Ce sujet a été résolu
Meurtre du policier Éric Masson à Avignon : un dealer jugé aux assises
19 févr. 2024 #avignon #éricmasson
Son visage a marqué la profession. Éric Masson, policier âgé de 36 ans, est mort lors d'une banale intervention sur un petit point de deal en centre-ville d'Avignon, le 5 mai 2021. Son meurtrier présumé, Ilias A., est un dealer, aujourd'hui âgé de 23 ans. Accusé de « meurtre » et « tentative de meurtre » sur personne dépositaire de l'autorité publique, il sera défendu par maître Franck Berton à la cour d'assises d'Avignon, où son procès s'ouvre ce lundi.
Ilias Akoudad a été condamné ce vendredi par la cour d'assises du Vaucluse à 30 ans de prison avec une période de sûreté de 20 ans pour le meurtre du policier Éric Masson à Avignon en mai 2021, rapporte Le Dauphiné Libéré.
Il était « absolument impossible » de prendre les policiers pour des dealers concurrents, a balayé l'avocate générale dans son réquisitoire musclé, estimant que le brigadier avait été « exécuté sans sommation, par un individu ivre de violence, fier du geste accompli ».
19 févr. 2024 #avignon #éricmasson
Son visage a marqué la profession. Éric Masson, policier âgé de 36 ans, est mort lors d'une banale intervention sur un petit point de deal en centre-ville d'Avignon, le 5 mai 2021. Son meurtrier présumé, Ilias A., est un dealer, aujourd'hui âgé de 23 ans. Accusé de « meurtre » et « tentative de meurtre » sur personne dépositaire de l'autorité publique, il sera défendu par maître Franck Berton à la cour d'assises d'Avignon, où son procès s'ouvre ce lundi.
Ilias Akoudad a été condamné ce vendredi par la cour d'assises du Vaucluse à 30 ans de prison avec une période de sûreté de 20 ans pour le meurtre du policier Éric Masson à Avignon en mai 2021, rapporte Le Dauphiné Libéré.
Il était « absolument impossible » de prendre les policiers pour des dealers concurrents, a balayé l'avocate générale dans son réquisitoire musclé, estimant que le brigadier avait été « exécuté sans sommation, par un individu ivre de violence, fier du geste accompli ».
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Saint-Denis : commissariat en effervescence
134 540 vues 16 déc. 2022 SAINT-DENIS
134 540 vues 16 déc. 2022 SAINT-DENIS
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
NIMES: LES PROFS EN ARRET A CAUSE DES TIRE DE KALASH DEVANT L'ECOLE
2 mars 2024
2 mars 2024
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Bon, vous avez eu Merah, du coup, et les fusillades habituelles, l'immigration, chaud.
Socayna, tuée par balle à Marseille : ce que l’on sait de cet adolescent mis en examen
Mort de Socayna, victime collatérale à Marseille : un adolescent de 16 ans mis en examen
16 févr. 2024
Après six mois d'enquête acharnée dans l'affaire de la mort de Socayna, tuée par une balle perdue dans le quartier de Saint-Thys, la brigade criminelle de la PJ est parvenue à identifier un suspect.
16/02/2024
Un adolescent de 16 ans a été mis en examen ce 16 février, soupçonné d’avoir tué en septembre dernier la jeune Socayna à Marseille. Cette étudiante de 24 ans a été tuée d’une balle de kalachnikov en pleine tête, sur fond de trafic de drogue.
L’enquête avance après le terrible meurtre de Socayna. Un adolescent de 16 ans a été interpellé et mis en examen ce vendredi 16 février, soupçonné d’être à l’origine de l’assassinat de cette étudiante de 24 ans à Marseille en septembre dernier, sur fond de trafic de stupéfiants.
Interpellé ce mardi et placé au départ en garde à vue, le jeune suspect nie les faits qui lui sont reprochés. « La personne actuellement déférée serait le tireur », a affirmé le procureur de la République de Marseille, Nicolas Bessone, indiquant qu’il était âgé de 15 ans au moment des faits et qu'il est pour l’heure « peu connu » de la justice, rapporte La Provence.
Onde de choc dans le quartier
Le 10 septembre 2023, Socayna est victime de la violence aveugle des trafiquants de drogue de la cité Saint-Thys, dans le 10e arrondissement, dans le sud-est de Marseille. Alors que la jeune femme est dans sa chambre, fenêtre ouverte, elle est touchée en pleine tête par une balle perdue d’une kalachnivov vers 23 heures.
La balle avait tragiquement traversé le contre-plaqué de bois situé en dessous de la fenêtre de l’étudiante en droit. En état de mort cérébrale, elle avait été transférée à l’hôpital où elle était finalement décédée deux jours plus tard.
Socayna, tuée par balle à Marseille : ce que l’on sait de cet adolescent mis en examen
Mort de Socayna, victime collatérale à Marseille : un adolescent de 16 ans mis en examen
16 févr. 2024
Après six mois d'enquête acharnée dans l'affaire de la mort de Socayna, tuée par une balle perdue dans le quartier de Saint-Thys, la brigade criminelle de la PJ est parvenue à identifier un suspect.
16/02/2024
Un adolescent de 16 ans a été mis en examen ce 16 février, soupçonné d’avoir tué en septembre dernier la jeune Socayna à Marseille. Cette étudiante de 24 ans a été tuée d’une balle de kalachnikov en pleine tête, sur fond de trafic de drogue.
L’enquête avance après le terrible meurtre de Socayna. Un adolescent de 16 ans a été interpellé et mis en examen ce vendredi 16 février, soupçonné d’être à l’origine de l’assassinat de cette étudiante de 24 ans à Marseille en septembre dernier, sur fond de trafic de stupéfiants.
Interpellé ce mardi et placé au départ en garde à vue, le jeune suspect nie les faits qui lui sont reprochés. « La personne actuellement déférée serait le tireur », a affirmé le procureur de la République de Marseille, Nicolas Bessone, indiquant qu’il était âgé de 15 ans au moment des faits et qu'il est pour l’heure « peu connu » de la justice, rapporte La Provence.
Onde de choc dans le quartier
Le 10 septembre 2023, Socayna est victime de la violence aveugle des trafiquants de drogue de la cité Saint-Thys, dans le 10e arrondissement, dans le sud-est de Marseille. Alors que la jeune femme est dans sa chambre, fenêtre ouverte, elle est touchée en pleine tête par une balle perdue d’une kalachnivov vers 23 heures.
La balle avait tragiquement traversé le contre-plaqué de bois situé en dessous de la fenêtre de l’étudiante en droit. En état de mort cérébrale, elle avait été transférée à l’hôpital où elle était finalement décédée deux jours plus tard.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Paris: un proviseur reçoit des menaces de mort après avoir demandé à une élève de retirer son voile
01/03/2024
Les faits se sont déroulés au sein du lycée Maurice Ravel, dans le 20e arrondissement de Paris, ce mercredi. L’élève et le proviseur ont porté plainte.
Le proviseur d’un lycée du 20e arrondissement de Paris a été menacé de mort sur les réseaux sociaux après avoir demandé à une élève de retirer son voile, a appris Le Figaro auprès du parquet de Paris, confirmant des informations d’Europe 1 . Le pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) a ouvert une enquête pour «cyberharcèlement à la suite de menaces de mort», précise encore le parquet.
L’altercation entre le proviseur et l’élève a eu lieu ce mercredi au lycée Maurice Ravel. Selon l’Académie, l’incident a «été repris et détourné sur les réseaux sociaux, générant des propos diffamatoires et des menaces». L’institution affirme que «la situation est suivie par le Rectorat et les services de police pour garantir la sécurité de l'ensemble des élèves et des personnels de l'établissement.»
Grâce aux investigations menées, des menaces de mort à l'encontre du proviseur ont été relevées sur les réseaux sociaux, assure le parquet.
Une plainte de l’élève et du proviseur
Selon les premiers éléments, le proviseur du lycée a rappelé à trois élèves «l’obligation» de retirer leur voile dans l’établissement. L’une d’elles, qui visiblement ne souhaitait pas l’ôter, a «ignoré» le proviseur et a provoqué une altercation. Sur les réseaux, des vidéos amateurs ont circulé montrant des élèves en train de bloquer l’établissement ce vendredi matin.
La jeune fille, majeure et scolarisée en BTS, a déposé plainte pour «violence n’ayant pas entraîné d’incapacité de travail.» Le proviseur a également décidé de déposer plainte pour «acte d’intimidation envers une personne participant à l’exécution d’une mission de service public», détaille encore le parquet ajoutant que les investigations se poursuivent également sur ces faits.
La ministre de l'Éducation nationale, Nicole Belloubet, a assuré dans un post X (anciennement Twitter), avoir «mobilisé les services pour garantir la sécurité du proviseur et saisi le procureur.»
01/03/2024
Les faits se sont déroulés au sein du lycée Maurice Ravel, dans le 20e arrondissement de Paris, ce mercredi. L’élève et le proviseur ont porté plainte.
Le proviseur d’un lycée du 20e arrondissement de Paris a été menacé de mort sur les réseaux sociaux après avoir demandé à une élève de retirer son voile, a appris Le Figaro auprès du parquet de Paris, confirmant des informations d’Europe 1 . Le pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) a ouvert une enquête pour «cyberharcèlement à la suite de menaces de mort», précise encore le parquet.
L’altercation entre le proviseur et l’élève a eu lieu ce mercredi au lycée Maurice Ravel. Selon l’Académie, l’incident a «été repris et détourné sur les réseaux sociaux, générant des propos diffamatoires et des menaces». L’institution affirme que «la situation est suivie par le Rectorat et les services de police pour garantir la sécurité de l'ensemble des élèves et des personnels de l'établissement.»
Grâce aux investigations menées, des menaces de mort à l'encontre du proviseur ont été relevées sur les réseaux sociaux, assure le parquet.
Une plainte de l’élève et du proviseur
Selon les premiers éléments, le proviseur du lycée a rappelé à trois élèves «l’obligation» de retirer leur voile dans l’établissement. L’une d’elles, qui visiblement ne souhaitait pas l’ôter, a «ignoré» le proviseur et a provoqué une altercation. Sur les réseaux, des vidéos amateurs ont circulé montrant des élèves en train de bloquer l’établissement ce vendredi matin.
La jeune fille, majeure et scolarisée en BTS, a déposé plainte pour «violence n’ayant pas entraîné d’incapacité de travail.» Le proviseur a également décidé de déposer plainte pour «acte d’intimidation envers une personne participant à l’exécution d’une mission de service public», détaille encore le parquet ajoutant que les investigations se poursuivent également sur ces faits.
La ministre de l'Éducation nationale, Nicole Belloubet, a assuré dans un post X (anciennement Twitter), avoir «mobilisé les services pour garantir la sécurité du proviseur et saisi le procureur.»
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
🇬🇧 Aim Investor Journal 🇬🇧⚖️🏛️ 📈💰💱💷 @AIM_IJ
Emal Kochai, un violeur afghan reconnu coupable, a récemment tenté de rentrer au Royaume-Uni sur un petit bateau de l'autre côté de la Manche. Sa victime avait 12 ans.
'Je n'abandonnerai jamais mes efforts pour me rendre au Royaume-Uni. Je suis en France depuis trois mois et nous ne recevons rien.'
12:58 PM · Mar 8, 2023

https://twitter.com/AIM_I[...]tatus/1633437039348555777
https://www.dailymail.co.uk/news/articleEmal Kochai a été emprisonné en 2014 après avoir été reconnu coupable du viol d'une fillette de 12 ans à Reading, dans le Berkshire, et a été renvoyé en Afghanistan en 2019 après avoir purgé la moitié de sa peine de neuf ans.
