Libération totale de l'humain infrastructurel, du genre, universellement ? Peu faisable imo, faudrait a minima des centaines d'années avant la déconstruction totale des concepts, mais on peut déjà plus ou moins le faire a l'échelle de l'individu (J'suis semi-Fichtéen a ce niveau, plutot raccord a sa notion de Moi Absolu, moins avec son raisonnement spéculatif visant a adhérer a la matérialité tout en allant au dela) 
J'suis curieux de savoir ce qui t'a plu dans Another, l'coté un peu edgy ? (J'trouve une forme de poésie a d'l'edgyness, donc j'pourrais comprendre, puis, y'a une forme de parallèle a faire avec la déconstruction, dans l'aspect, errer sans prendre forme en tant qu'ego a part entière (ego au sens du moi, historiquement construit, et non propre a la réflexion post-identitaire))
Nichijou & Yokohama j'peux comprendre, t'aimes bien les SoLs de manière générale, ou c'est propre ces deux la ? (J'me demande si t'es un adepte de la configuration algorithmique du SoL, ou si c'est simplement une question de caractéristiques propres, type postmodernisme du comique & iyashikei)
J'suis curieux de savoir ce qui t'a plu dans Another, l'coté un peu edgy ? (J'trouve une forme de poésie a d'l'edgyness, donc j'pourrais comprendre, puis, y'a une forme de parallèle a faire avec la déconstruction, dans l'aspect, errer sans prendre forme en tant qu'ego a part entière (ego au sens du moi, historiquement construit, et non propre a la réflexion post-identitaire))
Nichijou & Yokohama j'peux comprendre, t'aimes bien les SoLs de manière générale, ou c'est propre ces deux la ? (J'me demande si t'es un adepte de la configuration algorithmique du SoL, ou si c'est simplement une question de caractéristiques propres, type postmodernisme du comique & iyashikei)
Oui une libération universelle, pleine et entière de chacun puis de tous, mais comme tu le dis ça serait des siècles dans le meilleur des cas pour arriver à ce stade. M'enfin j'ai mes lubies
Ce qui me plaît dans Another en premier lieu c'est probablement son rapport à l'insouciance et sa destruction, des sujets déjà évidemment traités dans nombre d'animes, mais moins souvent je trouve de façon aussi graphique et violente dans un anime plus ou moins "mainstream" (mainstream au sens où même les non-initiés au genre le connaissent voir l'ont vu) dans le genre des animes horreur (je pense surtout à la scène avec leur professeur). Et évidemment la réflexion et la symbolique dans le choix d'un tel "antagoniste" (encore que "antagoniste" signifierai déjà qu'il ait une réelle volonté d'individu, luttant dans une ambition choisie) est une piste intéressante je trouve.
Puis je ne puis m'empêcher de voir une forme de critique de la société nucléaire et des comportements sociaux induits par celle-ci, quand on étudie le profil des survivants ceux-ci avaient toutes leurs chances d'y rester
Au final c'est leurs singularités d'individus marginaux qui leur a permis de se sortir vivant de tout cela, quand les plus attachés au respect des stéréotypes, des rôles archétypaux du milieu scolaire, qui représente l'essence même de ce qui est reprochable à une société nucléaire, ont tous subi la "malédiction" de l'ego errant.
Sinon pour ce qui est des SoLs, je pense que j'ai dès le départ un goût prononcé pour ceux-ci, voir sous mes yeux se jouer la vie a quelque chose de divertissant, mais c'est clairement l'humour post-moderne absurdiste de Nichijou qui me le fait adorer. Pareillement pour YKK ou aussi Yotsuba en manga d'ailleurs, c'est avant tout leur aspect iyashikei à apprécier après une journée difficile qui mes les font tant aimer (encore plus l'idée d'un post-apo apaisant pour les hommes et la Terre pour YKK).
Ce qui me plaît dans Another en premier lieu c'est probablement son rapport à l'insouciance et sa destruction, des sujets déjà évidemment traités dans nombre d'animes, mais moins souvent je trouve de façon aussi graphique et violente dans un anime plus ou moins "mainstream" (mainstream au sens où même les non-initiés au genre le connaissent voir l'ont vu) dans le genre des animes horreur (je pense surtout à la scène avec leur professeur). Et évidemment la réflexion et la symbolique dans le choix d'un tel "antagoniste" (encore que "antagoniste" signifierai déjà qu'il ait une réelle volonté d'individu, luttant dans une ambition choisie) est une piste intéressante je trouve.
Puis je ne puis m'empêcher de voir une forme de critique de la société nucléaire et des comportements sociaux induits par celle-ci, quand on étudie le profil des survivants ceux-ci avaient toutes leurs chances d'y rester
(surtout vu le comportement de la plupart des autres envers eux à la fin).
Au final c'est leurs singularités d'individus marginaux qui leur a permis de se sortir vivant de tout cela, quand les plus attachés au respect des stéréotypes, des rôles archétypaux du milieu scolaire, qui représente l'essence même de ce qui est reprochable à une société nucléaire, ont tous subi la "malédiction" de l'ego errant.
Sinon pour ce qui est des SoLs, je pense que j'ai dès le départ un goût prononcé pour ceux-ci, voir sous mes yeux se jouer la vie a quelque chose de divertissant, mais c'est clairement l'humour post-moderne absurdiste de Nichijou qui me le fait adorer. Pareillement pour YKK ou aussi Yotsuba en manga d'ailleurs, c'est avant tout leur aspect iyashikei à apprécier après une journée difficile qui mes les font tant aimer (encore plus l'idée d'un post-apo apaisant pour les hommes et la Terre pour YKK).
The Devil's Work is Never Done.
Call of the night cette année
What we're looking for... it's not here
