Mérité, un peux de justice pour une fois :benzemile:
Il sortira dans sa quarantaine pendant que cette pute est définitivement morte, moi je dis basé :benzemile:
Dommage pour lui, ce ne sont que les consequences d'une vie de merde comme l'ont a tous connu hein
— Je m’appelle Benjamin Cau, j’ai 41 ans, j’étais contrôleur de gestion, se présente-t-il en bégayant d’une voix fluette.
Le président, Antoine Molinar -Min, lui fait remarquer qu’il peut enlever son masque.
— Je comprends que vous n’en portiez pas pour votre petit confort, mais moi, je suis les recommandations du ministère de la Santé, rétorque-t-il.
Ayaa, le mec a aucune limite sociale, le président est là pour savoir si il va bousiller sa vie et il le toise.
Je n’avais jamais imaginé qu’il puisse y avoir autant de sang dans un corps humain, dira l’une des copines. Il y avait une terrible odeur de sang, ça sentait le cuivre…
Aya deuxième psychopathe de l'histoire qui témoigne de son analyse technique
Aya deuxième psychopathe de l'histoire qui témoigne de son analyse technique
— Je m’appelle Benjamin Cau, j’ai 41 ans, j’étais contrôleur de gestion, se présente-t-il en bégayant d’une voix fluette.
Le président, Antoine Molinar -Min, lui fait remarquer qu’il peut enlever son masque.
— Je comprends que vous n’en portiez pas pour votre petit confort, mais moi, je suis les recommandations du ministère de la Santé, rétorque-t-il.
Ayaa, le mec a aucune limite sociale, le président est là pour savoir si il va bousiller sa vie et il le toise.
— J’ai commis quelque chose d’irréparable. Je regrette. J’ai détruit la vie de plusieurs personnes. Je ne mérite pas de recouvrer la liberté un jour…
— Et pourtant, M. Cau, vous la recouvrirez, la liberté ! le coupe le président, un peu dépité.
— Alors c’est que la justice est mal faite.
Putain il démonte le juge jusqu'à la fin
— Et pourtant, M. Cau, vous la recouvrirez, la liberté ! le coupe le président, un peu dépité.
— Alors c’est que la justice est mal faite.
Putain il démonte le juge jusqu'à la fin
— J’ai commis quelque chose d’irréparable. Je regrette. J’ai détruit la vie de plusieurs personnes. Je ne mérite pas de recouvrer la liberté un jour…
— Et pourtant, M. Cau, vous la recouvrirez, la liberté ! le coupe le président, un peu dépité.
— Alors c’est que la justice est mal faite.
Putain il démonte le juge jusqu'à la fin
— Et pourtant, M. Cau, vous la recouvrirez, la liberté ! le coupe le président, un peu dépité.
— Alors c’est que la justice est mal faite.
Putain il démonte le juge jusqu'à la fin
J'ai de la peine pour un mec comme ça en vérité, abandonné par ses vieux, handicapé, jamais niqué, jamais fait une soirée, aucun ami prêt à se sacrifier pour lui, que des études, un boulot merdique dans une boite merdique et tout ce qu'il demandait à la vie pour qu'elle soit moins misérable c'était de jouer au Scrabble en silence pour oublier tout le reste sans se le faire rappeler constamment par des cris de joies des autres en aillant fait exprès de choisir un immeuble de vieux.
— Vous n’avez jamais fait de soirées chez vous quand vous étiez étudiant ?
La réponse fuse.
— Jamais !
C'est ça qui lui manquait plus qu'une case.
Quand on faisait la fête gamins, on prenait tout le monde qui nous crachait pas dans les bottes, y compris les laids, les grosses têtes ainsi que les handicapés avec nous et ils avaient droit à la totale yes life aussi. J'ai jamais compris le fait de mépriser les autres aveuglément en les laissant dans leur coin. Le moindre mec tout seul, on le prenait avec nous et il venait dans des soirées de 60 personnes avec des culs de 8/10 mini. Y'en a pas un dans sa vie qui lui a jamais tendu la main, même sa famille adoptive, c'était pour se sentir exister qu'il l'ont récupéré, rien de plus. Quand c'est pas ton propre gosse, c'est un peu comme récupérer un chien à la SPA au fond, faut pas déconner.