Mais l'homme de 28 ans vit désormais dans un camp de migrants français en attendant l'opportunité de monter à bord d'un petit bateau pour rentrer au Royaume-Uni. -11833125/Afghan-migrant-28-deported-raping-12-year-old-girl-tried-UK.html
Idem, immigration extraeuropéenne en Autriche :
24 février 2024

Vive émotion à Vienne. Dans la capitale autrichienne, cinq femmes ont été tuées vendredi, selon les déclarations de la police nationale, samedi. Parmi les victimes, trois jeunes femmes ont été retrouvées dans une maison close du quartier défavorisé de Brigittenau, à la suite d’une alerte lancée par un témoin, d’après les informations de TF1 Info. Une quatrième femme aurait été retrouvée enfermée dans une autre pièce. Près de l’établissement, un suspect de 27 ans a été arrêté en possession d’un couteau, l’arme présumée des crimes : « Un ressortissant afghan de 27 ans a été arrêté dans le cadre d'une recherche immédiate. Celui-ci a été placé en détention », a indiqué la police de Vienne sur X.
Dans la deuxième affaire criminelle, une femme âgée de 51 ans a été retrouvée morte avec sa fille de 13 ans dans leur appartement de Landstrasse. Les victimes ont été potentiellement étranglées ou étouffées. Suspect principal, le père de l’adolescente serait activement recherché par les forces de l’ordre autrichiennes, d’après la presse nationale. Une enquête est en cours pour arrêter l’auteur. Sujet d’un vaste débat public dans le pays, les féminicides sont omniprésents en Autriche. Le Gouvernement tente d’agir afin de lutter contre ce fléau de la société en soutenant financièrement des organisations d’aide aux victimes de violences. En 2023, l’Autriche a connu 26...
Une Afghane violée contrainte d'épouser son agresseur
Afghanistan, pays musulman.

20 893 vues 6 déc. 2011
Gulnaz was tied up and raped by her cousin's husband -- leaving her traumatized and pregnant. Instead of being protected, she was thrown in jail for adultery. Now the only safe way out is to marry her attacker. Mandy Clark reports on the treatment women receive in Afghanistan.
Emal Kochai, un violeur afghan reconnu coupable, a récemment tenté de rentrer au Royaume-Uni sur un petit bateau de l'autre côté de la Manche. Sa victime avait 12 ans.
'Je n'abandonnerai jamais mes efforts pour me rendre au Royaume-Uni. Je suis en France depuis trois mois et nous ne recevons rien.'
12:58 PM · Mar 8, 2023

Mais l'homme de 28 ans vit désormais dans un camp de migrants français en attendant l'opportunité de monter à bord d'un petit bateau pour rentrer au Royaume-Uni. -11833125/Afghan-migrant-28-deported-raping-12-year-old-girl-tried-UK.html
Idem, immigration extraeuropéenne en Autriche :
24 février 2024

Vive émotion à Vienne. Dans la capitale autrichienne, cinq femmes ont été tuées vendredi, selon les déclarations de la police nationale, samedi. Parmi les victimes, trois jeunes femmes ont été retrouvées dans une maison close du quartier défavorisé de Brigittenau, à la suite d’une alerte lancée par un témoin, d’après les informations de TF1 Info. Une quatrième femme aurait été retrouvée enfermée dans une autre pièce. Près de l’établissement, un suspect de 27 ans a été arrêté en possession d’un couteau, l’arme présumée des crimes : « Un ressortissant afghan de 27 ans a été arrêté dans le cadre d'une recherche immédiate. Celui-ci a été placé en détention », a indiqué la police de Vienne sur X.
Dans la deuxième affaire criminelle, une femme âgée de 51 ans a été retrouvée morte avec sa fille de 13 ans dans leur appartement de Landstrasse. Les victimes ont été potentiellement étranglées ou étouffées. Suspect principal, le père de l’adolescente serait activement recherché par les forces de l’ordre autrichiennes, d’après la presse nationale. Une enquête est en cours pour arrêter l’auteur. Sujet d’un vaste débat public dans le pays, les féminicides sont omniprésents en Autriche. Le Gouvernement tente d’agir afin de lutter contre ce fléau de la société en soutenant financièrement des organisations d’aide aux victimes de violences. En 2023, l’Autriche a connu 26...
Une Afghane violée contrainte d'épouser son agresseur
Afghanistan, pays musulman.

20 893 vues 6 déc. 2011
Gulnaz was tied up and raped by her cousin's husband -- leaving her traumatized and pregnant. Instead of being protected, she was thrown in jail for adultery. Now the only safe way out is to marry her attacker. Mandy Clark reports on the treatment women receive in Afghanistan.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Wollah que Meyer est mécréant, ouais, Merah, il y en aura d'autres avec le regroupement et accueil, chaud.
Luttons contre le racisme et l'antisémitisme, ou alors, les sémites sont en Orient, donc, il suffit de ramener les sémites chez eux au bled et leurs ennemis musulmans au bled aussi, comme ça, plus d'importation du conflit israélo-palestinien en France.
Interdire l'islam, le judaïsme, plus d'attentats, plus d'ingérences, retour du christianisme comme religion, sachant qu'il y a 45 000 églises en France et que la politique migratoire par cette république juive n'amène qu'à la guerre dont Attali et BHL sont des promoteurs dans divers pays, leur soutien aux insurgés, conflits non civilisationnels mais seulement de déstabilisation ou opposition de l'Ukraine à la Russie, on voit bien qu'avec Zelensky, le bingo est complet, que des juifs, cette secte aime tant foutre la merde et se croire maligne mais ça chiale quand les peuples se vengent.
https://onche.org/topic/4[...]-sans-patins-a-l-assemble
Luttons contre le racisme et l'antisémitisme, ou alors, les sémites sont en Orient, donc, il suffit de ramener les sémites chez eux au bled et leurs ennemis musulmans au bled aussi, comme ça, plus d'importation du conflit israélo-palestinien en France.
Interdire l'islam, le judaïsme, plus d'attentats, plus d'ingérences, retour du christianisme comme religion, sachant qu'il y a 45 000 églises en France et que la politique migratoire par cette république juive n'amène qu'à la guerre dont Attali et BHL sont des promoteurs dans divers pays, leur soutien aux insurgés, conflits non civilisationnels mais seulement de déstabilisation ou opposition de l'Ukraine à la Russie, on voit bien qu'avec Zelensky, le bingo est complet, que des juifs, cette secte aime tant foutre la merde et se croire maligne mais ça chiale quand les peuples se vengent.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
JO2024 - DARMANIN FIERE D'AVOIR IDENTIFIER 6 FICHÉ S PARMI LES ORGANISATEURS DES JEUX OLYMPIQUE...
7 mars 2024 #JO2024 #JeuxOlympique2024 #Paris2024
Encore une case du Bingo à cocher.
7 mars 2024 #JO2024 #JeuxOlympique2024 #Paris2024
Encore une case du Bingo à cocher.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
On va faire simple : les agriculteurs chrétiens blancs sont supérieurs aux juifs, les juifs ne sont pas des élus, Dieu a voulu leur exil et ils ont subi des défaites décisives, les victoires récentes dans l'histoire proviennent de l'armement occidental et de l'argent des Occidentaux.
Ils ont des faux prophètes comme dans l'islam mais ils sont du genre à faire de la corruption politique, financière et médiatique pour compenser leur secte à travers plusieurs pays, voulant détruire l'histoire, la religion chrétienne et le déni des races dans un monde fantasmé par Ron Chaya qui disait que l'Occident devra faire une guerre avec les musulmans, et à la fin, le D.ieu Israël gagne, Rav Toutoui le disait également mais bon, c'est pas comme si ils ont tenté avec le golem Macron et de ses deux prédécesseurs Sarkozy et Hollande à plonger la France dans la guerre civile, c'est la réémigration ou la guerre civile, voilà ce que propose Attali depuis Mitterrand, bonjour l'avenir des juifs quand ça va se déclencher.
Meyer Habib considère Jérusalem comme la capitale indivisible de l’État d’Israël et qualifie de « pure chimère » la recherche de la solution à deux États entre Israéliens et Palestiniens sur la base des frontières de 1967. Il soutient la colonisation de la Cisjordanie par Israël.
En mai 2013, dans une vidéo diffusée sur YouTube destinée à présenter sa famille aux électeurs, il qualifiait Israël d’« État le plus moral et le plus humaniste au monde ».
En novembre 2022, une enquête pour détournement de fonds publics visant Meyer Habib est ouverte et confiée à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). Ses bureaux de l'Assemblée nationale sont perquisitionnés le 29 novembre 2022.
https://onche.org/topic/4[...]neux-a-l-assemblee/1#last
Ils ont des faux prophètes comme dans l'islam mais ils sont du genre à faire de la corruption politique, financière et médiatique pour compenser leur secte à travers plusieurs pays, voulant détruire l'histoire, la religion chrétienne et le déni des races dans un monde fantasmé par Ron Chaya qui disait que l'Occident devra faire une guerre avec les musulmans, et à la fin, le D.ieu Israël gagne, Rav Toutoui le disait également mais bon, c'est pas comme si ils ont tenté avec le golem Macron et de ses deux prédécesseurs Sarkozy et Hollande à plonger la France dans la guerre civile, c'est la réémigration ou la guerre civile, voilà ce que propose Attali depuis Mitterrand, bonjour l'avenir des juifs quand ça va se déclencher.
Meyer Habib considère Jérusalem comme la capitale indivisible de l’État d’Israël et qualifie de « pure chimère » la recherche de la solution à deux États entre Israéliens et Palestiniens sur la base des frontières de 1967. Il soutient la colonisation de la Cisjordanie par Israël.
En mai 2013, dans une vidéo diffusée sur YouTube destinée à présenter sa famille aux électeurs, il qualifiait Israël d’« État le plus moral et le plus humaniste au monde ».
En novembre 2022, une enquête pour détournement de fonds publics visant Meyer Habib est ouverte et confiée à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). Ses bureaux de l'Assemblée nationale sont perquisitionnés le 29 novembre 2022.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
La diffusion de la liste des personnes arrêtées lors de la feria de Bilbao fait polémique en Espagne car 75 des 79 sont arabes
Francois
04/09/2023

Sur les réseaux sociaux ces dernières heures, c’est la fuite de la liste des personnes arrêtées par l’Ertzaintza et la police locale de la ville lors de ces célébrations. Concrètement, il s’agit des images des dossiers de police correspondant à des personnes arrêtées pour vols avec violence et intimidation. Au total, 79 détenus, dont 75 d’origine arabe. Les quatre autres personnes restantes sont une personne sans papiers et trois femmes. Le fait que plus de 90 % des personnes interpellées aient ce schéma commun d’origine n’est pas passé inaperçu sur les réseaux sociaux.
La liste a été divulguée par Alvise Pérez, dans le profil duquel il se définit comme un analyste indépendant et qui a déclaré l’avoir publiée parce qu’il estime que, bien qu’il s’agisse d’un document confidentiel, il présente un intérêt public national. Il l’a d’abord fait via son compte Telegram, mais les images se sont ensuite répandues comme une traînée de poudre sur Twitter. De plus, dans ses publications sur les réseaux sociaux, il assure qu’il existe une autre liste d’agressions sexuelles et de viols encore plus longue mais qui, pour le moment, n’a pas vu le jour.
Francois
04/09/2023

Sur les réseaux sociaux ces dernières heures, c’est la fuite de la liste des personnes arrêtées par l’Ertzaintza et la police locale de la ville lors de ces célébrations. Concrètement, il s’agit des images des dossiers de police correspondant à des personnes arrêtées pour vols avec violence et intimidation. Au total, 79 détenus, dont 75 d’origine arabe. Les quatre autres personnes restantes sont une personne sans papiers et trois femmes. Le fait que plus de 90 % des personnes interpellées aient ce schéma commun d’origine n’est pas passé inaperçu sur les réseaux sociaux.
