Ce sujet a été résolu
Chacun avantage celui qui le ressemble, ce n’est pas que l’apanage des juifs
Surtout en situation de crise
Le jour où je devrais choisir entre un français ou un étranger j’irais plutôt vers le français
Le jour où je devrais choisir entre un élève de mon ancien lycée ou celui d’un établissement scolaire random j’aurais envie de privilégier celui de mon lycée
Le jour où je devrais choisir entre un amateur de foot et un amateur de littérature j’irais également vers l’amateur de littérature
Surtout en situation de crise
Le jour où je devrais choisir entre un français ou un étranger j’irais plutôt vers le français
Le jour où je devrais choisir entre un élève de mon ancien lycée ou celui d’un établissement scolaire random j’aurais envie de privilégier celui de mon lycée
Le jour où je devrais choisir entre un amateur de foot et un amateur de littérature j’irais également vers l’amateur de littérature
Fais gaffe ça ressemble étrangement à la tirade célèbre du père Lepen "je préfère ma fille à mon voisin, mon voisin à un compatriote éloigné et un français à un étranger"
il y a un an
Tu crois en quoi ?" La science" mdrrrrr
Ok 2sur10 mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
il y a un an
Aussi, je n'ai pas vraiment confiance aux scientifiques modernes, qui sont seulement à la solde des courants de pensées à la mode, comme celui effectivement du cosmopolitisme, qu'on fera croire comme naturel par des études, alors que la réalité a toujours montré l'inverse
Norbert Roby, ancien professeur de mathématiques à l’université de Montpellier, Le mondialisme – Mythe et réalité (Pages 55-64)
« II existe un cosmopolitisme scientifique tout comme il existe un cosmopolitisme politique et un cosmopolitisme financier. Il se trouve que l’un comme l’autre ont, pour l’établissement de leurs centrales, fait élection de domicile sur le territoire des États-Unis, et le langage cosmopolite qu’ils ont choisi est la langue anglaise. C’est pour cette raison que sont groupés aux USA les principaux organismes procédant à l’archivage de toutes les publications scientifiques effectuées dans le monde. […]
La carrière de tous les universitaires dans le monde est réglée de la même manière. L’accession d’un candidat aux grades de quelque importance est toujours subordonnée à la preuve d’une notoriété déjà acquise dans sa spécialité. L’examen de ce point est le critère essentiel de toute sélection universitaire. Cette preuve peut-être fournie par la participation active à des congrès ou colloques internationaux, par des invitations à séjourner dans des universités étrangères, à y enseigner, à y faire des exposés ou des recherches. Les attestations élogieuses en provenance de grands maitres étrangers sont des éléments d’appréciation extrêmement importants. Des références seulement nationales font, en comparaison, assez piètre figure.
Mais ce sont les publications qui constituent habituellement l’essentiel d’un dossier. Les publications sont des articles, pouvant faire de trois ou quatre pages à quelquefois plus de deux cents, où l’auteur expose les résultats nouveaux et originaux qu’il a obtenus dans sa spécialité. Souvent ces travaux complètent ou développent des travaux antérieurement publiés par d’autres, de toutes nationalités. Ainsi se créent des écoles multinationales pouvant constituer au cours des ans de véritables clans, avec aussi leurs exclusives. Leur spécialisation extrême et leur langage réservé rendent difficile la connaissance exacte de leurs activités par d’autres. Ainsi les critères d’évaluation restent-ils soumis à la seule appréciation de leurs membres. […]
Les articles sont filtrés et choisis par des comités de lecture généralement internationaux constitués de spécialistes universitaires. Mais comme les revues sont le plus souvent des entreprises privées, ces spécialistes sont choisis selon les critères et le bon vouloir de la maison d’édition. Leur compétence est toujours extrême. Par contre, leur impartialité n’est pas garantie, bien qu’il soit fort mal venu de la mettre en doute. Souvent, les mêmes spécialistes siègent dans plusieurs revues, ce qui offre des possibilités de barrages tous azimuts.
