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Zuz_moi
Zuz_moi
2 ans
:cafe:
j'ai tout lu et compté les points

Les anti-communisme écrivent soit des pavés argumentés montrant une bonne maitrise du communisme et de l'histoire, soit des trolls éventés.

Les pro communisme (l'op le premier) font des réponses dogmatique mono-phrase sans argument

Les anti-communisme gagnent
:Mouais_Jesus:



On m'explique pourquoi les communistes ne maitrisent par leur sujet ?
:risitos:
Le pavé n’est pas un argument.
Quand ton pavé est rédigé pour démontrer un truc aussi vide et con-con que "Gneu gneu la nature humaine", cela ne mérite même pas un réponse argumentée.
il y a 2 ans
Genre le trotskisme ?
:Vald_voila:
Il y a des bonnes idées dedans, sauf la guerre à tout le monde
GIF
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il y a 2 ans
Le fachiste dreal fonctionne mieux que le communisme qui a raté partout où il a été appliqué
:naturlichemain:
( URSS/Vietnam /Corée du nord / cuba/chine qui d’ailleurs n’est même plus un vrai système coco mais plutôt un état fachiste avec des marché et une économie ouverte sur l’extérieur)
:topproduit:
il y a 2 ans
Le fachiste dreal fonctionne mieux que le communisme qui a raté partout où il a été appliqué
:naturlichemain:
( URSS/Vietnam /Corée du nord / cuba/chine qui d’ailleurs n’est même plus un vrai système coco mais plutôt un état fachiste avec des marché et une économie ouverte sur l’extérieur)
:topproduit:
La Corée du Nord, un État Fasciste?
:naturlichemain:


Et on me demande d’écrire des pavés!
:rire:


Tu sais même pas écrire "Fasciste" bordel!
:risitas_ahi:
il y a 2 ans
Le pavé n’est pas un argument.
Quand ton pavé est rédigé pour démontrer un truc aussi vide et con-con que "Gneu gneu la nature humaine", cela ne mérite même pas un réponse argumentée.
Navré de t'annoncer ça, mais ton pavé au dessus n'est pas argumentaire.

Tu lie une description à un homme de paille ce qui traduit ton incompréhension du camp adverse, et probablement une certaine haine.

:cafe:
il y a 2 ans
Bah le travail obligatoire dans un monde sain, ca n'existe pas
:Daenerys_fatigue:


Pareille pour centrer l'éducation des enfants autour des machines qu'on va les condamner à utiliser sur la ligne de production une fois adultes, c'est totalement dystopique

"papa c'est quoi caaa ?"
:cat_sad:


"c'est un manuel pour t'apprendre à bien gérer le transpalette quand tu seras grand"
:sodium_reup:
C'est juste le programme des libéraux actuels...

Sauf que le mots d'ordre c'est : "Soit rentable"
:sylvain_durif:
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il y a 2 ans
Zuz_moi
Zuz_moi
2 ans
Navré de t'annoncer ça, mais ton pavé au dessus n'est pas argumentaire.

Tu lie une description à un homme de paille ce qui traduit ton incompréhension du camp adverse, et probablement une certaine haine.

:cafe:
Non, je remets l’argument libéral dans sa conclusion logique. C’est ce qu’on appelle amener un raisonnement jusqu’au bout pour pouvoir le déconstruire.
Maintenant, explique moi comment l’égoïsme est inhérent à la nature humaine, et pourquoi la conclusion logique de cette thèse ne serait-elle pas que le meurtre est inhérent à la nature humaine.
:(
il y a 2 ans
Sa marche que quand tout le monde est communiste
:risi_celestin:
il y a 2 ans
Ayant déjà démonté l’Holodomor et le délire chinois sur Avenoel et Onche, je vais juste résumer les causes de la famine en Corée en une phrase : embargo, sanctions, et inondations.

Il faut également préciser que la Corée s’est relevée économiquement, contrairement à ce que les Occidentaux prétendent : apjjf.org https://apjjf.org/2014/12[...]i-Feron/4113/article.html


Quant au Cambodge, vu que tu es pollué par des thèses raciste, je te conseille d’abord de lire "Cambodia 1975-1982" de l’historien anti-communiste Michael Vickery avant de pouvoir discuter davantage : michaelvickery.org/vickery1984cambodia.pdf

Je ne peux pas discuter avec quelqu’un n’ayant aucune bases logiques.
il y a 2 ans
Ayant déjà démonté l’Holodomor et le délire chinois sur Avenoel et Onche, je vais juste résumer les causes de la famine en Corée en une phrase : embargo, sanctions, et inondations.

