Ce sujet a été résolu
Les généralités sont stupides par définition oui
Les choses les plus stupides sont aussi les plus fiables car elles ne changent pas d'avis.
il y a 2 ans
Il y a évidemment des racistes dans la police, mais ils sont limités dans le cadre de leur fonction et ce sont des bons toutous obéissants donc ne vous attendez pas à voir des bavures à tous les coins de rue, au pire ils font de petites mesquineries dignes de leur poste
Les histoires où un groupe de flics parlent de tonton Adolf dans leur camionnette pendant qu'ils ramènent un bicot au poste ça existe, après ils font ça quand ils sont entre potes qui ont tous les mêmes idées, ils ne vont pas se le permettre devant les hauts gradés ou d'autres confrères
Les histoires où un groupe de flics parlent de tonton Adolf dans leur camionnette pendant qu'ils ramènent un bicot au poste ça existe, après ils font ça quand ils sont entre potes qui ont tous les mêmes idées, ils ne vont pas se le permettre devant les hauts gradés ou d'autres confrères
il y a 2 ans
Sondage très sérieux
Je comprends ce que tu dis mais penses-tu que ton argument soit suffisamment fort pour faire changer des avis qui le pense ?
Je comprends ce que tu dis mais penses-tu que ton argument soit suffisamment fort pour faire changer des avis qui le pense ?
Bah je m'en moque des simples d'esprit
grief désespoir
il y a 2 ans
Les choses les plus stupides sont aussi les plus fiables car elles ne changent pas d'avis.
Marrant pour moi le fait de changer d'avis c'est une force, c'est admettre qu'on a pu se tromper
il y a 2 ans
Marrant pour moi le fait de changer d'avis c'est une force, c'est admettre qu'on a pu se tromper
C'est un problème logique ancien, prenons le cas suivant :
1/ Il y a 1000 Martiens sur Mars.
2/ Chaque jour, ils élisent un Martien pour être celui qui doit se dévouer pour aller voler. (Comme un tour de garde la nuit)
3/ Au bout de 1000 jours, ils y sont tous passés une fois.
4/ Dire que tous les Martiens sont des voleurs est faux car seulement 0.1% d'entre eux est un voleur chaque jour de l'année.
La définition d'un généralité est complexe car dans un cas au tour par tour la généralité est fausse et vraie en même temps. Aussi connu sous le nom du jeu de "Tape la taupe"
1/ Il y a 1000 Martiens sur Mars.
2/ Chaque jour, ils élisent un Martien pour être celui qui doit se dévouer pour aller voler. (Comme un tour de garde la nuit)
3/ Au bout de 1000 jours, ils y sont tous passés une fois.
4/ Dire que tous les Martiens sont des voleurs est faux car seulement 0.1% d'entre eux est un voleur chaque jour de l'année.
La définition d'un généralité est complexe car dans un cas au tour par tour la généralité est fausse et vraie en même temps. Aussi connu sous le nom du jeu de "Tape la taupe"
il y a 2 ans
C'est un problème logique ancien, prenons le cas suivant :
1/ Il y a 1000 Martiens sur Mars.
2/ Chaque jour, ils élisent un Martien pour être celui qui doit se dévouer pour aller voler. (Comme un tour de garde la nuit)
3/ Au bout de 1000 jours, ils y sont tous passés une fois.
4/ Dire que tous les Martiens sont des voleurs est faux car seulement 0.1% d'entre eux est un voleur chaque jour de l'année.
La définition d'un généralité est complexe car dans un cas au tour par tour la généralité est fausse et vraie en même temps. Aussi connu sous le nom du jeu de "Tape la taupe"
1/ Il y a 1000 Martiens sur Mars.
2/ Chaque jour, ils élisent un Martien pour être celui qui doit se dévouer pour aller voler. (Comme un tour de garde la nuit)
3/ Au bout de 1000 jours, ils y sont tous passés une fois.
4/ Dire que tous les Martiens sont des voleurs est faux car seulement 0.1% d'entre eux est un voleur chaque jour de l'année.
