Ce sujet a été résolu
Bonsoir les clés
Comme je l’avais dis précédemment, j’ai évité l’abattoir et on m’a emmené dans la préparation de commande
La journée pourrie a commencée dès le trajet, avec un brouillard énorme qui m’a fait louper la sortie de l’autoroute (qui était aussi une entrée, la configuration était super dangereuse)
J’arrive donc à l’usine, je suis accueillis… non, je tombe par chance sur un ouvrier qui me fait entrer car personne n’était là pour m’accueillir
On me donne un casier, on me donne aussi ma tenue, la tenue est terriblement chiante, une sorte de tenue intégrale (si tu veux chier tu dois l’enlever) une paire de gants, un protège cou contre le froid, une casquette également
Nous entrons dans la zone de production mais avant ca
désinfection des mains, lavage des mains, lavage de chaussures et encore une désinfection des mains, suite à ca, on ajoute des gants en latex, une salopette en plastique et des machin à mettre sur ses avantd bras en plastique
Ma première tâche consiste à mettre de la panure sur des boulettes, je fais ca durant deux heures, ensuite vite en tapis pour remplir des barquettes, 40 minutes plus tard c’est l’heure de la pause, 25 minutes en sachant qu’il faut pointer pour y aller, bordel
Et là ca devient amusant, pour aller en pause il faut évidemment enlever les surcouche de plastique (gants, salopette et avant bras), rien de long me direz vous, oui mais après il faudra les remettre
Je monte donc 3-4 étages pour arriver au réfectoire, et là, BORDEL la gueule du réfectoire
Face à ce triste spectacle je demande donc où est le fumoir, en général celui ci se trouve dehors donc je pourrai prendre l’air… MAIS NON
Le fumoir est dans une pièce juste à côté du réfectoire
Je vais donc aux toilettes, le temps de finir, de redescendre les 3 étages et de remettre les couches de plastique j’arrive en retard à mon poste, chose dont tout le monde s’en fout visiblement
J’ai donc continué à mettre de la panure sur les viande et à faire des barquettes jusqu’à la fin de la journée
À la fin mon chef vient me trouver en souriant pour me dire « demain même heure firstban » CEPENDANT ce sont des contrats de travail journaliers
J’ai donc décidé de quitter cet enfer en prétextant des nausées à la vue de la viande, ce qui fût accepté
Me revoilà au chômage, et honnêtement, j’y suis très bien
Comme je l’avais dis précédemment, j’ai évité l’abattoir et on m’a emmené dans la préparation de commande
La journée pourrie a commencée dès le trajet, avec un brouillard énorme qui m’a fait louper la sortie de l’autoroute (qui était aussi une entrée, la configuration était super dangereuse)
J’arrive donc à l’usine, je suis accueillis… non, je tombe par chance sur un ouvrier qui me fait entrer car personne n’était là pour m’accueillir
On me donne un casier, on me donne aussi ma tenue, la tenue est terriblement chiante, une sorte de tenue intégrale (si tu veux chier tu dois l’enlever) une paire de gants, un protège cou contre le froid, une casquette également
Nous entrons dans la zone de production mais avant ca

Ma première tâche consiste à mettre de la panure sur des boulettes, je fais ca durant deux heures, ensuite vite en tapis pour remplir des barquettes, 40 minutes plus tard c’est l’heure de la pause, 25 minutes en sachant qu’il faut pointer pour y aller, bordel
Et là ca devient amusant, pour aller en pause il faut évidemment enlever les surcouche de plastique (gants, salopette et avant bras), rien de long me direz vous, oui mais après il faudra les remettre
Je monte donc 3-4 étages pour arriver au réfectoire, et là, BORDEL la gueule du réfectoire


Face à ce triste spectacle je demande donc où est le fumoir, en général celui ci se trouve dehors donc je pourrai prendre l’air… MAIS NON
Le fumoir est dans une pièce juste à côté du réfectoire


