Ce sujet a été résolu
Peut-être, mais si tu vois cela d'un autre angle, on peut très bien dire que tu te conduis avant tout vis-à-vis de tes propres sentiments changeants, et que tu n'auras pas une vision objective des choses lors de moments où tu devras prendre des décisions importantes.
Une jeune femme dans la rue aura plus de chance de se faire aider qu'un homme quelconque, par exemple.
Une jeune femme dans la rue aura plus de chance de se faire aider qu'un homme quelconque, par exemple.
L'objectivité n'est pas systématiquement une bonne chose though, on est influencés par nos sentiments c'est un fait mais je ne pense pas que ce soit toujours une mauvaise chose tant qu'il y a la barrière de la bonne conscience
Évidemment elle n'est pas toujours suffisante d'où l'existence de loi/justice pour eviter les gros troubles
Mais je n'irais pas jusqu'à condamner une bonne action faite pour satisfaire sa bonne conscience
Évidemment elle n'est pas toujours suffisante d'où l'existence de loi/justice pour eviter les gros troubles
Mais je n'irais pas jusqu'à condamner une bonne action faite pour satisfaire sa bonne conscience
I live inside my own world of make-believe
il y a 2 ans
L'objectivité n'est pas systématiquement une bonne chose though, on est influencés par nos sentiments c'est un fait mais je ne pense pas que ce soit toujours une mauvaise chose tant qu'il y a la barrière de la bonne conscience
Évidemment elle n'est pas toujours suffisante d'où l'existence de loi/justice pour eviter les gros troubles
Mais je n'irais pas jusqu'à condamner une bonne action faite pour satisfaire sa bonne conscience
Évidemment elle n'est pas toujours suffisante d'où l'existence de loi/justice pour eviter les gros troubles
Mais je n'irais pas jusqu'à condamner une bonne action faite pour satisfaire sa bonne conscience
Dans ce contexte l'objectivité tu peux la remplacer par ce qu'on est vraiment et pas ce qu'on pense être. Les sentiments mettent un voile sur ce qu'on est et cela produit des décisions qui sont incohérentes par rapport à notre nature originelle.
il y a 2 ans
Dans ce contexte l'objectivité tu peux la remplacer par ce qu'on est vraiment et pas ce qu'on pense être. Les sentiments mettent un voile sur ce qu'on est et cela produit des décisions qui sont incohérentes par rapport à notre nature originelle.
Je vois les choses différemment : les sentiments font partie intégrante de nous et sont ce qu'on est vraiment, les décisions semblent incohérentes mais c'est notre vision de soi qui est biaisée car je ne vois pas comment notre nature pourrait l'être : elle n'est pas influencée par notre pensée consciente (tout comme nos sentiments, incontrôlés)
En revanche sans problème qu'on est différent de ce qu'on pense être, sur ce point oui
En revanche sans problème qu'on est différent de ce qu'on pense être, sur ce point oui
I live inside my own world of make-believe
il y a 2 ans
l'altruisme dans un occident de gauche cest un buisness fort juteux
forcément quand le capitalisme moral prévaut tout les autres
forcément quand le capitalisme moral prévaut tout les autres
This, à tel point que certains partis politique en font leur étendard
Le racisme c'est de l'appropriation culturelle
il y a 2 ans
Je vois les choses différemment : les sentiments font partie intégrante de nous et sont ce qu'on est vraiment, les décisions semblent incohérentes mais c'est notre vision de soi qui est biaisée car je ne vois pas comment notre nature pourrait l'être : elle n'est pas influencée par notre pensée consciente (tout comme nos sentiments, incontrôlés)
En revanche sans problème qu'on est différent de ce qu'on pense être, sur ce point oui
En revanche sans problème qu'on est différent de ce qu'on pense être, sur ce point oui
Les sentiments sont désorganisés et inconstants, je ne prendrais pas ces perceptions comme socle de ce que l'on est. Cela peut par contre nous indiquer des voies visant à s'explorer soi-même, mais je ne pense pas que le noyau dur de notre être soit sentimental.
il y a 2 ans
Les sentiments sont désorganisés et inconstants, je ne prendrais pas ces perceptions comme socle de ce que l'on est. Cela peut par contre nous indiquer des voies visant à s'explorer soi-même, mais je ne pense pas que le noyau dur de notre être soit sentimental.
Peut être pas. Qu'est ce qu'il y aurait d'autre ?