J'ai un pote à l'époque, vraiment handicapé sévère physiquement, on a tous découvert à la première soirée que malgrés ses 15 ans, il avait un QI abominable sur toutes les marques de bières. Personne l'aurait jamais pensé de l'extérieur. Il picolait plus que la moitié de la soirée réunie et pouvait tripoter les culs des gonzesses qui s'en foutaient. Il a un très bon boulot maintenant et il nous le rend bien à tous.
Si des gens l'avaient invités plus jeune en l'acceptant pour ce qu'il est pour en tirer des avantages comme le fait qu'il était capable d'organiser de grandes choses avec très peu de moyens, il aurait jamais craqué comme ça à cause du bruit, ça lui aurait rappelé des bons souvenirs même si ça l'aurait irrité sur le moment quand même. Personne lui a appris ce que c'est de vivre avec les autres même si c'est des cons par ce que parfois, ils sont sympas aussi.
— Vous n’avez jamais fait de soirées chez vous quand vous étiez étudiant ?
La réponse fuse.
— Jamais !
C'est ça qui lui manquait plus qu'une case.
Quand on faisait la fête gamins, on prenait tout le monde qui nous crachait pas dans les bottes, y compris les laids, les grosses têtes ainsi que les handicapés avec nous et ils avaient droit à la totale yes life aussi. J'ai jamais compris le fait de mépriser les autres aveuglément en les laissant dans leur coin. Le moindre mec tout seul, on le prenait avec nous et il venait dans des soirées de 60 personnes avec des culs de 8/10 mini. Y'en a pas un dans sa vie qui lui a jamais tendu la main, même sa famille adoptive, c'était pour se sentir exister qu'il l'ont récupéré, rien de plus. Quand c'est pas ton propre gosse, c'est un peu comme récupérer un chien à la SPA au fond, faut pas déconner.
J'ai un pote à l'époque, vraiment handicapé sévère physiquement, on a tous découvert à la première soirée que malgrés ses 15 ans, il avait un QI abominable sur toutes les marques de bières. Personne l'aurait jamais pensé de l'extérieur. Il picolait plus que la moitié de la soirée réunie et pouvait tripoter les culs des gonzesses qui s'en foutaient. Il a un très bon boulot maintenant et il nous le rend bien à tous.
Si des gens l'avaient invités plus jeune en l'acceptant pour ce qu'il est pour en tirer des avantages comme le fait qu'il était capable d'organiser de grandes choses avec très peu de moyens, il aurait jamais craqué comme ça à cause du bruit, ça lui aurait rappelé des bons souvenirs même si ça l'aurait irrité sur le moment quand même. Personne lui a appris ce que c'est de vivre avec les autres même si c'est des cons par ce que parfois, ils sont sympas aussi.
Aut viam inveniam aut faciam.
J'ai de la peine pour un mec comme ça en vérité, abandonné par ses vieux, handicapé, jamais niqué, jamais fait une soirée, aucun ami prêt à se sacrifier pour lui, que des études, un boulot merdique dans une boite merdique et tout ce qu'il demandait à la vie pour qu'elle soit moins misérable c'était de jouer au Scrabble en silence pour oublier tout le reste sans se le faire rappeler constamment par des cris de joies des autres en aillant fait exprès de choisir un immeuble de vieux.
— Vous n’avez jamais fait de soirées chez vous quand vous étiez étudiant ?
La réponse fuse.
— Jamais !
C'est ça qui lui manquait plus qu'une case.
