Ce sujet a été résolu
Je me reconnais beaucoup dans ton défouloir, ce qui m'a sauver c'est le 3eme Reich
il y a 2 ans
J'étais déjà un vieux con aigri à 15ans, à la limite vers 10ans ok mais pas plus
Wonkiausorent
il y a 2 ans
Avocat_de_Onche
2 ans
Ça vous arrive aussi d'avoir la sensation de ne presque plus être humain, ou alors être humain dans le sens ou l'on prend qu'il y a de plus sale ?
À l'instant je viens de tomber sur un short qui parle du suicide des adolescents et ça viens de me rappeler l'intensité de ma vie quand j'étais plus jeune
Tout vivre à fond, être plus pure, plus noble et d'être prêt à mourir pour des choses qui nous tiennes à cœur même si c'est totalement irrationnel
N'en avoir rien à faire de la politique, des débats sur le féminisme et l'immigration juste vouloir passer du temps avec ses potes, sincèrement
Être dans une période d'insouciance ou tu aimes réellement plus que tout tes proches, ou tu es protégé du monde exterieur grâce aux adultes qui étaient comme toi autrefois
Les intérêts qui étaient bien moindre, tes camarades de classes que tu appréciais, la meuf que tu idéalisait, tes potes que tu revoyais pendant la récré
N'avoir quasiment aucun préjugés, ne pas connaître tout le bordel du contenue redpill et la cruauté dont le monde est capable
Je me rappel à 15ans je me disait "je ne veux devenir un vieux débile aigris, j'aime tout le monde et je veux juste être avec mes potes"
Pas de trahisons, être prêt si il le faut à parcourir la France entière pour retrouver ses amis ou séduire une fille, n'avoir aucun doutes, se sentir aimer et pleine intégrer à la vie
Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu'à mes 15ans, je ne saurai pas définir cette période c'est comme si j'étais insouciant et extrêmement lucide à la fois. Un peu comme quand on fond en larme et on se dit "Pardon. Désolé d'être devenu comme ça. Pardon." Et avoir l'impression de se retrouver
Comme si pendant quelques instants on pouvait retrouver qui on était, loin de tout les problèmes du monde
Quand je pense à la frustration dont je fais preuve au quotidien, je me dis que même en ayant du succès dans tout les domaines, en étant riche, beau, fort, apprécié par pleins de monde ça ne sera plus jamais comme avant. la saveur n'y est plus
Parmis les gens à qui je ne parle plus aujourd'hui, combien faisait parti intégrante de ma vie ? Chez combien j'aurai été prêt à mourir le sourire aux lèvres si il fallait que je donne ma vie pour sauver la leur
J'ai été salis, aujourd'hui je suis devenu plus vicieux, plus conscient de certaines choses, doté d'un esprit critique plus grand avec bien plus de connaissances et pourtant...
Je voudrai juste redevenir comme avant, dans le passé, revoir mes anciens amis et ressentir une sensation chaleureuse comme une impression de rentrer à la maison
Quand je parlais à mon père, quand mon chat était encore en vie, quand j'étais un jeune lycéen, quand je n'étais pas en dépression, quand je n'avais pas connaissance de tant de choses horribles que le monde, quand le sexe n'aveuglaient pas autant les gens et ne distordaient/faussaient pas les rapports hommes femmes
Avoir une pote fille et se dire "et alors?" Pas d'hypergamie, pas de choses à gagner, pas de pensées "et si je la draguait" "20 mecs doivent lui tourner autour elle sera condescendante avec moi"
Avoir des amis sincères sans se dire "quand est-ce qu'il me trahira, quand est-ce que je vais le décevoir" mais simplement "j'ai hâte de le revoir" "il est trop sympa" sans aucunes arrières pensées
Vouloir refaire le monde avec ses amis de 15ans, se sentir comme dans un monde à part que vous avez vous mêmes construits, être avec ses amis et juste savourer
Contempler leur bienveillance et à quel point c'est un bonheur incommensurable d'être avec eux, s'imaginer rester avec eux à vie peut importe les épreuves futures, ne jamais changer et rester les mêmes tous ensembles pour toujours contrairement aux vieux pourris jusqu'à l'os
Commencer à prendre de l'indépendance mais voir toujours sa mère qui bien que un peu saoulante parfois, est toujours là pour te protéger, presque comme une entité mystique alors que maintenant tu la vois comment un être humain "ordinaire"
À l'instant je viens de tomber sur un short qui parle du suicide des adolescents et ça viens de me rappeler l'intensité de ma vie quand j'étais plus jeune
Tout vivre à fond, être plus pure, plus noble et d'être prêt à mourir pour des choses qui nous tiennes à cœur même si c'est totalement irrationnel
N'en avoir rien à faire de la politique, des débats sur le féminisme et l'immigration juste vouloir passer du temps avec ses potes, sincèrement
Être dans une période d'insouciance ou tu aimes réellement plus que tout tes proches, ou tu es protégé du monde exterieur grâce aux adultes qui étaient comme toi autrefois
Les intérêts qui étaient bien moindre, tes camarades de classes que tu appréciais, la meuf que tu idéalisait, tes potes que tu revoyais pendant la récré
N'avoir quasiment aucun préjugés, ne pas connaître tout le bordel du contenue redpill et la cruauté dont le monde est capable
Je me rappel à 15ans je me disait "je ne veux devenir un vieux débile aigris, j'aime tout le monde et je veux juste être avec mes potes"
Pas de trahisons, être prêt si il le faut à parcourir la France entière pour retrouver ses amis ou séduire une fille, n'avoir aucun doutes, se sentir aimer et pleine intégrer à la vie
Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu'à mes 15ans, je ne saurai pas définir cette période c'est comme si j'étais insouciant et extrêmement lucide à la fois. Un peu comme quand on fond en larme et on se dit "Pardon. Désolé d'être devenu comme ça. Pardon." Et avoir l'impression de se retrouver
Comme si pendant quelques instants on pouvait retrouver qui on était, loin de tout les problèmes du monde
Quand je pense à la frustration dont je fais preuve au quotidien, je me dis que même en ayant du succès dans tout les domaines, en étant riche, beau, fort, apprécié par pleins de monde ça ne sera plus jamais comme avant. la saveur n'y est plus
Parmis les gens à qui je ne parle plus aujourd'hui, combien faisait parti intégrante de ma vie ? Chez combien j'aurai été prêt à mourir le sourire aux lèvres si il fallait que je donne ma vie pour sauver la leur
J'ai été salis, aujourd'hui je suis devenu plus vicieux, plus conscient de certaines choses, doté d'un esprit critique plus grand avec bien plus de connaissances et pourtant...