Je vais donc aux toilettes, le temps de finir, de redescendre les 3 étages et de remettre les couches de plastique j’arrive en retard à mon poste, chose dont tout le monde s’en fout visiblement
J’ai donc continué à mettre de la panure sur les viande et à faire des barquettes jusqu’à la fin de la journée
À la fin mon chef vient me trouver en souriant pour me dire « demain même heure firstban » CEPENDANT ce sont des contrats de travail journaliers
J’ai donc décidé de quitter cet enfer en prétextant des nausées à la vue de la viande, ce qui fût accepté
Me revoilà au chômage, et honnêtement, j’y suis très bien
il y a 2 ans
J’allais oublier de le préciser mais c’était en 6-14 donc réveil à 4h du matin
il y a 2 ans
Bordel le réfectoire donne envie de se pendre s'z ssommation, qu'elle horreur
il y a 2 ans
Non, intérimaire
C’était hors de question que je reste dans ce temple de la dépression
C’était hors de question que je reste dans ce temple de la dépression
il y a 2 ans
TheMorphing
2 ans
Bordel le réfectoire donne envie de se pendre s'z ssommation, qu'elle horreur
J’ai hésité à manger dans les toilettes, je t’assure qu’elles étaient plus accueillantes
il y a 2 ans
J’ai hésité à manger dans les toilettes, je t’assure qu’elles étaient plus accueillantes
Manger dans les toilettes en usine c'est le luxe, c'est réservé au grand patron ou au ministres qui viennent faire une visite
il y a 2 ans
Manger dans les toilettes en usine c'est le luxe, c'est réservé au grand patron ou au ministres qui viennent faire une visite
Les usines que j’avais fais auparavant avaient de bon réfectoires et un environnement normal, mais ici t’as l’impression que c’est conçu pour te déprimer
Tu ne vois JAMAIS l’extérieur tant que tu es dans l’usine
Tu ne vois JAMAIS l’extérieur tant que tu es dans l’usine
il y a 2 ans
firstban_issou
2 ans
Bonsoir les clés
Comme je l’avais dis précédemment, j’ai évité l’abattoir et on m’a emmené dans la préparation de commande
La journée pourrie a commencée dès le trajet, avec un brouillard énorme qui m’a fait louper la sortie de l’autoroute (qui était aussi une entrée, la configuration était super dangereuse)
J’arrive donc à l’usine, je suis accueillis… non, je tombe par chance sur un ouvrier qui me fait entrer car personne n’était là pour m’accueillir
On me donne un casier, on me donne aussi ma tenue, la tenue est terriblement chiante, une sorte de tenue intégrale (si tu veux chier tu dois l’enlever) une paire de gants, un protège cou contre le froid, une casquette également
Nous entrons dans la zone de production mais avant ca
désinfection des mains, lavage des mains, lavage de chaussures et encore une désinfection des mains, suite à ca, on ajoute des gants en latex, une salopette en plastique et des machin à mettre sur ses avantd bras en plastique
Ma première tâche consiste à mettre de la panure sur des boulettes, je fais ca durant deux heures, ensuite vite en tapis pour remplir des barquettes, 40 minutes plus tard c’est l’heure de la pause, 25 minutes en sachant qu’il faut pointer pour y aller, bordel
Et là ca devient amusant, pour aller en pause il faut évidemment enlever les surcouche de plastique (gants, salopette et avant bras), rien de long me direz vous, oui mais après il faudra les remettre
Je monte donc 3-4 étages pour arriver au réfectoire, et là, BORDEL la gueule du réfectoire
Face à ce triste spectacle je demande donc où est le fumoir, en général celui ci se trouve dehors donc je pourrai prendre l’air… MAIS NON
Le fumoir est dans une pièce juste à côté du réfectoire
Je vais donc aux toilettes, le temps de finir, de redescendre les 3 étages et de remettre les couches de plastique j’arrive en retard à mon poste, chose dont tout le monde s’en fout visiblement
J’ai donc continué à mettre de la panure sur les viande et à faire des barquettes jusqu’à la fin de la journée
À la fin mon chef vient me trouver en souriant pour me dire « demain même heure firstban » CEPENDANT ce sont des contrats de travail journaliers
J’ai donc décidé de quitter cet enfer en prétextant des nausées à la vue de la viande, ce qui fût accepté
Me revoilà au chômage, et honnêtement, j’y suis très bien
Comme je l’avais dis précédemment, j’ai évité l’abattoir et on m’a emmené dans la préparation de commande
La journée pourrie a commencée dès le trajet, avec un brouillard énorme qui m’a fait louper la sortie de l’autoroute (qui était aussi une entrée, la configuration était super dangereuse)
J’arrive donc à l’usine, je suis accueillis… non, je tombe par chance sur un ouvrier qui me fait entrer car personne n’était là pour m’accueillir
On me donne un casier, on me donne aussi ma tenue, la tenue est terriblement chiante, une sorte de tenue intégrale (si tu veux chier tu dois l’enlever) une paire de gants, un protège cou contre le froid, une casquette également
Nous entrons dans la zone de production mais avant ca