Quand on faisait la fête gamins, on prenait tout le monde qui nous crachait pas dans les bottes, y compris les laids, les grosses têtes ainsi que les handicapés avec nous et ils avaient droit à la totale yes life aussi. J'ai jamais compris le fait de mépriser les autres aveuglément en les laissant dans leur coin. Le moindre mec tout seul, on le prenait avec nous et il venait dans des soirées de 60 personnes avec des culs de 8/10 mini. Y'en a pas un dans sa vie qui lui a jamais tendu la main, même sa famille adoptive, c'était pour se sentir exister qu'il l'ont récupéré, rien de plus. Quand c'est pas ton propre gosse, c'est un peu comme récupérer un chien à la SPA au fond, faut pas déconner.
J'ai un pote à l'époque, vraiment handicapé sévère physiquement, on a tous découvert à la première soirée que malgrés ses 15 ans, il avait un QI abominable sur toutes les marques de bières. Personne l'aurait jamais pensé de l'extérieur. Il picolait plus que la moitié de la soirée réunie et pouvait tripoter les culs des gonzesses qui s'en foutaient. Il a un très bon boulot maintenant et il nous le rend bien à tous.
Si des gens l'avaient invités plus jeune en l'acceptant pour ce qu'il est pour en tirer des avantages comme le fait qu'il était capable d'organiser de grandes choses avec très peu de moyens, il aurait jamais craqué comme ça à cause du bruit, ça lui aurait rappelé des bons souvenirs même si ça l'aurait irrité sur le moment quand même. Personne lui a appris ce que c'est de vivre avec les autres même si c'est des cons par ce que parfois, ils sont sympas aussi.
— Vous n’avez jamais fait de soirées chez vous quand vous étiez étudiant ?
La réponse fuse.
— Jamais !
C'est ça qui lui manquait plus qu'une case.
Quand on faisait la fête gamins, on prenait tout le monde qui nous crachait pas dans les bottes, y compris les laids, les grosses têtes ainsi que les handicapés avec nous et ils avaient droit à la totale yes life aussi. J'ai jamais compris le fait de mépriser les autres aveuglément en les laissant dans leur coin. Le moindre mec tout seul, on le prenait avec nous et il venait dans des soirées de 60 personnes avec des culs de 8/10 mini. Y'en a pas un dans sa vie qui lui a jamais tendu la main, même sa famille adoptive, c'était pour se sentir exister qu'il l'ont récupéré, rien de plus. Quand c'est pas ton propre gosse, c'est un peu comme récupérer un chien à la SPA au fond, faut pas déconner.
J'ai un pote à l'époque, vraiment handicapé sévère physiquement, on a tous découvert à la première soirée que malgrés ses 15 ans, il avait un QI abominable sur toutes les marques de bières. Personne l'aurait jamais pensé de l'extérieur. Il picolait plus que la moitié de la soirée réunie et pouvait tripoter les culs des gonzesses qui s'en foutaient. Il a un très bon boulot maintenant et il nous le rend bien à tous.
Si des gens l'avaient invités plus jeune en l'acceptant pour ce qu'il est pour en tirer des avantages comme le fait qu'il était capable d'organiser de grandes choses avec très peu de moyens, il aurait jamais craqué comme ça à cause du bruit, ça lui aurait rappelé des bons souvenirs même si ça l'aurait irrité sur le moment quand même. Personne lui a appris ce que c'est de vivre avec les autres même si c'est des cons par ce que parfois, ils sont sympas aussi.
Moi ce qui me dérange, c'est que personne ne comprend pourquoi il a pété les plombs. Genre aucun d'entre eux n'a jamais été très énervé après quoi que ce soit, comme si finalement c'était eux les robots sans émotions.
J'ai de la peine pour un mec comme ça en vérité, abandonné par ses vieux, handicapé, jamais niqué, jamais fait une soirée, aucun ami prêt à se sacrifier pour lui, que des études, un boulot merdique dans une boite merdique et tout ce qu'il demandait à la vie pour qu'elle soit moins misérable c'était de jouer au Scrabble en silence pour oublier tout le reste sans se le faire rappeler constamment par des cris de joies des autres en aillant fait exprès de choisir un immeuble de vieux.