Je voudrai juste redevenir comme avant, dans le passé, revoir mes anciens amis et ressentir une sensation chaleureuse comme une impression de rentrer à la maison
Quand je parlais à mon père, quand mon chat était encore en vie, quand j'étais un jeune lycéen, quand je n'étais pas en dépression, quand je n'avais pas connaissance de tant de choses horribles que le monde, quand le sexe n'aveuglaient pas autant les gens et ne distordaient/faussaient pas les rapports hommes femmes
Avoir une pote fille et se dire "et alors?" Pas d'hypergamie, pas de choses à gagner, pas de pensées "et si je la draguait" "20 mecs doivent lui tourner autour elle sera condescendante avec moi"
Avoir des amis sincères sans se dire "quand est-ce qu'il me trahira, quand est-ce que je vais le décevoir" mais simplement "j'ai hâte de le revoir" "il est trop sympa" sans aucunes arrières pensées
Vouloir refaire le monde avec ses amis de 15ans, se sentir comme dans un monde à part que vous avez vous mêmes construits, être avec ses amis et juste savourer
Contempler leur bienveillance et à quel point c'est un bonheur incommensurable d'être avec eux, s'imaginer rester avec eux à vie peut importe les épreuves futures, ne jamais changer et rester les mêmes tous ensembles pour toujours contrairement aux vieux pourris jusqu'à l'os
Commencer à prendre de l'indépendance mais voir toujours sa mère qui bien que un peu saoulante parfois, est toujours là pour te protéger, presque comme une entité mystique alors que maintenant tu la vois comment un être humain "ordinaire"
C'est pas ça le pire.
C'est que si t'as rien branlé avant tes 30 ans tu ne branleras plus jamais rien.
C'est que si t'as rien branlé avant tes 30 ans tu ne branleras plus jamais rien.
il y a 2 ans
Avocat_de_Onche
2 ans
Ça vous arrive aussi d'avoir la sensation de ne presque plus être humain, ou alors être humain dans le sens ou l'on prend qu'il y a de plus sale ?
À l'instant je viens de tomber sur un short qui parle du suicide des adolescents et ça viens de me rappeler l'intensité de ma vie quand j'étais plus jeune
Tout vivre à fond, être plus pure, plus noble et d'être prêt à mourir pour des choses qui nous tiennes à cœur même si c'est totalement irrationnel
N'en avoir rien à faire de la politique, des débats sur le féminisme et l'immigration juste vouloir passer du temps avec ses potes, sincèrement
Être dans une période d'insouciance ou tu aimes réellement plus que tout tes proches, ou tu es protégé du monde exterieur grâce aux adultes qui étaient comme toi autrefois
Les intérêts qui étaient bien moindre, tes camarades de classes que tu appréciais, la meuf que tu idéalisait, tes potes que tu revoyais pendant la récré
N'avoir quasiment aucun préjugés, ne pas connaître tout le bordel du contenue redpill et la cruauté dont le monde est capable
Je me rappel à 15ans je me disait "je ne veux devenir un vieux débile aigris, j'aime tout le monde et je veux juste être avec mes potes"
Pas de trahisons, être prêt si il le faut à parcourir la France entière pour retrouver ses amis ou séduire une fille, n'avoir aucun doutes, se sentir aimer et pleine intégrer à la vie
Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu'à mes 15ans, je ne saurai pas définir cette période c'est comme si j'étais insouciant et extrêmement lucide à la fois. Un peu comme quand on fond en larme et on se dit "Pardon. Désolé d'être devenu comme ça. Pardon." Et avoir l'impression de se retrouver
Comme si pendant quelques instants on pouvait retrouver qui on était, loin de tout les problèmes du monde
Quand je pense à la frustration dont je fais preuve au quotidien, je me dis que même en ayant du succès dans tout les domaines, en étant riche, beau, fort, apprécié par pleins de monde ça ne sera plus jamais comme avant. la saveur n'y est plus
Parmis les gens à qui je ne parle plus aujourd'hui, combien faisait parti intégrante de ma vie ? Chez combien j'aurai été prêt à mourir le sourire aux lèvres si il fallait que je donne ma vie pour sauver la leur
J'ai été salis, aujourd'hui je suis devenu plus vicieux, plus conscient de certaines choses, doté d'un esprit critique plus grand avec bien plus de connaissances et pourtant...
