Ce sujet a été résolu
J'ai remarqué depuis le début de la pandémie une montée de l'aversion pour le travail et l'ambition chez les gens, les jeunes en particulier
Auparavant, le travail était un cadre normatif, une norme de vie qu’on n’interrogeait pas. Il était naturel d’entrer dans le monde du travail, comme il était naturel de se marier et d’avoir des enfants. Tout le monde faisait ses études, rentrait dans une entreprise dans laquelle ils allaient rester toute leur vie, et basta.
https://www.lemonde.fr/ec[...]ncieuse_6110648_3234.html
« On constate des démissions, des abandons de poste, des délocalisations en province. La crise fait que les gens se sont questionnés sur le sens au travail », remarque Audrey Richard, la présidente de l’Association nationale des DRH. « Les entreprises ont le sentiment que les priorités chez les jeunes se sont inversées, avec la vie personnelle qui passe désormais avant le travail », observe Solène de Margerie, directrice du développement chez Entreprise et personnel.
Personne n'a plus envie de rien faire. Tout le monde est devenu une loque sans ambition, sans énergie. Les gens en ont marre du travail et se contentent de s'amuser. La pandémie, la guerre, la crise économique, le climat, on a l'impression que notre système va s'effondrer sur nous-mêmes, et que tout ce qu'on fait n'a aucun sens
Sélection naturelle
Auparavant, le travail était un cadre normatif, une norme de vie qu’on n’interrogeait pas. Il était naturel d’entrer dans le monde du travail, comme il était naturel de se marier et d’avoir des enfants. Tout le monde faisait ses études, rentrait dans une entreprise dans laquelle ils allaient rester toute leur vie, et basta.
« On constate des démissions, des abandons de poste, des délocalisations en province. La crise fait que les gens se sont questionnés sur le sens au travail », remarque Audrey Richard, la présidente de l’Association nationale des DRH. « Les entreprises ont le sentiment que les priorités chez les jeunes se sont inversées, avec la vie personnelle qui passe désormais avant le travail », observe Solène de Margerie, directrice du développement chez Entreprise et personnel.
Personne n'a plus envie de rien faire. Tout le monde est devenu une loque sans ambition, sans énergie. Les gens en ont marre du travail et se contentent de s'amuser. La pandémie, la guerre, la crise économique, le climat, on a l'impression que notre système va s'effondrer sur nous-mêmes, et que tout ce qu'on fait n'a aucun sens
Sélection naturelle
il y a 2 ans
Godefroy-
2 ans
J'ai remarqué depuis le début de la pandémie une montée de l'aversion pour le travail et l'ambition chez les gens, les jeunes en particulier
Auparavant, le travail était un cadre normatif, une norme de vie qu’on n’interrogeait pas. Il était naturel d’entrer dans le monde du travail, comme il était naturel de se marier et d’avoir des enfants. Tout le monde faisait ses études, rentrait dans une entreprise dans laquelle ils allaient rester toute leur vie, et basta.
https://www.lemonde.fr/ec[...]ncieuse_6110648_3234.html
« On constate des démissions, des abandons de poste, des délocalisations en province. La crise fait que les gens se sont questionnés sur le sens au travail », remarque Audrey Richard, la présidente de l’Association nationale des DRH. « Les entreprises ont le sentiment que les priorités chez les jeunes se sont inversées, avec la vie personnelle qui passe désormais avant le travail », observe Solène de Margerie, directrice du développement chez Entreprise et personnel.
Personne n'a plus envie de rien faire. Tout le monde est devenu une loque sans ambition, sans énergie. Les gens en ont marre du travail et se contentent de s'amuser. La pandémie, la guerre, la crise économique, le climat, on a l'impression que notre système va s'effondrer sur nous-mêmes, et que tout ce qu'on fait n'a aucun sens
Sélection naturelle
Auparavant, le travail était un cadre normatif, une norme de vie qu’on n’interrogeait pas. Il était naturel d’entrer dans le monde du travail, comme il était naturel de se marier et d’avoir des enfants. Tout le monde faisait ses études, rentrait dans une entreprise dans laquelle ils allaient rester toute leur vie, et basta.
« On constate des démissions, des abandons de poste, des délocalisations en province. La crise fait que les gens se sont questionnés sur le sens au travail », remarque Audrey Richard, la présidente de l’Association nationale des DRH. « Les entreprises ont le sentiment que les priorités chez les jeunes se sont inversées, avec la vie personnelle qui passe désormais avant le travail », observe Solène de Margerie, directrice du développement chez Entreprise et personnel.
Personne n'a plus envie de rien faire. Tout le monde est devenu une loque sans ambition, sans énergie. Les gens en ont marre du travail et se contentent de s'amuser. La pandémie, la guerre, la crise économique, le climat, on a l'impression que notre système va s'effondrer sur nous-mêmes, et que tout ce qu'on fait n'a aucun sens
