Ce sujet a été résolu
Profet de fin d’étude en ecole d’ingé. 6 mois
Mais bon, j’ai serré de la meuf là-bas
Mais bon, j’ai serré de la meuf là-bas
La seule femme qui me parlait avait une tronche à la magalie
il y a 2 ans
DavyJones
2 ans
Putain l'enfer
Il n’y a pas d’autres mots, l’usine ce n’est déjà pas guais, mais alors CETTE USINE, c’est horrible
il y a 2 ans
La seule femme qui me parlait avait une tronche à la magalie
tu t’en ballec, bezlà
Moi c’était une beurette de cité
Moi c’était une beurette de cité
il y a 2 ans
Bordel la gueule du réfectoire, j'ai manqué de me suicider dès l'ouverture de l'image
Ayaaaa j’avais exactement cette image de wojak en tête durant toute la journée
il y a 2 ans
tu t’en ballec, bezlà
Moi c’était une beurette de cité
Moi c’était une beurette de cité
Une petite grosse avec une voix infernale et une tête de simplette c’est non
il y a 2 ans
Une petite grosse avec une voix infernale et une tête de simplette c’est non
en vrai y’a beaucoup de femme et un gros turn over dans cette industrie grace à l’interim
Y’a moyen de faire un carnage
Y’a moyen de faire un carnage
il y a 2 ans
Il n’y a pas d’autres mots, l’usine ce n’est déjà pas guais, mais alors CETTE USINE, c’est horrible
La photo du refectoire m'a donné froid dans le dos
il y a 2 ans
La photo du refectoire m'a donné froid dans le dos
Quand je l’ai vus je n’y croyait pas
il y a 2 ans
OldOnche
2 ans
Ça manque de "crouic, crouic"
Les machines étaient toutes petites, j’ai rarement vus ca
il y a 2 ans
firstban_issou
2 ans
Bonsoir les clés
Comme je l’avais dis précédemment, j’ai évité l’abattoir et on m’a emmené dans la préparation de commande
La journée pourrie a commencée dès le trajet, avec un brouillard énorme qui m’a fait louper la sortie de l’autoroute (qui était aussi une entrée, la configuration était super dangereuse)
J’arrive donc à l’usine, je suis accueillis… non, je tombe par chance sur un ouvrier qui me fait entrer car personne n’était là pour m’accueillir
On me donne un casier, on me donne aussi ma tenue, la tenue est terriblement chiante, une sorte de tenue intégrale (si tu veux chier tu dois l’enlever) une paire de gants, un protège cou contre le froid, une casquette également
Nous entrons dans la zone de production mais avant ca
désinfection des mains, lavage des mains, lavage de chaussures et encore une désinfection des mains, suite à ca, on ajoute des gants en latex, une salopette en plastique et des machin à mettre sur ses avantd bras en plastique
Ma première tâche consiste à mettre de la panure sur des boulettes, je fais ca durant deux heures, ensuite vite en tapis pour remplir des barquettes, 40 minutes plus tard c’est l’heure de la pause, 25 minutes en sachant qu’il faut pointer pour y aller, bordel
Et là ca devient amusant, pour aller en pause il faut évidemment enlever les surcouche de plastique (gants, salopette et avant bras), rien de long me direz vous, oui mais après il faudra les remettre
Je monte donc 3-4 étages pour arriver au réfectoire, et là, BORDEL la gueule du réfectoire
Face à ce triste spectacle je demande donc où est le fumoir, en général celui ci se trouve dehors donc je pourrai prendre l’air… MAIS NON
Le fumoir est dans une pièce juste à côté du réfectoire
Je vais donc aux toilettes, le temps de finir, de redescendre les 3 étages et de remettre les couches de plastique j’arrive en retard à mon poste, chose dont tout le monde s’en fout visiblement
J’ai donc continué à mettre de la panure sur les viande et à faire des barquettes jusqu’à la fin de la journée
À la fin mon chef vient me trouver en souriant pour me dire « demain même heure firstban » CEPENDANT ce sont des contrats de travail journaliers
J’ai donc décidé de quitter cet enfer en prétextant des nausées à la vue de la viande, ce qui fût accepté
Me revoilà au chômage, et honnêtement, j’y suis très bien
Comme je l’avais dis précédemment, j’ai évité l’abattoir et on m’a emmené dans la préparation de commande
La journée pourrie a commencée dès le trajet, avec un brouillard énorme qui m’a fait louper la sortie de l’autoroute (qui était aussi une entrée, la configuration était super dangereuse)
J’arrive donc à l’usine, je suis accueillis… non, je tombe par chance sur un ouvrier qui me fait entrer car personne n’était là pour m’accueillir
On me donne un casier, on me donne aussi ma tenue, la tenue est terriblement chiante, une sorte de tenue intégrale (si tu veux chier tu dois l’enlever) une paire de gants, un protège cou contre le froid, une casquette également
Nous entrons dans la zone de production mais avant ca