Je voudrai juste redevenir comme avant, dans le passé, revoir mes anciens amis et ressentir une sensation chaleureuse comme une impression de rentrer à la maison
Quand je parlais à mon père, quand mon chat était encore en vie, quand j'étais un jeune lycéen, quand je n'étais pas en dépression, quand je n'avais pas connaissance de tant de choses horribles que le monde, quand le sexe n'aveuglaient pas autant les gens et ne distordaient/faussaient pas les rapports hommes femmes
Avoir une pote fille et se dire "et alors?" Pas d'hypergamie, pas de choses à gagner, pas de pensées "et si je la draguait" "20 mecs doivent lui tourner autour elle sera condescendante avec moi"
Avoir des amis sincères sans se dire "quand est-ce qu'il me trahira, quand est-ce que je vais le décevoir" mais simplement "j'ai hâte de le revoir" "il est trop sympa" sans aucunes arrières pensées
Vouloir refaire le monde avec ses amis de 15ans, se sentir comme dans un monde à part que vous avez vous mêmes construits, être avec ses amis et juste savourer
Contempler leur bienveillance et à quel point c'est un bonheur incommensurable d'être avec eux, s'imaginer rester avec eux à vie peut importe les épreuves futures, ne jamais changer et rester les mêmes tous ensembles pour toujours contrairement aux vieux pourris jusqu'à l'os
Commencer à prendre de l'indépendance mais voir toujours sa mère qui bien que un peu saoulante parfois, est toujours là pour te protéger, presque comme une entité mystique alors que maintenant tu la vois comment un être humain "ordinaire"
À l'instant je viens de tomber sur un short qui parle du suicide des adolescents et ça viens de me rappeler l'intensité de ma vie quand j'étais plus jeune
Tout vivre à fond, être plus pure, plus noble et d'être prêt à mourir pour des choses qui nous tiennes à cœur même si c'est totalement irrationnel
N'en avoir rien à faire de la politique, des débats sur le féminisme et l'immigration juste vouloir passer du temps avec ses potes, sincèrement
Être dans une période d'insouciance ou tu aimes réellement plus que tout tes proches, ou tu es protégé du monde exterieur grâce aux adultes qui étaient comme toi autrefois
Les intérêts qui étaient bien moindre, tes camarades de classes que tu appréciais, la meuf que tu idéalisait, tes potes que tu revoyais pendant la récré
N'avoir quasiment aucun préjugés, ne pas connaître tout le bordel du contenue redpill et la cruauté dont le monde est capable
Je me rappel à 15ans je me disait "je ne veux devenir un vieux débile aigris, j'aime tout le monde et je veux juste être avec mes potes"
Pas de trahisons, être prêt si il le faut à parcourir la France entière pour retrouver ses amis ou séduire une fille, n'avoir aucun doutes, se sentir aimer et pleine intégrer à la vie
Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu'à mes 15ans, je ne saurai pas définir cette période c'est comme si j'étais insouciant et extrêmement lucide à la fois. Un peu comme quand on fond en larme et on se dit "Pardon. Désolé d'être devenu comme ça. Pardon." Et avoir l'impression de se retrouver
Comme si pendant quelques instants on pouvait retrouver qui on était, loin de tout les problèmes du monde
Quand je pense à la frustration dont je fais preuve au quotidien, je me dis que même en ayant du succès dans tout les domaines, en étant riche, beau, fort, apprécié par pleins de monde ça ne sera plus jamais comme avant. la saveur n'y est plus
Parmis les gens à qui je ne parle plus aujourd'hui, combien faisait parti intégrante de ma vie ? Chez combien j'aurai été prêt à mourir le sourire aux lèvres si il fallait que je donne ma vie pour sauver la leur
J'ai été salis, aujourd'hui je suis devenu plus vicieux, plus conscient de certaines choses, doté d'un esprit critique plus grand avec bien plus de connaissances et pourtant...
Je voudrai juste redevenir comme avant, dans le passé, revoir mes anciens amis et ressentir une sensation chaleureuse comme une impression de rentrer à la maison
Quand je parlais à mon père, quand mon chat était encore en vie, quand j'étais un jeune lycéen, quand je n'étais pas en dépression, quand je n'avais pas connaissance de tant de choses horribles que le monde, quand le sexe n'aveuglaient pas autant les gens et ne distordaient/faussaient pas les rapports hommes femmes
Avoir une pote fille et se dire "et alors?" Pas d'hypergamie, pas de choses à gagner, pas de pensées "et si je la draguait" "20 mecs doivent lui tourner autour elle sera condescendante avec moi"
Avoir des amis sincères sans se dire "quand est-ce qu'il me trahira, quand est-ce que je vais le décevoir" mais simplement "j'ai hâte de le revoir" "il est trop sympa" sans aucunes arrières pensées
Vouloir refaire le monde avec ses amis de 15ans, se sentir comme dans un monde à part que vous avez vous mêmes construits, être avec ses amis et juste savourer
Contempler leur bienveillance et à quel point c'est un bonheur incommensurable d'être avec eux, s'imaginer rester avec eux à vie peut importe les épreuves futures, ne jamais changer et rester les mêmes tous ensembles pour toujours contrairement aux vieux pourris jusqu'à l'os
Commencer à prendre de l'indépendance mais voir toujours sa mère qui bien que un peu saoulante parfois, est toujours là pour te protéger, presque comme une entité mystique alors que maintenant tu la vois comment un être humain "ordinaire"
ok frérot ton topic est remplie de lucidité et d'honnêteté d'esprit.
mais je pense qu'il ne faut pas s'en vouloir pour autant, ce chemin fait partie intégrante de notre vie sur terre.
Plus on grandit, plus on devient ce que l'on méprisait étant enfant, quelle est la solution pour s'en défaire?
mais je pense qu'il ne faut pas s'en vouloir pour autant, ce chemin fait partie intégrante de notre vie sur terre.
Plus on grandit, plus on devient ce que l'on méprisait étant enfant, quelle est la solution pour s'en défaire?
From French Dream to Maison au bord d'un lac DREAM
il y a 2 ans
Avocat_de_Onche
2 ans
Ça vous arrive aussi d'avoir la sensation de ne presque plus être humain, ou alors être humain dans le sens ou l'on prend qu'il y a de plus sale ?
À l'instant je viens de tomber sur un short qui parle du suicide des adolescents et ça viens de me rappeler l'intensité de ma vie quand j'étais plus jeune
Tout vivre à fond, être plus pure, plus noble et d'être prêt à mourir pour des choses qui nous tiennes à cœur même si c'est totalement irrationnel
N'en avoir rien à faire de la politique, des débats sur le féminisme et l'immigration juste vouloir passer du temps avec ses potes, sincèrement
Être dans une période d'insouciance ou tu aimes réellement plus que tout tes proches, ou tu es protégé du monde exterieur grâce aux adultes qui étaient comme toi autrefois
Les intérêts qui étaient bien moindre, tes camarades de classes que tu appréciais, la meuf que tu idéalisait, tes potes que tu revoyais pendant la récré
N'avoir quasiment aucun préjugés, ne pas connaître tout le bordel du contenue redpill et la cruauté dont le monde est capable
Je me rappel à 15ans je me disait "je ne veux devenir un vieux débile aigris, j'aime tout le monde et je veux juste être avec mes potes"
Pas de trahisons, être prêt si il le faut à parcourir la France entière pour retrouver ses amis ou séduire une fille, n'avoir aucun doutes, se sentir aimer et pleine intégrer à la vie
Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu'à mes 15ans, je ne saurai pas définir cette période c'est comme si j'étais insouciant et extrêmement lucide à la fois. Un peu comme quand on fond en larme et on se dit "Pardon. Désolé d'être devenu comme ça. Pardon." Et avoir l'impression de se retrouver
Comme si pendant quelques instants on pouvait retrouver qui on était, loin de tout les problèmes du monde
Quand je pense à la frustration dont je fais preuve au quotidien, je me dis que même en ayant du succès dans tout les domaines, en étant riche, beau, fort, apprécié par pleins de monde ça ne sera plus jamais comme avant. la saveur n'y est plus
Parmis les gens à qui je ne parle plus aujourd'hui, combien faisait parti intégrante de ma vie ? Chez combien j'aurai été prêt à mourir le sourire aux lèvres si il fallait que je donne ma vie pour sauver la leur
J'ai été salis, aujourd'hui je suis devenu plus vicieux, plus conscient de certaines choses, doté d'un esprit critique plus grand avec bien plus de connaissances et pourtant...