Sélection naturelle
Ce qui pourrait être une bonne chose si la démission massive venait d'une prise de conscience massive et pas d'une flemme généralisée née d'une nivellement vers le bas continuel.
il y a 2 ans
Ce qui pourrait être une bonne chose si la démission massive venait d'une prise de conscience massive et pas d'une flemme généralisée née d'une nivellement vers le bas continuel.
Ll problème c'est que les golems normies ne veulent pas se tuer à la tâche quand ils voient les magalax aligner des 5-10k sur OF
il y a 2 ans
Travailler pour ne pas accéder à la propriété, se faire piquer comme une bête domestique à volonté par son maître et les services vétérinaires (enfin, la médecine du travail), avoir des crédits pour sa mobilité, son logement ... Merci mais non-merci, pensent beaucoup. Je les comprends.
Je suis Seugondaire.
il y a 2 ans-PEMT
REDPILL:
« les techniques de gestion utilisées par les entreprises du XIXe siècle ont été mises en place au cours du siècle précédent par les propriétaires de plantations (…)
« Les planteurs avaient « développé des hiérarchies complexes pour le travail combinant un bureau central, composé de propriétaires et d’avocats responsables de la répartition du capital et de la stratégie à long terme, et de plus petites unités responsables de différentes opérations, un degré de complexité égalé uniquement par de grandes structures gouvernementales comme la Royal Navy britannique (…) Ils ont également mis au point des méthodes pour calculer la dépréciation du capital, une innovation révolutionnaire en matière de méthode de gestion, en évaluant la valeur marchande des esclaves tout au long de leur vie.
« les techniques de gestion utilisées par les entreprises du XIXe siècle ont été mises en place au cours du siècle précédent par les propriétaires de plantations (…)
« Les planteurs avaient « développé des hiérarchies complexes pour le travail combinant un bureau central, composé de propriétaires et d’avocats responsables de la répartition du capital et de la stratégie à long terme, et de plus petites unités responsables de différentes opérations, un degré de complexité égalé uniquement par de grandes structures gouvernementales comme la Royal Navy britannique (…) Ils ont également mis au point des méthodes pour calculer la dépréciation du capital, une innovation révolutionnaire en matière de méthode de gestion, en évaluant la valeur marchande des esclaves tout au long de leur vie.
il y a 2 ans-PEMT
En même temps les gens sont bercées par les réseaux sociaux qui te montre quoi ? Des mecs qui ont une vie de riche, qui ne travail pas ou très peu, des meufs qui passent leur journée à faire du shopping, à voyager.
Tu crois que les gens ont envie de se lever à 7h du mat et finir à 18h dans les bouchons alors que toute la journée ils sont abreuvés de "vie paradisiaque" sans contrainte ?
Tu crois que les gens ont envie de se lever à 7h du mat et finir à 18h dans les bouchons alors que toute la journée ils sont abreuvés de "vie paradisiaque" sans contrainte ?
il y a 2 ans
les gens veulent vivre le youtubedream : rien branlay et demandé de l'argent via teepee
il y a 2 ans
Ll problème c'est que les golems normies ne veulent pas se tuer à la tâche quand ils voient les magalax aligner des 5-10k sur OF
C'est un facteur parmis d'autres.
T'as aussi le fait que l'accès à la propriété est plus compliquée, le coût de la vie augmente, l'instabilité géopolitique et écologique. Le cadre familiale est bousillé.
On a plus de motivation pour l'ambition et ceux qui en ont encore seront l'élite de demain.
T'as aussi le fait que l'accès à la propriété est plus compliquée, le coût de la vie augmente, l'instabilité géopolitique et écologique. Le cadre familiale est bousillé.
On a plus de motivation pour l'ambition et ceux qui en ont encore seront l'élite de demain.
il y a 2 ans
Alphabet
2 ans
En même temps les gens sont bercées par les réseaux sociaux qui te montre quoi ? Des mecs qui ont une vie de riche, qui ne travail pas ou très peu, des meufs qui passent leur journée à faire du shopping, à voyager.
Tu crois que les gens ont envie de se lever à 7h du mat et finir à 18h dans les bouchons alors que toute la journée ils sont abreuvés de "vie paradisiaque" sans contrainte ?
Tu crois que les gens ont envie de se lever à 7h du mat et finir à 18h dans les bouchons alors que toute la journée ils sont abreuvés de "vie paradisiaque" sans contrainte ?
Ceci bordel les RS et le lifestyle de riche auparavant inaccessibles ont fondu le cerveau des normies
il y a 2 ans
Malaise le monstre p bng à l'hp, c'est toi qui vient spam ta boucle sur mes topics
T'es le seul idiot du village brisé Oussama le bac-10 RSAiste en HP
Dégage le monstre, tout le monde crame tes secondaires qui pop pour spammer la même daube autistique
S-t
T'es le seul idiot du village brisé Oussama le bac-10 RSAiste en HP

