Donc inutile d'essayer de contourner.
Je n'ai pas regardé de porno depuis belle lurette (c'est à dire au alentours de 2010 où j'avais 19 ans à l'époque) et je n'ai jamais éjaculé de ma vie. Pour autant, j'ai des déviances sexuelles et un désintérêt pour la vie réelle (en dehors de mes passions que sont le dessin et les jeuxvideos).
Que se passe till si on arrête le FAP + porno pendant 1 semaine ? 1 mois ?
Combien de temps faut-il au corps et cerveau pour remettre en état son système ?
Combien de temps faut-il au corps et cerveau pour remettre en état son système ?
Je dirais 6 mois minimum
Si je me branle pas je risque de lacher la sauce dans le lit
Ça met déjà arrivé je prends aucun risque
Ça met déjà arrivé je prends aucun risque
Merci de répéter les mêmes choses qu'on sait déjà depuis 2016.
1. Ejaculer BAISSE votre testostérone
Le taux maximal de testostérone chez un homme est atteint après 7 jours d'abstinence sexuelle. Après l'éjaculation, ce taux chute brusquement. La testostérone est l'hormone mâle par excellence : développement de la musculature, des traits masculins, agressivité, audace, prise de risques, libido forte, motivation, attraction des femmes. A chaque éjaculation, vous êtes moins "homme" et vous devenez un peu femelle (on le verra ensuite). Si vous vous sentez fatigué, pas motivé, déprimé après une éjaculation, c'est la conséquence des variations brutales de deux hormones : testo qui baisse, prolactine qui augmente. De plus, la testostérone joue un rôle dans la socialisation, plus votre taux est fort, plus vous êtes portés à aller vers les autres, à tisser des liens et à conquérir des femmes. Les hommes avec de forts taux de testostérone sont généralement des leaders entreprenants.
2. Ejaculer AUGMENTE votre prolactine
A l'inverse, cette hormone augmente pour vous inciter à vous calmer. Lors de l'éjaculation, la testostérone baisse subitement et la prolactine augmente. Or la prolactine est l'hormone des femmes enceintes
chez l'homme, elle sert à lui donner la sensation d'être calmé, apaisé, repus. Ca devient un cercle vicieux masturbation = apaisement = manque de motivation à séduire = nouvelle masturbation etc. Plus vous dopez votre prolactine, moins vous aurez envie d'aller vers des femmes. Le principal trait lié à la prolactine est la baisse du désir sexuel.
3. Le porno DETRAQUE votre dopamine
Lors d'une exposition à la pornographie, une nouvelle hormone est activée: la dopamine. C'est l'hormone du plaisir. Le porno bombarde votre cerveau de dopamine, avec des images toujours plus hard. Je parie que lorsque vous trainez sur ces sites, vous ouvrez plein d'onglets, vous fouillez avant de trouver le contenu que vous jugez idéal
C'est bien normal : votre cerveau est devenu accro à la dopamine, il en veut plus, chaque clic lui en donne une dose.
Typiquement, le consommateur de porno peut rester des heures accroché à son écran, comme un sous homme, un légume. Le problème, c'est que cette exposition forte et régulière à des hauts taux de dopamine a des conséquences dramatiques.
Vos récepteurs de dopamines se détraquent : tout ce qui ne contient pas un très fort taux de dopamine devient inintéressant. Voilà pourquoi un consommateur de porno va en général glisser vers des catégories plus hard, des déviances, et le soft finira par le laisser froid. Comme un consommateur d'héroine qui ne sera pas calmé par un joint, c'est le même mécanisme.
De là de graves troubles possibles: déviances sexuelles, troubles de l'orientation sexuelle, pannes d'érection en situation réelle (tout simplement car vous avez habitué votre cerveau à l'excitation visuelle du porno, le porno finit par vous exciter plus que le vrai sexe). Toutes les études montrent une explosion des cas de troubles de l'érection chez les 18-30 ans depuis quinze ans et comme par hasard c'est la première génération exposée massivement au porno sur internet.