La définition d'un généralité est complexe car dans un cas au tour par tour la généralité est fausse et vraie en même temps. Aussi connu sous le nom du jeu de "Tape la taupe"
Bah ce sont tous des voleurs vu qu'ils ont tous volé et voleront vraisemblablement tous a nouveau, après c'est plus la raison pour laquelle ils doivent le faire qui m'intrigue / pourrait requalifier la désignation de voleur
il y a 2 ans
Bah ce sont tous des voleurs vu qu'ils ont tous volé et voleront vraisemblablement tous a nouveau, après c'est plus la raison pour laquelle ils doivent le faire qui m'intrigue / pourrait requalifier la désignation de voleur
En disant que se sont des voleurs, on ne décrit pas la réalité mais on fait une généralité justement.
A aucun moment on peut dire ce sont tous des voleurs puisqu'on peut démontrer le contraire à chaque instant.
Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études, un vivant cesse de vivre quand il meurt, un chômeur devient un travailleur quand il trouve un job. On ne peux pas les condamner à être des voleurs permanent.
L'idée est de comprendre que la généralité comme concept prend au minimum deux formes, une momentanée (un groupe total) et une cyclique (un groupe au tour par tour (pas forcément prémédité)) et d'autres encore...
Souvent, on va te dire que les généralités sont pas bonnes pour tel ou tel contre-exemple mais ils en existent de beaucoup de types. La notion de généralité est une généralité elle même. Le problème est fractal.
A aucun moment on peut dire ce sont tous des voleurs puisqu'on peut démontrer le contraire à chaque instant.
Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études, un vivant cesse de vivre quand il meurt, un chômeur devient un travailleur quand il trouve un job. On ne peux pas les condamner à être des voleurs permanent.
L'idée est de comprendre que la généralité comme concept prend au minimum deux formes, une momentanée (un groupe total) et une cyclique (un groupe au tour par tour (pas forcément prémédité)) et d'autres encore...
Souvent, on va te dire que les généralités sont pas bonnes pour tel ou tel contre-exemple mais ils en existent de beaucoup de types. La notion de généralité est une généralité elle même. Le problème est fractal.
il y a 2 ans
En disant que se sont des voleurs, on ne décrit pas la réalité mais on fait une généralité justement.
A aucun moment on peut dire ce sont tous des voleurs puisqu'on peut démontrer le contraire à chaque instant.
Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études, un vivant cesse de vivre quand il meurt, un chômeur devient un travailleur quand il trouve un job. On ne peux pas les condamner à être des voleurs permanent.
L'idée est de comprendre que la généralité comme concept prend au minimum deux formes, une momentanée (un groupe total) et une cyclique (un groupe au tour par tour (pas forcément prémédité)) et d'autres encore...
Souvent, on va te dire que les généralités sont pas bonnes pour tel ou tel contre-exemple mais ils en existent de beaucoup de types. La notion de généralité est une généralité elle même. Le problème est fractal.
A aucun moment on peut dire ce sont tous des voleurs puisqu'on peut démontrer le contraire à chaque instant.
Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études, un vivant cesse de vivre quand il meurt, un chômeur devient un travailleur quand il trouve un job. On ne peux pas les condamner à être des voleurs permanent.
L'idée est de comprendre que la généralité comme concept prend au minimum deux formes, une momentanée (un groupe total) et une cyclique (un groupe au tour par tour (pas forcément prémédité)) et d'autres encore...
Souvent, on va te dire que les généralités sont pas bonnes pour tel ou tel contre-exemple mais ils en existent de beaucoup de types. La notion de généralité est une généralité elle même. Le problème est fractal.
Pour moi la généralité serait de dire que tous les martiens sont des voleurs alors qu'une partie ne l'est pas. Là ils le sont tous et comptent le redevenir.
Une personne malhonnête qui vole en hypermarché ne devient pas une personne honnête les autres jours qu'il y a entre ses deux courses, ça reste une personne malhonnête tant qu'elle compte voler.
La seule chose qui pourrait faire qu'ils ne seraient pas condamnable, c'est la raison qui les pousses à faire ça.
Édit : Pour reprendre ton exemple "Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études", un étudiant reste un étudiant les jours où il n'étudie pas
Une personne malhonnête qui vole en hypermarché ne devient pas une personne honnête les autres jours qu'il y a entre ses deux courses, ça reste une personne malhonnête tant qu'elle compte voler.
La seule chose qui pourrait faire qu'ils ne seraient pas condamnable, c'est la raison qui les pousses à faire ça.
