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mais cest énorme khey, le plus gros plot twist que pourra prendre un prof de gauche, qui croyait que Tienanmen était le symbole de son combat, la répression fascisante contre de braves humanistes manifestants pour la démocratie, alors que cest tout l'inverse, cest la répression gauchiste contre les natio
j'imagine meme pas le 404 dans leur tête, ils ont passé toute leur vie à dénoncer la répression de Tienanmen et soudainement tu les verra se mettre à penser que en fait c'était peut être une bonne chose

j'imagine meme pas le 404 dans leur tête, ils ont passé toute leur vie à dénoncer la répression de Tienanmen et soudainement tu les verra se mettre à penser que en fait c'était peut être une bonne chose

Ce que tu cites c'est vrai pour Nanjing et quelques autres cas, le grand final sur la place Tian An Men c'était plus dû à l'accumulation des épisodes de Mai et si tu veux savoir en 89-91, donc la même période, il y a eu exactement la même chose pour les étudiants internationaux "invités" en URSS, qui causaient problème et provenaient aussi majoritairement
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Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a 2 ans
FievreJaune
2 ans
et Terrorise les Chinois sur place
J'avais les même réaction au début en Chine (ça arrive encore parfois mais plus rare) et je suis pas torse nu :royalcr7:
il y a un an
Je suis sur que le mec est actuellement dans un Laogai en train de fabriquer nos pompes
il y a un an
LeelooGODE
2 ans
d'ailleurs vous saviez que la révolte de la place tiananmen était en fait un mouvement de protestation nationaliste contre les étudiants noirs de la ville qui violaient des chinoises ?
https://en.wikipedia.org/[...]protests#Nanjing_protests
Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.

Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.
Il y a de grands malades sur ce fofo bordel
il y a un an
La réponse politiquement correcte c'est
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Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a un an