Je voudrai juste redevenir comme avant, dans le passé, revoir mes anciens amis et ressentir une sensation chaleureuse comme une impression de rentrer à la maison
Quand je parlais à mon père, quand mon chat était encore en vie, quand j'étais un jeune lycéen, quand je n'étais pas en dépression, quand je n'avais pas connaissance de tant de choses horribles que le monde, quand le sexe n'aveuglaient pas autant les gens et ne distordaient/faussaient pas les rapports hommes femmes
Avoir une pote fille et se dire "et alors?" Pas d'hypergamie, pas de choses à gagner, pas de pensées "et si je la draguait" "20 mecs doivent lui tourner autour elle sera condescendante avec moi"
Avoir des amis sincères sans se dire "quand est-ce qu'il me trahira, quand est-ce que je vais le décevoir" mais simplement "j'ai hâte de le revoir" "il est trop sympa" sans aucunes arrières pensées
Vouloir refaire le monde avec ses amis de 15ans, se sentir comme dans un monde à part que vous avez vous mêmes construits, être avec ses amis et juste savourer
Contempler leur bienveillance et à quel point c'est un bonheur incommensurable d'être avec eux, s'imaginer rester avec eux à vie peut importe les épreuves futures, ne jamais changer et rester les mêmes tous ensembles pour toujours contrairement aux vieux pourris jusqu'à l'os
Commencer à prendre de l'indépendance mais voir toujours sa mère qui bien que un peu saoulante parfois, est toujours là pour te protéger, presque comme une entité mystique alors que maintenant tu la vois comment un être humain "ordinaire"
À l'instant je viens de tomber sur un short qui parle du suicide des adolescents et ça viens de me rappeler l'intensité de ma vie quand j'étais plus jeune
Tout vivre à fond, être plus pure, plus noble et d'être prêt à mourir pour des choses qui nous tiennes à cœur même si c'est totalement irrationnel
N'en avoir rien à faire de la politique, des débats sur le féminisme et l'immigration juste vouloir passer du temps avec ses potes, sincèrement
Être dans une période d'insouciance ou tu aimes réellement plus que tout tes proches, ou tu es protégé du monde exterieur grâce aux adultes qui étaient comme toi autrefois
Les intérêts qui étaient bien moindre, tes camarades de classes que tu appréciais, la meuf que tu idéalisait, tes potes que tu revoyais pendant la récré
N'avoir quasiment aucun préjugés, ne pas connaître tout le bordel du contenue redpill et la cruauté dont le monde est capable
Je me rappel à 15ans je me disait "je ne veux devenir un vieux débile aigris, j'aime tout le monde et je veux juste être avec mes potes"
Pas de trahisons, être prêt si il le faut à parcourir la France entière pour retrouver ses amis ou séduire une fille, n'avoir aucun doutes, se sentir aimer et pleine intégrer à la vie
Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu'à mes 15ans, je ne saurai pas définir cette période c'est comme si j'étais insouciant et extrêmement lucide à la fois. Un peu comme quand on fond en larme et on se dit "Pardon. Désolé d'être devenu comme ça. Pardon." Et avoir l'impression de se retrouver
Comme si pendant quelques instants on pouvait retrouver qui on était, loin de tout les problèmes du monde
Quand je pense à la frustration dont je fais preuve au quotidien, je me dis que même en ayant du succès dans tout les domaines, en étant riche, beau, fort, apprécié par pleins de monde ça ne sera plus jamais comme avant. la saveur n'y est plus
Parmis les gens à qui je ne parle plus aujourd'hui, combien faisait parti intégrante de ma vie ? Chez combien j'aurai été prêt à mourir le sourire aux lèvres si il fallait que je donne ma vie pour sauver la leur
J'ai été salis, aujourd'hui je suis devenu plus vicieux, plus conscient de certaines choses, doté d'un esprit critique plus grand avec bien plus de connaissances et pourtant...
Je voudrai juste redevenir comme avant, dans le passé, revoir mes anciens amis et ressentir une sensation chaleureuse comme une impression de rentrer à la maison
Quand je parlais à mon père, quand mon chat était encore en vie, quand j'étais un jeune lycéen, quand je n'étais pas en dépression, quand je n'avais pas connaissance de tant de choses horribles que le monde, quand le sexe n'aveuglaient pas autant les gens et ne distordaient/faussaient pas les rapports hommes femmes
Avoir une pote fille et se dire "et alors?" Pas d'hypergamie, pas de choses à gagner, pas de pensées "et si je la draguait" "20 mecs doivent lui tourner autour elle sera condescendante avec moi"
Avoir des amis sincères sans se dire "quand est-ce qu'il me trahira, quand est-ce que je vais le décevoir" mais simplement "j'ai hâte de le revoir" "il est trop sympa" sans aucunes arrières pensées
Vouloir refaire le monde avec ses amis de 15ans, se sentir comme dans un monde à part que vous avez vous mêmes construits, être avec ses amis et juste savourer
Contempler leur bienveillance et à quel point c'est un bonheur incommensurable d'être avec eux, s'imaginer rester avec eux à vie peut importe les épreuves futures, ne jamais changer et rester les mêmes tous ensembles pour toujours contrairement aux vieux pourris jusqu'à l'os
Commencer à prendre de l'indépendance mais voir toujours sa mère qui bien que un peu saoulante parfois, est toujours là pour te protéger, presque comme une entité mystique alors que maintenant tu la vois comment un être humain "ordinaire"
Tu te méprends lourdement clef
Ce que tu racontes, c'est une vie de golem sans âme justement
A l'image des chinois, qui ne pensent qu'à leur plaisir hédoniste, qui se foutent de la politique ou de la souffrance d'autrui
Certains du forum qualifierait ça de bluepilled
Ce que tu racontes, c'est une vie de golem sans âme justement
A l'image des chinois, qui ne pensent qu'à leur plaisir hédoniste, qui se foutent de la politique ou de la souffrance d'autrui
Certains du forum qualifierait ça de bluepilled
il y a 2 ans
J'ai jamais vécu ce que tu décris
Seul et redpill depuis très jeune
Donc ça va
Seul et redpill depuis très jeune
Donc ça va
Ash nazg durbatulûk Ash nazg gimbatul Ash nazg thrakatulûk Agh burzum-ishi krimpatul Dashburz-ishi nakha gulshu darulu
il y a 2 ans
L'innocence c'est juste de l'ignorance, ça n'est pas une valeur ou quelque chose que l'on doit adulée
La beauté de l'âme c'est justement faire la distinction entre le bien et le mal, faire des choix difficiles, faire preuve de courage etc.