La liste a été divulguée par Alvise Pérez, dans le profil duquel il se définit comme un analyste indépendant et qui a déclaré l’avoir publiée parce qu’il estime que, bien qu’il s’agisse d’un document confidentiel, il présente un intérêt public national. Il l’a d’abord fait via son compte Telegram, mais les images se sont ensuite répandues comme une traînée de poudre sur Twitter. De plus, dans ses publications sur les réseaux sociaux, il assure qu’il existe une autre liste d’agressions sexuelles et de viols encore plus longue mais qui, pour le moment, n’a pas vu le jour.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
MARCO MOULY ENFIN EN CABANE
13 mars 2024
On l'a coffré, le civil Marco Mouly devra faire de la prison comme prévu.
Mardoché Mouly, dit Marco Mouly est un investisseur français, originaire de Tunis. Son nom est lié à plusieurs affaires judiciaires en lien avec le milieu du crime organisé franco-israélien spécialisé dans l'escroquerie et la fraude. Il est entendu comme témoin dans une affaire criminelle.
Marco Mouly est né à Tunis en mai 1965. Il a grandi à Paris dans le quartier de Belleville. Il a sept frères et sœurs. Il est présenté comme « quasi illettré ».
Marco Mouly, 56 ans, a été placé en semi-liberté en avril 2020. Menacé d’une nouvelle incarcération, il annonce partir en cavale en mars 2024.
Le 13 mars de cette même année, il se rend aux autorités judiciaires en se présentant, accompagné de son avocat, directement au tribunal judiciaire de Paris en vue de son incarcération.
Marco Mouly est-il vraiment en CAVALE ? Il s'explique en vidéo !
"Je me rends", annonce Marco Mouly, figure de l'escroquerie à la "taxe carbone" | AFP Images
L'émission TPMP d'Hanouna lui avait offert de l'audience et du temps de parole alors qu'il est lié aux affaires crapuleuses.
13 mars 2024
On l'a coffré, le civil Marco Mouly devra faire de la prison comme prévu.
Mardoché Mouly, dit Marco Mouly est un investisseur français, originaire de Tunis. Son nom est lié à plusieurs affaires judiciaires en lien avec le milieu du crime organisé franco-israélien spécialisé dans l'escroquerie et la fraude. Il est entendu comme témoin dans une affaire criminelle.
Marco Mouly est né à Tunis en mai 1965. Il a grandi à Paris dans le quartier de Belleville. Il a sept frères et sœurs. Il est présenté comme « quasi illettré ».
Marco Mouly, 56 ans, a été placé en semi-liberté en avril 2020. Menacé d’une nouvelle incarcération, il annonce partir en cavale en mars 2024.
Le 13 mars de cette même année, il se rend aux autorités judiciaires en se présentant, accompagné de son avocat, directement au tribunal judiciaire de Paris en vue de son incarcération.
Marco Mouly est-il vraiment en CAVALE ? Il s'explique en vidéo !
"Je me rends", annonce Marco Mouly, figure de l'escroquerie à la "taxe carbone" | AFP Images
L'émission TPMP d'Hanouna lui avait offert de l'audience et du temps de parole alors qu'il est lié aux affaires crapuleuses.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
+ 541% : l’immigration illégale en Europe par la route d’Afrique de l’Ouest explose
13/03/2024
Selon l’agence Frontex, cet axe devient la principale porte des entrées irrégulières dans l’Union européenne.
L'année 2023 était la pire jamais enregistrée sur le plan migratoire en Europe depuis 2016. Les deux premiers mois de l'année 2024 confirment la tendance, à en juger par la dernière production statistique de Frontex, l'agence de surveillance des frontières extérieures de l'Union. À la lire, «le nombre de passages irréguliers à la frontière vers l'Union européenne au cours des deux premiers mois de 2024 a atteint 31.200, un niveau similaire à celui d'il y a un an».
Mais des disparités s'accentuent, selon les axes de migration empruntés. Ainsi, «la Méditerranée centrale a connu la plus forte baisse des détections de passages irréguliers parmi les grandes routes (-70%)», avec un peu plus de 4300 passages de migrants détectés. Là, les principaux exilés sont issus du Bangladesh, de Syrie et de Tunisie. Frontex se félicite également de la baisse des flux sur la route des Balkans (-65%), avec un peu plus de 3000 passages détectés.
En revanche, la situation se dégrade sérieusement en Afrique de l'Ouest
https://onche.org/topic/4[...]epuis-le-debut-de-l-annee
https://onche.org/topic/4[...]es-2024/5#message_9014831
13/03/2024
Selon l’agence Frontex, cet axe devient la principale porte des entrées irrégulières dans l’Union européenne.
L'année 2023 était la pire jamais enregistrée sur le plan migratoire en Europe depuis 2016. Les deux premiers mois de l'année 2024 confirment la tendance, à en juger par la dernière production statistique de Frontex, l'agence de surveillance des frontières extérieures de l'Union. À la lire, «le nombre de passages irréguliers à la frontière vers l'Union européenne au cours des deux premiers mois de 2024 a atteint 31.200, un niveau similaire à celui d'il y a un an».
Mais des disparités s'accentuent, selon les axes de migration empruntés. Ainsi, «la Méditerranée centrale a connu la plus forte baisse des détections de passages irréguliers parmi les grandes routes (-70%)», avec un peu plus de 4300 passages de migrants détectés. Là, les principaux exilés sont issus du Bangladesh, de Syrie et de Tunisie. Frontex se félicite également de la baisse des flux sur la route des Balkans (-65%), avec un peu plus de 3000 passages détectés.
En revanche, la situation se dégrade sérieusement en Afrique de l'Ouest
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Calais : dans la poudrière du plus grand bidonville d'Europe
1 087 717 vues Sortie le 28 avr. 2023 CALAIS
À Calais, la crise des migrants a transformé la ville en poudrière. Tous ces réfugiés s'entassent dans le plus grand bidonville d'Europe, que l'on appelle la « jungle ».
1 087 717 vues Sortie le 28 avr. 2023 CALAIS
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il y a un an
Immigration africaine et orientale en Europe, les maladies.
Gale, choléra, scorbut : les maladies moyênageuses sont de retour
Scorbut, gale, tuberculose… Comment expliquer la résurgence de maladies vieilles de plusieurs siècles ?
Leur nom évoque l’imaginaire des siècles passés. La gale, le scorbut, le rachitisme, la tuberculose… Toutes ces maladies qu’on croyait oubliées n’ont pas disparu. Certaines ont ressurgi ces derniers mois avec des poussées plus ou moins fortes en France comme chez les pays voisins. Les cas de syphilis, cette infection sexuellement transmissible particulièrement meurtrière au XIXe, ont ainsi bondi de 34 % en Europe, d’après les données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies.
Mais l’exemple du Royaume-Uni reste sans doute le plus frappant : le pays voit sur son sol une recrudescence de cas de scorbut, de gale ou encore de rachitisme, des maladies liées à la précarité, l’isolement ou à une mauvaise alimentation. Côté chiffres, près de 11 000 Britanniques (dont 312 enfants) ont été admis à l’hôpital pour malnutrition de janvier 2022 à avril 2023, selon le Times, soit quatre fois plus qu’il y a quinze ans. Dans le lot, 482 patients ont été hospitalisés pour rachitisme, une maladie liée au manque de soleil et à une carence en vitamine D et 171 autres ont été soignés contre le scorbut.
Qu’en est-il en France ? Difficile à dire faute de chiffres. “Nous n’avons pas de surveillance sur le scorbut ou le rachitisme en France, et donc pas de données ou d’indicateurs à communiquer”, concède auprès de Novethic l’agence Santé Publique France. Mais il ne faut pas croire pour autant que ces maladies sont inexistantes sur le territoire national. “Il n’est pas rare d’être face à des cas de scorbut à l’hôpital”, nous explique le professeur Emmanuel Andrès. Selon ce chef de service de médecine interne à la faculté de médecine de Strasbourg, “vous avez dans certains services hospitaliers quasiment 40% des sujets âgés qui présentent des signes précurseurs de la maladie”.
Pour le Pr Emmanuel Andrès, “la précarité alimentaire est un problème de santé publique”. “Ces personnes n’ont en général pas accès à des aliments de qualité et lorsqu’ils achètent des fruits et légumes, ces derniers sont pauvres en vitamines puisqu’ils ont mûri en grande majorité dans des réfrigérateurs”, ajoute-t-il. Et une étude publiée le 26 février dernier par la Fédération française des banques alimentaires, premier réseau d’aide alimentaire en France, ne fait que confirmer ce lien entre difficultés économiques et sociales et vulnérabilité aux maladies. Dans le détail, 71% de leurs bénéficiaires déclarent au moins un problème de santé, 25% souffrent de maladies cardio-vasculaires, de surpoids ou d’obésité, et 15% sont diabétiques, contre 5% dans la population générale.
Vers la mise en place d’une Sécurité sociale de l’alimentation durable
Cette vulnérabilité aux maladies est en grande partie liée à la hausse du coût de l’alimentation avec une inflation galopante (+7,1% sur un an en 2023) où les produits essentiels n’ont pas été épargnés. En 10 ans, le prix du beurre a augmenté de 72%, celui des légumes frais de 72%, du lait demi-écrémé de 40%, des pâtes de 30%, de la viande (bœuf, volaille et porc) d’un peu moins de 30 %, quant aux œufs de 26 %, selon le dernier rapport au parlement de l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires.
Et ce choc inflationniste affecte principalement les jeunes, souvent étudiants, et les familles monoparentales, comme le note la Fédération des banques alimentaires. Ce qui n’étonne pas le Pr Emmanuel Andrès : “il est déjà difficile pour ces personnes de joindre les deux bouts, après avoir payé le loyer et les factures, il ne vous reste plus grand chose, vous économisez sur l’alimentation. C’est une réalité, il y a aujourd’hui un travail à mener pour privilégier le préventif au curatif et l’Etat doit s’en emparer”.
C’est pour cette raison que le mouvement “Riposte alimentaire” (anciennement Dernière rénovation) s’est emparé du sujet et a décidé de lutter contre la précarité alimentaire. “Les banques alimentaires sont surchargées, et un Français sur trois n’a aujourd’hui pas les moyens de se permettre trois repas sains par jour”, s’insurge auprès de Novethic, Till, un de ses membres. C’est dans ce cadre que le groupe appelle à la mise en place d’une “Sécurité sociale de l’alimentation durable”, financée par un système de cotisations. Le but ? Permettre à tous d’accéder pour 150 euros à des produits conventionnés et sélectionnés sur des critères sociaux et environnementaux.
Testée par une centaine d’étudiants bordelais depuis six mois, la formule semble avoir fait ses preuves puisqu’elle s’apprête à être étendue à une centaine de foyers issus de quartiers populaires dès le 1er avril prochain, et ce pour au moins un an.
Gale, choléra, scorbut : les maladies moyênageuses sont de retour
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Leur nom évoque l’imaginaire des siècles passés. La gale, le scorbut, le rachitisme, la tuberculose… Toutes ces maladies qu’on croyait oubliées n’ont pas disparu. Certaines ont ressurgi ces derniers mois avec des poussées plus ou moins fortes en France comme chez les pays voisins. Les cas de syphilis, cette infection sexuellement transmissible particulièrement meurtrière au XIXe, ont ainsi bondi de 34 % en Europe, d’après les données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies.
Mais l’exemple du Royaume-Uni reste sans doute le plus frappant : le pays voit sur son sol une recrudescence de cas de scorbut, de gale ou encore de rachitisme, des maladies liées à la précarité, l’isolement ou à une mauvaise alimentation. Côté chiffres, près de 11 000 Britanniques (dont 312 enfants) ont été admis à l’hôpital pour malnutrition de janvier 2022 à avril 2023, selon le Times, soit quatre fois plus qu’il y a quinze ans. Dans le lot, 482 patients ont été hospitalisés pour rachitisme, une maladie liée au manque de soleil et à une carence en vitamine D et 171 autres ont été soignés contre le scorbut.