Aussi, à cause de ce fait, les petits plaisirs de la vie deviennent sans intérêt, puisque pour un cerveau drogué au porno rien ne vaut un shoot de dopamine fort. Tout devient : mouais, bof... et le branleur devient un légume qui ne vit que virtuellement. En gros, vous avez habitué votre cerveau à ses shoots de dopamine, et il se met à les rechercher avidement. Rien d'autre ne peut lui en apporter autant, même le sport, la nourriture ou le sexe réel.
4. La sérotonine est aussi DEREGLEE
Normalement, le cerveau est protégé des excès de dopamine par la sérotonine qui agit naturellement comme un contre-poids. Le problème, c'est qu'à chaque exposition au porno votre taux de sérotonine est lui-même impacté. La sérotonine sert à canaliser l'homme, à l'empêcher de dériver vers l'état de dépression et des conduites suicidaires ou déraisonnées. Plus ce taux est bas, plus vous êtes enclin à vous faire du mal, à ne pas vous respecter, à avoir une piètre estime de vous ou à prendre des risques pour vous même. La sérotonine a également un effet sur la qualité de l'érection chez l'homme.
J'arrête là car il y a d'autres hormones secondaires qui entrent en compte et je n'ai pas parlé de toutes les conséquences, mais c'est déjà largement assez pour comprendre le mécanisme pervers lié à une masturbation fréquente.
En bref pour ceux qui ont la flemme de lire
masturbation régulière = dopamine + prolactine en hausse / testostérone et sérotonine en baisse
conséquences = déviances sexuelles, désintérêt pour la vie réelle, fatigue, déprime, troubles, manque d'énergie
Dernière chose : se masturber sans éjaculer NE CHANGE RIEN car pour votre corps, lorsque vous ressentez l'orgasme, c'est comme si vous aviez éjaculé, même si vous vous bouchez le gland ou ce que vous voulez. C'est même encore pire car ça a des conséquences possibles sur la santé, c'est une pratique débile et risquée. Et pareil, regarder du porno sans se masturber ne change rien, les hormones sont quand même activées. Donc inutile d'essayer de contourner.
Le taux maximal de testostérone chez un homme est atteint après 7 jours d'abstinence sexuelle. Après l'éjaculation, ce taux chute brusquement. La testostérone est l'hormone mâle par excellence : développement de la musculature, des traits masculins, agressivité, audace, prise de risques, libido forte, motivation, attraction des femmes. A chaque éjaculation, vous êtes moins "homme" et vous devenez un peu femelle (on le verra ensuite). Si vous vous sentez fatigué, pas motivé, déprimé après une éjaculation, c'est la conséquence des variations brutales de deux hormones : testo qui baisse, prolactine qui augmente. De plus, la testostérone joue un rôle dans la socialisation, plus votre taux est fort, plus vous êtes portés à aller vers les autres, à tisser des liens et à conquérir des femmes. Les hommes avec de forts taux de testostérone sont généralement des leaders entreprenants.
2. Ejaculer AUGMENTE votre prolactine
A l'inverse, cette hormone augmente pour vous inciter à vous calmer. Lors de l'éjaculation, la testostérone baisse subitement et la prolactine augmente. Or la prolactine est l'hormone des femmes enceintes
3. Le porno DETRAQUE votre dopamine
Lors d'une exposition à la pornographie, une nouvelle hormone est activée: la dopamine. C'est l'hormone du plaisir. Le porno bombarde votre cerveau de dopamine, avec des images toujours plus hard. Je parie que lorsque vous trainez sur ces sites, vous ouvrez plein d'onglets, vous fouillez avant de trouver le contenu que vous jugez idéal
Typiquement, le consommateur de porno peut rester des heures accroché à son écran, comme un sous homme, un légume. Le problème, c'est que cette exposition forte et régulière à des hauts taux de dopamine a des conséquences dramatiques.
