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Salut, je poste sur ce forum car quelque chose que je garde pour moi depuis des années me tourmente. Je voulais partager ça avec vous, c'est un peu long mais ça décrit assez bien ma situation actuelle, je crois que j'ai fais du mal à quelqu'un..


Le collège a été une période difficile pour nous tous, mais pour ma part, elle a été carrément misérable. Je sais que je ne suis pas le seul enfant au monde à avoir eu du mal à me faire des amis ou à avoir eu une vie familiale solitaire, mais cela n'atténue en rien le vide qui grandissait en moi.

J'arrivais tous les jours à l'école en espérant que cela serait différent, car ma Maman m’a toujours dit qu’un jour, je me ferais des amis comme les enfants de mon âge, mais ça ne faisait qu'empirer. Les autres enfants ne voulaient pas être amis avec moi, peu importe à quel point j'essayais. Je me sentais rejeté, mis à l'écart, comme si je ne faisais pas partie de leur monde. J'ai essayé de changer pour m'adapter à eux, mais cela ne marchait jamais. Certains enfants peuvent être impitoyables envers ceux qui ont l’air différents, que ce soit parce que vous n'avez pas la nouvelle paire de baskets que tout le monde porte ou parce-que vous avez une coupe de cheveux qui n’est pas à la mode.

Je savais que mes parents faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour nous. Ils travaillaient dur pour s'assurer que nous avions suffisamment à manger et un toit au-dessus de notre tête. Ils n'avaient pas les moyens d'acheter tout ce que je voulais ou ce dont j'avais besoin, j’ai alors très vite arrêté de faire des caprices comme les autres enfants de mon âge, je trouvais mes camarades de classe vraiment immatures. Je me souviens encore de ces jours où je rentrais chez moi, et personne n'était là pour me saluer ou pour me demander comment s’était passée ma journée. Mes parents étaient au travail, essayant de gagner de l'argent pour subvenir aux besoins de la famille. Je ne leur en voulais pas, je savais que c'était la vie que nous menions, mais cela rendait les choses encore plus difficiles pour moi. Je considérais que j’avais de la chance si je les voyais pendant la semaine, parfois, je passais des jours entiers sans leur parler.



Mes évasions étaient rares et espacées, J'adorais particulièrement me rendre sur un vieux banc rouge sous un lampadaire, situé dans la zone boisée d'un parc non loin de chez moi. C'était un endroit calme et paisible où les couleurs de l'automne se mélangeaient pour créer une atmosphère chaleureuse et réconfortante. Cependant, ce lieu idyllique était souvent troublé par des gens qui surgissaient sans cesse pendant que j'étais là. Certains passaient en courant, tandis que d’autres traversaient le parc à vélo, et les plus turbulents criaient ou jouaient au ballon, c'était comme s'ils envahissaient mon espace, comme s'ils voulaient me chasser de ce lieu qui était pourtant le seul endroit où je pouvais me sentir en paix.
Je les détestais tous, du plus petit au plus grand. Je les regardais avec des yeux noirs, en silence, en espérant qu'ils partiraient au plus vite afin que je puisse à nouveau me retrouver seul sur mon banc rouge.

C'est pourquoi mon moment préféré pour y aller était tard dans la nuit. Je me glissais discrètement hors de ma chambre et me dirigeais vers ce lieu privilégié sous le halo incandescent du lampadaire. L'endroit était tel un théâtre, avec ses projecteurs, et j'étais l'unique spectateur. J'étais enfin le héros de ma propre histoire. Assis sur le banc, je me plongeais dans mes livres préférés, il y avait toujours des gentils qui battaient des méchants. J'aimerais que les gentils apparaissent dans la vraie vie pour m'aider car mon école était pleine de méchants à qui quelqu'un devait donner une leçon. Une méchante en particulier, une fille prénommée Sandra.