Qu’en est-il en France ? Difficile à dire faute de chiffres. “Nous n’avons pas de surveillance sur le scorbut ou le rachitisme en France, et donc pas de données ou d’indicateurs à communiquer”, concède auprès de Novethic l’agence Santé Publique France. Mais il ne faut pas croire pour autant que ces maladies sont inexistantes sur le territoire national. “Il n’est pas rare d’être face à des cas de scorbut à l’hôpital”, nous explique le professeur Emmanuel Andrès. Selon ce chef de service de médecine interne à la faculté de médecine de Strasbourg, “vous avez dans certains services hospitaliers quasiment 40% des sujets âgés qui présentent des signes précurseurs de la maladie”.
Pour le Pr Emmanuel Andrès, “la précarité alimentaire est un problème de santé publique”. “Ces personnes n’ont en général pas accès à des aliments de qualité et lorsqu’ils achètent des fruits et légumes, ces derniers sont pauvres en vitamines puisqu’ils ont mûri en grande majorité dans des réfrigérateurs”, ajoute-t-il. Et une étude publiée le 26 février dernier par la Fédération française des banques alimentaires, premier réseau d’aide alimentaire en France, ne fait que confirmer ce lien entre difficultés économiques et sociales et vulnérabilité aux maladies. Dans le détail, 71% de leurs bénéficiaires déclarent au moins un problème de santé, 25% souffrent de maladies cardio-vasculaires, de surpoids ou d’obésité, et 15% sont diabétiques, contre 5% dans la population générale.
Vers la mise en place d’une Sécurité sociale de l’alimentation durable
Cette vulnérabilité aux maladies est en grande partie liée à la hausse du coût de l’alimentation avec une inflation galopante (+7,1% sur un an en 2023) où les produits essentiels n’ont pas été épargnés. En 10 ans, le prix du beurre a augmenté de 72%, celui des légumes frais de 72%, du lait demi-écrémé de 40%, des pâtes de 30%, de la viande (bœuf, volaille et porc) d’un peu moins de 30 %, quant aux œufs de 26 %, selon le dernier rapport au parlement de l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires.
Et ce choc inflationniste affecte principalement les jeunes, souvent étudiants, et les familles monoparentales, comme le note la Fédération des banques alimentaires. Ce qui n’étonne pas le Pr Emmanuel Andrès : “il est déjà difficile pour ces personnes de joindre les deux bouts, après avoir payé le loyer et les factures, il ne vous reste plus grand chose, vous économisez sur l’alimentation. C’est une réalité, il y a aujourd’hui un travail à mener pour privilégier le préventif au curatif et l’Etat doit s’en emparer”.
C’est pour cette raison que le mouvement “Riposte alimentaire” (anciennement Dernière rénovation) s’est emparé du sujet et a décidé de lutter contre la précarité alimentaire. “Les banques alimentaires sont surchargées, et un Français sur trois n’a aujourd’hui pas les moyens de se permettre trois repas sains par jour”, s’insurge auprès de Novethic, Till, un de ses membres. C’est dans ce cadre que le groupe appelle à la mise en place d’une “Sécurité sociale de l’alimentation durable”, financée par un système de cotisations. Le but ? Permettre à tous d’accéder pour 150 euros à des produits conventionnés et sélectionnés sur des critères sociaux et environnementaux.
Testée par une centaine d’étudiants bordelais depuis six mois, la formule semble avoir fait ses preuves puisqu’elle s’apprête à être étendue à une centaine de foyers issus de quartiers populaires dès le 1er avril prochain, et ce pour au moins un an.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Unnegre
1 an
Immigration africaine et orientale en Europe, les maladies.
Gale, choléra, scorbut : les maladies moyênageuses sont de retour
Scorbut, gale, tuberculose… Comment expliquer la résurgence de maladies vieilles de plusieurs siècles ?
Leur nom évoque l’imaginaire des siècles passés. La gale, le scorbut, le rachitisme, la tuberculose… Toutes ces maladies qu’on croyait oubliées n’ont pas disparu. Certaines ont ressurgi ces derniers mois avec des poussées plus ou moins fortes en France comme chez les pays voisins. Les cas de syphilis, cette infection sexuellement transmissible particulièrement meurtrière au XIXe, ont ainsi bondi de 34 % en Europe, d’après les données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies.
Mais l’exemple du Royaume-Uni reste sans doute le plus frappant : le pays voit sur son sol une recrudescence de cas de scorbut, de gale ou encore de rachitisme, des maladies liées à la précarité, l’isolement ou à une mauvaise alimentation. Côté chiffres, près de 11 000 Britanniques (dont 312 enfants) ont été admis à l’hôpital pour malnutrition de janvier 2022 à avril 2023, selon le Times, soit quatre fois plus qu’il y a quinze ans. Dans le lot, 482 patients ont été hospitalisés pour rachitisme, une maladie liée au manque de soleil et à une carence en vitamine D et 171 autres ont été soignés contre le scorbut.
Qu’en est-il en France ? Difficile à dire faute de chiffres. “Nous n’avons pas de surveillance sur le scorbut ou le rachitisme en France, et donc pas de données ou d’indicateurs à communiquer”, concède auprès de Novethic l’agence Santé Publique France. Mais il ne faut pas croire pour autant que ces maladies sont inexistantes sur le territoire national. “Il n’est pas rare d’être face à des cas de scorbut à l’hôpital”, nous explique le professeur Emmanuel Andrès. Selon ce chef de service de médecine interne à la faculté de médecine de Strasbourg, “vous avez dans certains services hospitaliers quasiment 40% des sujets âgés qui présentent des signes précurseurs de la maladie”.
Pour le Pr Emmanuel Andrès, “la précarité alimentaire est un problème de santé publique”. “Ces personnes n’ont en général pas accès à des aliments de qualité et lorsqu’ils achètent des fruits et légumes, ces derniers sont pauvres en vitamines puisqu’ils ont mûri en grande majorité dans des réfrigérateurs”, ajoute-t-il. Et une étude publiée le 26 février dernier par la Fédération française des banques alimentaires, premier réseau d’aide alimentaire en France, ne fait que confirmer ce lien entre difficultés économiques et sociales et vulnérabilité aux maladies. Dans le détail, 71% de leurs bénéficiaires déclarent au moins un problème de santé, 25% souffrent de maladies cardio-vasculaires, de surpoids ou d’obésité, et 15% sont diabétiques, contre 5% dans la population générale.
Vers la mise en place d’une Sécurité sociale de l’alimentation durable
Cette vulnérabilité aux maladies est en grande partie liée à la hausse du coût de l’alimentation avec une inflation galopante (+7,1% sur un an en 2023) où les produits essentiels n’ont pas été épargnés. En 10 ans, le prix du beurre a augmenté de 72%, celui des légumes frais de 72%, du lait demi-écrémé de 40%, des pâtes de 30%, de la viande (bœuf, volaille et porc) d’un peu moins de 30 %, quant aux œufs de 26 %, selon le dernier rapport au parlement de l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires.
Et ce choc inflationniste affecte principalement les jeunes, souvent étudiants, et les familles monoparentales, comme le note la Fédération des banques alimentaires. Ce qui n’étonne pas le Pr Emmanuel Andrès : “il est déjà difficile pour ces personnes de joindre les deux bouts, après avoir payé le loyer et les factures, il ne vous reste plus grand chose, vous économisez sur l’alimentation. C’est une réalité, il y a aujourd’hui un travail à mener pour privilégier le préventif au curatif et l’Etat doit s’en emparer”.
C’est pour cette raison que le mouvement “Riposte alimentaire” (anciennement Dernière rénovation) s’est emparé du sujet et a décidé de lutter contre la précarité alimentaire. “Les banques alimentaires sont surchargées, et un Français sur trois n’a aujourd’hui pas les moyens de se permettre trois repas sains par jour”, s’insurge auprès de Novethic, Till, un de ses membres. C’est dans ce cadre que le groupe appelle à la mise en place d’une “Sécurité sociale de l’alimentation durable”, financée par un système de cotisations. Le but ? Permettre à tous d’accéder pour 150 euros à des produits conventionnés et sélectionnés sur des critères sociaux et environnementaux.
Testée par une centaine d’étudiants bordelais depuis six mois, la formule semble avoir fait ses preuves puisqu’elle s’apprête à être étendue à une centaine de foyers issus de quartiers populaires dès le 1er avril prochain, et ce pour au moins un an.
Gale, choléra, scorbut : les maladies moyênageuses sont de retour
Scorbut, gale, tuberculose… Comment expliquer la résurgence de maladies vieilles de plusieurs siècles ?
Leur nom évoque l’imaginaire des siècles passés. La gale, le scorbut, le rachitisme, la tuberculose… Toutes ces maladies qu’on croyait oubliées n’ont pas disparu. Certaines ont ressurgi ces derniers mois avec des poussées plus ou moins fortes en France comme chez les pays voisins. Les cas de syphilis, cette infection sexuellement transmissible particulièrement meurtrière au XIXe, ont ainsi bondi de 34 % en Europe, d’après les données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies.
Mais l’exemple du Royaume-Uni reste sans doute le plus frappant : le pays voit sur son sol une recrudescence de cas de scorbut, de gale ou encore de rachitisme, des maladies liées à la précarité, l’isolement ou à une mauvaise alimentation. Côté chiffres, près de 11 000 Britanniques (dont 312 enfants) ont été admis à l’hôpital pour malnutrition de janvier 2022 à avril 2023, selon le Times, soit quatre fois plus qu’il y a quinze ans. Dans le lot, 482 patients ont été hospitalisés pour rachitisme, une maladie liée au manque de soleil et à une carence en vitamine D et 171 autres ont été soignés contre le scorbut.
Qu’en est-il en France ? Difficile à dire faute de chiffres. “Nous n’avons pas de surveillance sur le scorbut ou le rachitisme en France, et donc pas de données ou d’indicateurs à communiquer”, concède auprès de Novethic l’agence Santé Publique France. Mais il ne faut pas croire pour autant que ces maladies sont inexistantes sur le territoire national. “Il n’est pas rare d’être face à des cas de scorbut à l’hôpital”, nous explique le professeur Emmanuel Andrès. Selon ce chef de service de médecine interne à la faculté de médecine de Strasbourg, “vous avez dans certains services hospitaliers quasiment 40% des sujets âgés qui présentent des signes précurseurs de la maladie”.
Pour le Pr Emmanuel Andrès, “la précarité alimentaire est un problème de santé publique”. “Ces personnes n’ont en général pas accès à des aliments de qualité et lorsqu’ils achètent des fruits et légumes, ces derniers sont pauvres en vitamines puisqu’ils ont mûri en grande majorité dans des réfrigérateurs”, ajoute-t-il. Et une étude publiée le 26 février dernier par la Fédération française des banques alimentaires, premier réseau d’aide alimentaire en France, ne fait que confirmer ce lien entre difficultés économiques et sociales et vulnérabilité aux maladies. Dans le détail, 71% de leurs bénéficiaires déclarent au moins un problème de santé, 25% souffrent de maladies cardio-vasculaires, de surpoids ou d’obésité, et 15% sont diabétiques, contre 5% dans la population générale.
Vers la mise en place d’une Sécurité sociale de l’alimentation durable
Cette vulnérabilité aux maladies est en grande partie liée à la hausse du coût de l’alimentation avec une inflation galopante (+7,1% sur un an en 2023) où les produits essentiels n’ont pas été épargnés. En 10 ans, le prix du beurre a augmenté de 72%, celui des légumes frais de 72%, du lait demi-écrémé de 40%, des pâtes de 30%, de la viande (bœuf, volaille et porc) d’un peu moins de 30 %, quant aux œufs de 26 %, selon le dernier rapport au parlement de l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires.