C’est dans ce système qu’est obligé de s’engager, quel que soit son pays, celui qui veut faire une carrière universitaire. Bien que dépendant, en principe, du seul État, c’est sur l’acceptation et sur l’appréciation de ses œuvres par des conseils éditoriaux privés, le plus souvent étrangers, sur lesquels l’État lui-même n’a aucun droit de regard, que se décident les conditions de la carrière d’un universitaire français. En outre, le témoignage d’un universitaire étranger est toujours tenu pour probant, dès l’instant que quelques compères français affirment qu’il a les titres requis. Aucune instance nationale n’a les moyens de s’assurer que la compétence est incontestable. Les seuls experts possibles en la matière se limitent souvent aux parties concernées.
Pour la délivrance des titres et diplômes tels que le doctorat, le pouvoir d’universitaires étrangers invités sur simple proposition de quelques universitaires français locaux en quête d’un jury est identique à celui d’un professeur français. Il existe donc de fait une caste internationale habilitée à la collation mondiale des diplômes. Il est en outre fréquent de voir de récents diplômés participer comme membres aux jurys du groupe dont ils sont issus. Ainsi se forment des équipes endogènes qui se développent par réaction en chaîne et qui, en raison du caractère ésotérique de leurs activités, restent soustraites à tout contrôle intellectuel autre que le leur. L’État est désarmé en présence de telles féodalités scientifiques. […]
Il suffit souvent que quelqu’un ait réussi à se constituer un groupement de deux ou trois personnes étrangères, comme lui et pour la même raison en quête de relations, pour que sa réputation internationale soit établie. Le Français F saura, dans ses dossiers de candidature et ses rapports d’activité, mettre en relief les relations scientifiques qu’il entretient avec l’Américain A, le Brésilien B et le Canadien C. Mais en allant voir sur place ce qui se passe au Brésil par exemple, On s’apercevra que la réputation de B repose essentiellement sur l’affirmation qu’il travaille en relation avec le Français F.
Chacun invitant l’autre à tour de rôle, chacun citant abondamment les autres dans ses publications et recueillant soigneusement, afin de s’en prévaloir dans son dossier, toutes les citations que les autres font abondamment de lui dans leurs œuvres, des réputations s’élaborent. Une rumeur soigneusement entretenue fait savoir au monde extérieur l’existence de ces relations. On y tiendra cela pour convaincant, car on n’a aucun moyen de procéder à une investigation véritable. […]
On peut ainsi, pour la gloire inutile de deux ou trois personnes et parfois moins, au seul bénéfice de leur carrière professionnelle, faire venir du bout du monde des conférenciers pour une communication de quarante minutes, tous frais payés, y compris l’avion et l’hôtel, et qui n’auraient même pas eu droit chez eux à autant d’égards. Il est évident que, confronté à de telles pratiques, l’authentique savant honnête, souvent modeste par nature et respectueux en outre de l’argent des contribuables de son pays, fera très rapidement figure de petit esprit. […]
Le problème de l’exclusion sur des critères éthiques et idéologiques me paraît particulièrement grave. Je ne crois pas qu’un jeune doctorant, si brillant fût-il, connu pour ses sympathies pour l’extrême droite, pourrait faire même une médiocre carrière dans l’enseignement supérieur. Déjà les signes extérieure d’une appartenance de droite sont suspects. […]
Je crois en outre que des listes noires existent et circulent jusqu’aux États-Unis, qui interdiront à un exclu de publier quoi que ce soit. Ses manuscrits lui seront retournés après un an d’attente, on lui dira que le sujet est d’un intérêt trop limité, qu’il concerne seulement un trop faible nombre de lecteurs, que la motivation de ses recherches n’est pas apparente, que ses travaux ne s’insèrent pas dans les préoccupations du moment, ou plus simplement que le rapport du « referee » a été négatif, sans autre explication. Il n’y a aucun recours. Ainsi, par une conjuration cosmopolite irresponsable devant la nation, toute possibilité de carrière pour un national peut se trouver tuée à la source. »
Norbert Roby, ancien professeur de mathématiques à l’université de Montpellier, Le mondialisme – Mythe et réalité (Pages 55-64)
« II existe un cosmopolitisme scientifique tout comme il existe un cosmopolitisme politique et un cosmopolitisme financier. Il se trouve que l’un comme l’autre ont, pour l’établissement de leurs centrales, fait élection de domicile sur le territoire des États-Unis, et le langage cosmopolite qu’ils ont choisi est la langue anglaise. C’est pour cette raison que sont groupés aux USA les principaux organismes procédant à l’archivage de toutes les publications scientifiques effectuées dans le monde. […]
La carrière de tous les universitaires dans le monde est réglée de la même manière. L’accession d’un candidat aux grades de quelque importance est toujours subordonnée à la preuve d’une notoriété déjà acquise dans sa spécialité. L’examen de ce point est le critère essentiel de toute sélection universitaire. Cette preuve peut-être fournie par la participation active à des congrès ou colloques internationaux, par des invitations à séjourner dans des universités étrangères, à y enseigner, à y faire des exposés ou des recherches. Les attestations élogieuses en provenance de grands maitres étrangers sont des éléments d’appréciation extrêmement importants. Des références seulement nationales font, en comparaison, assez piètre figure.