I live inside my own world of make-believe
il y a 2 ans
On pourrait rattacher ça à la morale finalement, action désintéressé, ou bien intéressé, bref 2 morales s'opposent, l'une utilitariste, l'autre kantienne
il y a 2 ans
Peut être pas. Qu'est ce qu'il y aurait d'autre ?
Une origine divine, au-delà de toute sentimentalité humaine, quelque chose qui nous fait "être" comme un soleil qui couvre de lumière l'ensemble de la Terre, sans distinction de bon ou de mauvais, il est la lumière et il étend son principe à l'infini.
il y a 2 ans
Une origine divine, au-delà de toute sentimentalité humaine, quelque chose qui nous fait "être" comme un soleil qui couvre de lumière l'ensemble de la Terre, sans distinction de bon ou de mauvais, il est la lumière et il étend son principe à l'infini.
Okay mais concrètement ?
I live inside my own world of make-believe
il y a 2 ans
est-ce que les gens qui, nourris par leur ego, versent de l'argent à des associations caritatives ont le même impact éthique que la personne qui aide dans l'ombre n'ayant aucune envie de marquer sa bonne action de son nom ?
-
Définissons les 2 types de morale, l'une est basée sur l'intention, l'autre sur la conséquence. Selon les utilitaristes (conséquentialistes), les 2 ont le même impact, et ont produit ainsi la même valeur ajoutée.
Les autres pensent, que c'est avant tout l'intention qui compte, l'homme le faisant de manière intéressé sera toujours inférieur à celui qui l'a fait de manière désintéressé. L'un l'a fait pour un but personnel, l'autre l'a fait pour produire le Bien en lui même.
Maintenant mon argument pour détruire la première morale, à savoir conséquentialiste. Un homme voulant produire le bien mais qui produit le mal, involontairement, peut-il être jugé comme mauvais ? Alors que pourtant il est fondamentalement bon ? Non, une contradiction se produit.
Ainsi l'intention prime sur la conséquence.
-
Définissons les 2 types de morale, l'une est basée sur l'intention, l'autre sur la conséquence. Selon les utilitaristes (conséquentialistes), les 2 ont le même impact, et ont produit ainsi la même valeur ajoutée.
Les autres pensent, que c'est avant tout l'intention qui compte, l'homme le faisant de manière intéressé sera toujours inférieur à celui qui l'a fait de manière désintéressé. L'un l'a fait pour un but personnel, l'autre l'a fait pour produire le Bien en lui même.
Maintenant mon argument pour détruire la première morale, à savoir conséquentialiste. Un homme voulant produire le bien mais qui produit le mal, involontairement, peut-il être jugé comme mauvais ? Alors que pourtant il est fondamentalement bon ? Non, une contradiction se produit.
Ainsi l'intention prime sur la conséquence.
il y a 2 ans
Tchesnokov
2 ans
On pourrait rattacher ça à la morale finalement, action désintéressé, ou bien intéressé, bref 2 morales s'opposent, l'une utilitariste, l'autre kantienne
Dans ce cas, j'opte pour la voie de la morale autonome de Kant que je ferais partir de mon propre être afin qu'il puisse se transformer en un vouloir et tout cela au-dessus du bien et du mal.
il y a 2 ans
Dans ce cas, j'opte pour la voie de la morale autonome de Kant que je ferais partir de mon propre être afin qu'il puisse se transformer en un vouloir et tout cela au-dessus du bien et du mal.
Seulement le problème de Kant, c'est son impératif catégorique, je le fais car sans ça, la société ne serait possible. Il part du même postulat que les conséquentialiste,s à savoir, perpétuer la société, la vie en somme. Pour autant rien ne justifie cette prise de position
Une morale transcendantale venant de Dieu est nécessaire ici, nous sommes obligé de croire en Dieu si nous voulons une morale
Si Dieu n'existe pas, tout est permis disait Dostoïevski
Une morale transcendantale venant de Dieu est nécessaire ici, nous sommes obligé de croire en Dieu si nous voulons une morale
Si Dieu n'existe pas, tout est permis disait Dostoïevski
il y a 2 ans
Le concret ne s'explique pas, il se vit
Mouais, pas convaincue par la soupe de mots
Si c'est pas explicable pour moi c'est une fin de discussion car il n'y'a littéralement rien à répondre
Si c'est pas explicable pour moi c'est une fin de discussion car il n'y'a littéralement rien à répondre
I live inside my own world of make-believe
il y a 2 ans
Mouais, pas convaincue par la soupe de mots
Si c'est pas explicable pour moi c'est une fin de discussion car il n'y'a littéralement rien à répondre
Si c'est pas explicable pour moi c'est une fin de discussion car il n'y'a littéralement rien à répondre
Comment veux-tu expliquer un éveil spirituel par exemple ? C'est du ressenti, il n'y a pas de mots à poser là-dessus.
il y a 2 ans
Tchesnokov
2 ans
est-ce que les gens qui, nourris par leur ego, versent de l'argent à des associations caritatives ont le même impact éthique que la personne qui aide dans l'ombre n'ayant aucune envie de marquer sa bonne action de son nom ?