Vos récepteurs de dopamines se détraquent : tout ce qui ne contient pas un très fort taux de dopamine devient inintéressant. Voilà pourquoi un consommateur de porno va en général glisser vers des catégories plus hard, des déviances, et le soft finira par le laisser froid. Comme un consommateur d'héroine qui ne sera pas calmé par un joint, c'est le même mécanisme.
De là de graves troubles possibles: déviances sexuelles, troubles de l'orientation sexuelle, pannes d'érection en situation réelle (tout simplement car vous avez habitué votre cerveau à l'excitation visuelle du porno, le porno finit par vous exciter plus que le vrai sexe). Toutes les études montrent une explosion des cas de troubles de l'érection chez les 18-30 ans depuis quinze ans et comme par hasard c'est la première génération exposée massivement au porno sur internet.
Aussi, à cause de ce fait, les petits plaisirs de la vie deviennent sans intérêt, puisque pour un cerveau drogué au porno rien ne vaut un shoot de dopamine fort. Tout devient : mouais, bof... et le branleur devient un légume qui ne vit que virtuellement. En gros, vous avez habitué votre cerveau à ses shoots de dopamine, et il se met à les rechercher avidement. Rien d'autre ne peut lui en apporter autant, même le sport, la nourriture ou le sexe réel.
4. La sérotonine est aussi DEREGLEE
Normalement, le cerveau est protégé des excès de dopamine par la sérotonine qui agit naturellement comme un contre-poids. Le problème, c'est qu'à chaque exposition au porno votre taux de sérotonine est lui-même impacté. La sérotonine sert à canaliser l'homme, à l'empêcher de dériver vers l'état de dépression et des conduites suicidaires ou déraisonnées. Plus ce taux est bas, plus vous êtes enclin à vous faire du mal, à ne pas vous respecter, à avoir une piètre estime de vous ou à prendre des risques pour vous même. La sérotonine a également un effet sur la qualité de l'érection chez l'homme.
J'arrête là car il y a d'autres hormones secondaires qui entrent en compte et je n'ai pas parlé de toutes les conséquences, mais c'est déjà largement assez pour comprendre le mécanisme pervers lié à une masturbation fréquente.
En bref pour ceux qui ont la flemme de lire
masturbation régulière = dopamine + prolactine en hausse / testostérone et sérotonine en baisse
conséquences = déviances sexuelles, désintérêt pour la vie réelle, fatigue, déprime, troubles, manque d'énergie
Dernière chose : se masturber sans éjaculer NE CHANGE RIEN car pour votre corps, lorsque vous ressentez l'orgasme, c'est comme si vous aviez éjaculé, même si vous vous bouchez le gland ou ce que vous voulez. C'est même encore pire car ça a des conséquences possibles sur la santé, c'est une pratique débile et risquée. Et pareil, regarder du porno sans se masturber ne change rien, les hormones sont quand même activées. Donc inutile d'essayer de contourner.
Ok je vais balancer les vraies redpill, l'op est un débile
L'industrie porno est contrôlée par les juifs.
L'industrie porno vous pousse aux déviances sexuelles (métissage, pédophilie)
La prise d'image orientée sur les bites et les filles soumises sont utilisés pour que vous vous identifier à la fille, raison pour laquelle beaucoup de dépendants au porno deviennent pédés.
La pornographie vous empêche de vivre la vraie vie, et de vous réaliser, vous ne pouvez pas vous réaliser si vous ne vivez pas autre chose, vous ne pouvez pas guérir en vous inventant un faux lifestyle ou juste en "resetant votre dopamine", sortez dehors les lâches.
La masturbation n'est pas un problème, le porno non plus, c'est l'emprise juive que le porno vous met dans le crâne qui pose problème.
L'industrie porno est contrôlée par les juifs.
L'industrie porno vous pousse aux déviances sexuelles (métissage, pédophilie)
La prise d'image orientée sur les bites et les filles soumises sont utilisés pour que vous vous identifier à la fille, raison pour laquelle beaucoup de dépendants au porno deviennent pédés.