Édit : Pour reprendre ton exemple "Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études", un étudiant reste un étudiant les jours où il n'étudie pas
il y a 2 ans
Pour moi la généralité serait de dire que tous les martiens sont des voleurs alors qu'une partie ne l'est pas. Là ils le sont tous et comptent le redevenir.
Une personne malhonnête qui vole en hypermarché ne devient pas une personne honnête les autres jours qu'il y a entre ses deux courses, ça reste une personne malhonnête tant qu'elle compte voler.
La seule chose qui pourrait faire qu'ils ne seraient pas condamnable, c'est la raison qui les pousses à faire ça.
Édit : Pour reprendre ton exemple "Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études", un étudiant reste un étudiant les jours où il n'étudie pas
Une personne malhonnête qui vole en hypermarché ne devient pas une personne honnête les autres jours qu'il y a entre ses deux courses, ça reste une personne malhonnête tant qu'elle compte voler.
La seule chose qui pourrait faire qu'ils ne seraient pas condamnable, c'est la raison qui les pousses à faire ça.
Édit : Pour reprendre ton exemple "Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études", un étudiant reste un étudiant les jours où il n'étudie pas
Je me demande comment je peux t'amener à ma conclusion.
J'aimerais idéalement t'amener vers une compréhension plus abstraite mais c'est difficile ave des raisonnements logiques.
J'essaye un truc :
https://dictionnaire.lero[...]com/definition/generalite
Dans la définition du dico, pour tenter de questionner ton "Pour moi la généralité" tu trouves 3 définitions dont une péjorative qui renvoie directement à "les généralités sont stupides" puis une définition "universel" et "majoritaire".
Dans la case synonyme pareil :
- totalité, ensemble
- majorité, plupart
- banalité, cliché, lieu commun, platitude, poncif
En "augmentant l'abstraction" du concept (c'est difficile à faire), le mot prend en permanence les trois définitions qui s'entrecroisent dans les conversations et dans les compréhensions d'un problème au sein d'un même individu. Quand je parle de généralité, il m'est impossible de séparer les trois sens.
C'est la raison pour laquelle je suis obligé, à l'approche d'un problème, de donner un type de généralité pour ne pas faire d'erreur dans ces raisonnements. Je n'ai pas, en tant qu'humain, le pouvoir de "cloisonner" le mot dans une des trois définitions. Le mot prend un sens comme tu le sais dans un contexte, dans une phrase etc.
Con-texte = ce qui entoure le texte, et par extension le texte qui entoure le mot (le sens péjoratif devient évident avec la phrase)
Le problème survient alors pour les problèmes complexes. L'utilisation à 2 reprises d'un même mot dans 2 phrases différentes donc entouré de mots différents peut alterner de sens car le "cloisonnement" dépend uniquement du contexte, le sens du mot est fluide est s'adapte en permanence.
Il arrive souvent que dans des études de sciences molles le mot mute de la définition 1 à 2 sans que l'auteur s'en rende compte. Pour arriver parfaitement à maîtriser l'usage du mot, il faudrait déjà comprendre le problème abstrait à la perfection ce qui n'est pas le cas au moment de l'étude.
Les biais psychologiques deviennent à ces frontières du langage tellement importants qu'ils éblouissent les sens du penseur et la perception de l'objet d'étude. L'auteur perd le contrôle des mots comme une drogue qui envahirait l'esprit et il se fait dominer par le langage lui-même.
PS: Dans le cas que j'ai donné on fait abstraction totale de la justice, du bien etc... C'est un exercice sans intention, ni de la part des acteurs ni des spectateurs. Il s'agit d'avoir comme unique variable le concept à dompter en comprenant ses facettes.
PS 2 : Tu as déjà alterné les sens :
1/ péjoratif : Les généralités sont stupides par définition oui
2/ majorité : Pour reprendre ton exemple "Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études", un étudiant reste un étudiant les jours où il n'étudie pas
Donc celle-ci est une bonne généralité pas stupide, c'est ça ? Il y en a des bonnes tu vois du coup tu reviens sur tes paroles ?
3/ totalité : celui-ci est discret mais sous entendu dans le caractère stupide d'une généralité du type "Pour moi la généralité serait de dire que tous les martiens sont des voleurs alors qu'une partie ne l'est pas."
En effet, il est stupide de croire à la totalité des martiens voleurs s'il n'y en avait eu qu'une majorité. C'est la raison pour laquelle tu les trouves stupides. Ce ne sont pas elles les coupables mais la compréhension des problèmes.