Ça demande donc de la connaissance
Tu te méprends toi aussi
La beauté de l'âme c'est justement faire la distinction entre le bien et le mal, faire des choix difficiles, faire preuve de courage etc.
Ça demande donc de la connaissance
Tu te méprends toi aussi
il y a 2 ans
Ca a dû faire mal, l'auteur, de perdre ton insouciance.
Tout ce que tu décris, cet état d'esprit sans peur, ce sentiment d'accord avec soi-même cette assurance, je ne l'ai jamais connu. Ou alors, je l'ai perdu si jeune que je ne m'en souviens pas. Sans doute pendant la petite enfance. Bien, bien avant l'adolescence en tout cas.
Tout ce dont tu me parles, c'est quelque chose que j'ai remarqué chez les autres depuis longtemps, et que j'ai toujours jalousé car jamais je n'ai sû me comporter comme ça. Comme si j'avais une forme de pouvoir sur ma vie, ou comme si j'étais en droit de décider de quoi que ce soit.
Je me suis toujours jugé moi-même, je n'ai jamais été naturel, je me suis toujours posé des questions, je n'ai jamais été spontané, en fait, et j'ai toujours calculé les risques. Mon mental m'a toujours dominé, jusqu'à ce qu'il essaie de me tuer et que j'aie dû en prendre vraiment le contrôle, prendre du recul dessus, et le remettre à sa place. Mais je me suis toujours senti impersonnel, déconnecté de moi.
Aujourd'hui, si je m'autorise à exister, c'est précisément parce que j'ai conscientisé la faillibilité d'autrui et le mal qu'il y a à laisser autrui exister sans contrainte.
Autrement dit, ça :
"Pas de trahisons, être prêt si il le faut à parcourir la France entière pour retrouver ses amis ou séduire une fille, n'avoir aucun doutes, se sentir aimer et pleine intégrer à la vie"
JAMAIS je n'ai pensé comme ça, et pourtant j'ai souvent été surpris de constater que bien des gens pensaient comme ça. Contrairement à ce que prétend le test de méchanceté "dark factor", je n'ai jamais eu le moindre "entitlement" ... C'est juste un devoir que je me fais de prendre ce que les autres ne méritent pas et que j'éprouve le besoin de me venger du fait que d'une manière ou d'une autre, on m'ait coupé de moi-même et désincarné.
Tu es peut-être très normal, sans pour autant être un normie, mais ton cas est très intéressant pour moi
Tout ce que tu décris, cet état d'esprit sans peur, ce sentiment d'accord avec soi-même cette assurance, je ne l'ai jamais connu. Ou alors, je l'ai perdu si jeune que je ne m'en souviens pas. Sans doute pendant la petite enfance. Bien, bien avant l'adolescence en tout cas.
Tout ce dont tu me parles, c'est quelque chose que j'ai remarqué chez les autres depuis longtemps, et que j'ai toujours jalousé car jamais je n'ai sû me comporter comme ça. Comme si j'avais une forme de pouvoir sur ma vie, ou comme si j'étais en droit de décider de quoi que ce soit.
Je me suis toujours jugé moi-même, je n'ai jamais été naturel, je me suis toujours posé des questions, je n'ai jamais été spontané, en fait, et j'ai toujours calculé les risques. Mon mental m'a toujours dominé, jusqu'à ce qu'il essaie de me tuer et que j'aie dû en prendre vraiment le contrôle, prendre du recul dessus, et le remettre à sa place. Mais je me suis toujours senti impersonnel, déconnecté de moi.
Aujourd'hui, si je m'autorise à exister, c'est précisément parce que j'ai conscientisé la faillibilité d'autrui et le mal qu'il y a à laisser autrui exister sans contrainte.
Autrement dit, ça :
"Pas de trahisons, être prêt si il le faut à parcourir la France entière pour retrouver ses amis ou séduire une fille, n'avoir aucun doutes, se sentir aimer et pleine intégrer à la vie"
JAMAIS je n'ai pensé comme ça, et pourtant j'ai souvent été surpris de constater que bien des gens pensaient comme ça. Contrairement à ce que prétend le test de méchanceté "dark factor", je n'ai jamais eu le moindre "entitlement" ... C'est juste un devoir que je me fais de prendre ce que les autres ne méritent pas et que j'éprouve le besoin de me venger du fait que d'une manière ou d'une autre, on m'ait coupé de moi-même et désincarné.
Tu es peut-être très normal, sans pour autant être un normie, mais ton cas est très intéressant pour moi

Je suis Seugondaire.
il y a 2 ans
sur les femmes qui aiment les bad boys j'ai cliqué
Well... Pheraps to a certain extent bad boy characteristics are attractive. Or pheraphs bad boys embody certain positive qualities like extraversion, assertiveness and confidence that women enjoy. For example, a study by Jauk et. al (2016)
Les filles aiment bel et bien les gars toxiques, mais c'est pas le cas de toute évidemment faudrait être con, mais une bonne partie en tout cas va préférer les bad boys (seulement s'ils sont beau) parce qu'ils sont beaux, un bad boy moche ne va évidemment attirer personne
Tu crois qu'elle dit de la merde taylor swift ou les autres musiques de merde d'amour des blanches ?
Well... Pheraps to a certain extent bad boy characteristics are attractive. Or pheraphs bad boys embody certain positive qualities like extraversion, assertiveness and confidence that women enjoy. For example, a study by Jauk et. al (2016)
Les filles aiment bel et bien les gars toxiques, mais c'est pas le cas de toute évidemment faudrait être con, mais une bonne partie en tout cas va préférer les bad boys (seulement s'ils sont beau) parce qu'ils sont beaux, un bad boy moche ne va évidemment attirer personne
Tu crois qu'elle dit de la merde taylor swift ou les autres musiques de merde d'amour des blanches ?
Beaucoup de femmes aiment la toxicité.