Dégage le monstre, tout le monde crame tes secondaires qui pop pour spammer la même daube autistique

S-t

il y a 2 ans
Godefroy-
2 ans
J'ai remarqué depuis le début de la pandémie une montée de l'aversion pour le travail et l'ambition chez les gens, les jeunes en particulier
Auparavant, le travail était un cadre normatif, une norme de vie qu’on n’interrogeait pas. Il était naturel d’entrer dans le monde du travail, comme il était naturel de se marier et d’avoir des enfants. Tout le monde faisait ses études, rentrait dans une entreprise dans laquelle ils allaient rester toute leur vie, et basta.
https://www.lemonde.fr/ec[...]ncieuse_6110648_3234.html
« On constate des démissions, des abandons de poste, des délocalisations en province. La crise fait que les gens se sont questionnés sur le sens au travail », remarque Audrey Richard, la présidente de l’Association nationale des DRH. « Les entreprises ont le sentiment que les priorités chez les jeunes se sont inversées, avec la vie personnelle qui passe désormais avant le travail », observe Solène de Margerie, directrice du développement chez Entreprise et personnel.
Personne n'a plus envie de rien faire. Tout le monde est devenu une loque sans ambition, sans énergie. Les gens en ont marre du travail et se contentent de s'amuser. La pandémie, la guerre, la crise économique, le climat, on a l'impression que notre système va s'effondrer sur nous-mêmes, et que tout ce qu'on fait n'a aucun sens
Sélection naturelle
Auparavant, le travail était un cadre normatif, une norme de vie qu’on n’interrogeait pas. Il était naturel d’entrer dans le monde du travail, comme il était naturel de se marier et d’avoir des enfants. Tout le monde faisait ses études, rentrait dans une entreprise dans laquelle ils allaient rester toute leur vie, et basta.
« On constate des démissions, des abandons de poste, des délocalisations en province. La crise fait que les gens se sont questionnés sur le sens au travail », remarque Audrey Richard, la présidente de l’Association nationale des DRH. « Les entreprises ont le sentiment que les priorités chez les jeunes se sont inversées, avec la vie personnelle qui passe désormais avant le travail », observe Solène de Margerie, directrice du développement chez Entreprise et personnel.
Personne n'a plus envie de rien faire. Tout le monde est devenu une loque sans ambition, sans énergie. Les gens en ont marre du travail et se contentent de s'amuser. La pandémie, la guerre, la crise économique, le climat, on a l'impression que notre système va s'effondrer sur nous-mêmes, et que tout ce qu'on fait n'a aucun sens
Sélection naturelle
Merci le boss
il y a 2 ans
--LeKhey__
19 août 2022 à 20:11:03

Voilà mon lit, des questions ?
C'est moi qui l'ai foutu dans ce lit de zinzin
T'es un vrai cinglé
19 août 2022 à 20:11:03

Voilà mon lit, des questions ?