On accuse la généralité de tous les mots par habitude car parfois il y a des confusions majorité / universalité. On fait une généralité de ces confusions et on accuse le concept de tout les mots et non ceux qui l'utilisent.
Le cas des martiens est un cas simple dont tu peux vouloir une solution mais on peut mettre en évidence le fait que l'on ne peut définir le monde des martiens que s'il est abstrait. Le réel nous échappe lui. Le fait de ne pas pouvoir le définir à un instant t ou d'avoir suffisamment d'information pour le résoudre le démontre un peu (ou encore tes interrogations sur leurs raisons). Dit autrement il n'est pas possible (ou que partiellement) de partir du tout petit pour aller au très grand.
Pourquoi ?
Tu confondrais de nouveau la majorité avec la totalité. Le problème théorique "les martiens" ne contient pas la totalité de ses variantes et on ne peut définir un problème qui "les définis tous", dont la solution serait le théorème ultime. Dans les conditions réels, les autres cas auront des règles non définis et rendront la science inexacte ou "molle".
Je suis conscient de pas avoir trop fait avancer le problème et je pourrais aller plus loin surtout que le plus intéressant se trouve plus loin, beaucoup plus loin mais cela commence à faire long. Sachant que je me suis limité au dictionnaire pour une "introduction facile" au sujet, alors imagine. De toute façon c'est une notion qui s'apprend sur le long terme avec l'expérience. Le principal c'est d'être aware des facettes du concept et ne pas te laisser aller comme les golems à être anti-généralité, c'est de la sagesse de comptoir. Avec le temps tu comprendras
J'aimerais idéalement t'amener vers une compréhension plus abstraite mais c'est difficile ave des raisonnements logiques.
J'essaye un truc :
Dans la définition du dico, pour tenter de questionner ton "Pour moi la généralité" tu trouves 3 définitions dont une péjorative qui renvoie directement à "les généralités sont stupides" puis une définition "universel" et "majoritaire".
Dans la case synonyme pareil :
- totalité, ensemble
- majorité, plupart
- banalité, cliché, lieu commun, platitude, poncif
En "augmentant l'abstraction" du concept (c'est difficile à faire), le mot prend en permanence les trois définitions qui s'entrecroisent dans les conversations et dans les compréhensions d'un problème au sein d'un même individu. Quand je parle de généralité, il m'est impossible de séparer les trois sens.
C'est la raison pour laquelle je suis obligé, à l'approche d'un problème, de donner un type de généralité pour ne pas faire d'erreur dans ces raisonnements. Je n'ai pas, en tant qu'humain, le pouvoir de "cloisonner" le mot dans une des trois définitions. Le mot prend un sens comme tu le sais dans un contexte, dans une phrase etc.
Con-texte = ce qui entoure le texte, et par extension le texte qui entoure le mot (le sens péjoratif devient évident avec la phrase)
Le problème survient alors pour les problèmes complexes. L'utilisation à 2 reprises d'un même mot dans 2 phrases différentes donc entouré de mots différents peut alterner de sens car le "cloisonnement" dépend uniquement du contexte, le sens du mot est fluide est s'adapte en permanence.
Il arrive souvent que dans des études de sciences molles le mot mute de la définition 1 à 2 sans que l'auteur s'en rende compte. Pour arriver parfaitement à maîtriser l'usage du mot, il faudrait déjà comprendre le problème abstrait à la perfection ce qui n'est pas le cas au moment de l'étude.
Les biais psychologiques deviennent à ces frontières du langage tellement importants qu'ils éblouissent les sens du penseur et la perception de l'objet d'étude. L'auteur perd le contrôle des mots comme une drogue qui envahirait l'esprit et il se fait dominer par le langage lui-même.
PS: Dans le cas que j'ai donné on fait abstraction totale de la justice, du bien etc... C'est un exercice sans intention, ni de la part des acteurs ni des spectateurs. Il s'agit d'avoir comme unique variable le concept à dompter en comprenant ses facettes.
PS 2 : Tu as déjà alterné les sens :
1/ péjoratif : Les généralités sont stupides par définition oui
2/ majorité : Pour reprendre ton exemple "Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études", un étudiant reste un étudiant les jours où il n'étudie pas
Donc celle-ci est une bonne généralité pas stupide, c'est ça ? Il y en a des bonnes tu vois du coup tu reviens sur tes paroles ?