Certaines vont même vers les victimes, les célestins aigris et introvertis, à partir du moment où ils sont négatifs, toxiques. Parce qu'ils ont cette forme de "dangerosité", parce qu'ils ont une capacité à malmener.
Les femmes sont nihilistes à un point inimagineable pour un homme, aucun absolu n'a cours dans leurs têtes, schématquement.
Si une merde ultime, même le cliché du looser bêta, arrive à créer, pour une femme, un monde où elle trouve carotte et bâton, elle y verra un intérêt.
Inutile de dire que celles comme ça sont à fuir, mais elles sont globalement toutes comme ça. A différents degrés.
Certaines vont même vers les victimes, les célestins aigris et introvertis, à partir du moment où ils sont négatifs, toxiques. Parce qu'ils ont cette forme de "dangerosité", parce qu'ils ont une capacité à malmener.
Les femmes sont nihilistes à un point inimagineable pour un homme, aucun absolu n'a cours dans leurs têtes, schématquement.
Si une merde ultime, même le cliché du looser bêta, arrive à créer, pour une femme, un monde où elle trouve carotte et bâton, elle y verra un intérêt.
Inutile de dire que celles comme ça sont à fuir, mais elles sont globalement toutes comme ça. A différents degrés.
Je suis Seugondaire.
il y a 2 ans
Pavé touchant l'op
Juste j'ai une question: qu'est ce qui t'as poussé à abandonner la foi ?

Juste j'ai une question: qu'est ce qui t'as poussé à abandonner la foi ?
il y a 2 ans
Évidemment, on sent le temps qui s'échappe on entre dans une phase où on ne plus eu tout être considérés comme des enfants, donc on est à la merci du monde si on peut dire ça comme ça.
Les adultes qui nous protégeaient ne sont plus là, ou alors ils nous laissent nous débrouiller, alors on bouffe tout en pleine gueule, on se rend compte qu'on nous a toujours menti sur ce qu'était vraiment a vie, sur le fait qu'elle était belle.
C'est comme ça.
Les adultes qui nous protégeaient ne sont plus là, ou alors ils nous laissent nous débrouiller, alors on bouffe tout en pleine gueule, on se rend compte qu'on nous a toujours menti sur ce qu'était vraiment a vie, sur le fait qu'elle était belle.
C'est comme ça.
https://youtu.be/37M09j3q[...]x5_InTclj_t6uUe&t=949
il y a 2 ans
Ah oui, moi aussi
Je m'en suis jamais vraiment rendu compte mais oui
Je pense que j'étais naturellement conscient sans subir de malheur concret, mais cette conscience m'a envahi car je me suis senti obligé de ménager de mon entourage de névrosés, donc ils m'ont transféré beaucoup de stress.
Quand j'étais petit je pouvais faire l'expérience de sensations étranges. Une fois je regardais un pote dans la cour de récré, je devais être en CE1 - CE2, je me demandais "pourquoi je suis moi, et lui, lui ?", et j'éssayais de m'imaginer devenir lui, et, ce faisant, je me sentais sortir de mon corps
C'est vraiment devoir emmagasiner l'irrationalité des autres, leurs angoisses leurs complexes d'infériorité, leurs rancunes, leurs obessions, leur dépression, que je percevais très bien, qui m'ont obligés, à mon avis, à essayer de comprendre trop de choses, et surtout comment ne pas heurter ou comment les faire rester à leurs places.
Et ils ont finit par réussir à me persuader que je n'étais pas qui je croyais être, en exploitant inconsciemment mon mental envahissant, pour que je perde le sens de mon identité.
En tout cas je te recommande de ne pas avoir recours aux drogues, qu'elles qu'elles soient
Ni joint, ni alcool. Tu peux renouer avec ton intuition par le sport, par exemple.


Je pense que j'étais naturellement conscient sans subir de malheur concret, mais cette conscience m'a envahi car je me suis senti obligé de ménager de mon entourage de névrosés, donc ils m'ont transféré beaucoup de stress.
Quand j'étais petit je pouvais faire l'expérience de sensations étranges. Une fois je regardais un pote dans la cour de récré, je devais être en CE1 - CE2, je me demandais "pourquoi je suis moi, et lui, lui ?", et j'éssayais de m'imaginer devenir lui, et, ce faisant, je me sentais sortir de mon corps

C'est vraiment devoir emmagasiner l'irrationalité des autres, leurs angoisses leurs complexes d'infériorité, leurs rancunes, leurs obessions, leur dépression, que je percevais très bien, qui m'ont obligés, à mon avis, à essayer de comprendre trop de choses, et surtout comment ne pas heurter ou comment les faire rester à leurs places.
Et ils ont finit par réussir à me persuader que je n'étais pas qui je croyais être, en exploitant inconsciemment mon mental envahissant, pour que je perde le sens de mon identité.
En tout cas je te recommande de ne pas avoir recours aux drogues, qu'elles qu'elles soient

Je suis Seugondaire.
il y a 2 ans
ok frérot ton topic est remplie de lucidité et d'honnêteté d'esprit.
mais je pense qu'il ne faut pas s'en vouloir pour autant, ce chemin fait partie intégrante de notre vie sur terre.
Plus on grandit, plus on devient ce que l'on méprisait étant enfant, quelle est la solution pour s'en défaire?
mais je pense qu'il ne faut pas s'en vouloir pour autant, ce chemin fait partie intégrante de notre vie sur terre.
Plus on grandit, plus on devient ce que l'on méprisait étant enfant, quelle est la solution pour s'en défaire?
la solution est si simple
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 ans
Ah oui, moi aussi
Je m'en suis jamais vraiment rendu compte mais oui
Je pense que j'étais naturellement conscient sans subir de malheur concret, mais cette conscience m'a envahi car je me suis senti obligé de ménager de mon entourage de névrosés, donc ils m'ont transféré beaucoup de stress.
Quand j'étais petit je pouvais faire l'expérience de sensations étranges. Une fois je regardais un pote dans la cour de récré, je devais être en CE1 - CE2, je me demandais "pourquoi je suis moi, et lui, lui ?", et j'éssayais de m'imaginer devenir lui, et, ce faisant, je me sentais sortir de mon corps
C'est vraiment devoir emmagasiner l'irrationalité des autres, leurs angoisses leurs complexes d'infériorité, leurs rancunes, leurs obessions, leur dépression, que je percevais très bien, qui m'ont obligés, à mon avis, à essayer de comprendre trop de choses, et surtout comment ne pas heurter ou comment les faire rester à leurs places.
