Ce sujet a été résolu
Debug de la Porte en bois
Loi gayssot
Industrie de l'holocauste de Norman G. Finkelstein
https://fr.wikipedia.org/[...]dustrie_de_l%27Holocauste
https://www.nouvelobs.com[...]il-un-shoah-business.html
https://www.liberation.fr[...]putent-le-marche-_254864/
Choa business
Invincibilité du sionisme
Vedettes de Cherbourg
https://fr.wikipedia.org/[...]iki/Vedettes_de_Cherbourg
Incident de l' Uss liberty
https://fr.wikipedia.org/[...]cident_de_l%27USS_Liberty
Affaire de Lillehammer
https://fr.wikipedia.org/[...]ki/Affaire_de_Lillehammer
affaire Lavon
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Lavon
Vente d'arme au rwanda 94
https://fr.timesofisrael.[...]lisees-en-1994-au-rwanda/
https://fr.timesofisrael.[...]wandais-resteront-closes/
Stérilisation des Falasha
https://www.lemonde.fr/bi[...]nnes_6001547_4832693.html
Mossad qui faisait chanter des notables via Epstein le pedo
https://www.kernews.com/s[...]ur-laffaire-epstein/5356/
Rabbin pedo
https://www.leparisien.fr[...]ue-19-03-2019-8035347.php
https://www.liberation.fr[...]srael-est-ciblee_1558853/
En depit de Mitterand et de Claude Sarraute mon ban def

Loi gayssot

Industrie de l'holocauste de Norman G. Finkelstein

Choa business

Invincibilité du sionisme

Vedettes de Cherbourg

Incident de l' Uss liberty

Affaire de Lillehammer

affaire Lavon

Vente d'arme au rwanda 94

Stérilisation des Falasha

Mossad qui faisait chanter des notables via Epstein le pedo

Rabbin pedo



En depit de Mitterand et de Claude Sarraute mon ban def
il y a 2 ans
Je condamne fermement et virilement les propos de cet antisémite notoire :Benze_Narquois:
il y a 2 ans
Créer le problème et proposer la solution, l'essence même du false flag
Le 22 juillet, vers midi, une camionnette de livraison se présente à l'entrée de service de l'hôtel, avec à l'intérieur plusieurs membres de l'Irgoun habillés en Arabes. Descendus de leur véhicule, ils pénètrent dans le bâtiment, se faisant passer pour des livreurs de lait transportant avec eux plusieurs bidons. Puis, pendant que certains d'entre eux tiennent en respect le personnel de cuisine ainsi qu'un capitaine français, officier de liaison avec les Britanniques, d'autres se dirigent par le tunnel du sous-sol jusque sous l'aile sud du bâtiment, où ils placent leurs charges explosives.
https://fr.wikipedia.org/[...]_de_l%27hôtel_King_David
Les autorités libyennes ont annoncé avoir procédé à l’arrestation d’un agent du Mossad se faisant passer pour un imam et orateur de la prière du vendredi sous le pseudonyme d’Abu Hafs, mais qui était en réalité un Israélien du nom de Benyamin Efraïm.
https://french.presstv.ir[...]ent-du-Mossad-devenu-imam
Edouard Drumont - La France juive, lepreux empoisonnant un puit


Le 22 juillet, vers midi, une camionnette de livraison se présente à l'entrée de service de l'hôtel, avec à l'intérieur plusieurs membres de l'Irgoun habillés en Arabes. Descendus de leur véhicule, ils pénètrent dans le bâtiment, se faisant passer pour des livreurs de lait transportant avec eux plusieurs bidons. Puis, pendant que certains d'entre eux tiennent en respect le personnel de cuisine ainsi qu'un capitaine français, officier de liaison avec les Britanniques, d'autres se dirigent par le tunnel du sous-sol jusque sous l'aile sud du bâtiment, où ils placent leurs charges explosives.