Mais ce sont les publications qui constituent habituellement l’essentiel d’un dossier. Les publications sont des articles, pouvant faire de trois ou quatre pages à quelquefois plus de deux cents, où l’auteur expose les résultats nouveaux et originaux qu’il a obtenus dans sa spécialité. Souvent ces travaux complètent ou développent des travaux antérieurement publiés par d’autres, de toutes nationalités. Ainsi se créent des écoles multinationales pouvant constituer au cours des ans de véritables clans, avec aussi leurs exclusives. Leur spécialisation extrême et leur langage réservé rendent difficile la connaissance exacte de leurs activités par d’autres. Ainsi les critères d’évaluation restent-ils soumis à la seule appréciation de leurs membres. […]
Les articles sont filtrés et choisis par des comités de lecture généralement internationaux constitués de spécialistes universitaires. Mais comme les revues sont le plus souvent des entreprises privées, ces spécialistes sont choisis selon les critères et le bon vouloir de la maison d’édition. Leur compétence est toujours extrême. Par contre, leur impartialité n’est pas garantie, bien qu’il soit fort mal venu de la mettre en doute. Souvent, les mêmes spécialistes siègent dans plusieurs revues, ce qui offre des possibilités de barrages tous azimuts.
C’est dans ce système qu’est obligé de s’engager, quel que soit son pays, celui qui veut faire une carrière universitaire. Bien que dépendant, en principe, du seul État, c’est sur l’acceptation et sur l’appréciation de ses œuvres par des conseils éditoriaux privés, le plus souvent étrangers, sur lesquels l’État lui-même n’a aucun droit de regard, que se décident les conditions de la carrière d’un universitaire français. En outre, le témoignage d’un universitaire étranger est toujours tenu pour probant, dès l’instant que quelques compères français affirment qu’il a les titres requis. Aucune instance nationale n’a les moyens de s’assurer que la compétence est incontestable. Les seuls experts possibles en la matière se limitent souvent aux parties concernées.
Pour la délivrance des titres et diplômes tels que le doctorat, le pouvoir d’universitaires étrangers invités sur simple proposition de quelques universitaires français locaux en quête d’un jury est identique à celui d’un professeur français. Il existe donc de fait une caste internationale habilitée à la collation mondiale des diplômes. Il est en outre fréquent de voir de récents diplômés participer comme membres aux jurys du groupe dont ils sont issus. Ainsi se forment des équipes endogènes qui se développent par réaction en chaîne et qui, en raison du caractère ésotérique de leurs activités, restent soustraites à tout contrôle intellectuel autre que le leur. L’État est désarmé en présence de telles féodalités scientifiques. […]
Il suffit souvent que quelqu’un ait réussi à se constituer un groupement de deux ou trois personnes étrangères, comme lui et pour la même raison en quête de relations, pour que sa réputation internationale soit établie. Le Français F saura, dans ses dossiers de candidature et ses rapports d’activité, mettre en relief les relations scientifiques qu’il entretient avec l’Américain A, le Brésilien B et le Canadien C. Mais en allant voir sur place ce qui se passe au Brésil par exemple, On s’apercevra que la réputation de B repose essentiellement sur l’affirmation qu’il travaille en relation avec le Français F.