Ma première tâche consiste à mettre de la panure sur des boulettes, je fais ca durant deux heures, ensuite vite en tapis pour remplir des barquettes, 40 minutes plus tard c’est l’heure de la pause, 25 minutes en sachant qu’il faut pointer pour y aller, bordel
Et là ca devient amusant, pour aller en pause il faut évidemment enlever les surcouche de plastique (gants, salopette et avant bras), rien de long me direz vous, oui mais après il faudra les remettre
Je monte donc 3-4 étages pour arriver au réfectoire, et là, BORDEL la gueule du réfectoire


Face à ce triste spectacle je demande donc où est le fumoir, en général celui ci se trouve dehors donc je pourrai prendre l’air… MAIS NON
Le fumoir est dans une pièce juste à côté du réfectoire


Je vais donc aux toilettes, le temps de finir, de redescendre les 3 étages et de remettre les couches de plastique j’arrive en retard à mon poste, chose dont tout le monde s’en fout visiblement
J’ai donc continué à mettre de la panure sur les viande et à faire des barquettes jusqu’à la fin de la journée
À la fin mon chef vient me trouver en souriant pour me dire « demain même heure firstban » CEPENDANT ce sont des contrats de travail journaliers
J’ai donc décidé de quitter cet enfer en prétextant des nausées à la vue de la viande, ce qui fût accepté
Me revoilà au chômage, et honnêtement, j’y suis très bien
c’est l’enfer l’agroalimentaire, j’ai fais mon PFE dedans
il y a 2 ans
Hentai
2 ans
L'horreur bordel, comment on peut rester des années dans ce merdier
Je ne sais pas comment font les gens qui y travaillent depuis longtemps, en une journée ca me pesait déjà
Et puis n’oublions pas qu’il fait 5 degrés dans la zone de production, donc tu as bien froid aux mains toute la journée
Et puis n’oublions pas qu’il fait 5 degrés dans la zone de production, donc tu as bien froid aux mains toute la journée
il y a 2 ans
Putain mais y’a de quoi se pendre
Fondée en 1915, 890 milliards d'eurodollars de valeur monétaire, 600 000 membres. Et toi?
il y a 2 ans
c’est l’enfer l’agroalimentaire, j’ai fais mon PFE dedans
Pfe ?
Et oui c’est l’enfer
Et oui c’est l’enfer
il y a 2 ans
Sahent
2 ans
Bordel mais t'es accueilli par un pendu au réfectoire ou quoi
Il y régnait un silence de mort
Je n’aime pas parler aux gens donc c’est cool, mais quelle ambiance pesante
Je n’aime pas parler aux gens donc c’est cool, mais quelle ambiance pesante
il y a 2 ans
Pfe ?
Et oui c’est l’enfer
Et oui c’est l’enfer
Profet de fin d’étude en ecole d’ingé. 6 mois
Mais bon, j’ai serré de la meuf là-bas
Mais bon, j’ai serré de la meuf là-bas
il y a 2 ans
Saka
2 ans
Putain mais y’a de quoi se pendre
Sincèrement c’est un coup à se suicider ce genre d’endroit
il y a 2 ans
firstban_issou
2 ans
Bonsoir les clés
Comme je l’avais dis précédemment, j’ai évité l’abattoir et on m’a emmené dans la préparation de commande
La journée pourrie a commencée dès le trajet, avec un brouillard énorme qui m’a fait louper la sortie de l’autoroute (qui était aussi une entrée, la configuration était super dangereuse)
J’arrive donc à l’usine, je suis accueillis… non, je tombe par chance sur un ouvrier qui me fait entrer car personne n’était là pour m’accueillir
On me donne un casier, on me donne aussi ma tenue, la tenue est terriblement chiante, une sorte de tenue intégrale (si tu veux chier tu dois l’enlever) une paire de gants, un protège cou contre le froid, une casquette également
Nous entrons dans la zone de production mais avant ca
désinfection des mains, lavage des mains, lavage de chaussures et encore une désinfection des mains, suite à ca, on ajoute des gants en latex, une salopette en plastique et des machin à mettre sur ses avantd bras en plastique
Ma première tâche consiste à mettre de la panure sur des boulettes, je fais ca durant deux heures, ensuite vite en tapis pour remplir des barquettes, 40 minutes plus tard c’est l’heure de la pause, 25 minutes en sachant qu’il faut pointer pour y aller, bordel
Et là ca devient amusant, pour aller en pause il faut évidemment enlever les surcouche de plastique (gants, salopette et avant bras), rien de long me direz vous, oui mais après il faudra les remettre
Je monte donc 3-4 étages pour arriver au réfectoire, et là, BORDEL la gueule du réfectoire
Face à ce triste spectacle je demande donc où est le fumoir, en général celui ci se trouve dehors donc je pourrai prendre l’air… MAIS NON
Le fumoir est dans une pièce juste à côté du réfectoire
Je vais donc aux toilettes, le temps de finir, de redescendre les 3 étages et de remettre les couches de plastique j’arrive en retard à mon poste, chose dont tout le monde s’en fout visiblement
J’ai donc continué à mettre de la panure sur les viande et à faire des barquettes jusqu’à la fin de la journée
À la fin mon chef vient me trouver en souriant pour me dire « demain même heure firstban » CEPENDANT ce sont des contrats de travail journaliers
J’ai donc décidé de quitter cet enfer en prétextant des nausées à la vue de la viande, ce qui fût accepté
Me revoilà au chômage, et honnêtement, j’y suis très bien
Comme je l’avais dis précédemment, j’ai évité l’abattoir et on m’a emmené dans la préparation de commande
La journée pourrie a commencée dès le trajet, avec un brouillard énorme qui m’a fait louper la sortie de l’autoroute (qui était aussi une entrée, la configuration était super dangereuse)
J’arrive donc à l’usine, je suis accueillis… non, je tombe par chance sur un ouvrier qui me fait entrer car personne n’était là pour m’accueillir
On me donne un casier, on me donne aussi ma tenue, la tenue est terriblement chiante, une sorte de tenue intégrale (si tu veux chier tu dois l’enlever) une paire de gants, un protège cou contre le froid, une casquette également
Nous entrons dans la zone de production mais avant ca