Et ils ont finit par réussir à me persuader que je n'étais pas qui je croyais être, en exploitant inconsciemment mon mental envahissant, pour que je perde le sens de mon identité.
En tout cas je te recommande de ne pas avoir recours aux drogues, qu'elles qu'elles soient
Ni joint, ni alcool. Tu peux renouer avec ton intuition par le sport, par exemple.


Je pense que j'étais naturellement conscient sans subir de malheur concret, mais cette conscience m'a envahi car je me suis senti obligé de ménager de mon entourage de névrosés, donc ils m'ont transféré beaucoup de stress.
Quand j'étais petit je pouvais faire l'expérience de sensations étranges. Une fois je regardais un pote dans la cour de récré, je devais être en CE1 - CE2, je me demandais "pourquoi je suis moi, et lui, lui ?", et j'éssayais de m'imaginer devenir lui, et, ce faisant, je me sentais sortir de mon corps

C'est vraiment devoir emmagasiner l'irrationalité des autres, leurs angoisses leurs complexes d'infériorité, leurs rancunes, leurs obessions, leur dépression, que je percevais très bien, qui m'ont obligés, à mon avis, à essayer de comprendre trop de choses, et surtout comment ne pas heurter ou comment les faire rester à leurs places.
Et ils ont finit par réussir à me persuader que je n'étais pas qui je croyais être, en exploitant inconsciemment mon mental envahissant, pour que je perde le sens de mon identité.
En tout cas je te recommande de ne pas avoir recours aux drogues, qu'elles qu'elles soient

tu devrais te méfier de l'auto critique psychiatrique...
tu as juste l'air d'avoir une maladie mentale qui te déconnecte de la réalité et un environnement pourri
tu as juste l'air d'avoir une maladie mentale qui te déconnecte de la réalité et un environnement pourri
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 ans
tu ne fais pas partie du groupe c'est tout, ce n'est pas de la dépersonnalisation ça
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 ans
Avocat_de_Onche
2 ans
Ça vous arrive aussi d'avoir la sensation de ne presque plus être humain, ou alors être humain dans le sens ou l'on prend qu'il y a de plus sale ?
À l'instant je viens de tomber sur un short qui parle du suicide des adolescents et ça viens de me rappeler l'intensité de ma vie quand j'étais plus jeune
Tout vivre à fond, être plus pure, plus noble et d'être prêt à mourir pour des choses qui nous tiennes à cœur même si c'est totalement irrationnel
N'en avoir rien à faire de la politique, des débats sur le féminisme et l'immigration juste vouloir passer du temps avec ses potes, sincèrement
Être dans une période d'insouciance ou tu aimes réellement plus que tout tes proches, ou tu es protégé du monde exterieur grâce aux adultes qui étaient comme toi autrefois
Les intérêts qui étaient bien moindre, tes camarades de classes que tu appréciais, la meuf que tu idéalisait, tes potes que tu revoyais pendant la récré
N'avoir quasiment aucun préjugés, ne pas connaître tout le bordel du contenue redpill et la cruauté dont le monde est capable
Je me rappel à 15ans je me disait "je ne veux devenir un vieux débile aigris, j'aime tout le monde et je veux juste être avec mes potes"
Pas de trahisons, être prêt si il le faut à parcourir la France entière pour retrouver ses amis ou séduire une fille, n'avoir aucun doutes, se sentir aimer et pleine intégrer à la vie
Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu'à mes 15ans, je ne saurai pas définir cette période c'est comme si j'étais insouciant et extrêmement lucide à la fois. Un peu comme quand on fond en larme et on se dit "Pardon. Désolé d'être devenu comme ça. Pardon." Et avoir l'impression de se retrouver
Comme si pendant quelques instants on pouvait retrouver qui on était, loin de tout les problèmes du monde
Quand je pense à la frustration dont je fais preuve au quotidien, je me dis que même en ayant du succès dans tout les domaines, en étant riche, beau, fort, apprécié par pleins de monde ça ne sera plus jamais comme avant. la saveur n'y est plus
Parmis les gens à qui je ne parle plus aujourd'hui, combien faisait parti intégrante de ma vie ? Chez combien j'aurai été prêt à mourir le sourire aux lèvres si il fallait que je donne ma vie pour sauver la leur
J'ai été salis, aujourd'hui je suis devenu plus vicieux, plus conscient de certaines choses, doté d'un esprit critique plus grand avec bien plus de connaissances et pourtant...