Et ce choc inflationniste affecte principalement les jeunes, souvent étudiants, et les familles monoparentales, comme le note la Fédération des banques alimentaires. Ce qui n’étonne pas le Pr Emmanuel Andrès : “il est déjà difficile pour ces personnes de joindre les deux bouts, après avoir payé le loyer et les factures, il ne vous reste plus grand chose, vous économisez sur l’alimentation. C’est une réalité, il y a aujourd’hui un travail à mener pour privilégier le préventif au curatif et l’Etat doit s’en emparer”.
C’est pour cette raison que le mouvement “Riposte alimentaire” (anciennement Dernière rénovation) s’est emparé du sujet et a décidé de lutter contre la précarité alimentaire. “Les banques alimentaires sont surchargées, et un Français sur trois n’a aujourd’hui pas les moyens de se permettre trois repas sains par jour”, s’insurge auprès de Novethic, Till, un de ses membres. C’est dans ce cadre que le groupe appelle à la mise en place d’une “Sécurité sociale de l’alimentation durable”, financée par un système de cotisations. Le but ? Permettre à tous d’accéder pour 150 euros à des produits conventionnés et sélectionnés sur des critères sociaux et environnementaux.
Testée par une centaine d’étudiants bordelais depuis six mois, la formule semble avoir fait ses preuves puisqu’elle s’apprête à être étendue à une centaine de foyers issus de quartiers populaires dès le 1er avril prochain, et ce pour au moins un an.
Lymphogranulomatose vénérienne : quelle est cette IST qui explose en France et en Europe ?
19 mars 2024
Une hausse inquiétante des infections sexuellement transmissibles est observée au sein de l’Union européenne, y compris en France.
Outre les cas de gonococcie, syphilis et autres chlamydioses, la propagation d'une IST moins connue interpelle : la lymphogranulomatose vénérienne (LGV).
Cette infection, qui a bondi de 58% en un an, peut se manifester par des symptômes parfois très sévères.
"Une augmentation aussi stupéfiante qu'inquiétante". C'est en ces termes que le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a alerté le 7 mars dernier sur la vague "inquiétante" d'infections sexuellement transmissibles (IST) observée dans l'Union européenne, appelant à un travail accru de prévention. Les chiffres, bien qu'importants, "ne représentent probablement que la partie émergée de l'iceberg, car les données" peuvent être sous-estimées, a toutefois précisé Andrea Ammon, directrice de l'ECDC, lors d'une conférence de presse.
Outre la hausse de maladies déjà bien connues dont la gonococcie, la syphilis et autres chlamydioses, en particulier chez les jeunes Européens, l’ECDC a également alerté sur l'augmentation inquiétante de cas d'IST moins connues, à commencer par la lymphogranulomatose vénérienne (LGV). Et pour cause, sur la période étudiée (2021-2022), ces derniers ont bondi de 58%, soit 2059 cas. Parmi les quatre pays qui recensent à eux seuls 84 % des contaminations enregistrées figure la France, mais aussi la Belgique, l’Espagne et les Pays-Bas. Pour freiner cette propagation, l'ECDC recommande, à l'instar de qui vaut pour toutes les IST, de se protéger pendant les rapports sexuels en utilisant des préservatifs.
De quoi parle-t-on ?
Peu connue, la lymphogranulomatose vénérienne, aussi appelée maladie de Nicolas-Favre, endémique dans certaines régions tropicales et subtropicales, était encore rare jusqu’au début des années 2000 dans les pays industrialisés. Il s'agit d'une infection sexuellement transmissible causée par des sous-types de la bactérie de la famille de Chlamydia trachomatis. Elle est "transmise par le sexe anal et par des pratiques telles que le fist-fucking et l'utilisation de jouets sexuels ou d'irrigation rectale", précise le rapport de l'ECDC.
Elle est diagnostiquée via une prise de sang qui détectera la présence de la bactérie, ou via un prélèvement en présence de symptômes. Le diagnostic de la LGV est effectué grâce à des analyses de sang ou des prélèvements si les symptômes apparaissent. Un traitement antibiotique peut alors être prescrit dans les deux semaines suivant l'infection pour l'éliminer totalement. À noter qu'il est essentiel de se protéger sexuellement durant toute la durée du traitement, pour ne pas transmettre l'infection.
Comment se manifeste l'infection ?
Sans traitement, la maladie évolue en trois stades. Le premier se caractérise par l'apparition de lésions au point d’entrée de la bactérie dans le corps (anus, rectum, bouche…), généralement entre 3 et 30 jours après la transmission. Ces premiers symptômes peuvent se manifester sous la forme d'ulcères rectaux, de saignements, d'abcès et de fissures rectales ou anales, d'écoulements de sang et de pus de la zone infectée, mais aussi de douleurs abdominales, de fièvre et de fatigue importante.
Si ces derniers disparaissent habituellement d'eux-mêmes sans nécessiter de traitement, passant ainsi inaperçus, ils peuvent être suivis de complications sévères de la maladie, la bactérie étant toujours présente dans l'organisme. Au second stade la maladie, généralement entre deux et six semaines après la transmission, des gonflements douloureux des ganglions (adénopathie) au niveau de l’aine ou du cou peuvent apparaitre et perdurer de plusieurs semaines à plusieurs mois, tout comme un écoulement de sang et de pus par l’anus ou encore des douleurs musculaires et/ou articulaires, de la fièvre et des frissons.
Chlamydioses, syphilis... les IST bactériennes en forte hausse en France depuis 2020
Au stade tertiaire de la maladie, les symptômes non traités peuvent entraîner un rétrécissement ou perforation du vagin, du rectum ou du côlon, liés à une inflammation chronique, potentiellement irréversible. Un gonflement des organes génitaux causé par une obstruction des vaisseaux lymphatiques peut également se manifester et, dans de plus rares cas, une inflammation du foie ou d'une articulation. À noter que pour prévenir de telles complications de la LGV, un diagnostic précoce se révèle primordial.
Des patients plus à risque ?
Or, l'ECDC déplore que les capacités de diagnostic de cette maladie sont encore trop limitées dans plusieurs pays de l’Union européenne, ce qui rend "le contrôle de l’infection difficile et limite la disponibilité de données épidémiologiques".
"La LGV est plus fréquente chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et vivant avec une infection par le VIH", observe toutefois l’ECDC qui fait l’hypothèse d’une vulnérabilité accrue chez ces patients. "Entre 2018 et 2022, la proportion de cas de LGV séronégatifs a augmenté, passant de 47 % en 2018 à 69 % en 2022", est-il précisé.
19 mars 2024
Une hausse inquiétante des infections sexuellement transmissibles est observée au sein de l’Union européenne, y compris en France.
Outre les cas de gonococcie, syphilis et autres chlamydioses, la propagation d'une IST moins connue interpelle : la lymphogranulomatose vénérienne (LGV).
Cette infection, qui a bondi de 58% en un an, peut se manifester par des symptômes parfois très sévères.
"Une augmentation aussi stupéfiante qu'inquiétante". C'est en ces termes que le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a alerté le 7 mars dernier sur la vague "inquiétante" d'infections sexuellement transmissibles (IST) observée dans l'Union européenne, appelant à un travail accru de prévention. Les chiffres, bien qu'importants, "ne représentent probablement que la partie émergée de l'iceberg, car les données" peuvent être sous-estimées, a toutefois précisé Andrea Ammon, directrice de l'ECDC, lors d'une conférence de presse.
Outre la hausse de maladies déjà bien connues dont la gonococcie, la syphilis et autres chlamydioses, en particulier chez les jeunes Européens, l’ECDC a également alerté sur l'augmentation inquiétante de cas d'IST moins connues, à commencer par la lymphogranulomatose vénérienne (LGV). Et pour cause, sur la période étudiée (2021-2022), ces derniers ont bondi de 58%, soit 2059 cas. Parmi les quatre pays qui recensent à eux seuls 84 % des contaminations enregistrées figure la France, mais aussi la Belgique, l’Espagne et les Pays-Bas. Pour freiner cette propagation, l'ECDC recommande, à l'instar de qui vaut pour toutes les IST, de se protéger pendant les rapports sexuels en utilisant des préservatifs.
De quoi parle-t-on ?
Peu connue, la lymphogranulomatose vénérienne, aussi appelée maladie de Nicolas-Favre, endémique dans certaines régions tropicales et subtropicales, était encore rare jusqu’au début des années 2000 dans les pays industrialisés. Il s'agit d'une infection sexuellement transmissible causée par des sous-types de la bactérie de la famille de Chlamydia trachomatis. Elle est "transmise par le sexe anal et par des pratiques telles que le fist-fucking et l'utilisation de jouets sexuels ou d'irrigation rectale", précise le rapport de l'ECDC.
Elle est diagnostiquée via une prise de sang qui détectera la présence de la bactérie, ou via un prélèvement en présence de symptômes. Le diagnostic de la LGV est effectué grâce à des analyses de sang ou des prélèvements si les symptômes apparaissent. Un traitement antibiotique peut alors être prescrit dans les deux semaines suivant l'infection pour l'éliminer totalement. À noter qu'il est essentiel de se protéger sexuellement durant toute la durée du traitement, pour ne pas transmettre l'infection.
Comment se manifeste l'infection ?
Sans traitement, la maladie évolue en trois stades. Le premier se caractérise par l'apparition de lésions au point d’entrée de la bactérie dans le corps (anus, rectum, bouche…), généralement entre 3 et 30 jours après la transmission. Ces premiers symptômes peuvent se manifester sous la forme d'ulcères rectaux, de saignements, d'abcès et de fissures rectales ou anales, d'écoulements de sang et de pus de la zone infectée, mais aussi de douleurs abdominales, de fièvre et de fatigue importante.
Si ces derniers disparaissent habituellement d'eux-mêmes sans nécessiter de traitement, passant ainsi inaperçus, ils peuvent être suivis de complications sévères de la maladie, la bactérie étant toujours présente dans l'organisme. Au second stade la maladie, généralement entre deux et six semaines après la transmission, des gonflements douloureux des ganglions (adénopathie) au niveau de l’aine ou du cou peuvent apparaitre et perdurer de plusieurs semaines à plusieurs mois, tout comme un écoulement de sang et de pus par l’anus ou encore des douleurs musculaires et/ou articulaires, de la fièvre et des frissons.
Chlamydioses, syphilis... les IST bactériennes en forte hausse en France depuis 2020
Au stade tertiaire de la maladie, les symptômes non traités peuvent entraîner un rétrécissement ou perforation du vagin, du rectum ou du côlon, liés à une inflammation chronique, potentiellement irréversible. Un gonflement des organes génitaux causé par une obstruction des vaisseaux lymphatiques peut également se manifester et, dans de plus rares cas, une inflammation du foie ou d'une articulation. À noter que pour prévenir de telles complications de la LGV, un diagnostic précoce se révèle primordial.
Des patients plus à risque ?
Or, l'ECDC déplore que les capacités de diagnostic de cette maladie sont encore trop limitées dans plusieurs pays de l’Union européenne, ce qui rend "le contrôle de l’infection difficile et limite la disponibilité de données épidémiologiques".
"La LGV est plus fréquente chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et vivant avec une infection par le VIH", observe toutefois l’ECDC qui fait l’hypothèse d’une vulnérabilité accrue chez ces patients. "Entre 2018 et 2022, la proportion de cas de LGV séronégatifs a augmenté, passant de 47 % en 2018 à 69 % en 2022", est-il précisé.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Lymphogranulomatose vénérienne : quelle est cette IST qui explose en France et en Europe ?
