Ce sujet a été résolu
Je vous laisse deviner . . .
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
Il est marrant certes mais pas forcément de quoi en faire un top top forumeur je trouve

il y a un an
Purée qu'est-ce que t'es MIGNON quand tu veux . . . .
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
formule bien ta phrase je ne comprends pas ce que l'exemple illustre
Ça illustre la fierté des biens particulier aussi arrête d'écrire comme si on était en 1824
il y a un an
Mais oui on sait c'était obligé d'avoir un dictateur c'est marrant ça à posteriori ya toujours une justification pour faire des coup d'état la chance
il y a un an
Je te corrige rapidement
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
Pourquoi tout le monde dit ça... hihihi
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
. . . ah . . . oui . . .
Je peux pas leur en vouloir quand on voit la gueule des bazar
Quand j'ai dit que je voulais devenir humoriste, tout le monde a rit. Maintenant que je le suis, plus personne ne rit.🃏
il y a un an
T'as regardé mon 1er message en sortie du goulag alors? 
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
Fais gaffe la dernière fois qu'un khey a fait de la Zonzon c'est à cause d'un pavé
il y a un an
@Pirate_du_gange recolle moi ce gros nounours
Je suis beaucoup trop brisé pour débriser les gens
Quand j'ai dit que je voulais devenir humoriste, tout le monde a rit. Maintenant que je le suis, plus personne ne rit.🃏
il y a un an
Je pensais être plus discret pourtant . . .
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
Je suis beaucoup trop brisé pour débriser les gens
Débrise toi pour débriser
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
Après son retrait de la première coalition (traité de Bâle, du 22 juillet 1795), le gouvernement de Manuel Godoy signe avec le Directoire le traité de San Ildefonso (18 août 1796) qui fait de l’Espagne un allié de la République française. À partir de 1801, celle-ci est dirigée par Napoléon Bonaparte, premier consul, qui devient empereur en 1804.
En revanche le Portugal est depuis des siècles un allié fidèle de l'Angleterre, qui reste en guerre contre la France. Il en résulte entre l'Espagne et le Portugal la guerre des Oranges qui se conclut le 6 juin 1801 par le traité de Badajoz.
En 1805, les flottes conjointes française et espagnole subissent la défaite de Trafalgar face à la flotte britannique de l'amiral Nelson.
La France et l'Espagne se tournent alors contre le Portugal, l'Espagne cherchant des compensations territoriales alors que les communication avec l'empire colonial sont pratiquement coupées, tandis que Napoléon veut imposer à la monarchie portugaise de respecter le blocus continental et de fermer ses ports aux navires anglais.
En 1807, Napoléon veut envoyer des troupes pour soumettre le Portugal, sans doute aussi pour s'emparer de la flotte portugaise[2],[3].
Par le traité de Fontainebleau (27 octobre 1807), le roi d'Espagne Charles IV autorise les troupes françaises à traverser son pays. Un corps expéditionnaire commandé par le général Junot est envoyé pour la première invasion du Portugal.
Le coup d'État de l'infant Ferdinand (mars 1808) et la conférence de Bayonne (avril-mai 1808)
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Mais Napoléon commence aussi à intervenir dans les affaires espagnoles. Sous prétexte d’envoyer des renforts à Junot, il fait entrer en Espagne[Quand ?] une armée commandée par Murat, conformément au traité de Fontainebleau.
Un coup d’État fomenté par l’infant Ferdinand renverse alors Charles IV et Ferdinand prend le pouvoir sous le nom de Ferdinand VII (mars 1808). Charles IV en appelle à l’arbitrage de Napoléon, qui convoque le père et le fils à Bayonne pour une conférence (avril–mai 1808). Les troupes de Murat sont envoyées à Madrid.
Constatant la situation difficile de la monarchie espagnole, qui est aux mains d'une branche des Bourbons, l’empereur envisage d'en profiter pour prendre le contrôle de l’Espagne. Il y est poussé par ses conseillers. Le ministre Champagny écrit par exemple : « il est nécessaire qu’une main ferme vienne rétablir l’ordre dans son administration [celle de l’Espagne] et prévienne la ruine vers laquelle elle [l’Espagne] marche à grands pas »[4].
En revanche le Portugal est depuis des siècles un allié fidèle de l'Angleterre, qui reste en guerre contre la France. Il en résulte entre l'Espagne et le Portugal la guerre des Oranges qui se conclut le 6 juin 1801 par le traité de Badajoz.
En 1805, les flottes conjointes française et espagnole subissent la défaite de Trafalgar face à la flotte britannique de l'amiral Nelson.
La France et l'Espagne se tournent alors contre le Portugal, l'Espagne cherchant des compensations territoriales alors que les communication avec l'empire colonial sont pratiquement coupées, tandis que Napoléon veut imposer à la monarchie portugaise de respecter le blocus continental et de fermer ses ports aux navires anglais.
En 1807, Napoléon veut envoyer des troupes pour soumettre le Portugal, sans doute aussi pour s'emparer de la flotte portugaise[2],[3].
Par le traité de Fontainebleau (27 octobre 1807), le roi d'Espagne Charles IV autorise les troupes françaises à traverser son pays. Un corps expéditionnaire commandé par le général Junot est envoyé pour la première invasion du Portugal.
Le coup d'État de l'infant Ferdinand (mars 1808) et la conférence de Bayonne (avril-mai 1808)
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Mais Napoléon commence aussi à intervenir dans les affaires espagnoles. Sous prétexte d’envoyer des renforts à Junot, il fait entrer en Espagne[Quand ?] une armée commandée par Murat, conformément au traité de Fontainebleau.
Un coup d’État fomenté par l’infant Ferdinand renverse alors Charles IV et Ferdinand prend le pouvoir sous le nom de Ferdinand VII (mars 1808). Charles IV en appelle à l’arbitrage de Napoléon, qui convoque le père et le fils à Bayonne pour une conférence (avril–mai 1808). Les troupes de Murat sont envoyées à Madrid.
Constatant la situation difficile de la monarchie espagnole, qui est aux mains d'une branche des Bourbons, l’empereur envisage d'en profiter pour prendre le contrôle de l’Espagne. Il y est poussé par ses conseillers. Le ministre Champagny écrit par exemple : « il est nécessaire qu’une main ferme vienne rétablir l’ordre dans son administration [celle de l’Espagne] et prévienne la ruine vers laquelle elle [l’Espagne] marche à grands pas »[4].
il y a un an
En gros il a profité de trouble dans le pays pour envahir son allié sympa le N
il y a un an
Débrise toi pour débriser
Chat va être compliqué
Quand j'ai dit que je voulais devenir humoriste, tout le monde a rit. Maintenant que je le suis, plus personne ne rit.🃏
il y a un an
J'ai vraiment pris 14j? J'ai cru que c'était 10 tout au plus par contre
Je voulais marquer le coup . . .
Ou alors si tu le remarques, c'est pcq tu mm bcp monamie . . .
Je voulais marquer le coup . . .
Ou alors si tu le remarques, c'est pcq tu mm bcp monamie . . .
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
Ça va bien
Je fais mes dents... Je vais devoir aller au dentiste pour retirer mes dents de sagesse
Je fais mes dents... Je vais devoir aller au dentiste pour retirer mes dents de sagesse
il y a un an
Je ne fait que ce qui me semble être juste pas besoin de me remercier, je suis un peu Bruce Wayne (en pauvre)
(et sans art martiaux)
(mais j'ai un boxe de stockage donc c'est un peu ma batcave)
(
)
(et sans art martiaux)
(mais j'ai un boxe de stockage donc c'est un peu ma batcave)
(
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an