Ce sujet a été résolu
Tu vois, tu retournes le problème pour faire du nègre buté une victime alors que c'est littéralement cet abruti qui s'est suicidé par flic interposé.
C'est toi qui politise l'acte, nous on voit simplement un abruti qui charge sur un flic qui le tient en joue. Et comme c'est un nègre on se permet de rigoler de leur instinct de survie négatif et on ressort la sainte carte. Ca s'arrête là en fait.
Est-ce qu'on dit pour autant que les flics doivent flinguer tous les nègres ? Bah nan. Alors que de ton côté tu veux ériger en martyr un abruti probablement drogué dangereux et faire passer les flics pour des salauds racistes et criminels. On l'a vu avec les Traorés, on l'a vu avec BLM, on l'a vu avec Nahel (Joyeux Nahel !
), les 3 étaient du même acabit, à savoir des délinquants / criminels qui se sont naturellement sélectionnés tout seuls.
C'est toi qui politise l'acte, nous on voit simplement un abruti qui charge sur un flic qui le tient en joue. Et comme c'est un nègre on se permet de rigoler de leur instinct de survie négatif et on ressort la sainte carte. Ca s'arrête là en fait.
Est-ce qu'on dit pour autant que les flics doivent flinguer tous les nègres ? Bah nan. Alors que de ton côté tu veux ériger en martyr un abruti probablement drogué dangereux et faire passer les flics pour des salauds racistes et criminels. On l'a vu avec les Traorés, on l'a vu avec BLM, on l'a vu avec Nahel (Joyeux Nahel !
Sujet immensément intéressant qui m'interpelle, car j'ai lu plusieurs écrivains et penseurs noirs qui ne sont pas dans la mouvance actuelle de victimisation, comme c'est le cas, bien souvent.
James Baldwin, Cornel West, Glenn Loury et John McWhorter, seraient probablement très critiques du mouvement Black Lives Matter (BLM) et de son insistance à présenter les Noirs comme des victimes constantes et exclusives de la violence policière. Selon-moi, ce discours simplifie une réalité complexe, en ignorant que les arrestations et les confrontations avec la police ne s'expliquent pas uniquement par le racisme au sein des différents corps policiers. Il y a, aussi, par une part de responsabilité individuelle et culturelle au sein de la communauté afro-américaine. Et je vais vous expliquer pourquoi, avant de faire un parallèle avec la situation des Arabes en France.
James Baldwin, disait que le racisme est un mal profond, mais il refusait de réduire les Noirs à des victimes passives. Pour lui, comme il l'écrit dans The Fire Next Time, l'oppression existe, mais elle ne définit pas l'essence d'un homme. Il défendait les Blancs pauvres qui, eux aussi, étaient piégés par le système, et il appelait les Noirs à transcender la haine pour réclamer leur humanité pleine et entière.
Baldwin, encore une fois, selon-moi, aurait vu dans cet accent obsessionnel sur la police une forme de résignation, où l'on oublie que la violence communautaire, comme les fusillades entre gangs ou le trafic de drogue, tue bien plus de Noirs que les flics. Pour Baldwin, ignorer cela, c'est nier la responsabilité individuelle. Un jeune qui choisit la rue au lieu de l'école, ou qui adopte une culture de la défiance systématique, contribue à son propre piège.
Cornel West dénonce le capitalisme comme source de misère pour tous, peu importe la couleur de peau. Dans ses livres comme Race Matters, West critique ce qu'il appelle le « nihilisme » dans la communauté noire, c'est-a-dire une culture qui glorifie la violence, le matérialisme et la misogynie (pensez au hip-hop). Pour lui, BLM, en criant « les Noirs sont toujours des victimes de la police », occulte ces problèmes internes. C'est comme si on disait que tout est la faute des Blancs, sans admettre que la désintégration familiale, l'abandon scolaire ou la culture de la rue jouent un rôle énorme dans les arrestations. C'est une trahison, car au lieu d'élever la communauté, on la maintient dans une posture de victime, ce qui profite finalement aux oppresseurs.