Ma première tâche consiste à mettre de la panure sur des boulettes, je fais ca durant deux heures, ensuite vite en tapis pour remplir des barquettes, 40 minutes plus tard c’est l’heure de la pause, 25 minutes en sachant qu’il faut pointer pour y aller, bordel
Et là ca devient amusant, pour aller en pause il faut évidemment enlever les surcouche de plastique (gants, salopette et avant bras), rien de long me direz vous, oui mais après il faudra les remettre
Je monte donc 3-4 étages pour arriver au réfectoire, et là, BORDEL la gueule du réfectoire


Face à ce triste spectacle je demande donc où est le fumoir, en général celui ci se trouve dehors donc je pourrai prendre l’air… MAIS NON
Le fumoir est dans une pièce juste à côté du réfectoire


Je vais donc aux toilettes, le temps de finir, de redescendre les 3 étages et de remettre les couches de plastique j’arrive en retard à mon poste, chose dont tout le monde s’en fout visiblement
J’ai donc continué à mettre de la panure sur les viande et à faire des barquettes jusqu’à la fin de la journée
À la fin mon chef vient me trouver en souriant pour me dire « demain même heure firstban » CEPENDANT ce sont des contrats de travail journaliers
J’ai donc décidé de quitter cet enfer en prétextant des nausées à la vue de la viande, ce qui fût accepté
Me revoilà au chômage, et honnêtement, j’y suis très bien
Non de dieu de bordel la photo du réfectoire, c'est fake hein ??
il y a 2 ans
Non de dieu de bordel la photo du réfectoire, c'est fake hein ??
Not ReadyENT
"Vivre c'est combattre et combattre c'est vivre"
il y a 2 ans
firstban_issou
2 ans
Bonsoir les clés
Comme je l’avais dis précédemment, j’ai évité l’abattoir et on m’a emmené dans la préparation de commande
La journée pourrie a commencée dès le trajet, avec un brouillard énorme qui m’a fait louper la sortie de l’autoroute (qui était aussi une entrée, la configuration était super dangereuse)
J’arrive donc à l’usine, je suis accueillis… non, je tombe par chance sur un ouvrier qui me fait entrer car personne n’était là pour m’accueillir
On me donne un casier, on me donne aussi ma tenue, la tenue est terriblement chiante, une sorte de tenue intégrale (si tu veux chier tu dois l’enlever) une paire de gants, un protège cou contre le froid, une casquette également
Nous entrons dans la zone de production mais avant ca
désinfection des mains, lavage des mains, lavage de chaussures et encore une désinfection des mains, suite à ca, on ajoute des gants en latex, une salopette en plastique et des machin à mettre sur ses avantd bras en plastique
Ma première tâche consiste à mettre de la panure sur des boulettes, je fais ca durant deux heures, ensuite vite en tapis pour remplir des barquettes, 40 minutes plus tard c’est l’heure de la pause, 25 minutes en sachant qu’il faut pointer pour y aller, bordel
Et là ca devient amusant, pour aller en pause il faut évidemment enlever les surcouche de plastique (gants, salopette et avant bras), rien de long me direz vous, oui mais après il faudra les remettre
Je monte donc 3-4 étages pour arriver au réfectoire, et là, BORDEL la gueule du réfectoire
Face à ce triste spectacle je demande donc où est le fumoir, en général celui ci se trouve dehors donc je pourrai prendre l’air… MAIS NON
Le fumoir est dans une pièce juste à côté du réfectoire
Je vais donc aux toilettes, le temps de finir, de redescendre les 3 étages et de remettre les couches de plastique j’arrive en retard à mon poste, chose dont tout le monde s’en fout visiblement
J’ai donc continué à mettre de la panure sur les viande et à faire des barquettes jusqu’à la fin de la journée
À la fin mon chef vient me trouver en souriant pour me dire « demain même heure firstban » CEPENDANT ce sont des contrats de travail journaliers
J’ai donc décidé de quitter cet enfer en prétextant des nausées à la vue de la viande, ce qui fût accepté
Me revoilà au chômage, et honnêtement, j’y suis très bien
Comme je l’avais dis précédemment, j’ai évité l’abattoir et on m’a emmené dans la préparation de commande
La journée pourrie a commencée dès le trajet, avec un brouillard énorme qui m’a fait louper la sortie de l’autoroute (qui était aussi une entrée, la configuration était super dangereuse)
J’arrive donc à l’usine, je suis accueillis… non, je tombe par chance sur un ouvrier qui me fait entrer car personne n’était là pour m’accueillir
On me donne un casier, on me donne aussi ma tenue, la tenue est terriblement chiante, une sorte de tenue intégrale (si tu veux chier tu dois l’enlever) une paire de gants, un protège cou contre le froid, une casquette également
Nous entrons dans la zone de production mais avant ca