3/ totalité : celui-ci est discret mais sous entendu dans le caractère stupide d'une généralité du type "Pour moi la généralité serait de dire que tous les martiens sont des voleurs alors qu'une partie ne l'est pas."
En effet, il est stupide de croire à la totalité des martiens voleurs s'il n'y en avait eu qu'une majorité. C'est la raison pour laquelle tu les trouves stupides. Ce ne sont pas elles les coupables mais la compréhension des problèmes.
On accuse la généralité de tous les mots par habitude car parfois il y a des confusions majorité / universalité. On fait une généralité de ces confusions et on accuse le concept de tout les mots et non ceux qui l'utilisent.
Le cas des martiens est un cas simple dont tu peux vouloir une solution mais on peut mettre en évidence le fait que l'on ne peut définir le monde des martiens que s'il est abstrait. Le réel nous échappe lui. Le fait de ne pas pouvoir le définir à un instant t ou d'avoir suffisamment d'information pour le résoudre le démontre un peu (ou encore tes interrogations sur leurs raisons). Dit autrement il n'est pas possible (ou que partiellement) de partir du tout petit pour aller au très grand.
Pourquoi ?
Tu confondrais de nouveau la majorité avec la totalité. Le problème théorique "les martiens" ne contient pas la totalité de ses variantes et on ne peut définir un problème qui "les définis tous", dont la solution serait le théorème ultime. Dans les conditions réels, les autres cas auront des règles non définis et rendront la science inexacte ou "molle".
Je suis conscient de pas avoir trop fait avancer le problème et je pourrais aller plus loin surtout que le plus intéressant se trouve plus loin, beaucoup plus loin mais cela commence à faire long. Sachant que je me suis limité au dictionnaire pour une "introduction facile" au sujet, alors imagine. De toute façon c'est une notion qui s'apprend sur le long terme avec l'expérience. Le principal c'est d'être aware des facettes du concept et ne pas te laisser aller comme les golems à être anti-généralité, c'est de la sagesse de comptoir. Avec le temps tu comprendras
il y a 2 ans
Je me demande comment je peux t'amener à ma conclusion.
J'aimerais idéalement t'amener vers une compréhension plus abstraite mais c'est difficile ave des raisonnements logiques.
J'essaye un truc :
https://dictionnaire.lero[...]com/definition/generalite
Dans la définition du dico, pour tenter de questionner ton "Pour moi la généralité" tu trouves 3 définitions dont une péjorative qui renvoie directement à "les généralités sont stupides" puis une définition "universel" et "majoritaire".
Dans la case synonyme pareil :
- totalité, ensemble
- majorité, plupart
- banalité, cliché, lieu commun, platitude, poncif
En "augmentant l'abstraction" du concept (c'est difficile à faire), le mot prend en permanence les trois définitions qui s'entrecroisent dans les conversations et dans les compréhensions d'un problème au sein d'un même individu. Quand je parle de généralité, il m'est impossible de séparer les trois sens.
C'est la raison pour laquelle je suis obligé, à l'approche d'un problème, de donner un type de généralité pour ne pas faire d'erreur dans ces raisonnements. Je n'ai pas, en tant qu'humain, le pouvoir de "cloisonner" le mot dans une des trois définitions. Le mot prend un sens comme tu le sais dans un contexte, dans une phrase etc.
Con-texte = ce qui entoure le texte, et par extension le texte qui entoure le mot (le sens péjoratif devient évident avec la phrase)
Le problème survient alors pour les problèmes complexes. L'utilisation à 2 reprises d'un même mot dans 2 phrases différentes donc entouré de mots différents peut alterner de sens car le "cloisonnement" dépend uniquement du contexte, le sens du mot est fluide est s'adapte en permanence.
Il arrive souvent que dans des études de sciences molles le mot mute de la définition 1 à 2 sans que l'auteur s'en rende compte. Pour arriver parfaitement à maîtriser l'usage du mot, il faudrait déjà comprendre le problème abstrait à la perfection ce qui n'est pas le cas au moment de l'étude.
Les biais psychologiques deviennent à ces frontières du langage tellement importants qu'ils éblouissent les sens du penseur et la perception de l'objet d'étude. L'auteur perd le contrôle des mots comme une drogue qui envahirait l'esprit et il se fait dominer par le langage lui-même.