-
Définissons les 2 types de morale, l'une est basée sur l'intention, l'autre sur la conséquence. Selon les utilitaristes (conséquentialistes), les 2 ont le même impact, et ont produit ainsi la même valeur ajoutée.
Les autres pensent, que c'est avant tout l'intention qui compte, l'homme le faisant de manière intéressé sera toujours inférieur à celui qui l'a fait de manière désintéressé. L'un l'a fait pour un but personnel, l'autre l'a fait pour produire le Bien en lui même.
Maintenant mon argument pour détruire la première morale, à savoir conséquentialiste. Un homme voulant produire le bien mais qui produit le mal, involontairement, peut-il être jugé comme mauvais ? Alors que pourtant il est fondamentalement bon ? Non, une contradiction se produit.
Ainsi l'intention prime sur la conséquence.
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Définissons les 2 types de morale, l'une est basée sur l'intention, l'autre sur la conséquence. Selon les utilitaristes (conséquentialistes), les 2 ont le même impact, et ont produit ainsi la même valeur ajoutée.
Les autres pensent, que c'est avant tout l'intention qui compte, l'homme le faisant de manière intéressé sera toujours inférieur à celui qui l'a fait de manière désintéressé. L'un l'a fait pour un but personnel, l'autre l'a fait pour produire le Bien en lui même.
Maintenant mon argument pour détruire la première morale, à savoir conséquentialiste. Un homme voulant produire le bien mais qui produit le mal, involontairement, peut-il être jugé comme mauvais ? Alors que pourtant il est fondamentalement bon ? Non, une contradiction se produit.
Ainsi l'intention prime sur la conséquence.
Pour moi l'incompétence devrait être jugée tout comme la malfaisance ( pas de la même façon cependant ) mais c'est une opinion impopulaire
I live inside my own world of make-believe
il y a 2 ans
Seulement le problème de Kant, c'est son impératif catégorique, je le fais car sans ça, la société ne serait possible. Il part du même postulat que les conséquentialiste,s à savoir, perpétuer la société, la vie en somme. Pour autant rien ne justifie cette prise de position
Une morale transcendantale venant de Dieu est nécessaire ici, nous sommes obligé de croire en Dieu si nous voulons une morale
Si Dieu n'existe pas, tout est permis disait Dostoïevski
Une morale transcendantale venant de Dieu est nécessaire ici, nous sommes obligé de croire en Dieu si nous voulons une morale
Si Dieu n'existe pas, tout est permis disait Dostoïevski
Dieu est mort comme disait Nietzsche
il y a 2 ans
Comment veux-tu expliquer un éveil spirituel par exemple ? C'est du ressenti, il n'y a pas de mots à poser là-dessus.
Aucune idée mais s'il n'y'a pas de mot à poser dessus c'est donc bien que la discussion est impossible, c'est pour ça que j'ai dis arrêter la
( edit : intéressant tout de même qu'on en revienne encore ici au ressenti, qui était le point de départ )
( edit : intéressant tout de même qu'on en revienne encore ici au ressenti, qui était le point de départ )
I live inside my own world of make-believe
il y a 2 ans
Pour moi l'incompétence devrait être jugée tout comme la malfaisance ( pas de la même façon cependant ) mais c'est une opinion impopulaire
Tu ne peux la juger, étant donné que tu ne connais pas l'intention fondamentale qui a motivé l'homme, tu peux lui expliquer pourquoi ce n'était pas bénéfique aux autres, mais pour autant dire que l'incompétence est mauvaise, tu ne peux l'affirmer
il y a 2 ans
Dieu est mort comme disait Nietzsche
Et c'est nous qui l'avons tué ! Comment nous consoler, nous les meurtriers des meurtriers ?
Pour autant c'est la société qui l'a tué, l'homme, rien ne l'empêche de retourner trouver Dieu, à la place de croire à la dialectique des volontés de puissance
Pour autant c'est la société qui l'a tué, l'homme, rien ne l'empêche de retourner trouver Dieu, à la place de croire à la dialectique des volontés de puissance
il y a 2 ans