Ce sujet a été résolu
Cette musique qui fleure bon la mycose vaginale et la cystite post-coitale
"J'ai la fouuune qui graaaatte !
Ca me gratte la foune gratte la foune"
Je suis le donut du forum
il y a 2 ans
Litaire
2 ans
Cette musique qui fleure bon la mycose vaginale et la cystite post-coitale
"J'ai la fouuune qui graaaatte !
Ca me gratte la foune gratte la foune"
il y a 2 ans
il y a 2 ans
Je commence vraiment à croire qu'il est payé pour poster les trucs les plus over the top possibles
il y a 2 ans
Je commence vraiment à croire qu'il est payé pour poster les trucs les plus over the top possibles
oui il est complètement crazy le bro, je pense que c’est un secret agent en sah
On it again
il y a 2 ans
Ah ouais chaud, j'essaierai de le trouver d'occasion du coup

C la bible des incels

il y a 2 ans
Je me rappelle quand j'avais mon fake face app meuf lebienne J'avais mis ça en chanson préférée ... Ces golems me disaient
"Oh trop bien cette chanson tu préfères Dua ou Angèle ?"
"Oh je peux pas choisir les deux sont tellement cuuute ❤️"
"J'suis d'accord ha ha"
J'en pouvais plus sérieux tu fais un truc ultra cliché et ça fait pas tiquer plus chaud tous les couples qui proposent des plans a 3 la meuf du coupe qui essaie de te mettre en confiance, faire la "meuf prude" qui est curieuse pour que l'autre envoie des pavés pour convaincre
Je suis le donut du forum
il y a 2 ans
C la bible des incels

Les femmes n’ont ni le sentiment, ni l’intelligence de la musique, pas plus que de la poésie ou des arts plastiques ; ce n’est chez elles que pure singerie, pur prétexte, pure affectation exploitée par leur désir de plaire. Elles sont incapables de prendre une part désintéressée à quoi que ce soit, en voici la raison. L’homme s’efforce en toute chose de dominer directement soit par l’intelligence, soit par la force ; la femme, au contraire, est toujours et partout réduite à une domination absolument indirecte, c’est-à-dire qu’elle n’a de pouvoir que par l’homme, et c’est en lui seul qu’elle exerce une influence immédiate. En conséquence, la nature porte les femmes à chercher en toutes choses un moyen de conquérir l’homme, et l’intérêt qu’elles semblent prendre aux choses extérieures est toujours une feinte, un détour, c’est-à-dire pure coquetterie et pure singerie. Rousseau l’a dit : « Les femmes en général n’aiment aucun art, ne se connaissent à aucun et n’ont aucun génie. » Ceux qui ne s’arrêtent pas aux apparences ont pu le remarquer déjà. Il suffit d’observer par exemple ce qui occupe et attire leur attention dans un concert, à l’opéra ou à la comédie, de remarquer le sans-façon avec lequel, aux plus beaux endroits des plus grands chefs-d’œuvre, elles continuent leur caquetage. S’il est vrai que les Grecs n’aient pas admis les femmes au spectacle, ils ont eu bien raison ; dans leurs théâtres l’on pouvait du moins entendre quelque chose. De notre temps, il serait bon d’ajouter au mulier taceat in ecclesia, un taceat mulier in theatro, ou bien de substituer un précepte à l’autre, et de suspendre ce dernier en gros caractères sur le rideau de la scène.
Mais que peut-on attendre de mieux de la part des femmes, si l’on réfléchit que dans le monde entier, ce sexe n’a pu produire un seul esprit véritablement grand, ni une œuvre complète originale dans les beaux-arts, ni en quoi que ce soit un seul ouvrage d’une valeur durable. Cela est saisissant dans la peinture ; elles sont pourtant aussi capables que nous d’en saisir le côté technique et elles cultivent assidûment cet art, sans pouvoir se faire gloire d’un seul chef-d’œuvre, parce qu’il leur manque justement cette objectivité de l’esprit qui est surtout nécessaire dans la peinture ; elles ne peuvent sortir d’elles-mêmes. Aussi les femmes ordinaires ne sont même pas capables d’en sentir les beautés, car natura non facit saltus. Huarte, dans son célèbre livre Examen de ingenios para las sciencias qui date de 200 ans, refuse aux femmes toute capacité supérieure : « Le cerveau féminin est ainsi fait que la femme n’est capable ni de beaucoup d’esprit ni de grande sagesse. » De même au chapitre 15 : « Dans la mesure où la femme est ce qu’elle est, chaque genre de littérature et de science est contraire à son esprit… Les femmes donc, à cause de la froideur et de l’humidité de leur sexe, ne peuvent atteindre à aucune profondeur d’esprit. Nous voyons maintenant qu’elles parlent avec adresse de choses insignifiantes et futiles.
J'avais trouvé ça sur le forum, c'est de lui ?
Mais que peut-on attendre de mieux de la part des femmes, si l’on réfléchit que dans le monde entier, ce sexe n’a pu produire un seul esprit véritablement grand, ni une œuvre complète originale dans les beaux-arts, ni en quoi que ce soit un seul ouvrage d’une valeur durable. Cela est saisissant dans la peinture ; elles sont pourtant aussi capables que nous d’en saisir le côté technique et elles cultivent assidûment cet art, sans pouvoir se faire gloire d’un seul chef-d’œuvre, parce qu’il leur manque justement cette objectivité de l’esprit qui est surtout nécessaire dans la peinture ; elles ne peuvent sortir d’elles-mêmes. Aussi les femmes ordinaires ne sont même pas capables d’en sentir les beautés, car natura non facit saltus. Huarte, dans son célèbre livre Examen de ingenios para las sciencias qui date de 200 ans, refuse aux femmes toute capacité supérieure : « Le cerveau féminin est ainsi fait que la femme n’est capable ni de beaucoup d’esprit ni de grande sagesse. » De même au chapitre 15 : « Dans la mesure où la femme est ce qu’elle est, chaque genre de littérature et de science est contraire à son esprit… Les femmes donc, à cause de la froideur et de l’humidité de leur sexe, ne peuvent atteindre à aucune profondeur d’esprit. Nous voyons maintenant qu’elles parlent avec adresse de choses insignifiantes et futiles.
J'avais trouvé ça sur le forum, c'est de lui ?