Glenn Loury et John McWhorter, deux intellectuels noirs conservateurs sont encore plus directs. Loury, économiste, parle dans son podcast The Glenn Show d'une « culture de la victimisation » qui infantilise les Noirs. Pour lui, les statistiques montrent que les arrestations impliquent souvent des délits réels (vols, drogues, violences), et que blâmer uniquement la police ignore les dysfonctionnements culturels. La culture noire américaine, c'est une communauté où la paternité absente est la norme, où l'éducation est dévalorisée, et où la violence est romantisée (pensez aux rappeurs qui vendent la « thug life »). McWhorter, dans Woke Racism, compare l'antiracisme de BLM à une religion. Une idéologie qui exige une foi aveugle en la « suprématie blanche » comme explication unique, sans place pour la responsabilité individuelle. Pour eux, dire « tout est racisme systémique » empêche les Noirs de se concentrer sur ce qu'ils peuvent changer, plus précisément l'éducation, la famille, les choix personnels.
En résumé, ces penseurs diraient que BLM, en faisant des Noirs des victimes constantes de la police, masque une vérité inconfortable, celle de la part de faute de l'individu (celui qui choisit la délinquance) et sur la culture communautaire (qui tolère ou glorifie ces comportements).
Et si on regarde ailleurs, chez les Arabes en France, on voit le même mécanisme. Prenez le cas Nahel Merzouk, ce jeune de 17 ans d'origine maghrébine tué par un policier en 2023 lors d'un contrôle routier. Oui, le policier a tiré. Mais soyons honnêtes, Nahel est totalement responsable de sa mort. Il conduisait sans permis, refusait d'obtempérer, fuyait à vive allure, mettait en danger des piétons et d'autres usagers de la route. C'est un comportement délinquant, influencé par une culture de la rue où la défiance envers la police est glorifiée, où la petite criminalité est banalisée. Dans les banlieues françaises, chez certains jeunes arabes ou d'origine immigrée, il y a une part de responsabilité culturelle, comme une éducation qui tolère l’abandon scolaire, les trafics, la violence machiste, et une victimisation constante (« tout est la faute des flics racistes »). Ça n’excuse pas le racisme policier ou les inégalités, mais ignorer cette part individuelle et communautaire, c’est perpétuer le cycle.
Mes amis, le vrai combat pour l’égalité, c’est de reconnaître que chaque communauté a ses failles. Baldwin, West, Loury et McWhorter nous le rappellent.
Je suis désolé pour le long texte, mais ça m'a beaucoup parlé le sujet, tout comme le propos.
James Baldwin, Cornel West, Glenn Loury et John McWhorter, seraient probablement très critiques du mouvement Black Lives Matter (BLM) et de son insistance à présenter les Noirs comme des victimes constantes et exclusives de la violence policière. Selon-moi, ce discours simplifie une réalité complexe, en ignorant que les arrestations et les confrontations avec la police ne s'expliquent pas uniquement par le racisme au sein des différents corps policiers. Il y a, aussi, par une part de responsabilité individuelle et culturelle au sein de la communauté afro-américaine. Et je vais vous expliquer pourquoi, avant de faire un parallèle avec la situation des Arabes en France.
James Baldwin, disait que le racisme est un mal profond, mais il refusait de réduire les Noirs à des victimes passives. Pour lui, comme il l'écrit dans The Fire Next Time, l'oppression existe, mais elle ne définit pas l'essence d'un homme. Il défendait les Blancs pauvres qui, eux aussi, étaient piégés par le système, et il appelait les Noirs à transcender la haine pour réclamer leur humanité pleine et entière.
Baldwin, encore une fois, selon-moi, aurait vu dans cet accent obsessionnel sur la police une forme de résignation, où l'on oublie que la violence communautaire, comme les fusillades entre gangs ou le trafic de drogue, tue bien plus de Noirs que les flics. Pour Baldwin, ignorer cela, c'est nier la responsabilité individuelle. Un jeune qui choisit la rue au lieu de l'école, ou qui adopte une culture de la défiance systématique, contribue à son propre piège.
