Bonjour mon bon @HylienDivin.
Moi je resterai dans ma boîte tant que :
1) On me virera pas
2) On me placardisera pas / harcèlera pas au travail
3) On me goulaguisera pas en ville en mode NWO (je réside en pleine pampa même si je travaille en ville)
4) J'aurai pas de projet familial exigeant mon départ
5) La guerre ne me forcera pas à devenir déserteur-guerillero dans la pampa
6) Je n'aurai pas de meilleure opportunité franche et avérée
Concernant ce dernier point, je n'ai pas vraiment une approche prédatrice et mercenaire. Car j'accorde beaucoup, beaucoup d'importance à ma qualité de vie immédiate. Environnement, stress, loisir. Mon critère est le temps, l'espace, la liberté, plus que l'argent. Donc pour moi, la "meilleure opportunité" c'est genre gagner au loto.
Maintenant si on commence à vouloir faire de moi un cadre dynamique ça va me gaver, je suis pas parti vivre dans le trou du cul du monde pour ça. Et je vois le danger venir, car à mesure que les grandes villes deviennent des trous à merde invivable, tout Paris et Marseille, tous les boomers et les pédales des réseaux pour lesquels on travaille tombent sur ma boîte pour lui sucer le sang en ramenant leurs sales manières d'hommes-enfants et de racaille de bureau.
Car en effet, c'est les grosses entreprises qui perdent en compétence et les jeunes ne courent plus après les grosses entreprises
J'ai quelques collègues pas cons avec lesquels je m'entends très bien sur ces points
Et ça, les voleurs des grosses boîtes le savent
Les boomers intelligents ont tendance à prendre la tangente aussi, mais généralement, bien que très adaptables, réveillés et dynamiques, ils manquent de patience et de concentration, ils sont trop impulsifs pour se reconvertir dans des domaines plus techniques. Au final ils restent confortablement dans leur monde de brasseurs d'air et ils nuisent plus qu'autre chose puisqu'ils ont le pied dans le monde des mecs qui font avec leurs mains, et croient pouvoir tout comprendre.
Quant aux femmes blanches, en fait, elles sont chassées de l'entreprise, pour mon cas personnel
Car les morues, les mégères triples vax caractérielles mal baisées et PAN ont pris les commandes et elles évincent autant que possible les petites jeunes
Elles en sont même à imposer des absurdités comme exiger des doctorants en physique nucléaire pour des postes de manoeuvres qui requerraient juste une bonne femme un peu dégourdie. Je caricature mais c'est pratiquement ça.
Je pense que les meufs s'agglomèrent dans les villes et dans les grosses boîtes, quand elles sont jeunes. Elles s'y font maltraiter le temps de fonder une famille puis reviennent en province dans les petites boîtes, si elles ne trouvent pas de grosse boîte sur place. Et je pense qu'elles finissent par changer souvent de place si elles ne sont pas trop débiles car elles n'aiment pas faire de la merde et se faire disrespect, ce que je comprends.
Moi je resterai dans ma boîte tant que :
1) On me virera pas
2) On me placardisera pas / harcèlera pas au travail
3) On me goulaguisera pas en ville en mode NWO (je réside en pleine pampa même si je travaille en ville)
4) J'aurai pas de projet familial exigeant mon départ
5) La guerre ne me forcera pas à devenir déserteur-guerillero dans la pampa
6) Je n'aurai pas de meilleure opportunité franche et avérée
Concernant ce dernier point, je n'ai pas vraiment une approche prédatrice et mercenaire. Car j'accorde beaucoup, beaucoup d'importance à ma qualité de vie immédiate. Environnement, stress, loisir. Mon critère est le temps, l'espace, la liberté, plus que l'argent. Donc pour moi, la "meilleure opportunité" c'est genre gagner au loto.
Maintenant si on commence à vouloir faire de moi un cadre dynamique ça va me gaver, je suis pas parti vivre dans le trou du cul du monde pour ça. Et je vois le danger venir, car à mesure que les grandes villes deviennent des trous à merde invivable, tout Paris et Marseille, tous les boomers et les pédales des réseaux pour lesquels on travaille tombent sur ma boîte pour lui sucer le sang en ramenant leurs sales manières d'hommes-enfants et de racaille de bureau.
Car en effet, c'est les grosses entreprises qui perdent en compétence et les jeunes ne courent plus après les grosses entreprises
Quant aux femmes blanches, en fait, elles sont chassées de l'entreprise, pour mon cas personnel
Je pense que les meufs s'agglomèrent dans les villes et dans les grosses boîtes, quand elles sont jeunes. Elles s'y font maltraiter le temps de fonder une famille puis reviennent en province dans les petites boîtes, si elles ne trouvent pas de grosse boîte sur place. Et je pense qu'elles finissent par changer souvent de place si elles ne sont pas trop débiles car elles n'aiment pas faire de la merde et se faire disrespect, ce que je comprends.
Je suis Seugondaire.
Dédi.
Bac +5, RSA mais je compte évoluer, bientôt l'AAH