La pornographie vous empêche de vivre la vraie vie, et de vous réaliser, vous ne pouvez pas vous réaliser si vous ne vivez pas autre chose, vous ne pouvez pas guérir en vous inventant un faux lifestyle ou juste en "resetant votre dopamine", sortez dehors les lâches.
La masturbation n'est pas un problème, le porno non plus, c'est l'emprise juive que le porno vous met dans le crâne qui pose problème.
Mon topic sur la mode: https://onche.org/topic/4[...]onchois/2#message_8098287
Ok je vais balancer les vraies redpill, l'op est un débile
L'industrie porno est contrôlée par les juifs.
L'industrie porno vous pousse aux déviances sexuelles (métissage, pédophilie)
La prise d'image orientée sur les bites et les filles soumises sont utilisés pour que vous vous identifier à la fille, raison pour laquelle beaucoup de dépendants au porno deviennent pédés.
La pornographie vous empêche de vivre la vraie vie, et de vous réaliser, vous ne pouvez pas vous réaliser si vous ne vivez pas autre chose, vous ne pouvez pas guérir en vous inventant un faux lifestyle ou juste en "resetant votre dopamine", sortez dehors les lâches.
La masturbation n'est pas un problème, le porno non plus, c'est l'emprise juive que le porno vous met dans le crâne qui pose problème.
L'industrie porno est contrôlée par les juifs.
L'industrie porno vous pousse aux déviances sexuelles (métissage, pédophilie)
La prise d'image orientée sur les bites et les filles soumises sont utilisés pour que vous vous identifier à la fille, raison pour laquelle beaucoup de dépendants au porno deviennent pédés.
La pornographie vous empêche de vivre la vraie vie, et de vous réaliser, vous ne pouvez pas vous réaliser si vous ne vivez pas autre chose, vous ne pouvez pas guérir en vous inventant un faux lifestyle ou juste en "resetant votre dopamine", sortez dehors les lâches.
La masturbation n'est pas un problème, le porno non plus, c'est l'emprise juive que le porno vous met dans le crâne qui pose problème.
Oui
Nieuh Nieuh nieuh douche froide, être un homme c'est assumer ses actes et tenir ses responsabilités
Ok je vais balancer les vraies redpill, l'op est un débile
L'industrie porno est contrôlée par les juifs.
L'industrie porno vous pousse aux déviances sexuelles (métissage, pédophilie)
La prise d'image orientée sur les bites et les filles soumises sont utilisés pour que vous vous identifier à la fille, raison pour laquelle beaucoup de dépendants au porno deviennent pédés.
La pornographie vous empêche de vivre la vraie vie, et de vous réaliser, vous ne pouvez pas vous réaliser si vous ne vivez pas autre chose, vous ne pouvez pas guérir en vous inventant un faux lifestyle ou juste en "resetant votre dopamine", sortez dehors les lâches.
La masturbation n'est pas un problème, le porno non plus, c'est l'emprise juive que le porno vous met dans le crâne qui pose problème.
L'industrie porno est contrôlée par les juifs.
L'industrie porno vous pousse aux déviances sexuelles (métissage, pédophilie)
La prise d'image orientée sur les bites et les filles soumises sont utilisés pour que vous vous identifier à la fille, raison pour laquelle beaucoup de dépendants au porno deviennent pédés.
La pornographie vous empêche de vivre la vraie vie, et de vous réaliser, vous ne pouvez pas vous réaliser si vous ne vivez pas autre chose, vous ne pouvez pas guérir en vous inventant un faux lifestyle ou juste en "resetant votre dopamine", sortez dehors les lâches.
La masturbation n'est pas un problème, le porno non plus, c'est l'emprise juive que le porno vous met dans le crâne qui pose problème.