Cornel West dénonce le capitalisme comme source de misère pour tous, peu importe la couleur de peau. Dans ses livres comme Race Matters, West critique ce qu'il appelle le « nihilisme » dans la communauté noire, c'est-a-dire une culture qui glorifie la violence, le matérialisme et la misogynie (pensez au hip-hop). Pour lui, BLM, en criant « les Noirs sont toujours des victimes de la police », occulte ces problèmes internes. C'est comme si on disait que tout est la faute des Blancs, sans admettre que la désintégration familiale, l'abandon scolaire ou la culture de la rue jouent un rôle énorme dans les arrestations. C'est une trahison, car au lieu d'élever la communauté, on la maintient dans une posture de victime, ce qui profite finalement aux oppresseurs.
Glenn Loury et John McWhorter, deux intellectuels noirs conservateurs sont encore plus directs. Loury, économiste, parle dans son podcast The Glenn Show d'une « culture de la victimisation » qui infantilise les Noirs. Pour lui, les statistiques montrent que les arrestations impliquent souvent des délits réels (vols, drogues, violences), et que blâmer uniquement la police ignore les dysfonctionnements culturels. La culture noire américaine, c'est une communauté où la paternité absente est la norme, où l'éducation est dévalorisée, et où la violence est romantisée (pensez aux rappeurs qui vendent la « thug life »). McWhorter, dans Woke Racism, compare l'antiracisme de BLM à une religion. Une idéologie qui exige une foi aveugle en la « suprématie blanche » comme explication unique, sans place pour la responsabilité individuelle. Pour eux, dire « tout est racisme systémique » empêche les Noirs de se concentrer sur ce qu'ils peuvent changer, plus précisément l'éducation, la famille, les choix personnels.
En résumé, ces penseurs diraient que BLM, en faisant des Noirs des victimes constantes de la police, masque une vérité inconfortable, celle de la part de faute de l'individu (celui qui choisit la délinquance) et sur la culture communautaire (qui tolère ou glorifie ces comportements).
Et si on regarde ailleurs, chez les Arabes en France, on voit le même mécanisme. Prenez le cas Nahel Merzouk, ce jeune de 17 ans d'origine maghrébine tué par un policier en 2023 lors d'un contrôle routier. Oui, le policier a tiré. Mais soyons honnêtes, Nahel est totalement responsable de sa mort. Il conduisait sans permis, refusait d'obtempérer, fuyait à vive allure, mettait en danger des piétons et d'autres usagers de la route. C'est un comportement délinquant, influencé par une culture de la rue où la défiance envers la police est glorifiée, où la petite criminalité est banalisée. Dans les banlieues françaises, chez certains jeunes arabes ou d'origine immigrée, il y a une part de responsabilité culturelle, comme une éducation qui tolère l’abandon scolaire, les trafics, la violence machiste, et une victimisation constante (« tout est la faute des flics racistes »). Ça n’excuse pas le racisme policier ou les inégalités, mais ignorer cette part individuelle et communautaire, c’est perpétuer le cycle.
Mes amis, le vrai combat pour l’égalité, c’est de reconnaître que chaque communauté a ses failles. Baldwin, West, Loury et McWhorter nous le rappellent.
Je suis désolé pour le long texte, mais ça m'a beaucoup parlé le sujet, tout comme le propos.
il y a un jour
Ces petites salopes mouillent sur l uniforme ça me bute
khey pourquoi tu dis de la merde le mec se fait plaquer une fois au sol il se releve , il y a 40 sommation il ecoute rien , il se prend meme 2 droite dans la gueule et continue a pas ecouter ensuite il dit " ok tes pret pour ça ? t'es vrm sur de toi ? " et ce met en garde en mode fight a un moment tu prends ta balle enfaite , au final le pauvre flic a du tuer un homme car ce connard voulait se suicider
il y a un jour
Sujet immensément intéressant qui m'interpelle, car j'ai lu plusieurs écrivains et penseurs noirs qui ne sont pas dans la mouvance actuelle de victimisation, comme c'est le cas, bien souvent.