19 mars 2024
Une hausse inquiétante des infections sexuellement transmissibles est observée au sein de l’Union européenne, y compris en France.
Outre les cas de gonococcie, syphilis et autres chlamydioses, la propagation d'une IST moins connue interpelle : la lymphogranulomatose vénérienne (LGV).
Cette infection, qui a bondi de 58% en un an, peut se manifester par des symptômes parfois très sévères.
"Une augmentation aussi stupéfiante qu'inquiétante". C'est en ces termes que le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a alerté le 7 mars dernier sur la vague "inquiétante" d'infections sexuellement transmissibles (IST) observée dans l'Union européenne, appelant à un travail accru de prévention. Les chiffres, bien qu'importants, "ne représentent probablement que la partie émergée de l'iceberg, car les données" peuvent être sous-estimées, a toutefois précisé Andrea Ammon, directrice de l'ECDC, lors d'une conférence de presse.
Outre la hausse de maladies déjà bien connues dont la gonococcie, la syphilis et autres chlamydioses, en particulier chez les jeunes Européens, l’ECDC a également alerté sur l'augmentation inquiétante de cas d'IST moins connues, à commencer par la lymphogranulomatose vénérienne (LGV). Et pour cause, sur la période étudiée (2021-2022), ces derniers ont bondi de 58%, soit 2059 cas. Parmi les quatre pays qui recensent à eux seuls 84 % des contaminations enregistrées figure la France, mais aussi la Belgique, l’Espagne et les Pays-Bas. Pour freiner cette propagation, l'ECDC recommande, à l'instar de qui vaut pour toutes les IST, de se protéger pendant les rapports sexuels en utilisant des préservatifs.
De quoi parle-t-on ?
Peu connue, la lymphogranulomatose vénérienne, aussi appelée maladie de Nicolas-Favre, endémique dans certaines régions tropicales et subtropicales, était encore rare jusqu’au début des années 2000 dans les pays industrialisés. Il s'agit d'une infection sexuellement transmissible causée par des sous-types de la bactérie de la famille de Chlamydia trachomatis. Elle est "transmise par le sexe anal et par des pratiques telles que le fist-fucking et l'utilisation de jouets sexuels ou d'irrigation rectale", précise le rapport de l'ECDC.
Elle est diagnostiquée via une prise de sang qui détectera la présence de la bactérie, ou via un prélèvement en présence de symptômes. Le diagnostic de la LGV est effectué grâce à des analyses de sang ou des prélèvements si les symptômes apparaissent. Un traitement antibiotique peut alors être prescrit dans les deux semaines suivant l'infection pour l'éliminer totalement. À noter qu'il est essentiel de se protéger sexuellement durant toute la durée du traitement, pour ne pas transmettre l'infection.
Comment se manifeste l'infection ?
Sans traitement, la maladie évolue en trois stades. Le premier se caractérise par l'apparition de lésions au point d’entrée de la bactérie dans le corps (anus, rectum, bouche…), généralement entre 3 et 30 jours après la transmission. Ces premiers symptômes peuvent se manifester sous la forme d'ulcères rectaux, de saignements, d'abcès et de fissures rectales ou anales, d'écoulements de sang et de pus de la zone infectée, mais aussi de douleurs abdominales, de fièvre et de fatigue importante.
Si ces derniers disparaissent habituellement d'eux-mêmes sans nécessiter de traitement, passant ainsi inaperçus, ils peuvent être suivis de complications sévères de la maladie, la bactérie étant toujours présente dans l'organisme. Au second stade la maladie, généralement entre deux et six semaines après la transmission, des gonflements douloureux des ganglions (adénopathie) au niveau de l’aine ou du cou peuvent apparaitre et perdurer de plusieurs semaines à plusieurs mois, tout comme un écoulement de sang et de pus par l’anus ou encore des douleurs musculaires et/ou articulaires, de la fièvre et des frissons.
Chlamydioses, syphilis... les IST bactériennes en forte hausse en France depuis 2020
Au stade tertiaire de la maladie, les symptômes non traités peuvent entraîner un rétrécissement ou perforation du vagin, du rectum ou du côlon, liés à une inflammation chronique, potentiellement irréversible. Un gonflement des organes génitaux causé par une obstruction des vaisseaux lymphatiques peut également se manifester et, dans de plus rares cas, une inflammation du foie ou d'une articulation. À noter que pour prévenir de telles complications de la LGV, un diagnostic précoce se révèle primordial.
Des patients plus à risque ?
Or, l'ECDC déplore que les capacités de diagnostic de cette maladie sont encore trop limitées dans plusieurs pays de l’Union européenne, ce qui rend "le contrôle de l’infection difficile et limite la disponibilité de données épidémiologiques".
"La LGV est plus fréquente chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et vivant avec une infection par le VIH", observe toutefois l’ECDC qui fait l’hypothèse d’une vulnérabilité accrue chez ces patients. "Entre 2018 et 2022, la proportion de cas de LGV séronégatifs a augmenté, passant de 47 % en 2018 à 69 % en 2022", est-il précisé.
19 mars 2024
Une hausse inquiétante des infections sexuellement transmissibles est observée au sein de l’Union européenne, y compris en France.
Outre les cas de gonococcie, syphilis et autres chlamydioses, la propagation d'une IST moins connue interpelle : la lymphogranulomatose vénérienne (LGV).
Cette infection, qui a bondi de 58% en un an, peut se manifester par des symptômes parfois très sévères.
"Une augmentation aussi stupéfiante qu'inquiétante". C'est en ces termes que le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a alerté le 7 mars dernier sur la vague "inquiétante" d'infections sexuellement transmissibles (IST) observée dans l'Union européenne, appelant à un travail accru de prévention. Les chiffres, bien qu'importants, "ne représentent probablement que la partie émergée de l'iceberg, car les données" peuvent être sous-estimées, a toutefois précisé Andrea Ammon, directrice de l'ECDC, lors d'une conférence de presse.
Outre la hausse de maladies déjà bien connues dont la gonococcie, la syphilis et autres chlamydioses, en particulier chez les jeunes Européens, l’ECDC a également alerté sur l'augmentation inquiétante de cas d'IST moins connues, à commencer par la lymphogranulomatose vénérienne (LGV). Et pour cause, sur la période étudiée (2021-2022), ces derniers ont bondi de 58%, soit 2059 cas. Parmi les quatre pays qui recensent à eux seuls 84 % des contaminations enregistrées figure la France, mais aussi la Belgique, l’Espagne et les Pays-Bas. Pour freiner cette propagation, l'ECDC recommande, à l'instar de qui vaut pour toutes les IST, de se protéger pendant les rapports sexuels en utilisant des préservatifs.
De quoi parle-t-on ?
Peu connue, la lymphogranulomatose vénérienne, aussi appelée maladie de Nicolas-Favre, endémique dans certaines régions tropicales et subtropicales, était encore rare jusqu’au début des années 2000 dans les pays industrialisés. Il s'agit d'une infection sexuellement transmissible causée par des sous-types de la bactérie de la famille de Chlamydia trachomatis. Elle est "transmise par le sexe anal et par des pratiques telles que le fist-fucking et l'utilisation de jouets sexuels ou d'irrigation rectale", précise le rapport de l'ECDC.
Elle est diagnostiquée via une prise de sang qui détectera la présence de la bactérie, ou via un prélèvement en présence de symptômes. Le diagnostic de la LGV est effectué grâce à des analyses de sang ou des prélèvements si les symptômes apparaissent. Un traitement antibiotique peut alors être prescrit dans les deux semaines suivant l'infection pour l'éliminer totalement. À noter qu'il est essentiel de se protéger sexuellement durant toute la durée du traitement, pour ne pas transmettre l'infection.
Comment se manifeste l'infection ?
Sans traitement, la maladie évolue en trois stades. Le premier se caractérise par l'apparition de lésions au point d’entrée de la bactérie dans le corps (anus, rectum, bouche…), généralement entre 3 et 30 jours après la transmission. Ces premiers symptômes peuvent se manifester sous la forme d'ulcères rectaux, de saignements, d'abcès et de fissures rectales ou anales, d'écoulements de sang et de pus de la zone infectée, mais aussi de douleurs abdominales, de fièvre et de fatigue importante.
Si ces derniers disparaissent habituellement d'eux-mêmes sans nécessiter de traitement, passant ainsi inaperçus, ils peuvent être suivis de complications sévères de la maladie, la bactérie étant toujours présente dans l'organisme. Au second stade la maladie, généralement entre deux et six semaines après la transmission, des gonflements douloureux des ganglions (adénopathie) au niveau de l’aine ou du cou peuvent apparaitre et perdurer de plusieurs semaines à plusieurs mois, tout comme un écoulement de sang et de pus par l’anus ou encore des douleurs musculaires et/ou articulaires, de la fièvre et des frissons.
Chlamydioses, syphilis... les IST bactériennes en forte hausse en France depuis 2020
Au stade tertiaire de la maladie, les symptômes non traités peuvent entraîner un rétrécissement ou perforation du vagin, du rectum ou du côlon, liés à une inflammation chronique, potentiellement irréversible. Un gonflement des organes génitaux causé par une obstruction des vaisseaux lymphatiques peut également se manifester et, dans de plus rares cas, une inflammation du foie ou d'une articulation. À noter que pour prévenir de telles complications de la LGV, un diagnostic précoce se révèle primordial.
Des patients plus à risque ?
Or, l'ECDC déplore que les capacités de diagnostic de cette maladie sont encore trop limitées dans plusieurs pays de l’Union européenne, ce qui rend "le contrôle de l’infection difficile et limite la disponibilité de données épidémiologiques".
"La LGV est plus fréquente chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et vivant avec une infection par le VIH", observe toutefois l’ECDC qui fait l’hypothèse d’une vulnérabilité accrue chez ces patients. "Entre 2018 et 2022, la proportion de cas de LGV séronégatifs a augmenté, passant de 47 % en 2018 à 69 % en 2022", est-il précisé.
Chlamydioses, syphilis... les IST bactériennes en forte hausse en France depuis 2020
12 décembre 2023
Trois infections sexuellement transmissibles bactériennes ont connu une hausse marquée entre 2020 et 2022 dans l'Hexagone, selon Santé publique France.
C'est notamment le cas des gonococcies et de la syphilis pour lesquelles la proportion d'infections a bondi sur cette période.
Les données de surveillance en médecine générale font état de cas bien plus souvent masculins.
C'est un problème de santé publique majeur. Les infections sexuellement transmissibles bactériennes ont connu une forte augmentation entre 2020 et 2022 en France métropolitaine au vu de leur surveillance en médecine générale, selon des données publiées mardi par Santé publique France.
En 2022, la proportion d'infections à chlamydia a ainsi augmenté de 16% par rapport à 2020, avec 102 cas pour 100.000 habitants, concluent des chercheurs de Sorbonne Université, de l'Inserm, de l'Institut Pierre Louis d'épidémiologie et de santé publique à partir de remontées du réseau Sentinelles.
Bond des infections de syphilis
S'agissant des gonococcies, cette dernière a connu une hausse nettement plus marquée (91%), avec 44 cas pour 100.000, tandis que la syphilis a bondi de 110%, à 21 cas pour 100.000, concluent les généralistes de ce réseau, volontaires, qui déclarent et décrivent chaque semaine le nombre de cas de ces trois infections, confirmées biologiquement et vues en consultation.
Selon une étude parue dans le bulletin épidémiologique hebdomadaire, sur cette même période, la part des diagnostics d’IST bactériennes dans le cadre d’un dépistage a augmenté en médecine générale de 32% à 50% en 2022 pour la syphilis, de 18,4% à 35,3% pour les gonococcies et de 47% à 57,2% pour les chlamydioses.
