Ce sujet a été résolu
C'est rien 5000, 25 kg sur ma frame c finito le couz
tu les reperds en 3semaines wesh
il y a un an
Ok autre dilemme :
Tu gagnes 10 000€ mais t’obtiens un chromosome en plus
Tu gagnes 10 000€ mais t’obtiens un chromosome en plus
Je suis déjà triso
il y a un an
Je suis déjà triso
Tu deviendras quadro
Chaîne youtube aux vidéos effrayantes https://youtube.com/@reve[...]t3110?si=DrDCiPpZTQq6hDwx
il y a un an
Revenant
1 an
[DILEMME] Vous devez choisir entre avoir une personne qui vous aime vraiment et que vous aimez ou alors l’automne cette année dure 9 mois
il y a un an
je double pour la prochaine personne
Ok merci donc je suis la prochaine personne et je choisis 18 mois d’automne
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il y a un an
Dans quel monde?
bah le monde actuel tu sais celui où tu ne manges quasiment rien chaque jour
il y a un an
Le noyau caudé ( responsable de la recherche de stimulation est de plaisir) rétrécit significativement comme pour tous les cas d'addictions, le sujet a alors besoin de plus en plus de stimulations ou alors que celle ci soient de plus en plus fortes pour ressentir le niveau de plaisir auquel il était addict se qui le désensibilise à la stimulation d'autres plaisirs. Pour les cas ayant plus de 20h de visionnage de porno/semaine, les noyaux caudés étaient rentré dans une telle léthargie que seul les fortes doses de pornographie (contenu choquant ou de longue durée) pouvait les réveiller
Les neuroscientifiques berlinois ont également observé que les connexions neuronales des parties préfrontales du cerveau étaient atrophiées chez les gros consommateurs de pornographie, l’individu perd sa capacité de choix et de retenue, il entre dans la spirale de l’aliénation et de l’addiction. Or, une addiction fait souvent tomber dans une autre, beaucoup de gens addict au porno finissent par être addict à d'autres substances
Cela provoque également des pertes de matières grises significatives, on peut en devenir carrément abruti
Le circuit de dopamine et le réseau neuro-hormonal étant touché, on se retrouve avec une comorbidité de la dépression et troubles anxieux de 40% pour la pornographie
Celle ci jouerait également sur les troubles de l'humeur notamment vis à vis de la violence et l'agressivité
Cela joue également sur des troubles neurologiques comme des troubles de l'érection, trouble du sommeil, perte de libido
Puis également beaucoup d'aspect psychologique comme le repli sur soi, la dégradation des relations sentimentales, une vision faussée des relations sexuelles et du consentement, l'aggravation de troubles mentaux préexistant... etc etc
Forgot that inside the icon there's still a young girl from
il y a un an
Ok merci donc je suis la prochaine personne et je choisis 18 mois d’automne
il y a un an
ça fait beaucoup de feuilles mortes
Ce serait la plus belle chose qui pourrait m’arriver
Je danserai dans mon automne éternel
Je danserai dans mon automne éternel
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il y a un an
A part si t’es un phasme de 45kg je vois pas
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il y a un an
C’est costaud quand même
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il y a un an-PEMT
Le noyau caudé ( responsable de la recherche de stimulation est de plaisir) rétrécit significativement comme pour tous les cas d'addictions, le sujet a alors besoin de plus en plus de stimulations ou alors que celle ci soient de plus en plus fortes pour ressentir le niveau de plaisir auquel il était addict se qui le désensibilise à la stimulation d'autres plaisirs. Pour les cas ayant plus de 20h de visionnage de porno/semaine, les noyaux caudés étaient rentré dans une telle léthargie que seul les fortes doses de pornographie (contenu choquant ou de longue durée) pouvait les réveiller
Les neuroscientifiques berlinois ont également observé que les connexions neuronales des parties préfrontales du cerveau étaient atrophiées chez les gros consommateurs de pornographie, l’individu perd sa capacité de choix et de retenue, il entre dans la spirale de l’aliénation et de l’addiction. Or, une addiction fait souvent tomber dans une autre, beaucoup de gens addict au porno finissent par être addict à d'autres substances
Cela provoque également des pertes de matières grises significatives, on peut en devenir carrément abruti
Le circuit de dopamine et le réseau neuro-hormonal étant touché, on se retrouve avec une comorbidité de la dépression et troubles anxieux de 40% pour la pornographie
Celle ci jouerait également sur les troubles de l'humeur notamment vis à vis de la violence et l'agressivité
Cela joue également sur des troubles neurologiques comme des troubles de l'érection, trouble du sommeil, perte de libido
Puis également beaucoup d'aspect psychologique comme le repli sur soi, la dégradation des relations sentimentales, une vision faussée des relations sexuelles et du consentement, l'aggravation de troubles mentaux préexistant... etc etc
Tout ça pour rappeler que ça baise peu et mou, pas cool
Le rebeu séfarade distingué du
il y a un an-PEMT
Tout ça pour rappeler que ça baise peu et mou, pas cool
tu es un gros baiseur toi ?
il y a un an
Le noyau caudé ( responsable de la recherche de stimulation est de plaisir) rétrécit significativement comme pour tous les cas d'addictions, le sujet a alors besoin de plus en plus de stimulations ou alors que celle ci soient de plus en plus fortes pour ressentir le niveau de plaisir auquel il était addict se qui le désensibilise à la stimulation d'autres plaisirs. Pour les cas ayant plus de 20h de visionnage de porno/semaine, les noyaux caudés étaient rentré dans une telle léthargie que seul les fortes doses de pornographie (contenu choquant ou de longue durée) pouvait les réveiller
Les neuroscientifiques berlinois ont également observé que les connexions neuronales des parties préfrontales du cerveau étaient atrophiées chez les gros consommateurs de pornographie, l’individu perd sa capacité de choix et de retenue, il entre dans la spirale de l’aliénation et de l’addiction. Or, une addiction fait souvent tomber dans une autre, beaucoup de gens addict au porno finissent par être addict à d'autres substances
Cela provoque également des pertes de matières grises significatives, on peut en devenir carrément abruti
Le circuit de dopamine et le réseau neuro-hormonal étant touché, on se retrouve avec une comorbidité de la dépression et troubles anxieux de 40% pour la pornographie
Celle ci jouerait également sur les troubles de l'humeur notamment vis à vis de la violence et l'agressivité
Cela joue également sur des troubles neurologiques comme des troubles de l'érection, trouble du sommeil, perte de libido
Puis également beaucoup d'aspect psychologique comme le repli sur soi, la dégradation des relations sentimentales, une vision faussée des relations sexuelles et du consentement, l'aggravation de troubles mentaux préexistant... etc etc
Et vu que ça parle de plaisirs, bon là c'est pour le porno mais tiktok aussi semble jouer sur la dopamine (donc le plaisirs), ça atrophierais le noyau caudé aussi ou pas? (et donc il faudrait de plus en plus de temps sur l'app)
Enfin je dis tiktok mais ça pourrait être sur la plupart des RS finalement, et c'est réversible tout ça?
Enfin je dis tiktok mais ça pourrait être sur la plupart des RS finalement, et c'est réversible tout ça?

il y a un an
de ce que j'ai entendu sur certains reddits c'est pas si déconnant
Et j'avais une pote qui même si elle était pas excité ou faisais rien devant, elle regardais un film porno parfois
Et j'avais une pote qui même si elle était pas excité ou faisais rien devant, elle regardais un film porno parfois
il y a un an