PS: Dans le cas que j'ai donné on fait abstraction totale de la justice, du bien etc... C'est un exercice sans intention, ni de la part des acteurs ni des spectateurs. Il s'agit d'avoir comme unique variable le concept à dompter en comprenant ses facettes.
PS 2 : Tu as déjà alterné les sens :
1/ péjoratif : Les généralités sont stupides par définition oui
2/ majorité : Pour reprendre ton exemple "Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études", un étudiant reste un étudiant les jours où il n'étudie pas
Donc celle-ci est une bonne généralité pas stupide, c'est ça ? Il y en a des bonnes tu vois du coup tu reviens sur tes paroles ?
3/ totalité : celui-ci est discret mais sous entendu dans le caractère stupide d'une généralité du type "Pour moi la généralité serait de dire que tous les martiens sont des voleurs alors qu'une partie ne l'est pas."
En effet, il est stupide de croire à la totalité des martiens voleurs s'il n'y en avait eu qu'une majorité. C'est la raison pour laquelle tu les trouves stupides. Ce ne sont pas elles les coupables mais la compréhension des problèmes.
On accuse la généralité de tous les mots par habitude car parfois il y a des confusions majorité / universalité. On fait une généralité de ces confusions et on accuse le concept de tout les mots et non ceux qui l'utilisent.
Le cas des martiens est un cas simple dont tu peux vouloir une solution mais on peut mettre en évidence le fait que l'on ne peut définir le monde des martiens que s'il est abstrait. Le réel nous échappe lui. Le fait de ne pas pouvoir le définir à un instant t ou d'avoir suffisamment d'information pour le résoudre le démontre un peu (ou encore tes interrogations sur leurs raisons). Dit autrement il n'est pas possible (ou que partiellement) de partir du tout petit pour aller au très grand.
Pourquoi ?
Tu confondrais de nouveau la majorité avec la totalité. Le problème théorique "les martiens" ne contient pas la totalité de ses variantes et on ne peut définir un problème qui "les définis tous", dont la solution serait le théorème ultime. Dans les conditions réels, les autres cas auront des règles non définis et rendront la science inexacte ou "molle".
Je suis conscient de pas avoir trop fait avancer le problème et je pourrais aller plus loin surtout que le plus intéressant se trouve plus loin, beaucoup plus loin mais cela commence à faire long. Sachant que je me suis limité au dictionnaire pour une "introduction facile" au sujet, alors imagine. De toute façon c'est une notion qui s'apprend sur le long terme avec l'expérience. Le principal c'est d'être aware des facettes du concept et ne pas te laisser aller comme les golems à être anti-généralité, c'est de la sagesse de comptoir. Avec le temps tu comprendras
J'aimerais idéalement t'amener vers une compréhension plus abstraite mais c'est difficile ave des raisonnements logiques.
J'essaye un truc :
Dans la définition du dico, pour tenter de questionner ton "Pour moi la généralité" tu trouves 3 définitions dont une péjorative qui renvoie directement à "les généralités sont stupides" puis une définition "universel" et "majoritaire".
Dans la case synonyme pareil :
- totalité, ensemble
- majorité, plupart
- banalité, cliché, lieu commun, platitude, poncif
En "augmentant l'abstraction" du concept (c'est difficile à faire), le mot prend en permanence les trois définitions qui s'entrecroisent dans les conversations et dans les compréhensions d'un problème au sein d'un même individu. Quand je parle de généralité, il m'est impossible de séparer les trois sens.
C'est la raison pour laquelle je suis obligé, à l'approche d'un problème, de donner un type de généralité pour ne pas faire d'erreur dans ces raisonnements. Je n'ai pas, en tant qu'humain, le pouvoir de "cloisonner" le mot dans une des trois définitions. Le mot prend un sens comme tu le sais dans un contexte, dans une phrase etc.
Con-texte = ce qui entoure le texte, et par extension le texte qui entoure le mot (le sens péjoratif devient évident avec la phrase)
Le problème survient alors pour les problèmes complexes. L'utilisation à 2 reprises d'un même mot dans 2 phrases différentes donc entouré de mots différents peut alterner de sens car le "cloisonnement" dépend uniquement du contexte, le sens du mot est fluide est s'adapte en permanence.