Les autorités libyennes ont annoncé avoir procédé à l’arrestation d’un agent du Mossad se faisant passer pour un imam et orateur de la prière du vendredi sous le pseudonyme d’Abu Hafs, mais qui était en réalité un Israélien du nom de Benyamin Efraïm.



il y a 2 ans
L’Industrie de l’Holocauste est un sujet de controverse lancé par le politologue et historien américain Norman G. Finkelstein dans un livre publié en 2000, sous le titre complet : L’Industrie de l’Holocauste : réflexions sur l’exploitation de la souffrance des Juifs (titre original anglais : The Holocaust Industry - Reflections on the Exploitation of Jewish Suffering). Il s’agit d’un constat documenté sur des pratiques alléguées de groupes d’intérêt juifs et se veut une réponse au travail de l'historien américain Peter Novick (en) intitulé The Holocaust in American Life qui analyse la façon dont l’interprétation de l’holocauste s’est développée dans la vie américaine. Finkelstein jugeait les critiques de Novick trop modérées, et il a donc décidé d'aller plus loin dans son propre livre1.
il y a 2 ans
Finkelstein distingue l'« holocauste nazi » (le fait historique) et l'« Holocauste » (avec un H majuscule, la campagne de relations publiques menée selon lui depuis 1967 surtout aux États-Unis). C’est ce second aspect qu’il appelle « l’industrie de l'Holocauste ».
Dans son livre, il défend la thèse d'une « industrie » qui consiste en l’exploitation, sous des dehors éthiques, de l’holocauste nazi pour générer du pouvoir et amasser de gros capitaux. Cette industrie aurait à sa tête des organisations juives américaines cherchant la suprématie ethnique et les gains politique et financier2.
Quelques-unes des principales critiques formulées par Finkelstein dans son ouvrage :
Le gain politique pour ces organisations juives se manifesterait dans l’effort de rendre pratiquement impossible toute critique, fondée ou non, sur Israël et sur la communauté juive américaine3 ;
La poussée vers le gain financier se manifesterait par la pression exercée sur des gouvernements et des entreprises. Elle serait également mise en lumière par une supposée incitation à des sentiments de culpabilité au sein des populations allemande et suisse dans leur ensemble, en relation avec de nombreux dépôts bancaires faits par des Juifs avant ou pendant le nazisme et que leurs descendants n'arriveraient pas à récupérer (fonds en déshérence) ;
Les musées de l’holocauste monopoliseraient la souffrance de la Shoah pour les Juifs en excluant les autres groupes persécutés par les nazis ;
Les survivants de l’holocauste seraient plus nombreux en 1998 qu'en 1945 ;
Un grand nombre de réclamations d’indemnité indues ont été introduites par des fraudeurs prétendant à tort avoir survécu à l’holocauste ;
Certains efforts pour compenser la souffrance des survivants juifs à l’holocauste se font de façon malhonnête ;
Certaines agences (représentant des groupes juifs) qui prétendent représenter des survivants juifs de l’holocauste dans des cas judiciaires auraient retenu pour leur propre usage des fonds destinés à des survivants individuels ;
De nombreux Juifs américains ne pratiquent pas le judaïsme mais l’ont remplacé par un dogme : la récolte de fonds pour les intérêts juifs.
Finkelstein ne veut pas accuser les victimes elles-mêmes et estime qu’elles ont droit à un dédommagement. Il conteste surtout le fait que, selon ses recherches, d'importantes sommes arrivent dans les poches des organisations juives américaines, argent qu’elles utiliseraient pour mener à bien leurs propres projets plutôt que de reverser les sommes dues aux survivants.
Dans son livre, il défend la thèse d'une « industrie » qui consiste en l’exploitation, sous des dehors éthiques, de l’holocauste nazi pour générer du pouvoir et amasser de gros capitaux. Cette industrie aurait à sa tête des organisations juives américaines cherchant la suprématie ethnique et les gains politique et financier2.