Ma première tâche consiste à mettre de la panure sur des boulettes, je fais ca durant deux heures, ensuite vite en tapis pour remplir des barquettes, 40 minutes plus tard c’est l’heure de la pause, 25 minutes en sachant qu’il faut pointer pour y aller, bordel
Et là ca devient amusant, pour aller en pause il faut évidemment enlever les surcouche de plastique (gants, salopette et avant bras), rien de long me direz vous, oui mais après il faudra les remettre
Je monte donc 3-4 étages pour arriver au réfectoire, et là, BORDEL la gueule du réfectoire


Face à ce triste spectacle je demande donc où est le fumoir, en général celui ci se trouve dehors donc je pourrai prendre l’air… MAIS NON
Le fumoir est dans une pièce juste à côté du réfectoire


Je vais donc aux toilettes, le temps de finir, de redescendre les 3 étages et de remettre les couches de plastique j’arrive en retard à mon poste, chose dont tout le monde s’en fout visiblement
J’ai donc continué à mettre de la panure sur les viande et à faire des barquettes jusqu’à la fin de la journée
À la fin mon chef vient me trouver en souriant pour me dire « demain même heure firstban » CEPENDANT ce sont des contrats de travail journaliers
J’ai donc décidé de quitter cet enfer en prétextant des nausées à la vue de la viande, ce qui fût accepté
Me revoilà au chômage, et honnêtement, j’y suis très bien
Bordel la gueule du réfectoire, j'ai manqué de me suicider dès l'ouverture de l'image
il y a 2 ans