Il faut également préciser que la Corée s’est relevée économiquement, contrairement à ce que les Occidentaux prétendent : apjjf.org https://apjjf.org/2014/12[...]i-Feron/4113/article.html


Quant au Cambodge, vu que tu es pollué par des thèses raciste, je te conseille d’abord de lire "Cambodia 1975-1982" de l’historien anti-communiste Michael Vickery avant de pouvoir discuter davantage : michaelvickery.org/vickery1984cambodia.pdf

Je ne peux pas discuter avec quelqu’un n’ayant aucune bases logiques.
Si un embargo suffit à causer des millions de morts il y a un problème + tu préfères croire la propagande nord-coréenne plutôt que les méchants "occidentaux" + j'aimerais bien voir ce DÉBOUNKAGE de la famine en Chine attardin
:Chris_Hunt:
il y a 2 ans
Si un embargo suffit à causer des millions de morts il y a un problème + tu préfères croire la propagande nord-coréenne plutôt que les méchants "occidentaux" + j'aimerais bien voir ce DÉBOUNKAGE de la famine en Chine attardin
:Chris_Hunt:
Henri Feron, économiste libéral Anglais habitant en Chine, El Famoso propagandiste Nord-Coréen.
:rire:


Tu es un idiot et un dégénéré et ne mérites ni respect ni attention.
il y a 2 ans
Non, je remets l’argument libéral dans sa conclusion logique. C’est ce qu’on appelle amener un raisonnement jusqu’au bout pour pouvoir le déconstruire.
Maintenant, explique moi comment l’égoïsme est inhérent à la nature humaine, et pourquoi la conclusion logique de cette thèse ne serait-elle pas que le meurtre est inhérent à la nature humaine.
:(
La valorisation du terme d’ « égoïsme », qui incarne par excellence ce que la morale chrétienne condamne, permet évidemment de faire apparaître ce renversement de perspective dans toute sa radicalité. Il articule surtout trois dimensions essentielles, entremêlées dans le texte, du mode d’existence mis en avant par Nietzsche :
Le choix du souci de soi face au désintéressement, de l’affirmation de soi face à l’autodestruction, enfin de l’affirmation de la réalité dans son ensemble (à commencer par celle du corps) face aux fantasmes du « pur esprit ».
Mais à l'inverse l'altruisme ne dit pas que tous les désirs ultimes sont dirigés vers autrui.

"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."

Ainsi on peut arguer que le souci et l'affirmation de soi tels que définis pas Nietzsche sont autant des aspirations qu'un fondement (nature) de l'homme, et que cela n'en fait pas un défaut à combattre mais un autre "piège de l'excès" à éviter.


Des bisous
:cafe:
il y a 2 ans
Henri Feron, économiste libéral Anglais habitant en Chine, El Famoso propagandiste Nord-Coréen.
:rire:


Tu es un idiot et un dégénéré et ne mérites ni respect ni attention.
Bah ferme ta gueule dans ce cas fils de pute
:selection_naturelle:

T'as vraiment crû que j'allais ouvrir tes liens ?
:selection_naturelle:
il y a 2 ans
Bah ferme ta gueule dans ce cas fils de pute
:selection_naturelle:

T'as vraiment crû que j'allais ouvrir tes liens ?
:selection_naturelle:
Non.
il y a 2 ans
Correction : re-re-re-re-re-re-re-re-re-tenter*
Bac +5, RSA mais je compte évoluer, bientôt l'AAH
:bdb:
il y a 2 ans
Ça y est ça se jette du caca dans le topic.
Vous êtes tombés dans la passion dans ce qu'elle a de plus déraisonnable.

Bande de faggot (de paille)
:Noble:
il y a 2 ans
Zuz_moi
Zuz_moi
2 ans
La valorisation du terme d’ « égoïsme », qui incarne par excellence ce que la morale chrétienne condamne, permet évidemment de faire apparaître ce renversement de perspective dans toute sa radicalité. Il articule surtout trois dimensions essentielles, entremêlées dans le texte, du mode d’existence mis en avant par Nietzsche :
Le choix du souci de soi face au désintéressement, de l’affirmation de soi face à l’autodestruction, enfin de l’affirmation de la réalité dans son ensemble (à commencer par celle du corps) face aux fantasmes du « pur esprit ».
Mais à l'inverse l'altruisme ne dit pas que tous les désirs ultimes sont dirigés vers autrui.

"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."

Ainsi on peut arguer que le souci et l'affirmation de soi tels que définis pas Nietzsche sont autant des aspirations qu'un fondement (nature) de l'homme, et que cela n'en fait pas un défaut à combattre mais un autre "piège de l'excès" à éviter.


Des bisous
:cafe:
Ce qui intéressant est de 1) user de la pensée Nietzschéenne 2) l’utiliser sans la comprendre

La pensée de Nietzsche, représentation d’une réaction petite-bourgeoise envers le capitalisme monopolistique (il y a une raison pour laquelle Nietzsche est devenu un penseur favori des natios anti-mondialisation), se base au moins sur une critique de ce système de valeurs.