James Baldwin, Cornel West, Glenn Loury et John McWhorter, seraient probablement très critiques du mouvement Black Lives Matter (BLM) et de son insistance à présenter les Noirs comme des victimes constantes et exclusives de la violence policière. Selon-moi, ce discours simplifie une réalité complexe, en ignorant que les arrestations et les confrontations avec la police ne s'expliquent pas uniquement par le racisme au sein des différents corps policiers. Il y a, aussi, par une part de responsabilité individuelle et culturelle au sein de la communauté afro-américaine. Et je vais vous expliquer pourquoi, avant de faire un parallèle avec la situation des Arabes en France.
James Baldwin, disait que le racisme est un mal profond, mais il refusait de réduire les Noirs à des victimes passives. Pour lui, comme il l'écrit dans The Fire Next Time, l'oppression existe, mais elle ne définit pas l'essence d'un homme. Il défendait les Blancs pauvres qui, eux aussi, étaient piégés par le système, et il appelait les Noirs à transcender la haine pour réclamer leur humanité pleine et entière.
Baldwin, encore une fois, selon-moi, aurait vu dans cet accent obsessionnel sur la police une forme de résignation, où l'on oublie que la violence communautaire, comme les fusillades entre gangs ou le trafic de drogue, tue bien plus de Noirs que les flics. Pour Baldwin, ignorer cela, c'est nier la responsabilité individuelle. Un jeune qui choisit la rue au lieu de l'école, ou qui adopte une culture de la défiance systématique, contribue à son propre piège.
Cornel West dénonce le capitalisme comme source de misère pour tous, peu importe la couleur de peau. Dans ses livres comme Race Matters, West critique ce qu'il appelle le « nihilisme » dans la communauté noire, c'est-a-dire une culture qui glorifie la violence, le matérialisme et la misogynie (pensez au hip-hop). Pour lui, BLM, en criant « les Noirs sont toujours des victimes de la police », occulte ces problèmes internes. C'est comme si on disait que tout est la faute des Blancs, sans admettre que la désintégration familiale, l'abandon scolaire ou la culture de la rue jouent un rôle énorme dans les arrestations. C'est une trahison, car au lieu d'élever la communauté, on la maintient dans une posture de victime, ce qui profite finalement aux oppresseurs.
Glenn Loury et John McWhorter, deux intellectuels noirs conservateurs sont encore plus directs. Loury, économiste, parle dans son podcast The Glenn Show d'une « culture de la victimisation » qui infantilise les Noirs. Pour lui, les statistiques montrent que les arrestations impliquent souvent des délits réels (vols, drogues, violences), et que blâmer uniquement la police ignore les dysfonctionnements culturels. La culture noire américaine, c'est une communauté où la paternité absente est la norme, où l'éducation est dévalorisée, et où la violence est romantisée (pensez aux rappeurs qui vendent la « thug life »). McWhorter, dans Woke Racism, compare l'antiracisme de BLM à une religion. Une idéologie qui exige une foi aveugle en la « suprématie blanche » comme explication unique, sans place pour la responsabilité individuelle. Pour eux, dire « tout est racisme systémique » empêche les Noirs de se concentrer sur ce qu'ils peuvent changer, plus précisément l'éducation, la famille, les choix personnels.
En résumé, ces penseurs diraient que BLM, en faisant des Noirs des victimes constantes de la police, masque une vérité inconfortable, celle de la part de faute de l'individu (celui qui choisit la délinquance) et sur la culture communautaire (qui tolère ou glorifie ces comportements).
Et si on regarde ailleurs, chez les Arabes en France, on voit le même mécanisme. Prenez le cas Nahel Merzouk, ce jeune de 17 ans d'origine maghrébine tué par un policier en 2023 lors d'un contrôle routier. Oui, le policier a tiré. Mais soyons honnêtes, Nahel est totalement responsable de sa mort. Il conduisait sans permis, refusait d'obtempérer, fuyait à vive allure, mettait en danger des piétons et d'autres usagers de la route. C'est un comportement délinquant, influencé par une culture de la rue où la défiance envers la police est glorifiée, où la petite criminalité est banalisée. Dans les banlieues françaises, chez certains jeunes arabes ou d'origine immigrée, il y a une part de responsabilité culturelle, comme une éducation qui tolère l’abandon scolaire, les trafics, la violence machiste, et une victimisation constante (« tout est la faute des flics racistes »). Ça n’excuse pas le racisme policier ou les inégalités, mais ignorer cette part individuelle et communautaire, c’est perpétuer le cycle.