Ma première tâche consiste à mettre de la panure sur des boulettes, je fais ca durant deux heures, ensuite vite en tapis pour remplir des barquettes, 40 minutes plus tard c’est l’heure de la pause, 25 minutes en sachant qu’il faut pointer pour y aller, bordel
Et là ca devient amusant, pour aller en pause il faut évidemment enlever les surcouche de plastique (gants, salopette et avant bras), rien de long me direz vous, oui mais après il faudra les remettre
Je monte donc 3-4 étages pour arriver au réfectoire, et là, BORDEL la gueule du réfectoire


Face à ce triste spectacle je demande donc où est le fumoir, en général celui ci se trouve dehors donc je pourrai prendre l’air… MAIS NON
Le fumoir est dans une pièce juste à côté du réfectoire


Je vais donc aux toilettes, le temps de finir, de redescendre les 3 étages et de remettre les couches de plastique j’arrive en retard à mon poste, chose dont tout le monde s’en fout visiblement
J’ai donc continué à mettre de la panure sur les viande et à faire des barquettes jusqu’à la fin de la journée
À la fin mon chef vient me trouver en souriant pour me dire « demain même heure firstban » CEPENDANT ce sont des contrats de travail journaliers
J’ai donc décidé de quitter cet enfer en prétextant des nausées à la vue de la viande, ce qui fût accepté
Me revoilà au chômage, et honnêtement, j’y suis très bien
Putain la salle de pause
J'ai versé une larme je rigole pas
Je suis pas d'accord que des humains soient traité ainsi !
On ne peut pas laisséer faire ça
Il faut se lever!!!!!!
J'ai versé une larme je rigole pas
Je suis pas d'accord que des humains soient traité ainsi !
On ne peut pas laisséer faire ça
Il faut se lever!!!!!!
Mariama ou l'Oracle de Mayotte
il y a 2 ans
Ceux qui restent la des dizaines d'années
La petite routine, le mal de dos, la gamelle à réchauffer composé de steak surgelé et coquillettes au beurre
"Ça va ? Oh comme un Lundi
"

La petite routine, le mal de dos, la gamelle à réchauffer composé de steak surgelé et coquillettes au beurre

"Ça va ? Oh comme un Lundi

il y a 2 ans
Celeste
2 ans
Ceux qui restent la des dizaines d'années
La petite routine, le mal de dos, la gamelle à réchauffer composé de steak surgelé et coquillettes au beurre
"Ça va ? Oh comme un Lundi
"

La petite routine, le mal de dos, la gamelle à réchauffer composé de steak surgelé et coquillettes au beurre

"Ça va ? Oh comme un Lundi

Mettre de la panure sur des boulettes le matin, manger des boulettes au réfectoire à midi, mettre de la panure sur des boulettes l'après midi, rentrer chez soit, manger des boulettes au diner, dormir et rêver de boulettes,
il y a 2 ans
Mettre de la panure sur des boulettes le matin, manger des boulettes au réfectoire à midi, mettre de la panure sur des boulettes l'après midi, rentrer chez soit, manger des boulettes au diner, dormir et rêver de boulettes,
Se lever à 4h, déjeuner des boulettes, faire un petit caca : des boulettes, pour s'en aller travailler à 6h, et refaire des boulettes
Se faire appeler "boubou" ou "ma petite boulette" par sa magalie, qui a la forme d'une grosse boulette
Se faire appeler "boubou" ou "ma petite boulette" par sa magalie, qui a la forme d'une grosse boulette
il y a 2 ans
Se lever à 4h, déjeuner des boulettes, faire un petit caca : des boulettes, pour s'en aller travailler à 6h, et refaire des boulettes
Se faire appeler "boubou" ou "ma petite boulette" par sa magalie, qui a la forme d'une grosse boulette
Se faire appeler "boubou" ou "ma petite boulette" par sa magalie, qui a la forme d'une grosse boulette
Bonne complétion de la journée du créateur de boulettes
il y a 2 ans
Non de dieu de bordel la photo du réfectoire, c'est fake hein ??
Non c’est no fake
il y a 2 ans