T'avais pas à dénoncer le nazi Hitlerien
Je condamne en douceur
Je condamne en douceur
Oui je pense que le porno c'est du poison à sortir de sa vie, mais :
- Faut arrêter la fixette sur la testo, c'est tout autant un moteur qu'un poids. Un homme full testo il peut pas se concentrer sur quoi que ce soit, c'est un animal, hors aujourd'hui les taffs et le fric se font dans le calme, sur un ordi ou autre. Pas sur un ring de boxe.
- Faut arrêter la fixette sur la testo, c'est tout autant un moteur qu'un poids. Un homme full testo il peut pas se concentrer sur quoi que ce soit, c'est un animal, hors aujourd'hui les taffs et le fric se font dans le calme, sur un ordi ou autre. Pas sur un ring de boxe.
On est tous dans le même bateau
+ C'est pas le porno qui baisse la motivation à séduire, c'est le fait de pas avoir réussi à séduire qui amène vers le porno.
Un mec qui se branle tous les jours devant du cul c'est un mec qui reçoit aucune attention des meufs, qui s'est fait recaler au lycée et qui prend que des vents sur les réseaux sociaux.
Du coup il cope.
Un mec qui se branle tous les jours devant du cul c'est un mec qui reçoit aucune attention des meufs, qui s'est fait recaler au lycée et qui prend que des vents sur les réseaux sociaux.
Du coup il cope.
On est tous dans le même bateau
Alors pour mettre les choses au clair et vous parlez de mon expérience
J'ai été un nofapeur pendant des années et je vous affirme que tout ce qui est lié à la masturbation ou à l'arrêt de la masturbation est un effet placebo
Avant je me sentais très bien quand je me branlais pas, j'avais l'impression d'avoir plus d'énergie etc et quand je rechutais je me sentais mal etc bref j'etais matrixé par Internet, la communauté des nofapeurs sur reddit...
En grandissant j'ai eu un déclic, j'ai arrêté ces conneries de nofap car ca commençait a devenir réellement dangereux et aujourd'hui, je peux me branler 5 fois, ça n'affectera en rien mon moral
Y'a strictement aucune différence en fait , le seul effet notable, c'est que t'es en chien et donc ca te pousse plus a aller vers les femmes mais les conneries du style "on me dit que je suis plus beau" "les femmes me regardent", pitié
J'ai été un nofapeur pendant des années et je vous affirme que tout ce qui est lié à la masturbation ou à l'arrêt de la masturbation est un effet placebo
Avant je me sentais très bien quand je me branlais pas, j'avais l'impression d'avoir plus d'énergie etc et quand je rechutais je me sentais mal etc bref j'etais matrixé par Internet, la communauté des nofapeurs sur reddit...
En grandissant j'ai eu un déclic, j'ai arrêté ces conneries de nofap car ca commençait a devenir réellement dangereux et aujourd'hui, je peux me branler 5 fois, ça n'affectera en rien mon moral
Y'a strictement aucune différence en fait , le seul effet notable, c'est que t'es en chien et donc ca te pousse plus a aller vers les femmes mais les conneries du style "on me dit que je suis plus beau" "les femmes me regardent", pitié
Je pense que le problème du délire nofap et le fait de voir autant de gens qui s'accrochent à ça, c'est le fait qu'ils ont rien accomplis de leur vie et ils veulent rejetter la faute sur autre chose qu'eux meme (le fap) ou au contraire, ils ont besoin d'un guide "spirituel" (le nofap) et toutes les bonnes choses qui arrivent sont grâce au nofap, bref vous l'aurez compris : c'est presque un délire de secte
Enfin bref, c'est fou ce que ton cerveau peut te faire croire quand tu réduis ta dose de dopamine
C'est pas une question de branlette mais de déclic en fait : quand vous accomplirez des choses sans penser au nofap, vous vous sentirez bête d'y avoir cru a ce delire pendant autant d'années
Enfin bref, c'est fou ce que ton cerveau peut te faire croire quand tu réduis ta dose de dopamine
C'est pas une question de branlette mais de déclic en fait : quand vous accomplirez des choses sans penser au nofap, vous vous sentirez bête d'y avoir cru a ce delire pendant autant d'années