Il arrive souvent que dans des études de sciences molles le mot mute de la définition 1 à 2 sans que l'auteur s'en rende compte. Pour arriver parfaitement à maîtriser l'usage du mot, il faudrait déjà comprendre le problème abstrait à la perfection ce qui n'est pas le cas au moment de l'étude.
Les biais psychologiques deviennent à ces frontières du langage tellement importants qu'ils éblouissent les sens du penseur et la perception de l'objet d'étude. L'auteur perd le contrôle des mots comme une drogue qui envahirait l'esprit et il se fait dominer par le langage lui-même.
PS: Dans le cas que j'ai donné on fait abstraction totale de la justice, du bien etc... C'est un exercice sans intention, ni de la part des acteurs ni des spectateurs. Il s'agit d'avoir comme unique variable le concept à dompter en comprenant ses facettes.
PS 2 : Tu as déjà alterné les sens :
1/ péjoratif : Les généralités sont stupides par définition oui
2/ majorité : Pour reprendre ton exemple "Un étudiant cesse d'être étudiant quand il arrête les études", un étudiant reste un étudiant les jours où il n'étudie pas
Donc celle-ci est une bonne généralité pas stupide, c'est ça ? Il y en a des bonnes tu vois du coup tu reviens sur tes paroles ?
3/ totalité : celui-ci est discret mais sous entendu dans le caractère stupide d'une généralité du type "Pour moi la généralité serait de dire que tous les martiens sont des voleurs alors qu'une partie ne l'est pas."
En effet, il est stupide de croire à la totalité des martiens voleurs s'il n'y en avait eu qu'une majorité. C'est la raison pour laquelle tu les trouves stupides. Ce ne sont pas elles les coupables mais la compréhension des problèmes.
On accuse la généralité de tous les mots par habitude car parfois il y a des confusions majorité / universalité. On fait une généralité de ces confusions et on accuse le concept de tout les mots et non ceux qui l'utilisent.
Le cas des martiens est un cas simple dont tu peux vouloir une solution mais on peut mettre en évidence le fait que l'on ne peut définir le monde des martiens que s'il est abstrait. Le réel nous échappe lui. Le fait de ne pas pouvoir le définir à un instant t ou d'avoir suffisamment d'information pour le résoudre le démontre un peu (ou encore tes interrogations sur leurs raisons). Dit autrement il n'est pas possible (ou que partiellement) de partir du tout petit pour aller au très grand.
Pourquoi ?
Tu confondrais de nouveau la majorité avec la totalité. Le problème théorique "les martiens" ne contient pas la totalité de ses variantes et on ne peut définir un problème qui "les définis tous", dont la solution serait le théorème ultime. Dans les conditions réels, les autres cas auront des règles non définis et rendront la science inexacte ou "molle".
Je suis conscient de pas avoir trop fait avancer le problème et je pourrais aller plus loin surtout que le plus intéressant se trouve plus loin, beaucoup plus loin mais cela commence à faire long. Sachant que je me suis limité au dictionnaire pour une "introduction facile" au sujet, alors imagine. De toute façon c'est une notion qui s'apprend sur le long terme avec l'expérience. Le principal c'est d'être aware des facettes du concept et ne pas te laisser aller comme les golems à être anti-généralité, c'est de la sagesse de comptoir. Avec le temps tu comprendras
Pow je ferais jamais une réponse à la hauteur de la tienne (et je ne te payerais pas pour avoir passer ta soirée à écrire ce pavé), mais merci du temps consacré à ton partage de connaissances
Je mettrais de l'eau dans mon vin et ne ressortirait plus cette phrase sur les généralités
Je mettrais de l'eau dans mon vin et ne ressortirait plus cette phrase sur les généralités
mais les martiens sont toujours des voleurs
il y a 2 ans
Ça dépend. Les agents de terrains ne sont pas les mêmes flics que ceux dans les bureaux
Un dettes paient TOUJOU ses Lannister
il y a 2 ans
Pow je ferais jamais une réponse à la hauteur de la tienne (et je ne te payerais pas pour avoir passer ta soirée à écrire ce pavé), mais merci du temps consacré à ton partage de connaissances
Je mettrais de l'eau dans mon vin et ne ressortirait plus cette phrase sur les généralités
Je mettrais de l'eau dans mon vin et ne ressortirait plus cette phrase sur les généralités
mais les martiens sont toujours des voleurs
5€ la facture
Juste pour terminer avec un exemple réel. Je sais pas si tu connais toute l'histoire sur le complot du tabac.
https://topdocumentaryfil[...]s.com/tobacco-conspiracy/
C'est un double problème de généralité :
Le premier (scientifique qui tourne en philo) :
La tabac tue. Mais quelle est la cigarette qui tue, la première ? La deuxième ? Celle qui rend accro ? La dernière ?
