Ce sujet a été résolu
d'ailleurs vous saviez que la révolte de la place tiananmen était en fait un mouvement de protestation nationaliste contre les étudiants noirs de la ville qui violaient des chinoises ?
https://en.wikipedia.org/[...]protests#Nanjing_protests
Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.

Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.
il y a 2 ans
LeelooGODE
2 ans
d'ailleurs vous saviez que la révolte de la place tiananmen était en fait un mouvement de protestation nationaliste contre les étudiants noirs de la ville qui violaient des chinoises ?
https://en.wikipedia.org/[...]protests#Nanjing_protests
Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.

Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.
C’est toujours les mêmes
il y a 2 ans
LeelooGODE
2 ans
d'ailleurs vous saviez que la révolte de la place tiananmen était en fait un mouvement de protestation nationaliste contre les étudiants noirs de la ville qui violaient des chinoises ?
https://en.wikipedia.org/[...]protests#Nanjing_protests
Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.

Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.
Wtf
il y a 2 ans
Wtf
rappel le bien aux profs bobo gauchistes qui bandent sur Tienenmen en croyant que cest une révolte pour la démocratie et la tolérance
soudainement ils trouveront que finalement la répression était pas si mal
soudainement ils trouveront que finalement la répression était pas si mal

il y a 2 ans
See what happen
Absolument rien
Absolument rien
Des jeux Steam pas cher https://www.instant-gaming.com/?igr=gamer-cb611db
il y a 2 ans
LeelooGODE
2 ans
d'ailleurs vous saviez que la révolte de la place tiananmen était en fait un mouvement de protestation nationaliste contre les étudiants noirs de la ville qui violaient des chinoises ?
https://en.wikipedia.org/[...]protests#Nanjing_protests
Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.

Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.
j'étais not ready pour celle-là
:zitare:
:zitare:
il y a 2 ans
SeigneurCooler
2 ans
See what happen
Absolument rien
Absolument rien
Ils l’ont renvoyés hélico presto dans son shit hole, tu crois quoi?
il y a 2 ans
rappel le bien aux profs bobo gauchistes qui bandent sur Tienenmen en croyant que cest une révolte pour la démocratie et la tolérance
soudainement ils trouveront que finalement la répression était pas si mal
soudainement ils trouveront que finalement la répression était pas si mal

Les profs diront que tu fais un méga raccourci s'ils s'y connaissent un peu (mais bon perso mes profs à l'époque du lycée étaient pas capables de copier le nom d'une ville en 拼音 donc peu de chances en effet)
Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a 2 ans
SeigneurCooler
2 ans
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Absolument rien
Absolument rien
Je croyais que la chine était une dictature avec un flic à chaque coin de rue prêt à rafaler au moindre faux pas
il y a 2 ans-PEMT
Les profs diront que tu fais un méga raccourci s'ils s'y connaissent un peu (mais bon perso mes profs à l'époque du lycée étaient pas capables de copier le nom d'une ville en 拼音 donc peu de chances en effet)
ces cons croyaient depuis toujours que c'était eux le mec face au char de l'intolérance et du fascisme, alors qu'ils étaient le char eux, et le mec le faf

il y a 2 ans-PEMT
Je croyais que la chine était une dictature avec un flic à chaque coin de rue prêt à rafaler au moindre faux pas
Et en réalité ils sont autant des cucks que nous
Des jeux Steam pas cher https://www.instant-gaming.com/?igr=gamer-cb611db
il y a 2 ans
LeelooGODE
2 ans
d'ailleurs vous saviez que la révolte de la place tiananmen était en fait un mouvement de protestation nationaliste contre les étudiants noirs de la ville qui violaient des chinoises ?
https://en.wikipedia.org/[...]protests#Nanjing_protests
Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.

Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.
Donc on nous a raconté que c'était une manifestation pour la liberté face au méchant gouvernement
Alors qu'ils reclamaient la remigration des mamadous qui foutent la merde
Alors qu'ils reclamaient la remigration des mamadous qui foutent la merde
il y a 2 ans
Donc on nous a raconté que c'était une manifestation pour la liberté face au méchant gouvernement
Alors qu'ils reclamaient la remigration des mamadous qui foutent la merde
Alors qu'ils reclamaient la remigration des mamadous qui foutent la merde
mais cest énorme khey, le plus gros plot twist que pourra prendre un prof de gauche, qui croyait que Tienanmen était le symbole de son combat, la répression fascisante contre de braves humanistes manifestants pour la démocratie, alors que cest tout l'inverse, cest la répression gauchiste contre les natio
j'imagine meme pas le 404 dans leur tête, ils ont passé toute leur vie à dénoncer la répression de Tienanmen et soudainement tu les verra se mettre à penser que en fait c'était peut être une bonne chose

j'imagine meme pas le 404 dans leur tête, ils ont passé toute leur vie à dénoncer la répression de Tienanmen et soudainement tu les verra se mettre à penser que en fait c'était peut être une bonne chose

il y a 2 ans
mais cest énorme khey, le plus gros plot twist que pourra prendre un prof de gauche, qui croyait que Tienanmen était le symbole de son combat, la répression fascisante contre de braves humanistes manifestants pour la démocratie, alors que cest tout l'inverse, cest la répression gauchiste contre les natio
j'imagine meme pas le 404 dans leur tête, ils ont passé toute leur vie à dénoncer la répression de Tienanmen et soudainement tu les verra se mettre à penser que en fait c'était peut être une bonne chose

j'imagine meme pas le 404 dans leur tête, ils ont passé toute leur vie à dénoncer la répression de Tienanmen et soudainement tu les verra se mettre à penser que en fait c'était peut être une bonne chose

Entre 240 ( chiffre du gouv) et 10 k morts (autres sources) pour couvrir 2 mamadous qui ont fait des trucs pas tres jojo
+ 10k blessés
+ 10k blessés
il y a 2 ans
Entre 240 ( chiffre du gouv) et 10 k morts (autres sources) pour couvrir 2 mamadous qui ont fait des trucs pas tres jojo
+ 10k blessés
+ 10k blessés
Mérité pour ces VOLEUR de CHINOISES
il y a 2 ans
ces cons croyaient depuis toujours que c'était eux le mec face au char de l'intolérance et du fascisme, alors qu'ils étaient le char eux, et le mec le faf

Ceci, transposé à notre modèle occidental tu as raison, en dépit de la convergence CIA falun gong
Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a 2 ans
LeelooGODE
2 ans
d'ailleurs vous saviez que la révolte de la place tiananmen était en fait un mouvement de protestation nationaliste contre les étudiants noirs de la ville qui violaient des chinoises ?
https://en.wikipedia.org/[...]protests#Nanjing_protests
Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.

Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.
300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.
Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.
À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.
Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.
Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.
Aya, encore une omission républicaine du récit historique made in Fernand Nathan :Zidane_contrat:
il y a 2 ans