Sandra n’était pas aussi méchante que les autres brutes, elle était encore plus cruelle. Elle m'a envoyé des lettres d'amour pendant la moitié de l'année scolaire, me faisant croire qu'elle était intéressée par moi. J'étais tellement naïf que j'ai cru à ses mensonges, et je me suis mis à rêver d'elle jour et nuit. Un jour, alors que nous étions censés aller au bal ensemble, elle a brisé mon cœur et m'a humilié devant toute l'école. Elle a révélé que tout cela n'était qu'une vaste blague, et que tout le monde était dans le coup. J'étais alors la risée de l'école, et tout le monde se moquait de moi du fait que je devais être stupide pour croire que quelqu'un comme elle pouvait s'intéresser à moi. Je me suis senti trahi, dégoûté et humilié. Je ne pouvais pas croire que j'avais été aussi bête pour tomber dans son piège.
J'ai couru à la maison et j'ai pleuré. J’ai beaucoup pleuré, je ne voulais plus jamais montrer mon visage à l'école. Comment les gens pouvaient-ils être aussi cruels ? Comment pourrais-je m'y montrer à nouveau ?



Je me suis réveillé dans la nuit noire avec toutes ces pensées qui tourbillonnaient dans mon esprit. J'avais besoin de me vider la tête, ma chambre m'étouffais. J’étais un de ces enfants qui ne savait pas comment gérer ses émotions, et parfois, dans un désespoir profond, je me scarifiais, marquant mon bras de cicatrices silencieuses mais douloureuses. Les marques, comme des témoins muets de mes tourments intérieurs, me permettaient d’échapper à ma souffrance, je ne savais pas comment exprimer ma douleur d’une quelconque autre façon.
Dans un geste douloureux, j'ai agrippé mon sweat à capuche, mon couteau, j'ai ouvert la fenêtre et je suis sorti dans la nuit fraîche avec qu’une seule idée en tête.

Le banc rouge sous le lampadaire m'a appelé au loin, et je l'ai rejoint en maudissant Sandra à chaque pas. J'ai ressenti une haine intense pour elle, et je me suis dit que je pourrais peut-être enfin devenir un de ces héros des livres que je lisais. Peut-être que je pourrais enfin lui faire payer tout ce qu’elle m’avait fait ressentir jusqu’à présent.
Je m'assis sur le banc, mon sweat à capuche me protégeant du froid nocturne qui s'imprégnait dans mes os. Mon esprit était toujours empli de colère envers Sandra, une colère brûlante qui contrastait avec le réconfort que m'apportait cet endroit paisible. Je pouvais presque entendre le souffle du vent à travers les arbres, comme s'ils me murmuraient des conseils silencieux.

Alors que la nuit s'épaississait autour de moi, mes yeux se posèrent sur quelque chose d'inattendu : Un ours en peluche brillait d'une lueur mystérieuse. Sa fourrure était soyeuse et ses yeux semblaient presque vivants, comme s'ils avaient capturé une parcelle de l'âme de l'enfant à qui il avait appartenu. Il avait un froncement de sourcils prononcé, mais son sourire en coin dégageait une chaleur amicale qui pouvait réchauffer même le cœur le plus froid. Il a probablement été jeté par un enfant difficile qui n'en voulait plus, cet ours en peluche évoquait une telle vivacité que je pouvais presque percevoir le son du rire de l'enfant à qui il avait appartenu, comme si ce rire résonnait encore dans chaque fibre.



Je ne peux pas vous dire comment il est arrivé là, mais, le fait de voir cet ours abandonné, livré à lui-même me faisais le + grand bien, c’est comme s’il pouvait comprendre ce que je ressentais.
Je l'ai pris dans mes bras et j'ai passé mes doigts dans sa paisible fourrure. "J'ai été jeté aujourd'hui, moi aussi. J'ai été abandonné, mais tout va bien se passer, crois-moi," ai-je chuchoté, une lueur d'espoir dans les yeux, même si je doutais de mes propres paroles. Des larmes chaudes menaçaient de jaillir de mes yeux et ma voix s'est coincée dans ma gorge. J'avais l'impression de mentir à ce pauvre ourson.
J 'ai enfoui mon visage dans l'animal en peluche et j'ai hurlé. J'ai supplié de tout mon coeur, non pas pour me sentir mieux, mais pour que Sandra doive faire face aux conséquences de l'injustice et du chagrin qu'elle m'avait causé. Je lui ai souri après un moment, "Pourquoi es-tu ici ?" lui ai-je demandé Bien sûr, il ne m'a pas répondu, mais c'est comme si son froncement de sourcil et son sourire en coin s’était accentué, j’avais comme l’impression qu’il me comprenait.