« " Libre arbitre ", tel est le mot qui désigne ce complexe état d’euphorie du sujet voulant, qui commande et s’identifie à la fois avec l’exécuteur de l’action, qui goûte au plaisir de triompher des résistances, tout en estimant que c’est sa volonté qui les surmonte. À son plaisir d’individu qui ordonne, le sujet voulant ajoute ainsi les sentiments de plaisir issus des instruments d’exécution que sont les diligentes " sous-volontés " ou sous-âmes, car notre corps n’est pas autre chose qu’un édifice d’âmes multiples. L’effet, c’est moi : ce qui se produit ici ne diffère pas de ce qui se passe dans toute collectivité heureuse et bien organisée : la classe dirigeante s’identifie aux succès de la collectivité. Dans tout acte volontaire on a toujours affaire à un ordre donné et reçu, ordre qui s’adresse, nous venons de le dire, à un édifice collectif " d’âmes " multiples. C’est pourquoi un philosophe devrait s’arroger le droit de considérer le vouloir sous l’angle de la morale, — de la morale conçue comme science des rapports de domination dont procède le phénomène " vie " »
:Nietzsche:


Remarquez la référence explicite à la "classe dirigeante", tirée de la dialectique maître-esclave de Hegel qui relie Nietzsche à Marx et Gramsci (malgré le dégoût de Gramsci pour Nietzsche qui était pour des raisons politiques).

Si on enlève ce point fondamental de la pensée de Nietzsche, il ne devient qu’un débile qui râle sur les femmes et les religions dérivées du Judaïsme sans avoir les couilles de dénoncer les Juifs.
Cela me rappelle quelqu’un….
:Zemmour_lol:



Dans ton cas, tu oublies le caractère de la pensée Nietzschéenne, qui explique clairement que la notion de collectivité imposée par la classe dirigeante amène à un égoïsme voilé, à une manière d’intérioriser sa volonté de domination des autres, ce qui te force à prendre la situation à l’inverse de Nietzsche, à ne pas comprendre le caractère exutoire de la casuistique égoïste, éloignant l’homme de sa volonté de puissance, et étant l’apanage des faibles :

En dressant l’inventaire des idéaux chrétiens, Nietzsche pense sans doute d’abord à l’idéal chrétien de « sainteté », érigé en modèle de vie supérieure. « L’âme » est alors la belle âme de l’homme prétendument vertueux, qui se retire du monde (la « vertu » de l’ascète) ou met en pratique la pitié et l’amour du prochain (deux cas de négation schopenhauérienne du vouloir-vivre). Le saint est celui qui parvient à se détacher le plus possible du « péché », donc du moi et du monde sensible, ce qu’il peut faire par deux moyens : la mort à ce monde (l’ascèse) ou la mort physique (le destin du martyre) - permettant l’élévation vers « l’au-delà ». La « vie éternelle » dans « l’au-delà », valorisation de la mort elle-même, est l’objectif visé par ce modèle d’existence. Que traduit, pour sa part, l’idéal de « vérité » ? Celui qui s’érige en sage ou en gardien de la « vérité » - qu’elle soit celle de la révélation, ou celle du logos philosophique - est lui-même assimilé par Nietzsche à une sorte d’ascète ou de saint détaché du sensible : l’érudit est un décadent, un « cul de plomb » qui se perd dans ses lectures. Il est l’antithèse de l’égoïste avisé décrit par Ecce Homo (le bon lecteur doit savoir sélectionner, se délasser...). Au-delà du strict champ religieux, Nietzsche estime que tous les modes d’existence valorisés par la culture européenne s’approchent du modèle de la sainteté. Dans cette hiérarchie des valeurs, l’existence la plus « divine » est celle qui est le moins possible touchée par le « péché29», et la « grandeur de la nature humaine » est ce qui en elle se rapproche le plus du « divin » donc de la non-vie.