La question devient philosophique et on est obligé de faire une (bonne) généralité, fumer tue.
La deuxième (industrielle, voir le docu) :
L'industrie pour des raisons de pognons et au détriment de la santé publique doit combattre la recherche scientifique sur les cancers provoqués par le tabac.
Que vont-ils faire ? Combattre en disant "ce sont des généralités, quelle est la cigarette qui tue hein ? Trouvez nous la coupable !"
Non, car cela serait évident pour le publique que c'est absurde. Leur but est d'être bien plus agressif(sur la "vérité scientifique") que défensif (défendre les clopes).
Ils vont donc dire que ce sont des généralités de dire que fumer tue car on ne peut pas faire de quelques morts étranges des généralités et accusé le tabac, ces scientifiques sont des charlatans !
Ici, tu as un cas de conflit entre la généralité faites sur les clopes par la science et la généralité sur leur incapacité à donner la mort par le complot industrielle (car tous le monde ne meurt pas) !
Conclusion :
Ce sont les complotistes de l'industrie du tabac qui ont exploité les premiers la lutte contre les généralités faites par des scientifiques "charlatans" afin de vendre du poison à gogo. Aujourd'hui, les gens oublient l'histoire.
D'un point de vue technique d'analyse, la "solution" est que si tout le monde ne meurt pas c'est parce qu'ils ont pas encore fumer la fameuse clope qui tue dont personne ne connait le numéro.
Juste pour terminer avec un exemple réel. Je sais pas si tu connais toute l'histoire sur le complot du tabac.
C'est un double problème de généralité :
Le premier (scientifique qui tourne en philo) :
La tabac tue. Mais quelle est la cigarette qui tue, la première ? La deuxième ? Celle qui rend accro ? La dernière ?
La question devient philosophique et on est obligé de faire une (bonne) généralité, fumer tue.
La deuxième (industrielle, voir le docu) :
L'industrie pour des raisons de pognons et au détriment de la santé publique doit combattre la recherche scientifique sur les cancers provoqués par le tabac.
Que vont-ils faire ? Combattre en disant "ce sont des généralités, quelle est la cigarette qui tue hein ? Trouvez nous la coupable !"
Non, car cela serait évident pour le publique que c'est absurde. Leur but est d'être bien plus agressif(sur la "vérité scientifique") que défensif (défendre les clopes).
Ils vont donc dire que ce sont des généralités de dire que fumer tue car on ne peut pas faire de quelques morts étranges des généralités et accusé le tabac, ces scientifiques sont des charlatans !
Ici, tu as un cas de conflit entre la généralité faites sur les clopes par la science et la généralité sur leur incapacité à donner la mort par le complot industrielle (car tous le monde ne meurt pas) !
Conclusion :
Ce sont les complotistes de l'industrie du tabac qui ont exploité les premiers la lutte contre les généralités faites par des scientifiques "charlatans" afin de vendre du poison à gogo. Aujourd'hui, les gens oublient l'histoire.
D'un point de vue technique d'analyse, la "solution" est que si tout le monde ne meurt pas c'est parce qu'ils ont pas encore fumer la fameuse clope qui tue dont personne ne connait le numéro.
il y a 2 ans
Évidemment que le racisme existe au sein de la police, tout comme il existe au sein des pompiers, des médecins, des garagistes, des plombiers ou des comptables.
Voilà, on est bien avancé d'enfoncer une porte ouverte comme ça. Est-ce que ça fait de la police (pris comme corps), une organisation raciste, bien sûr que non, faut arrêter d'être con deux minutes.
Voilà, on est bien avancé d'enfoncer une porte ouverte comme ça. Est-ce que ça fait de la police (pris comme corps), une organisation raciste, bien sûr que non, faut arrêter d'être con deux minutes.
il y a 2 ans