"Poursuivre les efforts en termes de dépistage combiné"
Or "les IST représentent un problème de santé publique majeur en raison de leur transmissibilité (aux partenaires et materno-fœtale), de leur fréquence, des complications à long terme qu’elles induisent (douleurs pelviennes chroniques, infections génitales hautes, infertilité, cancer, etc.) et de leur rôle dans la transmission du VIH", rappelle l'étude. Bien plus souvent masculins, les cas avec une gonococcie ou une syphilis avaient plus de multipartenaires, plus d'antécédents d’infections sexuellement transmissibles, plus de co-infections par le VIH et plus de prises d’un traitement préventif contre le sida (PrEP) que ceux avec une chlamydiose, résument les chercheurs.
Ces derniers jugent "important de poursuivre les efforts en termes de dépistage combiné de toutes les IST (VIH, IST bactériennes, hépatites B et C) chez les patients et leurs partenaires, afin de commencer rapidement le traitement et d'interrompre les chaînes de transmission".
Les IST d'origine bactérienne ont recommencé à augmenter dans les pays occidentaux depuis le début des années 2000, après un recul les vingt années précédentes dans le sillage de l'épidémie de sida. Parallèlement, la protection lors des rapports sexuels, notamment avec les préservatifs, a diminué.
12 décembre 2023
Trois infections sexuellement transmissibles bactériennes ont connu une hausse marquée entre 2020 et 2022 dans l'Hexagone, selon Santé publique France.
C'est notamment le cas des gonococcies et de la syphilis pour lesquelles la proportion d'infections a bondi sur cette période.
Les données de surveillance en médecine générale font état de cas bien plus souvent masculins.
C'est un problème de santé publique majeur. Les infections sexuellement transmissibles bactériennes ont connu une forte augmentation entre 2020 et 2022 en France métropolitaine au vu de leur surveillance en médecine générale, selon des données publiées mardi par Santé publique France.
En 2022, la proportion d'infections à chlamydia a ainsi augmenté de 16% par rapport à 2020, avec 102 cas pour 100.000 habitants, concluent des chercheurs de Sorbonne Université, de l'Inserm, de l'Institut Pierre Louis d'épidémiologie et de santé publique à partir de remontées du réseau Sentinelles.
Bond des infections de syphilis
S'agissant des gonococcies, cette dernière a connu une hausse nettement plus marquée (91%), avec 44 cas pour 100.000, tandis que la syphilis a bondi de 110%, à 21 cas pour 100.000, concluent les généralistes de ce réseau, volontaires, qui déclarent et décrivent chaque semaine le nombre de cas de ces trois infections, confirmées biologiquement et vues en consultation.
Selon une étude parue dans le bulletin épidémiologique hebdomadaire, sur cette même période, la part des diagnostics d’IST bactériennes dans le cadre d’un dépistage a augmenté en médecine générale de 32% à 50% en 2022 pour la syphilis, de 18,4% à 35,3% pour les gonococcies et de 47% à 57,2% pour les chlamydioses.
"Poursuivre les efforts en termes de dépistage combiné"
Or "les IST représentent un problème de santé publique majeur en raison de leur transmissibilité (aux partenaires et materno-fœtale), de leur fréquence, des complications à long terme qu’elles induisent (douleurs pelviennes chroniques, infections génitales hautes, infertilité, cancer, etc.) et de leur rôle dans la transmission du VIH", rappelle l'étude. Bien plus souvent masculins, les cas avec une gonococcie ou une syphilis avaient plus de multipartenaires, plus d'antécédents d’infections sexuellement transmissibles, plus de co-infections par le VIH et plus de prises d’un traitement préventif contre le sida (PrEP) que ceux avec une chlamydiose, résument les chercheurs.
Ces derniers jugent "important de poursuivre les efforts en termes de dépistage combiné de toutes les IST (VIH, IST bactériennes, hépatites B et C) chez les patients et leurs partenaires, afin de commencer rapidement le traitement et d'interrompre les chaînes de transmission".
Les IST d'origine bactérienne ont recommencé à augmenter dans les pays occidentaux depuis le début des années 2000, après un recul les vingt années précédentes dans le sillage de l'épidémie de sida. Parallèlement, la protection lors des rapports sexuels, notamment avec les préservatifs, a diminué.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
DEUX JOURNALISTES DE MEDIAPART CONDAMNÉ POUR AVOIR FINANCÉ DES DJIHADISTES
26 mars 2024 #Mediapart #CelineMartelet #EdithBouvier
#Mediapart #CelineMartelet #EdithBouvier #Djihadisme #Woke #Wokisme
Deux anciennes journalistes de Mediapart, Céline Martelet et Edith Bouvier, ont été condamnées avec leurs avocats pour avoir financé le Djihadisme pendant plusieurs années et personne a gauche n'en parle... évidemment...
Financement du terrorisme : un avocat et deux journalistes condamnés
25 mars 2024
Un ex-avocat de djihadistes et deux journalistes ont reçu des peines de 10 mois à trois ans de prison avec sursis pour avoir
notamment transféré des fonds à des membres du groupe État islamique.
Des peines de 10 mois à trois ans de prison avec sursis ont été prononcées vendredi contre un ex-avocat de djihadistes et deux journalistes jugés à Paris pour avoir notamment transféré des fonds à des membres du groupe Etat islamique (EI), selon eux pour les aider à quitter le "califat" et se rendre. La peine la plus lourde, soit trois ans d'emprisonnement assorti du sursis simple, vise l'ancien avocat Bruno V., 50 ans. Le ministère public avait requis en janvier cinq ans d'emprisonnement avec sursis à son encontre.
L'ex-avocat a reconnu la corruption
Bruno V. a reconnu avoir participé à la corruption d'un officier de l'armée irakienne pour tenter, en vain, d'épargner la vie du djihadiste Maximilien Thibaut lors de la bataille de Mossoul en Irak en 2017, selon lui afin qu'il se rende. L'ex-avocat reconnaît la corruption, mais rejette les accusations de financement du terrorisme.
Le tribunal l'a reconnu coupable de financement mais l'a relaxé sur le volet de l'association de malfaiteurs terroriste. Il l'a condamné à une amende douanière solidaire de 10.000 euros, amende demandée par les douanes et à payer avec les deux prévenues journalistes. Ces dernières, Edith B., 43 ans, et Céline M., 44 ans, ont aussi été condamnées respectivement à 10 et 12 mois d'emprisonnement assortis du sursis simple, sur la ligne des peines requises par le procureur.
Les deux journalistes jugées pour avoir transféré des fonds pour "exfiltrer" des femmes de Syrie
Autrices d'un livre-enquête sur les femmes françaises ayant rejoint l'EI, elles sont jugées pour avoir transféré des fonds afin de payer des passeurs pour "exfiltrer" plusieurs femmes de Syrie ou d'Irak, et pour avoir pris part à l'opération ratée de sauvetage de Maximilien Thibaut. Devant le tribunal, Edith B. et Céline M. avaient admis être "sorties du cadre" de leur métier, mais avaient maintenu avoir agi par "humanité", pour "sauver des vies".
Vendredi, toutes deux se disent "choquées par la sévérité d'un jugement qu'elles ne comprennent pas" et font part du "sentiment de n'avoir pas été entendues". "Il existe décidément un gouffre entre la réalité du terrain et ce que la justice croit pouvoir en faire", réagissent-elles dans un message écrit, affirmant "n'avoir jamais financé le terrorisme" qu'elles combattent "chaque jour dans leur profession". Elles comptent faire appel de la décision, a indiqué leur avocate Me Marie Dosé.
Trois autres prévenus poursuivis dans ce dossier
Trois autres prévenus étaient poursuivis dans ce dossier, deux mères et le beau-père de jeunes Français convertis et radicalisés, partis rejoindre l'EI en Syrie. Il leur était reproché d'avoir envoyé plusieurs milliers d'euros à leurs enfants, pour subvenir à leurs besoins selon eux, entre 2014 et 2017.
Les deux mères étaient également jugées pour avoir détourné les fonds d'associations de parents en détresse, qu'elles avaient fondées. Valérie B. a été condamnée à deux ans de prison avec sursis simple et 20.000 euros d'amende, Anne S. à un an d'emprisonnement avec sursis simple et 3.000 euros d'amende.
26 mars 2024 #Mediapart #CelineMartelet #EdithBouvier
#Mediapart #CelineMartelet #EdithBouvier #Djihadisme #Woke #Wokisme
Deux anciennes journalistes de Mediapart, Céline Martelet et Edith Bouvier, ont été condamnées avec leurs avocats pour avoir financé le Djihadisme pendant plusieurs années et personne a gauche n'en parle... évidemment...
Financement du terrorisme : un avocat et deux journalistes condamnés
25 mars 2024
Un ex-avocat de djihadistes et deux journalistes ont reçu des peines de 10 mois à trois ans de prison avec sursis pour avoir
notamment transféré des fonds à des membres du groupe État islamique.
Des peines de 10 mois à trois ans de prison avec sursis ont été prononcées vendredi contre un ex-avocat de djihadistes et deux journalistes jugés à Paris pour avoir notamment transféré des fonds à des membres du groupe Etat islamique (EI), selon eux pour les aider à quitter le "califat" et se rendre. La peine la plus lourde, soit trois ans d'emprisonnement assorti du sursis simple, vise l'ancien avocat Bruno V., 50 ans. Le ministère public avait requis en janvier cinq ans d'emprisonnement avec sursis à son encontre.
L'ex-avocat a reconnu la corruption
Bruno V. a reconnu avoir participé à la corruption d'un officier de l'armée irakienne pour tenter, en vain, d'épargner la vie du djihadiste Maximilien Thibaut lors de la bataille de Mossoul en Irak en 2017, selon lui afin qu'il se rende. L'ex-avocat reconnaît la corruption, mais rejette les accusations de financement du terrorisme.
Le tribunal l'a reconnu coupable de financement mais l'a relaxé sur le volet de l'association de malfaiteurs terroriste. Il l'a condamné à une amende douanière solidaire de 10.000 euros, amende demandée par les douanes et à payer avec les deux prévenues journalistes. Ces dernières, Edith B., 43 ans, et Céline M., 44 ans, ont aussi été condamnées respectivement à 10 et 12 mois d'emprisonnement assortis du sursis simple, sur la ligne des peines requises par le procureur.
Les deux journalistes jugées pour avoir transféré des fonds pour "exfiltrer" des femmes de Syrie
Autrices d'un livre-enquête sur les femmes françaises ayant rejoint l'EI, elles sont jugées pour avoir transféré des fonds afin de payer des passeurs pour "exfiltrer" plusieurs femmes de Syrie ou d'Irak, et pour avoir pris part à l'opération ratée de sauvetage de Maximilien Thibaut. Devant le tribunal, Edith B. et Céline M. avaient admis être "sorties du cadre" de leur métier, mais avaient maintenu avoir agi par "humanité", pour "sauver des vies".
Vendredi, toutes deux se disent "choquées par la sévérité d'un jugement qu'elles ne comprennent pas" et font part du "sentiment de n'avoir pas été entendues". "Il existe décidément un gouffre entre la réalité du terrain et ce que la justice croit pouvoir en faire", réagissent-elles dans un message écrit, affirmant "n'avoir jamais financé le terrorisme" qu'elles combattent "chaque jour dans leur profession". Elles comptent faire appel de la décision, a indiqué leur avocate Me Marie Dosé.
Trois autres prévenus poursuivis dans ce dossier
Trois autres prévenus étaient poursuivis dans ce dossier, deux mères et le beau-père de jeunes Français convertis et radicalisés, partis rejoindre l'EI en Syrie. Il leur était reproché d'avoir envoyé plusieurs milliers d'euros à leurs enfants, pour subvenir à leurs besoins selon eux, entre 2014 et 2017.