Foutu ourson, j’avais presque oublié pourquoi j’étais venu ici. J’ai agrippé le couteau, l’approchant de mon avant-bras. L'obscurité de cette nuit avait envahi mon âme, mes mains ont commencées à trembler, mais la décision était déjà prise. Ma main tremblait de plus en plus violemment, mais cette fois-ci, alors que je sentais la pointe du couteau effleurer ma peau, je me suis retenu. J'ai senti comme une vague de lassitude m'envahir, une fatigue profonde de devoir affronter encore et encore cette douleur inutile. Je ne pouvais plus infliger de telles souffrances à mon propre corps, plus maintenant.
Mes yeux, embués de larmes, se sont détournés de moi-même, de ma propre souffrance qui me rongeait. Ils se sont posés sur l'ourson, ce témoin silencieux de mes tourments. J'ai alors décalé la lame du couteau vers l'ourson, mon geste devenant presque mécanique, comme si j'essayais de déplacer toute ma douleur, toute ma colère, sur cette innocente peluche.
Mon souffle était haletant, un mélange de désespoir et de colère s'entrechoquait dans ma poitrine alors que la lame du couteau s’enfonçait lentement dans sa fourrure soyeuse. Le tissu s'est déchiré sous la pression. Le rembourrage jaillissait, comme si j'expulsais ma propre douleur dans cet acte de destruction. Le silence de la nuit était brisé par le son étouffé des déchirures et de ma propre respiration saccadée.
J'ai continué à déchirer l'ours en peluche, comme si je pouvais détruire toute trace de ce qu'il représentait.

Lorsque l'ours fut complètement déchiré, il ne resta qu'un amas de rembourrage et de tissu inerte. J’étais là, assis sur le banc, regardant les morceaux de l'ours en peluche dispersés autour de moi. L'innocence qui l'avait autrefois habité semblait s'être évanouie. Je me suis senti vide, comme si j'avais commis un acte irréparable.
il y a 2 ans
La rage et la confusion qui m’avait alors aveuglée s’est transformée en sentiment de culpabilité : pourquoi ai-je fait ça à ce pauvre ours en peluche ? Il appartenait peut-être à une petite fille qui l’a oublié ici, et moi, je l’ai déchiré comme une vulgaire feuille de papier.


Je ne voulais laisser aucune trace de mon acte, j’ai ramassé tout les bouts de tissus, tout le pelage qui était par terre et j’ai décidé de l’enterrer. Chaque morceau semblait peser une tonne, comme si la culpabilité que je ressentais avait pris forme dans cet ours en peluche massacré : Chaque lambeau de tissu que je ramassais portait avec lui un souvenir de ma propre détresse.
Mes yeux humides fixaient le sol, cherchant désespérément à enterrer ma propre douleur dans ce trou fraîchement creusé. C’était comme si j’enterrais en même temps toutes mes émotions, comme si je pouvais, d'un geste symbolique, passer à autre chose. Chaque poignée de terre que je déversais sur les restes de cet ours en peluche semblait apaiser quelque chose en moi.