T'es un vrai cinglé
il y a 2 ans
ReinerBraun
2 ans
Je travaille pour vivre pas l'inverse. Et c'est normal
Oula, mais qu'est ce que tu n'as pas dit la
il y a 2 ans
Godefroy-
2 ans
J'ai remarqué depuis le début de la pandémie une montée de l'aversion pour le travail et l'ambition chez les gens, les jeunes en particulier
Auparavant, le travail était un cadre normatif, une norme de vie qu’on n’interrogeait pas. Il était naturel d’entrer dans le monde du travail, comme il était naturel de se marier et d’avoir des enfants. Tout le monde faisait ses études, rentrait dans une entreprise dans laquelle ils allaient rester toute leur vie, et basta.
https://www.lemonde.fr/ec[...]ncieuse_6110648_3234.html
« On constate des démissions, des abandons de poste, des délocalisations en province. La crise fait que les gens se sont questionnés sur le sens au travail », remarque Audrey Richard, la présidente de l’Association nationale des DRH. « Les entreprises ont le sentiment que les priorités chez les jeunes se sont inversées, avec la vie personnelle qui passe désormais avant le travail », observe Solène de Margerie, directrice du développement chez Entreprise et personnel.
Personne n'a plus envie de rien faire. Tout le monde est devenu une loque sans ambition, sans énergie. Les gens en ont marre du travail et se contentent de s'amuser. La pandémie, la guerre, la crise économique, le climat, on a l'impression que notre système va s'effondrer sur nous-mêmes, et que tout ce qu'on fait n'a aucun sens
Sélection naturelle
Auparavant, le travail était un cadre normatif, une norme de vie qu’on n’interrogeait pas. Il était naturel d’entrer dans le monde du travail, comme il était naturel de se marier et d’avoir des enfants. Tout le monde faisait ses études, rentrait dans une entreprise dans laquelle ils allaient rester toute leur vie, et basta.
« On constate des démissions, des abandons de poste, des délocalisations en province. La crise fait que les gens se sont questionnés sur le sens au travail », remarque Audrey Richard, la présidente de l’Association nationale des DRH. « Les entreprises ont le sentiment que les priorités chez les jeunes se sont inversées, avec la vie personnelle qui passe désormais avant le travail », observe Solène de Margerie, directrice du développement chez Entreprise et personnel.
Personne n'a plus envie de rien faire. Tout le monde est devenu une loque sans ambition, sans énergie. Les gens en ont marre du travail et se contentent de s'amuser. La pandémie, la guerre, la crise économique, le climat, on a l'impression que notre système va s'effondrer sur nous-mêmes, et que tout ce qu'on fait n'a aucun sens
Sélection naturelle
il y a 2 ans
sujet intéressant et compliqué, ya surement des dizaines de facteurs différents à tout ça
il y a 2 ans
Oussama qui sort son armada de 1000 pseudos pour pourrir mon topic
S-t le p bn brisé à vie à genou devant ton mrmttt

S-t le p bn brisé à vie à genou devant ton mrmttt

il y a 2 ans
la plus part des gens sont des petit vieux,
les mec ont entre 18 et 40 et ils ne voyage pas, ils reste avec leur petite copine a regardé netflix et a manger des tacos.
putain, a 18 ans tu prend ton baluchon et tu vas voir d'autre pays.
les mec ont entre 18 et 40 et ils ne voyage pas, ils reste avec leur petite copine a regardé netflix et a manger des tacos.
putain, a 18 ans tu prend ton baluchon et tu vas voir d'autre pays.
il y a 2 ans
iloveyou
2 ans
la plus part des gens sont des petit vieux,
les mec ont entre 18 et 40 et ils ne voyage pas, ils reste avec leur petite copine a regardé netflix et a manger des tacos.
putain, a 18 ans tu prend ton baluchon et tu vas voir d'autre pays.
les mec ont entre 18 et 40 et ils ne voyage pas, ils reste avec leur petite copine a regardé netflix et a manger des tacos.
putain, a 18 ans tu prend ton baluchon et tu vas voir d'autre pays.
regarder netflix coûte beaucoup moins d'argent que voyager
il y a 2 ans