Ce sujet a été résolu
Encore aujourd'hui cette pièce est d'une incroyable difficulté à jouer, même avec les techniques de violon actuelles.
Le compositeur raconte :
« Une nuit (en 1713), je rêvais que j'avais fait un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon, pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir, que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des jouissances qu'elle me procure. »
Le compositeur raconte :
« Une nuit (en 1713), je rêvais que j'avais fait un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon, pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir, que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des jouissances qu'elle me procure. »
il y a 2 ans
Je connaissais pas merci.
Pourquoi, les techniques de violon actuelles sont différentes d'avant ?
Pourquoi, les techniques de violon actuelles sont différentes d'avant ?
il y a 2 ans
il y a 2 ans
Abe
2 ans
Le pacte peut se faire dans son sommeil
Un jour une sorcière (une vraie, du genre a aller égorger la poule noire au carrefour de 3 chemins au fond de la campagne par une nuit de pleine lune) a répondu a un ethnologue qui l'interrogeait sur ses pratiques
"Vous savez, faire un acte avec le diable, c'est faire un pacte avec soi-même"

"Vous savez, faire un acte avec le diable, c'est faire un pacte avec soi-même"

il y a 2 ans
Obscur
il y a 2 ans
Il m'est arrivé ou une deux fois d'entendre des musiques sorties de nulle part en rêve qui avaient de la putain de gueule et de regretter à mon réveil de pas connaître le solfège ou de ne pas jouer d'instrument pour tenter de les sauvegarder...très vite en effet elles se dissipes. Les sons et les musiques des rêves sont encore plus dure a conserver que les images j'ai l'impression, c'est tellement fugace
il y a 2 ans
Parfait pour s'enjailler les folles soirées de fou du village dream
petite danse macabre avec son squelette de poche
apprêter son squelette avec une robe coquette
Faire quelques pas au milieu de la pièce dégagée de ses meubles à la lueur des chandelles


petite danse macabre avec son squelette de poche

apprêter son squelette avec une robe coquette

Faire quelques pas au milieu de la pièce dégagée de ses meubles à la lueur des chandelles

il y a 2 ans
Anakinetunwooki
2 ans
Encore aujourd'hui cette pièce est d'une incroyable difficulté à jouer, même avec les techniques de violon actuelles.
Le compositeur raconte :
« Une nuit (en 1713), je rêvais que j'avais fait un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon, pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir, que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des jouissances qu'elle me procure. »
Le compositeur raconte :
« Une nuit (en 1713), je rêvais que j'avais fait un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon, pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir, que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des jouissances qu'elle me procure. »
le génie européen mainetant on a booba merci les qui
il y a 2 ans
Les démons comme vous les appeler sont vos petits anges et veulent vous aider à atteindre le plaisir absolue, les élites eux ont peint ça comme le pécher absolu pour vous empêcher d'y accéder
il y a 2 ans
TaoTsuchiya
2 ans
Les démons comme vous les appeler sont vos petits anges et veulent vous aider à atteindre le plaisir absolue, les élites eux ont peint ça comme le pécher absolu pour vous empêcher d'y accéder
il y a 2 ans
Le diable est connu depuis la nuit des temps pour sa grandeur musicale, notamment au violon et au piano
il y a 2 ans
Kurisu
2 ans
Le diable est connu depuis la nuit des temps pour sa grandeur musicale, notamment au violon et au piano
exa exa, le violon a toujours été l'instrument de prédilection du démon
(je sais pas pourquoi d'ailleurs ?)

(je sais pas pourquoi d'ailleurs ?)
il y a 2 ans