Chacun invitant l’autre à tour de rôle, chacun citant abondamment les autres dans ses publications et recueillant soigneusement, afin de s’en prévaloir dans son dossier, toutes les citations que les autres font abondamment de lui dans leurs œuvres, des réputations s’élaborent. Une rumeur soigneusement entretenue fait savoir au monde extérieur l’existence de ces relations. On y tiendra cela pour convaincant, car on n’a aucun moyen de procéder à une investigation véritable. […]
On peut ainsi, pour la gloire inutile de deux ou trois personnes et parfois moins, au seul bénéfice de leur carrière professionnelle, faire venir du bout du monde des conférenciers pour une communication de quarante minutes, tous frais payés, y compris l’avion et l’hôtel, et qui n’auraient même pas eu droit chez eux à autant d’égards. Il est évident que, confronté à de telles pratiques, l’authentique savant honnête, souvent modeste par nature et respectueux en outre de l’argent des contribuables de son pays, fera très rapidement figure de petit esprit. […]
Le problème de l’exclusion sur des critères éthiques et idéologiques me paraît particulièrement grave. Je ne crois pas qu’un jeune doctorant, si brillant fût-il, connu pour ses sympathies pour l’extrême droite, pourrait faire même une médiocre carrière dans l’enseignement supérieur. Déjà les signes extérieure d’une appartenance de droite sont suspects. […]
Je crois en outre que des listes noires existent et circulent jusqu’aux États-Unis, qui interdiront à un exclu de publier quoi que ce soit. Ses manuscrits lui seront retournés après un an d’attente, on lui dira que le sujet est d’un intérêt trop limité, qu’il concerne seulement un trop faible nombre de lecteurs, que la motivation de ses recherches n’est pas apparente, que ses travaux ne s’insèrent pas dans les préoccupations du moment, ou plus simplement que le rapport du « referee » a été négatif, sans autre explication. Il n’y a aucun recours. Ainsi, par une conjuration cosmopolite irresponsable devant la nation, toute possibilité de carrière pour un national peut se trouver tuée à la source. »
Oui il dit juste qu'il est très difficile d'être publié dans des REVUES car cela repose beaucoup sur une principe de notoriété notamment internationale
Mais c'est uniquement dans le cas d'une volonté de carrière universitaire pour gagner en renommée,
La grande majorité des études scientifiques, essais et recherches sont sur research gate, arXiv... etc on appelle cela des preprint et de fait ne rentrent absolument pas en compte avec ce qui est décrit parce le monsieur parle uniquement des cas de cv à embellir quand on veut avoir une renommée dans la recherche
Pas de la recherche scientifique en elle même
Mais c'est uniquement dans le cas d'une volonté de carrière universitaire pour gagner en renommée,
La grande majorité des études scientifiques, essais et recherches sont sur research gate, arXiv... etc on appelle cela des preprint et de fait ne rentrent absolument pas en compte avec ce qui est décrit parce le monsieur parle uniquement des cas de cv à embellir quand on veut avoir une renommée dans la recherche
Pas de la recherche scientifique en elle même
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il y a un an
Tu crois en quoi ?" La science" mdrrrrr
Le concept même de croyance est étranger pour moi, j'ai jamais compris le besoin de croire, jamais eu besoin de ça pour combler un vide
il y a un an
mmmmdrrrrr le prime de la France c'est saint Louis carrément ils nous parlent de république genre c'est la grande époque
il y a un an
Je crois que tu confonds introduction et production de pensée
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il y a un an
Je vois que ça parle de racisme cette après-midi, j'en profite pour rappeler que 2sur10 a TOUJOURS onche en blanc hein :Zidane_Roulade:
il y a un an
Là encore, c'est sans doute un peu plus compliqué. Tu dois tenir ce discours parce que tu es peut-être athée, et qu'à présent l'athéisme est la nouvelle religion fanatique de l'état maçonnique, donc "vous" êtes "tout-puissant" et c'est "aux autres" de faire des efforts pour s'adapter et de sortir de "leur cadre sectaire". Le problème, c'est qu'eux, musulmans, ou "nous" catholiques, on pense rigoureusement la même chose de "vous".