Ces valeurs sont présentées par Nietzsche comme la traduction directe de l’état physiologique de décadence de leurs créateurs. Mais comment l’humanité a-t-elle pu ainsi sanctifier la non-vie ? Comment expliquer que de « purs et simples non-hommes » aient été « honorés jusqu’à présent comme les premiers », les « grands hommes » ? On pourrait y voir le résultat d’une décadence de l’humanité dans son ensemble. Il est vrai que, pour Nietzsche, l’homme est essentiellement un animal qui souffre, toujours guetté par la faiblesse. Mais il décrit aussi les « premiers » comme le « rebut de l’humanité » (« je ne les compte même pas au nombre des hommes »). Plus que d’une décadence d’ensemble, irrémédiable, l’état de la culture européenne est le fait d’une « espèce parasite d’hommes, celle du prêtre qui, avec la morale, s’est érigée à la force du mensonge en arbitre de ses valeurs, - qui a deviné dans la morale chrétienne son moyen de puissance » : « les maîtres, les guides de l’humanité, tous des théologiens, ont tous été aussi des décadents30». Les « premiers » - qu’ils se posent en modèle ou usent de l’exemple d’autres « grands hommes » - ont vu dans la morale un instrument de puissance et de vengeance. Ici, le décadent n’est plus seulement l’être aux affects désagrégés qui s’auto-détruit par le refoulement tout en trouvant la satisfaction de sa volonté de puissance dans la fiction morale. Il est aussi celui qui utilise la morale à des fins de puissance - car c’est là le moyen de puissance propre aux « créatures avortées » - avec l’intention plus ou moins « cachée de se venger de la vie31 ». Il étend son emprise sur l’humanité en prétendant être un « premier » et incarner le « divin » dans l’homme. Cet aspect particulier du décadent, non seulement autodestructeur, mais « nuisible » pour ses semblables, caractérise tout particulièrement le « prêtre », le « sage » ou le « philosophe » (qualifié de « prêtre occulte32»). Celui-ci trouve dans l’oubli de soi de la morale non seulement un exutoire à sa propre faiblesse, mais un moyen de satisfaire sa volonté de puissance en exploitant la faiblesse des autres. Il s’applique à rendre l’humanité malade, à perpétuer la décadence33

(…)


Si l’idiosyncrasie de « natures malades » a engendré la morale et l’ensemble de la culture européenne, Nietzsche peut établir les fondements d’une culture nouvelle en mettant en avant son idiosyncrasie propre - habitudes, mode de vie et autres « choses insignifiantes ». « Si je me compare avec les hommes que l’on a honorés jusqu’à présent comme les premiers, la différence saute aux yeux » : Nietzsche se décrit comme un véritable modèle de noblesse, de générosité, de virtu, de belle humeur (Heiterkeit) et d’affirmation. Mais lorsqu’il oppose son propre exemple aux « natures malades », il ne nie pas pour autant une certaine persistance de la maladie. La permanence d’un fond de souffrance irréductible - autre héritage schopenhauérien de la vision de la vie de Nietzsche - fait partie du caractère tragique de l’existence. Loin d’être un refus, un refoulement ou une « extirpation » du tragique, la « belle humeur » est une affirmation dans la tragédie, d’autant plus difficile à réaliser que la souffrance expose sans cesse l’individu à la tentation de remèdes décadents - c’est-à-dire des réponses elles-mêmes malades qui tendent à perpétuer la maladie au lieu de la soigner. Ainsi, l’opposition entre deux modes d’existence n’est pas une opposition entre un type malade qui souffrirait de la vie et un type « sain » qui ne connaîtrait pas la souffrance ou tenterait de l’ignorer et de s’en abstraire. Au contraire, la cure nietzschéenne cherche à surmonter la maladie en l’incluant et non en l’escamotant. C’est là très précisément ce que Nietzsche, dans Le Gai Savoir, nomme la « grande santé42», à laquelle le Thomas Mann de la Montagne Magique se réfère lorsqu’il évoque un passage nécessaire par la maladi

Copier-coller issu de ta propre source : sens-public.org/articles/295/
il y a 2 ans
J’adore cet argument car il démontre que les libéraux sont soit 1) des dégénérés complets ne comprenant absolument rien à la biologie de base soit 2) des psychopathes.

N’importe quelle personne avec un cerveau en état de marche admet qu’elle serait prête à aider son groupe/sa société (les capitalistes aussi aident leur groupe/leur société). Essentiellement, le libéral admet par sa propre incompétence intellectuelle que si le meurtre n’était pas illégal, il tuerait et massacrerait des gens par dizaines !

En résumé, l’irrationalité libérale dit plus sur la psychologie des libéraux que sur le communisme.
Lourde argumentation khey, avec des insultes sans fondement et des hommes de paille, on va aller loin.

Vouloir aider son groupe n'est pas incompatible avec le fait de vouloir être au-dessus des autres. Ensuite ce n'est pas parce que tu veux être au-dessus des autres que tu es un libéral.

Aussi tu connais la testostérone ? Cet hormone ne pousse pas les hommes à se surpasser et dépasser les autres? Mais c'est moi qui ne connais rien à la biologie évidemment.

Trouves-moi de meilleurs arguments
ad caseum muliebrem Image
il y a 2 ans
Déjà tenté en URSS : ça a fini en dictature de vieux séniles débiles qui ont ruinés le potentiel d'une putain de superpuissance en même pas cent ans. Donc non merci
il y a 2 ans