il y a 2 ans
Les femmes n’ont ni le sentiment, ni l’intelligence de la musique, pas plus que de la poésie ou des arts plastiques ; ce n’est chez elles que pure singerie, pur prétexte, pure affectation exploitée par leur désir de plaire. Elles sont incapables de prendre une part désintéressée à quoi que ce soit, en voici la raison. L’homme s’efforce en toute chose de dominer directement soit par l’intelligence, soit par la force ; la femme, au contraire, est toujours et partout réduite à une domination absolument indirecte, c’est-à-dire qu’elle n’a de pouvoir que par l’homme, et c’est en lui seul qu’elle exerce une influence immédiate. En conséquence, la nature porte les femmes à chercher en toutes choses un moyen de conquérir l’homme, et l’intérêt qu’elles semblent prendre aux choses extérieures est toujours une feinte, un détour, c’est-à-dire pure coquetterie et pure singerie. Rousseau l’a dit : « Les femmes en général n’aiment aucun art, ne se connaissent à aucun et n’ont aucun génie. » Ceux qui ne s’arrêtent pas aux apparences ont pu le remarquer déjà. Il suffit d’observer par exemple ce qui occupe et attire leur attention dans un concert, à l’opéra ou à la comédie, de remarquer le sans-façon avec lequel, aux plus beaux endroits des plus grands chefs-d’œuvre, elles continuent leur caquetage. S’il est vrai que les Grecs n’aient pas admis les femmes au spectacle, ils ont eu bien raison ; dans leurs théâtres l’on pouvait du moins entendre quelque chose. De notre temps, il serait bon d’ajouter au mulier taceat in ecclesia, un taceat mulier in theatro, ou bien de substituer un précepte à l’autre, et de suspendre ce dernier en gros caractères sur le rideau de la scène.
Mais que peut-on attendre de mieux de la part des femmes, si l’on réfléchit que dans le monde entier, ce sexe n’a pu produire un seul esprit véritablement grand, ni une œuvre complète originale dans les beaux-arts, ni en quoi que ce soit un seul ouvrage d’une valeur durable. Cela est saisissant dans la peinture ; elles sont pourtant aussi capables que nous d’en saisir le côté technique et elles cultivent assidûment cet art, sans pouvoir se faire gloire d’un seul chef-d’œuvre, parce qu’il leur manque justement cette objectivité de l’esprit qui est surtout nécessaire dans la peinture ; elles ne peuvent sortir d’elles-mêmes. Aussi les femmes ordinaires ne sont même pas capables d’en sentir les beautés, car natura non facit saltus. Huarte, dans son célèbre livre Examen de ingenios para las sciencias qui date de 200 ans, refuse aux femmes toute capacité supérieure : « Le cerveau féminin est ainsi fait que la femme n’est capable ni de beaucoup d’esprit ni de grande sagesse. » De même au chapitre 15 : « Dans la mesure où la femme est ce qu’elle est, chaque genre de littérature et de science est contraire à son esprit… Les femmes donc, à cause de la froideur et de l’humidité de leur sexe, ne peuvent atteindre à aucune profondeur d’esprit. Nous voyons maintenant qu’elles parlent avec adresse de choses insignifiantes et futiles.
J'avais trouvé ça sur le forum, c'est de lui ?
Mais que peut-on attendre de mieux de la part des femmes, si l’on réfléchit que dans le monde entier, ce sexe n’a pu produire un seul esprit véritablement grand, ni une œuvre complète originale dans les beaux-arts, ni en quoi que ce soit un seul ouvrage d’une valeur durable. Cela est saisissant dans la peinture ; elles sont pourtant aussi capables que nous d’en saisir le côté technique et elles cultivent assidûment cet art, sans pouvoir se faire gloire d’un seul chef-d’œuvre, parce qu’il leur manque justement cette objectivité de l’esprit qui est surtout nécessaire dans la peinture ; elles ne peuvent sortir d’elles-mêmes. Aussi les femmes ordinaires ne sont même pas capables d’en sentir les beautés, car natura non facit saltus. Huarte, dans son célèbre livre Examen de ingenios para las sciencias qui date de 200 ans, refuse aux femmes toute capacité supérieure : « Le cerveau féminin est ainsi fait que la femme n’est capable ni de beaucoup d’esprit ni de grande sagesse. » De même au chapitre 15 : « Dans la mesure où la femme est ce qu’elle est, chaque genre de littérature et de science est contraire à son esprit… Les femmes donc, à cause de la froideur et de l’humidité de leur sexe, ne peuvent atteindre à aucune profondeur d’esprit. Nous voyons maintenant qu’elles parlent avec adresse de choses insignifiantes et futiles.
J'avais trouvé ça sur le forum, c'est de lui ?

Tu connais le pavé avec toutes les citations misogynes des philosophes?
il y a 2 ans