Vous direz probablement "La religion est chose privée, donc ils font pas chier avec la religion dans le public, et s'ils se soumettent à nos exigences, alors il n'y aura pas de problème", sauf qu'à côté de ça, il y aura toujours (et c'est aussi ainsi dans le côté religieux, je ne vise pas que les athées) des provocateurs, des gens qui vont s'amuser à blasphémer à toute voix, des gens qui vont continuer à taguer des édifices religieux, etc, comme de l'autre côté il y aura également des religieux qui vont critiquer ouvertement les nouveaux dogmes de l'athéisme (le progrès, les pd etc) et donc ça n'en finira jamais
Seule solution retour radical soit à la religion soit forcer l'athéisme (comme sous les régimes communistes en somme, d'où les millions de morts) mais j'ai du mal à croire comme toi, à une modération des deux côtés qui pourraient mener à une vie paisible.
Cela dit je miserais davantage sur un retour à la religion, puisque c'est avec les nouveaux dogmes athées qu'il sera blasphème de remettre en question que la civilisation européenne se meurt (contraception, avortement, féminisme, homosexualité, euthanasie, etc)
Vous direz probablement "La religion est chose privée, donc ils font pas chier avec la religion dans le public, et s'ils se soumettent à nos exigences, alors il n'y aura pas de problème", sauf qu'à côté de ça, il y aura toujours (et c'est aussi ainsi dans le côté religieux, je ne vise pas que les athées) des provocateurs, des gens qui vont s'amuser à blasphémer à toute voix, des gens qui vont continuer à taguer des édifices religieux, etc, comme de l'autre côté il y aura également des religieux qui vont critiquer ouvertement les nouveaux dogmes de l'athéisme (le progrès, les pd etc) et donc ça n'en finira jamais
Seule solution retour radical soit à la religion soit forcer l'athéisme (comme sous les régimes communistes en somme, d'où les millions de morts) mais j'ai du mal à croire comme toi, à une modération des deux côtés qui pourraient mener à une vie paisible.
Cela dit je miserais davantage sur un retour à la religion, puisque c'est avec les nouveaux dogmes athées qu'il sera blasphème de remettre en question que la civilisation européenne se meurt (contraception, avortement, féminisme, homosexualité, euthanasie, etc)
il y a un an
Apex
1 an
Je vois que ça parle de racisme cette après-midi, j'en profite pour rappeler que 2sur10 a TOUJOURS onche en blanc hein :Zidane_Roulade:
C'est un ancien lahuiss il porte même des sweat à capuche le boug :Zidane_Roulade:
il y a un an
Moi j’aime bien savoir qui a couché avec qui chez les rois de France
Des fois il y a des histoires de cul qui se transforment en bain de sang pour la population
Des fois il y a des histoires de cul qui se transforment en bain de sang pour la population
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il y a un an
Exa khey, je ne posterais pas les citations ici parce qu'on va encore me dire "pavé" mais j'ai rassemblé également ici des textes sur l'escroquerie évolutionniste avec, aussi, une bibliographie assez complète pour creuser le sujet :
https://breviairedecombat[...]press.com/evolutionnisme/
il y a un an
Moi j’aime bien savoir qui a couché avec qui chez les rois de France
Des fois il y a des histoires de cul qui se transforment en bain de sang pour la population
Des fois il y a des histoires de cul qui se transforment en bain de sang pour la population

il y a un an
Apex
1 an
Je vois que ça parle de racisme cette après-midi, j'en profite pour rappeler que 2sur10 a TOUJOURS onche en blanc hein :Zidane_Roulade:
eh oh

il y a un an
il y a un an
Louis XI qui pourchasse Agnès sorel avec un couteau, Agnès sorel qui finira morte de manière douteuse :Zidane_Roulade:
il y a un an