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Ta réaction a la peur n'est pas dû un choix mais à un instinct

Regarde ce doc ça peut te faire réfléchir :

Tu comprendras que le "qui ne dis mots consent" est faux comme je te l'ai déjà démontrer en parlant de la psychée d'une personne victime d'agression sexuelle
Le viol ne dure pas 5secondes hein

Le moment du stupéfaction provoqué par la peur laisse place à la raison au bout de quelques secondes
Donc il y a bien choix

Qui ne dit mot consent c'est le cas

Parce que c'est beaucoup plus simple de dire oui que de dire non,
C'est d'ailleurs traité aussi bien en philo qu'en psycho/socio
:zizou:
il y a 2 ans
Le viol ne dure pas 5secondes hein

Le moment du stupéfaction provoqué par la peur laisse place à la raison au bout de quelques secondes
Donc il y a bien choix

Qui ne dit mot consent c'est le cas

Parce que c'est beaucoup plus simple de dire oui que de dire non,
C'est d'ailleurs traité aussi bien en philo qu'en psycho/socio
L'état de sidération ne dure pas 5 secondes mais dure dans le temps à cause de la biochimie du cerveau qui est bousculé de façon brutal par le stress
"1) Courage fuyons !

Face à une agression, le cerveau nous prépare à survivre en produisant lui-même du stress (grâce à l’adrénaline et au cortisol, par exemple). Tout notre corps est tonique, nos muscles sont contractés, notre coeur bat vite, notre souffle s’accélère, notre attention est au maximum. Nous sommes sur le qui-vive, comme un animal qui se retrouverait soudain face à un prédateur. Cet état de stress nous prépare à réagir physiquement : en général, à se défendre ou à fuir.

2) La saturation entraîne l’immobilisation

Notre cerveau évalue automatiquement la situation. Mais s’il est saturé de stress, il arrive qu’il décide lui-même que nos meilleures chances de survies sont de ne pas bouger du tout. Dans ce cas, le cerveau prend les mesures qui s’imposent, et au lieu de nous doper à l’adrénaline, il va produire de quoi nous anesthésier.

Notre organisme est programmé pour toujours préserver sa survie, et paradoxalement, ça peut créer un état de sidération. La surcharge émotionnelle crée la même réaction qu’un fusible qui saute dans un circuit électrique. Lorsqu’un fusible saute, c’est pour éviter la destruction du circuit, et le circuit se coupe.

Le cerveau relâche ce qu’on appelle des neurotransmetteurs, mais qui, cette fois, vont avoir l’effet inverse de l’adrénaline. Le but est de ralentir brutalement et intensément tout l’organisme. Par exemple les endorphines qui sont quasiment comme la morphine, ou encore la kétamine (qui provoque une dissociation). Eh oui, cette même morphine qui sert à anesthésier les patients souffrants de graves douleurs à l’hôpital.

3) Etat de sidération

La personne victime est alors « shootée » par son propre organisme : elle ne ressent plus rien, se sent déconnectée, dans une anesthésie physique et psychique, comme si son corps et son cerveau étaient provisoirement éteints. C’est ce moment que des personnes peuvent par la suite décrire ainsi : « Je ne me suis pas laissée faire, c’est mon corps qui n’était pas en mesure de réagir ».

La victime peut aussi vivre ce qu’on appelle un état de « dissociation » et avoir l’impression de contempler la scène de l’extérieur, comme un spectateur ou une spectatrice, comme si ce n’était pas lui/elle qui était en train de la vivre. Cet état de dissociation s’explique en partie par les substances sécrétées par le cerveau dont on parlait plus haut.

En raison de toutes les réactions chimiques, le cerveau ne peut plus traiter les informations comme il le fait habituellement, et notamment faire son travail de gestion de la mémoire. Par exemple, il arrive que le souvenir de l’événement soit stocké dans une partie du cerveau qui n’est pas accessible en permanence consciemment, à l’inverse des souvenirs de tous les jours. La scène est alors quasiment oubliée, mais peut revenir de manière soudaine, comme des flashs. Ces flashs peuvent être provoqués par une odeur, un bruit, un lieu,…"
il y a 2 ans
L'état de sidération ne dure pas 5 secondes mais dure dans le temps à cause de la biochimie du cerveau qui est bousculé de façon brutal par le stress
"1) Courage fuyons !