Pourquoi diable avais-je fait ça ? Je n'aurais su le dire à ce moment-là, mais je savais que quelque chose avait changé en moi ce soir-là, révélant un aspect de moi-même que j'ignorais jusqu’alors.
Cette nuit-là, je suis rentré chez moi hanté par ce que j'avais fait, hanté par un tourbillon d’émotions. Les ombres du parc semblaient me suivre, leurs silhouettes s'étirant et se fondant dans l'obscurité, comme des témoins silencieux des actes que j'avais commis. Leurs murmures secrets semblaient m'accuser, comme si elles savaient tout, comme si elles connaissaient le poids de ma culpabilité.
De retour dans ma chambre, l'air était chargé d'une atmosphère lourde et oppressante, imprégnée de regrets et de remords. Mon esprit était un tumulte d'images et de pensées, un tourbillon d'émotions contradictoires qui me consumaient. Je me suis effondré sur mon lit, chaque pensée, chaque souffle, chaque battement de mon cœur résonnait dans cette chambre, comme un rappel incessant de ma faute.
Mes paroles désespérées, répétées en boucle, résonnaient dans le silence étouffant : "Putain, c'était qu'un foutu ours en peluche !" Mais ces mots, aussi insignifiants qu'ils pouvaient paraître, étaient impuissants face au poids écrasant de ma tourmente.



Pourtant, au milieu de cette tempête émotionnelle, une réalisation m'envahit peu à peu. L'absurdité de la situation me frappa comme un éclair. C'était absurde. Ridicule, même. Tout cela pour un ours en peluche ! Un simple objet, inanimé et innocent. Mon esprit finit par s'apaiser devant cette évidence, et un sourire en coin se dessina sur mes lèvres.
Ce n'était pas grave. Pas grave du tout. Je m'étais infligé une souffrance inutile, me laissant emporter par des émotions démesurées. Avec un soupir de soulagement, je me laissai enfin envahir par la fatigue. Les ombres de la culpabilité s'estompèrent lentement, et je m'endormis, apaisé par l’idée que le matin apporterait une nouvelle perspective, une chance de chasser ces pensées absurdes, et de redevenir maître de mes émotions. Après tout, c'était juste un ours en peluche.


Malgré une nuit agitée, je me suis réveillé tard le lendemain matin, comme si la soirée précédente avait laissé une profonde fatigue en moi.
Cependant, ce n'était pas l’épuisement qui allait dominer ma journée, mais plutôt une étrange découverte qui allait changer la donne.
Alors que je traînais dans le quartier, les yeux encore fatigués de la veille, mon regard fut captivé par des affiches éparpillées sur les murs et les poteaux. Une fille avait visiblement perdu quelque chose de précieux, car son visage enjoué et son regard empli d’espoir accompagnaient la photo d’un ours en peluche.
Mon cœur se serra instantanément en reconnaissant le sourire en coin caractéristique de l'ours en peluche que j'avais rencontré la veille; mais il se serra encore + lorsque je vis que cet ours trônait fièrement en compagnie de Sandra, mon ennemi de toujours, la personne qui avait fait de ma vie un enfer à l’école.



La réalisation m'a alors frappé comme un coup de tonnerre. J'avais réduit en miettes l'ours en peluche de Sandra. Un sentiment de satisfaction malsaine m'envahit car je réalisais que j'avais infligé une douleur à Sandra, une douleur qu'elle méritait.
Un sourire de plus en plus malsain se dessinait sur mes lèvres alors que je contemplais l’affiche. L'ours en peluche, j'en étais sûr, était le même que celui que j'avais rencontré la veille. Mon esprit était clair à ce sujet. Et voir Sandra associée à cette peluche me remplit d’une satisfaction sombre. Le destin avait un sens de l'humour cruel, pensai-je. Sandra avait semé le malheur dans ma vie pendant trop longtemps, et maintenant, le karma semblait me sourire. Qui aurait cru que l'objet insignifiant que j’avais réduit en miette la veille serait un objet auquel tenait Sandra ?
Alors que mes yeux fatigués étaient posés sur l’affiche et que je croyais à une blague du destin, je me suis dit que c'était tout simplement absurde. Mon esprit fatigué n’arrivait pas à comprendre pourquoi quelqu’un pourrait s’acharner autant pour une simple peluche.