— Vous n’avez jamais fait de soirées chez vous quand vous étiez étudiant ?
La réponse fuse.
— Jamais !
C'est ça qui lui manquait plus qu'une case.
Quand on faisait la fête gamins, on prenait tout le monde qui nous crachait pas dans les bottes, y compris les laids, les grosses têtes ainsi que les handicapés avec nous et ils avaient droit à la totale yes life aussi. J'ai jamais compris le fait de mépriser les autres aveuglément en les laissant dans leur coin. Le moindre mec tout seul, on le prenait avec nous et il venait dans des soirées de 60 personnes avec des culs de 8/10 mini. Y'en a pas un dans sa vie qui lui a jamais tendu la main, même sa famille adoptive, c'était pour se sentir exister qu'il l'ont récupéré, rien de plus. Quand c'est pas ton propre gosse, c'est un peu comme récupérer un chien à la SPA au fond, faut pas déconner.
J'ai un pote à l'époque, vraiment handicapé sévère physiquement, on a tous découvert à la première soirée que malgrés ses 15 ans, il avait un QI abominable sur toutes les marques de bières. Personne l'aurait jamais pensé de l'extérieur. Il picolait plus que la moitié de la soirée réunie et pouvait tripoter les culs des gonzesses qui s'en foutaient. Il a un très bon boulot maintenant et il nous le rend bien à tous.
Si des gens l'avaient invités plus jeune en l'acceptant pour ce qu'il est pour en tirer des avantages comme le fait qu'il était capable d'organiser de grandes choses avec très peu de moyens, il aurait jamais craqué comme ça à cause du bruit, ça lui aurait rappelé des bons souvenirs même si ça l'aurait irrité sur le moment quand même. Personne lui a appris ce que c'est de vivre avec les autres même si c'est des cons par ce que parfois, ils sont sympas aussi.
— Vous n’avez jamais fait de soirées chez vous quand vous étiez étudiant ?
La réponse fuse.
— Jamais !
C'est ça qui lui manquait plus qu'une case.
Quand on faisait la fête gamins, on prenait tout le monde qui nous crachait pas dans les bottes, y compris les laids, les grosses têtes ainsi que les handicapés avec nous et ils avaient droit à la totale yes life aussi. J'ai jamais compris le fait de mépriser les autres aveuglément en les laissant dans leur coin. Le moindre mec tout seul, on le prenait avec nous et il venait dans des soirées de 60 personnes avec des culs de 8/10 mini. Y'en a pas un dans sa vie qui lui a jamais tendu la main, même sa famille adoptive, c'était pour se sentir exister qu'il l'ont récupéré, rien de plus. Quand c'est pas ton propre gosse, c'est un peu comme récupérer un chien à la SPA au fond, faut pas déconner.
J'ai un pote à l'époque, vraiment handicapé sévère physiquement, on a tous découvert à la première soirée que malgrés ses 15 ans, il avait un QI abominable sur toutes les marques de bières. Personne l'aurait jamais pensé de l'extérieur. Il picolait plus que la moitié de la soirée réunie et pouvait tripoter les culs des gonzesses qui s'en foutaient. Il a un très bon boulot maintenant et il nous le rend bien à tous.
Si des gens l'avaient invités plus jeune en l'acceptant pour ce qu'il est pour en tirer des avantages comme le fait qu'il était capable d'organiser de grandes choses avec très peu de moyens, il aurait jamais craqué comme ça à cause du bruit, ça lui aurait rappelé des bons souvenirs même si ça l'aurait irrité sur le moment quand même. Personne lui a appris ce que c'est de vivre avec les autres même si c'est des cons par ce que parfois, ils sont sympas aussi.
Et puis pourquoi ils rentrent dans ce débat ? Comme si la soirée bruyante était prioritaire, et que ce sont les voisins qui devraient sacrifier leur activité de la soirée en acceptant d'être dérangés par le bruit.