Face à une agression, le cerveau nous prépare à survivre en produisant lui-même du stress (grâce à l’adrénaline et au cortisol, par exemple). Tout notre corps est tonique, nos muscles sont contractés, notre coeur bat vite, notre souffle s’accélère, notre attention est au maximum. Nous sommes sur le qui-vive, comme un animal qui se retrouverait soudain face à un prédateur. Cet état de stress nous prépare à réagir physiquement : en général, à se défendre ou à fuir.

2) La saturation entraîne l’immobilisation

Notre cerveau évalue automatiquement la situation. Mais s’il est saturé de stress, il arrive qu’il décide lui-même que nos meilleures chances de survies sont de ne pas bouger du tout. Dans ce cas, le cerveau prend les mesures qui s’imposent, et au lieu de nous doper à l’adrénaline, il va produire de quoi nous anesthésier.

Notre organisme est programmé pour toujours préserver sa survie, et paradoxalement, ça peut créer un état de sidération. La surcharge émotionnelle crée la même réaction qu’un fusible qui saute dans un circuit électrique. Lorsqu’un fusible saute, c’est pour éviter la destruction du circuit, et le circuit se coupe.

Le cerveau relâche ce qu’on appelle des neurotransmetteurs, mais qui, cette fois, vont avoir l’effet inverse de l’adrénaline. Le but est de ralentir brutalement et intensément tout l’organisme. Par exemple les endorphines qui sont quasiment comme la morphine, ou encore la kétamine (qui provoque une dissociation). Eh oui, cette même morphine qui sert à anesthésier les patients souffrants de graves douleurs à l’hôpital.

3) Etat de sidération

La personne victime est alors « shootée » par son propre organisme : elle ne ressent plus rien, se sent déconnectée, dans une anesthésie physique et psychique, comme si son corps et son cerveau étaient provisoirement éteints. C’est ce moment que des personnes peuvent par la suite décrire ainsi : « Je ne me suis pas laissée faire, c’est mon corps qui n’était pas en mesure de réagir ».

La victime peut aussi vivre ce qu’on appelle un état de « dissociation » et avoir l’impression de contempler la scène de l’extérieur, comme un spectateur ou une spectatrice, comme si ce n’était pas lui/elle qui était en train de la vivre. Cet état de dissociation s’explique en partie par les substances sécrétées par le cerveau dont on parlait plus haut.

En raison de toutes les réactions chimiques, le cerveau ne peut plus traiter les informations comme il le fait habituellement, et notamment faire son travail de gestion de la mémoire. Par exemple, il arrive que le souvenir de l’événement soit stocké dans une partie du cerveau qui n’est pas accessible en permanence consciemment, à l’inverse des souvenirs de tous les jours. La scène est alors quasiment oubliée, mais peut revenir de manière soudaine, comme des flashs. Ces flashs peuvent être provoqués par une odeur, un bruit, un lieu,…"
Chatgpeted
:zizou:
il y a 2 ans
Chatgpeted
www.filsantejeunes.com https://www.filsantejeune[...]ideration-psychique-20843 juste copié collé d'un site vu que tu as la flemme de lire ou te regarder quoi que ce soit (mais surtout quand ça va pas dans ton sens) je m'attendais pas à ce que tu cliques sur un lien
il y a 2 ans
www.filsantejeunes.com https://www.filsantejeune[...]ideration-psychique-20843 juste copié collé d'un site vu que tu as la flemme de lire ou te regarder quoi que ce soit (mais surtout quand ça va pas dans ton sens) je m'attendais pas à ce que tu cliques sur un lien
Grosse source l'article
Pas du tout adapté à la doxa en plus
:cigare_sourire:
:zizou:
il y a 2 ans
Grosse source l'article
Pas du tout adapté à la doxa en plus
:cigare_sourire:
C'est la doxa qui veut que tu arrêtes de violer des femmes pour avancer leur agenda juif
:risitas_ahi:
il y a 2 ans
C'est la doxa qui veut que tu arrêtes de violer des femmes pour avancer leur agenda juif
:risitas_ahi:
Rien compris
:Zidahi:


Encore un énième pantin qui refuse la réflexion
:cigare_sourire:
:zizou:
il y a 2 ans