J'ai instinctivement frotté mes yeux, espérant chasser cette fatigue, mais au lieu de cela, une réalité bien plus troublante s'est révélée. L'illusion s'est dissipée pour laisser place à un visage humain, pour laisser place à un petit garçon de quatre ans.
Mon esprit, semblant préférer l'innocence d'un simple ours en peluche à la dure réalité, avait opéré une transformation. Le frère de Sandra était devenu l'ours en peluche que j'avais fait disparaître. L'horreur de mes actes m'avait poussé à refuser la vérité : À mes yeux, il n'était plus le frère de Sandra, mais un simple objet inanimé, une vulgaire peluche. Mon cœur s'est serré d'un mélange de choc et de culpabilité. Je me suis soudainement retrouvé confronté à une réalité déconcertante : D'un côté, je devais faire face à ma propre cruauté envers un enfant innocent. Et de l’autre, une sinistre satisfaction s’installait en moi : j'étais animé par l'idée que, d'une manière ou d'une autre, j'avais enfin pris ma revanche sur Sandra, je lui avais infligé une douleur similaire à celle qu'elle m'avait fait endurer.




Même si je n’ose plus mettre un pied dans ce foutu parc, le sourire en coin et le rire diabolique qui avait surgi lors de ma première rencontre avec lui ne m’ont plus jamais quittés.
Alors, je vous le demande, si par le plus grand des hasards vous veniez à connaître un parc, dans lequel il y a un banc éclairé par un lampadaire, ne creusez pas au pied de l’arbre, s’il vous plaît.
il y a 2 ans
Pas lu
:laddbent2:
il y a 2 ans
Pas lu
:laddbent2:
Merci du Up cependant
:oui:
il y a 2 ans
Essaye un peu au moins..
:-(
il y a 2 ans
mmh non pas vraiment
:rire:
il y a 2 ans
:cimer:
il y a 2 ans
oui ça parle de scarification
:Mouais_Jesus:
il y a 2 ans
Plus long stp
:ahitison:
il y a 2 ans
Plus long stp
:ahitison:
Je ferai + long les prochaines fois
:depressif_alcoolique:
il y a 2 ans
Je ferai + long les prochaines fois
:depressif_alcoolique:
Non, merci
:Risitas_wtf:
il y a 2 ans
Merci du Up cependant
:oui:
Tu peux faire un résumé bordel ?
:Crie:
il y a 2 ans
Résumé : l'op à assassiné un enfant de 4 ans et l'a enterré sous un arbre, il l'a visualisé comme étant un ours en peluche pour pouvoir passer à l'acte. Il faut signal gouv l'op.
Image French Gamos Image
il y a 2 ans
L'op a fait le bataclan
:doja_cat_zoom:
:ghosts:
Secondaire d' @Anathos
il y a 2 ans
J'ai tout lu, sache l'OP que je rigolais hein
:Singent:



Me tue pas steuplė
:Risisinge:
Nous sommes un.
:Mindflayer:
il y a 2 ans
Malenia
Malenia
2 ans
J'ai tout lu, sache l'OP que je rigolais hein
:Singent:



Me tue pas steuplė
:Risisinge:
:rire:
il y a 2 ans
Voilà c'est une creepypasta que j'ai écrit cet aprem, je sais pas ce que vous en pensez mes onchois
:hype:
il y a 2 ans
Je suis ouvert à toute critique même quelqu'un qui me dis que la chute est à chier et que je sais pas écrire
:rire:

Je sais pas si vous arrivez à entrer dans l'histoire, à vous mettre à la place du personnage ?
:hap:

Et est-ce que la chute est visible ou est-ce qu'elle fait un froid dans le dos quand même
:question:
il y a 2 ans
Voilà c'est une creepypasta que j'ai écrit cet aprem, je sais pas ce que vous en pensez mes onchois
:hype:
Go la mettre sur CreepyPasta from the Crypt + comment t'as fait pour switcher de compte ?
:cafe:
Nous sommes un.
:Mindflayer:
il y a 2 ans
GPA lu
il y a 2 ans