Quelques-unes des principales critiques formulées par Finkelstein dans son ouvrage :
Le gain politique pour ces organisations juives se manifesterait dans l’effort de rendre pratiquement impossible toute critique, fondée ou non, sur Israël et sur la communauté juive américaine3 ;
La poussée vers le gain financier se manifesterait par la pression exercée sur des gouvernements et des entreprises. Elle serait également mise en lumière par une supposée incitation à des sentiments de culpabilité au sein des populations allemande et suisse dans leur ensemble, en relation avec de nombreux dépôts bancaires faits par des Juifs avant ou pendant le nazisme et que leurs descendants n'arriveraient pas à récupérer (fonds en déshérence) ;
Les musées de l’holocauste monopoliseraient la souffrance de la Shoah pour les Juifs en excluant les autres groupes persécutés par les nazis ;
Les survivants de l’holocauste seraient plus nombreux en 1998 qu'en 1945 ;
Un grand nombre de réclamations d’indemnité indues ont été introduites par des fraudeurs prétendant à tort avoir survécu à l’holocauste ;
Certains efforts pour compenser la souffrance des survivants juifs à l’holocauste se font de façon malhonnête ;
Certaines agences (représentant des groupes juifs) qui prétendent représenter des survivants juifs de l’holocauste dans des cas judiciaires auraient retenu pour leur propre usage des fonds destinés à des survivants individuels ;
De nombreux Juifs américains ne pratiquent pas le judaïsme mais l’ont remplacé par un dogme : la récolte de fonds pour les intérêts juifs.
Finkelstein ne veut pas accuser les victimes elles-mêmes et estime qu’elles ont droit à un dédommagement. Il conteste surtout le fait que, selon ses recherches, d'importantes sommes arrivent dans les poches des organisations juives américaines, argent qu’elles utiliseraient pour mener à bien leurs propres projets plutôt que de reverser les sommes dues aux survivants.
il y a 2 ans
Mon Holocauste, par Tova Reich, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Fabrice Pointeau, Cherche midi, 360 p., 19,50 euros.
Ce sont les Laurel et Hardy de la Shoah : Maurice, le père, dirige le musée de l'Holocauste à Washington. Il est cynique, menteur, uniquement obsédé par l'appât du gain. Norman, le fils, préside une société qui attribue, contre forte rémunération, des licences officielles « Holocauste compatible ». Sa boîte a pour clients tous les professionnels de l'humanitaire, qui, dans les domaines les plus divers, font commerce de la souffrance, animale ou humaine. C'est un marché fort juteux. Comment Norman et Maurice s'y prennent-ils pour remplir leurs comptes en banque sur le dos des victimes ? Ils organisent des voyages privés à Auschwitz pour milliardaires américains prêts à contribuer, au nom de la mémoire estropiée, à leur petite entreprise. Leur numéro est minable, mais, sur les lieux de la tragédie numéro un, qui ne tomberait pas dans le panneau ?
Ce sont les Laurel et Hardy de la Shoah : Maurice, le père, dirige le musée de l'Holocauste à Washington. Il est cynique, menteur, uniquement obsédé par l'appât du gain. Norman, le fils, préside une société qui attribue, contre forte rémunération, des licences officielles « Holocauste compatible ». Sa boîte a pour clients tous les professionnels de l'humanitaire, qui, dans les domaines les plus divers, font commerce de la souffrance, animale ou humaine. C'est un marché fort juteux. Comment Norman et Maurice s'y prennent-ils pour remplir leurs comptes en banque sur le dos des victimes ? Ils organisent des voyages privés à Auschwitz pour milliardaires américains prêts à contribuer, au nom de la mémoire estropiée, à leur petite entreprise. Leur numéro est minable, mais, sur les lieux de la tragédie numéro un, qui ne tomberait pas dans le panneau ?
il y a 2 ans