Les deux mères étaient également jugées pour avoir détourné les fonds d'associations de parents en détresse, qu'elles avaient fondées. Valérie B. a été condamnée à deux ans de prison avec sursis simple et 20.000 euros d'amende, Anne S. à un an d'emprisonnement avec sursis simple et 3.000 euros d'amende.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Unnegre
1 an
DEUX JOURNALISTES DE MEDIAPART CONDAMNÉ POUR AVOIR FINANCÉ DES DJIHADISTES
26 mars 2024 #Mediapart #CelineMartelet #EdithBouvier
#Mediapart #CelineMartelet #EdithBouvier #Djihadisme #Woke #Wokisme
Deux anciennes journalistes de Mediapart, Céline Martelet et Edith Bouvier, ont été condamnées avec leurs avocats pour avoir financé le Djihadisme pendant plusieurs années et personne a gauche n'en parle... évidemment...
Financement du terrorisme : un avocat et deux journalistes condamnés
25 mars 2024
Un ex-avocat de djihadistes et deux journalistes ont reçu des peines de 10 mois à trois ans de prison avec sursis pour avoir
notamment transféré des fonds à des membres du groupe État islamique.
Des peines de 10 mois à trois ans de prison avec sursis ont été prononcées vendredi contre un ex-avocat de djihadistes et deux journalistes jugés à Paris pour avoir notamment transféré des fonds à des membres du groupe Etat islamique (EI), selon eux pour les aider à quitter le "califat" et se rendre. La peine la plus lourde, soit trois ans d'emprisonnement assorti du sursis simple, vise l'ancien avocat Bruno V., 50 ans. Le ministère public avait requis en janvier cinq ans d'emprisonnement avec sursis à son encontre.
L'ex-avocat a reconnu la corruption
Bruno V. a reconnu avoir participé à la corruption d'un officier de l'armée irakienne pour tenter, en vain, d'épargner la vie du djihadiste Maximilien Thibaut lors de la bataille de Mossoul en Irak en 2017, selon lui afin qu'il se rende. L'ex-avocat reconnaît la corruption, mais rejette les accusations de financement du terrorisme.
Le tribunal l'a reconnu coupable de financement mais l'a relaxé sur le volet de l'association de malfaiteurs terroriste. Il l'a condamné à une amende douanière solidaire de 10.000 euros, amende demandée par les douanes et à payer avec les deux prévenues journalistes. Ces dernières, Edith B., 43 ans, et Céline M., 44 ans, ont aussi été condamnées respectivement à 10 et 12 mois d'emprisonnement assortis du sursis simple, sur la ligne des peines requises par le procureur.
Les deux journalistes jugées pour avoir transféré des fonds pour "exfiltrer" des femmes de Syrie
Autrices d'un livre-enquête sur les femmes françaises ayant rejoint l'EI, elles sont jugées pour avoir transféré des fonds afin de payer des passeurs pour "exfiltrer" plusieurs femmes de Syrie ou d'Irak, et pour avoir pris part à l'opération ratée de sauvetage de Maximilien Thibaut. Devant le tribunal, Edith B. et Céline M. avaient admis être "sorties du cadre" de leur métier, mais avaient maintenu avoir agi par "humanité", pour "sauver des vies".
Vendredi, toutes deux se disent "choquées par la sévérité d'un jugement qu'elles ne comprennent pas" et font part du "sentiment de n'avoir pas été entendues". "Il existe décidément un gouffre entre la réalité du terrain et ce que la justice croit pouvoir en faire", réagissent-elles dans un message écrit, affirmant "n'avoir jamais financé le terrorisme" qu'elles combattent "chaque jour dans leur profession". Elles comptent faire appel de la décision, a indiqué leur avocate Me Marie Dosé.
Trois autres prévenus poursuivis dans ce dossier
Trois autres prévenus étaient poursuivis dans ce dossier, deux mères et le beau-père de jeunes Français convertis et radicalisés, partis rejoindre l'EI en Syrie. Il leur était reproché d'avoir envoyé plusieurs milliers d'euros à leurs enfants, pour subvenir à leurs besoins selon eux, entre 2014 et 2017.
Les deux mères étaient également jugées pour avoir détourné les fonds d'associations de parents en détresse, qu'elles avaient fondées. Valérie B. a été condamnée à deux ans de prison avec sursis simple et 20.000 euros d'amende, Anne S. à un an d'emprisonnement avec sursis simple et 3.000 euros d'amende.
26 mars 2024 #Mediapart #CelineMartelet #EdithBouvier
#Mediapart #CelineMartelet #EdithBouvier #Djihadisme #Woke #Wokisme
Deux anciennes journalistes de Mediapart, Céline Martelet et Edith Bouvier, ont été condamnées avec leurs avocats pour avoir financé le Djihadisme pendant plusieurs années et personne a gauche n'en parle... évidemment...
Financement du terrorisme : un avocat et deux journalistes condamnés
25 mars 2024
Un ex-avocat de djihadistes et deux journalistes ont reçu des peines de 10 mois à trois ans de prison avec sursis pour avoir
notamment transféré des fonds à des membres du groupe État islamique.
Des peines de 10 mois à trois ans de prison avec sursis ont été prononcées vendredi contre un ex-avocat de djihadistes et deux journalistes jugés à Paris pour avoir notamment transféré des fonds à des membres du groupe Etat islamique (EI), selon eux pour les aider à quitter le "califat" et se rendre. La peine la plus lourde, soit trois ans d'emprisonnement assorti du sursis simple, vise l'ancien avocat Bruno V., 50 ans. Le ministère public avait requis en janvier cinq ans d'emprisonnement avec sursis à son encontre.
L'ex-avocat a reconnu la corruption
Bruno V. a reconnu avoir participé à la corruption d'un officier de l'armée irakienne pour tenter, en vain, d'épargner la vie du djihadiste Maximilien Thibaut lors de la bataille de Mossoul en Irak en 2017, selon lui afin qu'il se rende. L'ex-avocat reconnaît la corruption, mais rejette les accusations de financement du terrorisme.
Le tribunal l'a reconnu coupable de financement mais l'a relaxé sur le volet de l'association de malfaiteurs terroriste. Il l'a condamné à une amende douanière solidaire de 10.000 euros, amende demandée par les douanes et à payer avec les deux prévenues journalistes. Ces dernières, Edith B., 43 ans, et Céline M., 44 ans, ont aussi été condamnées respectivement à 10 et 12 mois d'emprisonnement assortis du sursis simple, sur la ligne des peines requises par le procureur.
Les deux journalistes jugées pour avoir transféré des fonds pour "exfiltrer" des femmes de Syrie
Autrices d'un livre-enquête sur les femmes françaises ayant rejoint l'EI, elles sont jugées pour avoir transféré des fonds afin de payer des passeurs pour "exfiltrer" plusieurs femmes de Syrie ou d'Irak, et pour avoir pris part à l'opération ratée de sauvetage de Maximilien Thibaut. Devant le tribunal, Edith B. et Céline M. avaient admis être "sorties du cadre" de leur métier, mais avaient maintenu avoir agi par "humanité", pour "sauver des vies".
Vendredi, toutes deux se disent "choquées par la sévérité d'un jugement qu'elles ne comprennent pas" et font part du "sentiment de n'avoir pas été entendues". "Il existe décidément un gouffre entre la réalité du terrain et ce que la justice croit pouvoir en faire", réagissent-elles dans un message écrit, affirmant "n'avoir jamais financé le terrorisme" qu'elles combattent "chaque jour dans leur profession". Elles comptent faire appel de la décision, a indiqué leur avocate Me Marie Dosé.
Trois autres prévenus poursuivis dans ce dossier
Trois autres prévenus étaient poursuivis dans ce dossier, deux mères et le beau-père de jeunes Français convertis et radicalisés, partis rejoindre l'EI en Syrie. Il leur était reproché d'avoir envoyé plusieurs milliers d'euros à leurs enfants, pour subvenir à leurs besoins selon eux, entre 2014 et 2017.
Les deux mères étaient également jugées pour avoir détourné les fonds d'associations de parents en détresse, qu'elles avaient fondées. Valérie B. a été condamnée à deux ans de prison avec sursis simple et 20.000 euros d'amende, Anne S. à un an d'emprisonnement avec sursis simple et 3.000 euros d'amende.
Le gouvernement en France a sa responsabilité du fait d'autoriser l'entrée de famille de terro en Syrie sous prétexte de statut réfugié, ce qui s'ajoute au bilan.
Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Les FILLES se mettent à DÉLINQUANCE !
93 048 vues 12 mars 2024 #reportage #truecrime #documentaire
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Islam : entre 1979 et mai 2021 au moins 48.035 attentats musulmans et 13 siècles d'esclavage en Afrique.
il y a un an
Déficit public : effacer la dette de la France envers la BCE, une proposition difficilement réalisable
26/03/2024
La juive Yaël Braun Pivet veut taxer encore plus après le détournement de milliards d'euros par l'UE.
Impôts, chômage, législatives... L'interview en intégralité de Yaël Braun-Pivet
25 mars 2024
Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale, était l'invitée d'Apolline de Malherbe dans "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce lundi 25 janvier 2024.
https://onche.org/topic/2[...]-putain-de-pognon-sondage
Plusieurs personnalités politiques ont émis des propositions pour régler le déficit public, dont Jean-Luc Mélenchon. "L’une des solutions pour lui, c’est que la Banque centrale européenne supprime une partie de cette dette", explique Louis Augry, journaliste de la cellule "Vrai ou Faux", sur le plateau du 19/20 info. "Il faut que la BCE annule la part de la dette de la France qu’elle a dans ses coffres", a déclaré le dirigeant de la France insoumise.
La BCE a acheté 25% des bons du trésor français
"Aujourd'hui, la France est endettée à plus de 3 000 milliards d’euros, 110% du PIB", rappelle Louis Augry. "Quand la France a besoin d’argent, le trésor public en charge de la dette émet des bons du trésor sur le marché des obligations", poursuit-il. Ces bons du trésor peuvent être achetés par les banques, qui prêtent de l’argent à l’État. "Les trois quarts de la dette française est détenue par les banques, les compagnies d’assurance ou les fonds de pensions", indique Louis Augry. Mais pour que la BCE, qui a acheté 25% des bons du trésor français, supprime la dette, "il faut que tous les acteurs se retrouvent autour de la table ou changer les traités européens actuels".
https://onche.org/topic/4[...]vront-rembourser-la-dette
26/03/2024
La juive Yaël Braun Pivet veut taxer encore plus après le détournement de milliards d'euros par l'UE.
Impôts, chômage, législatives... L'interview en intégralité de Yaël Braun-Pivet
25 mars 2024
Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale, était l'invitée d'Apolline de Malherbe dans "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce lundi 25 janvier 2024.
Plusieurs personnalités politiques ont émis des propositions pour régler le déficit public, dont Jean-Luc Mélenchon. "L’une des solutions pour lui, c’est que la Banque centrale européenne supprime une partie de cette dette", explique Louis Augry, journaliste de la cellule "Vrai ou Faux", sur le plateau du 19/20 info. "Il faut que la BCE annule la part de la dette de la France qu’elle a dans ses coffres", a déclaré le dirigeant de la France insoumise.
La BCE a acheté 25% des bons du trésor français
"Aujourd'hui, la France est endettée à plus de 3 000 milliards d’euros, 110% du PIB", rappelle Louis Augry. "Quand la France a besoin d’argent, le trésor public en charge de la dette émet des bons du trésor sur le marché des obligations", poursuit-il. Ces bons du trésor peuvent être achetés par les banques, qui prêtent de l’argent à l’État. "Les trois quarts de la dette française est détenue par les banques, les compagnies d’assurance ou les fonds de pensions", indique Louis Augry. Mais pour que la BCE, qui a acheté 25% des bons du trésor français, supprime la dette, "il faut que tous les acteurs se retrouvent autour de la table ou changer les traités européens actuels".
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il y a un an