Ce sujet a été résolu
Sneaky
2 ans
Elles sont incroyables ces images en vrai.
Tous masqués, tous protégés.
merci khey
il y a 2 ans
Ce que je redoute que tu postes ce sont les photos de gueules cassées
il y a 2 ans
Ce que je redoute que tu postes ce sont les photos de gueules cassées
il y a 2 ans
merci khey
il y a 2 ans
@revenant ton avis sur ce topac ?
il y a 2 ans
je ferais une risific, pas forcément marrante, pour le 11 novembre
il y a 2 ans
Vladimir_Karpov
2 ans
Un des trucs les plus étrange, qui vous met un coup de frisson dans la colonne vertébrale, ce sont les masques français.
Imaginez, vous êtes un schleu quelque part sur le front, votre tranchée est dans un bois, pas encore trop rasé.
Nous sommes fin octobre, début novembre, le brouillard du petit matin vous empêche de voir très loin.
Vous êtes la sentinelle et vous avez recouvert votre Sappenpanzer
de boue et de feuilles, vous êtes caché, isolé, devant vos lignes et vous en profitez pour faire des petits sommes, puisque le front est calme.
Puis soudain, dans la brume, des masses informes sortent lentement, à pas feutrés, certains courbés, d'autres debout, mais toujours silencieusement.
Vous pensez immédiatement à une attaque ennemie, vous vous apprêtez à crier pour donner l'alarme.
Mais une main, bandée par de la toile, se pose sur votre bouche. Un ennemi vous fait taire, vous ne pouvez qu'assister au défilé des français qui s'avancent, avec leurs masques. Ils progressent couteaux et pelles à la main, certains ont leurs fusil, mais tous ont des armes plus petites : revolver, poings américains, grenades…
Et dès qu'ils passent devant vous ils vous regardent derrières leurs masques totalement inhumains...
Et ils passent en masse
Arrivent ensuite une poignée de soldats, ils passent devant toi, certains te fixent du regard, d'autres passent, dans les volutes de brouillard et de fumée.

Vos intestins sont liquéfiés, alors que le groupe est enfin passé, que votre tranché a été investie et que vos derniers frères d'armes sont cachés au fond des abris, un dernier homme apparaît.
Lui, c'est le nettoyeur de tranchée, son but est explicite : il achèvera tous vos camarades au fond du trou
Enfin, vous voyez des blessés repartir dans l'autre sens, accueillis par une camionnette qui vient de s'arrêter, en plein no man's land. Une silhouette descend et il vous fixe avant d'engloutir un malheureux sur son brancard dans le véhicule.
Un char français arrive aussi, il s'arrête et le pilote descend et s'approche de vous, toujours maintenu par ces mains, mais toujours tétanisé par la peur. Il vous fixe du regard avant de vous assomer.

Imaginez, vous êtes un schleu quelque part sur le front, votre tranchée est dans un bois, pas encore trop rasé.
Nous sommes fin octobre, début novembre, le brouillard du petit matin vous empêche de voir très loin.
Vous êtes la sentinelle et vous avez recouvert votre Sappenpanzer
Puis soudain, dans la brume, des masses informes sortent lentement, à pas feutrés, certains courbés, d'autres debout, mais toujours silencieusement.
Vous pensez immédiatement à une attaque ennemie, vous vous apprêtez à crier pour donner l'alarme.
Mais une main, bandée par de la toile, se pose sur votre bouche. Un ennemi vous fait taire, vous ne pouvez qu'assister au défilé des français qui s'avancent, avec leurs masques. Ils progressent couteaux et pelles à la main, certains ont leurs fusil, mais tous ont des armes plus petites : revolver, poings américains, grenades…
Et dès qu'ils passent devant vous ils vous regardent derrières leurs masques totalement inhumains...
Et ils passent en masse
Arrivent ensuite une poignée de soldats, ils passent devant toi, certains te fixent du regard, d'autres passent, dans les volutes de brouillard et de fumée.
Vos intestins sont liquéfiés, alors que le groupe est enfin passé, que votre tranché a été investie et que vos derniers frères d'armes sont cachés au fond des abris, un dernier homme apparaît.
Lui, c'est le nettoyeur de tranchée, son but est explicite : il achèvera tous vos camarades au fond du trou
Enfin, vous voyez des blessés repartir dans l'autre sens, accueillis par une camionnette qui vient de s'arrêter, en plein no man's land. Une silhouette descend et il vous fixe avant d'engloutir un malheureux sur son brancard dans le véhicule.
Un char français arrive aussi, il s'arrête et le pilote descend et s'approche de vous, toujours maintenu par ces mains, mais toujours tétanisé par la peur. Il vous fixe du regard avant de vous assomer.
Joli topic même si ca me fait aucun effet, ayant l'habitude des armes et des ballades en forets la nuit toutes saison confondu.
Un meilleur sport que la lutte bordel de merde ?
il y a 2 ans