Je voudrai juste redevenir comme avant, dans le passé, revoir mes anciens amis et ressentir une sensation chaleureuse comme une impression de rentrer à la maison
Quand je parlais à mon père, quand mon chat était encore en vie, quand j'étais un jeune lycéen, quand je n'étais pas en dépression, quand je n'avais pas connaissance de tant de choses horribles que le monde, quand le sexe n'aveuglaient pas autant les gens et ne distordaient/faussaient pas les rapports hommes femmes
Avoir une pote fille et se dire "et alors?" Pas d'hypergamie, pas de choses à gagner, pas de pensées "et si je la draguait" "20 mecs doivent lui tourner autour elle sera condescendante avec moi"
Avoir des amis sincères sans se dire "quand est-ce qu'il me trahira, quand est-ce que je vais le décevoir" mais simplement "j'ai hâte de le revoir" "il est trop sympa" sans aucunes arrières pensées
Vouloir refaire le monde avec ses amis de 15ans, se sentir comme dans un monde à part que vous avez vous mêmes construits, être avec ses amis et juste savourer
Contempler leur bienveillance et à quel point c'est un bonheur incommensurable d'être avec eux, s'imaginer rester avec eux à vie peut importe les épreuves futures, ne jamais changer et rester les mêmes tous ensembles pour toujours contrairement aux vieux pourris jusqu'à l'os
Commencer à prendre de l'indépendance mais voir toujours sa mère qui bien que un peu saoulante parfois, est toujours là pour te protéger, presque comme une entité mystique alors que maintenant tu la vois comment un être humain "ordinaire"
À l'instant je viens de tomber sur un short qui parle du suicide des adolescents et ça viens de me rappeler l'intensité de ma vie quand j'étais plus jeune
Tout vivre à fond, être plus pure, plus noble et d'être prêt à mourir pour des choses qui nous tiennes à cœur même si c'est totalement irrationnel
N'en avoir rien à faire de la politique, des débats sur le féminisme et l'immigration juste vouloir passer du temps avec ses potes, sincèrement
Être dans une période d'insouciance ou tu aimes réellement plus que tout tes proches, ou tu es protégé du monde exterieur grâce aux adultes qui étaient comme toi autrefois
Les intérêts qui étaient bien moindre, tes camarades de classes que tu appréciais, la meuf que tu idéalisait, tes potes que tu revoyais pendant la récré
N'avoir quasiment aucun préjugés, ne pas connaître tout le bordel du contenue redpill et la cruauté dont le monde est capable
Je me rappel à 15ans je me disait "je ne veux devenir un vieux débile aigris, j'aime tout le monde et je veux juste être avec mes potes"
Pas de trahisons, être prêt si il le faut à parcourir la France entière pour retrouver ses amis ou séduire une fille, n'avoir aucun doutes, se sentir aimer et pleine intégrer à la vie
Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu'à mes 15ans, je ne saurai pas définir cette période c'est comme si j'étais insouciant et extrêmement lucide à la fois. Un peu comme quand on fond en larme et on se dit "Pardon. Désolé d'être devenu comme ça. Pardon." Et avoir l'impression de se retrouver
Comme si pendant quelques instants on pouvait retrouver qui on était, loin de tout les problèmes du monde
Quand je pense à la frustration dont je fais preuve au quotidien, je me dis que même en ayant du succès dans tout les domaines, en étant riche, beau, fort, apprécié par pleins de monde ça ne sera plus jamais comme avant. la saveur n'y est plus
Parmis les gens à qui je ne parle plus aujourd'hui, combien faisait parti intégrante de ma vie ? Chez combien j'aurai été prêt à mourir le sourire aux lèvres si il fallait que je donne ma vie pour sauver la leur
J'ai été salis, aujourd'hui je suis devenu plus vicieux, plus conscient de certaines choses, doté d'un esprit critique plus grand avec bien plus de connaissances et pourtant...
Je voudrai juste redevenir comme avant, dans le passé, revoir mes anciens amis et ressentir une sensation chaleureuse comme une impression de rentrer à la maison
Quand je parlais à mon père, quand mon chat était encore en vie, quand j'étais un jeune lycéen, quand je n'étais pas en dépression, quand je n'avais pas connaissance de tant de choses horribles que le monde, quand le sexe n'aveuglaient pas autant les gens et ne distordaient/faussaient pas les rapports hommes femmes
Avoir une pote fille et se dire "et alors?" Pas d'hypergamie, pas de choses à gagner, pas de pensées "et si je la draguait" "20 mecs doivent lui tourner autour elle sera condescendante avec moi"
Avoir des amis sincères sans se dire "quand est-ce qu'il me trahira, quand est-ce que je vais le décevoir" mais simplement "j'ai hâte de le revoir" "il est trop sympa" sans aucunes arrières pensées
Vouloir refaire le monde avec ses amis de 15ans, se sentir comme dans un monde à part que vous avez vous mêmes construits, être avec ses amis et juste savourer
Contempler leur bienveillance et à quel point c'est un bonheur incommensurable d'être avec eux, s'imaginer rester avec eux à vie peut importe les épreuves futures, ne jamais changer et rester les mêmes tous ensembles pour toujours contrairement aux vieux pourris jusqu'à l'os
Commencer à prendre de l'indépendance mais voir toujours sa mère qui bien que un peu saoulante parfois, est toujours là pour te protéger, presque comme une entité mystique alors que maintenant tu la vois comment un être humain "ordinaire"
l'op t'as juste l'impression de perdre ton temps et de ne pas vivre, comme la plupart des gens
ils se cachent derrière des mots (qu'ils ne savent pas utiliser) comme : maturité, lucidité, responsabilité
au fond ça n'a rien à voir, je peux peut-être t'aider
ils se cachent derrière des mots (qu'ils ne savent pas utiliser) comme : maturité, lucidité, responsabilité
au fond ça n'a rien à voir, je peux peut-être t'aider
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 ans
certainement une distance et non une déconnexion, peut-être que sur le moment tu ressens peu d'émotions et tu es plutôt dans ta tête
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 ans
tu devrais te méfier de l'auto critique psychiatrique...
tu as juste l'air d'avoir une maladie mentale qui te déconnecte de la réalité et un environnement pourri
tu as juste l'air d'avoir une maladie mentale qui te déconnecte de la réalité et un environnement pourri
Oui, je connais la rengaine :
"Tu as un problème"
"Laisse moi t'expliquer ton problème"
"Tu ne sais pas qui tu es"
"Tu ne sais pas ce que tu veux"
"Je te connais mieux que toi-même"
"Je t'ai fait du mal pour ton bien"
"Heureusement que j'ai été un boulet pour toi, tu aurais été trop loin"
"Qui tu es, pose problème"
Assurément, je ne vais pas me fier à ma propre opinion
Ce serait bien trop dangereux, après tout je suis faible, plein d'illusions sur moi-même, et fou
je préfère qu'on m'explique qui je suis et ce dont j'ai besoin, pas grand chose d'ailleurs
Bref, on m'a déjà fait le coup tu sais
Nonobstant, je ne nie pas que j'ai une maladie mentale. Il faudrait être soit une borne, une tête de pioche à QI d'huître impénétrable, soit un pur démon de machiavélisme inné, pour se sortir indemne d'avoir grandi avec des gens qui inversent tout en permanence.
"Tu as un problème"
"Laisse moi t'expliquer ton problème"
"Tu ne sais pas qui tu es"
"Tu ne sais pas ce que tu veux"
"Je te connais mieux que toi-même"
"Je t'ai fait du mal pour ton bien"
"Heureusement que j'ai été un boulet pour toi, tu aurais été trop loin"
"Qui tu es, pose problème"
Assurément, je ne vais pas me fier à ma propre opinion



Bref, on m'a déjà fait le coup tu sais

Nonobstant, je ne nie pas que j'ai une maladie mentale. Il faudrait être soit une borne, une tête de pioche à QI d'huître impénétrable, soit un pur démon de machiavélisme inné, pour se sortir indemne d'avoir grandi avec des gens qui inversent tout en permanence.
Je suis Seugondaire.
il y a 2 ans
Chirac est peut-être toujours parmi nous, mais l'idée de Chirac nous a quittés.
il y a 2 ans