Mes amis, le vrai combat pour l’égalité, c’est de reconnaître que chaque communauté a ses failles. Baldwin, West, Loury et McWhorter nous le rappellent.
Je suis désolé pour le long texte, mais ça m'a beaucoup parlé le sujet, tout comme le propos.
James Baldwin, Cornel West, Glenn Loury et John McWhorter, seraient probablement très critiques du mouvement Black Lives Matter (BLM) et de son insistance à présenter les Noirs comme des victimes constantes et exclusives de la violence policière. Selon-moi, ce discours simplifie une réalité complexe, en ignorant que les arrestations et les confrontations avec la police ne s'expliquent pas uniquement par le racisme au sein des différents corps policiers. Il y a, aussi, par une part de responsabilité individuelle et culturelle au sein de la communauté afro-américaine. Et je vais vous expliquer pourquoi, avant de faire un parallèle avec la situation des Arabes en France.
James Baldwin, disait que le racisme est un mal profond, mais il refusait de réduire les Noirs à des victimes passives. Pour lui, comme il l'écrit dans The Fire Next Time, l'oppression existe, mais elle ne définit pas l'essence d'un homme. Il défendait les Blancs pauvres qui, eux aussi, étaient piégés par le système, et il appelait les Noirs à transcender la haine pour réclamer leur humanité pleine et entière.
Baldwin, encore une fois, selon-moi, aurait vu dans cet accent obsessionnel sur la police une forme de résignation, où l'on oublie que la violence communautaire, comme les fusillades entre gangs ou le trafic de drogue, tue bien plus de Noirs que les flics. Pour Baldwin, ignorer cela, c'est nier la responsabilité individuelle. Un jeune qui choisit la rue au lieu de l'école, ou qui adopte une culture de la défiance systématique, contribue à son propre piège.
Cornel West dénonce le capitalisme comme source de misère pour tous, peu importe la couleur de peau. Dans ses livres comme Race Matters, West critique ce qu'il appelle le « nihilisme » dans la communauté noire, c'est-a-dire une culture qui glorifie la violence, le matérialisme et la misogynie (pensez au hip-hop). Pour lui, BLM, en criant « les Noirs sont toujours des victimes de la police », occulte ces problèmes internes. C'est comme si on disait que tout est la faute des Blancs, sans admettre que la désintégration familiale, l'abandon scolaire ou la culture de la rue jouent un rôle énorme dans les arrestations. C'est une trahison, car au lieu d'élever la communauté, on la maintient dans une posture de victime, ce qui profite finalement aux oppresseurs.
Glenn Loury et John McWhorter, deux intellectuels noirs conservateurs sont encore plus directs. Loury, économiste, parle dans son podcast The Glenn Show d'une « culture de la victimisation » qui infantilise les Noirs. Pour lui, les statistiques montrent que les arrestations impliquent souvent des délits réels (vols, drogues, violences), et que blâmer uniquement la police ignore les dysfonctionnements culturels. La culture noire américaine, c'est une communauté où la paternité absente est la norme, où l'éducation est dévalorisée, et où la violence est romantisée (pensez aux rappeurs qui vendent la « thug life »). McWhorter, dans Woke Racism, compare l'antiracisme de BLM à une religion. Une idéologie qui exige une foi aveugle en la « suprématie blanche » comme explication unique, sans place pour la responsabilité individuelle. Pour eux, dire « tout est racisme systémique » empêche les Noirs de se concentrer sur ce qu'ils peuvent changer, plus précisément l'éducation, la famille, les choix personnels.
En résumé, ces penseurs diraient que BLM, en faisant des Noirs des victimes constantes de la police, masque une vérité inconfortable, celle de la part de faute de l'individu (celui qui choisit la délinquance) et sur la culture communautaire (qui tolère ou glorifie ces comportements).
Et si on regarde ailleurs, chez les Arabes en France, on voit le même mécanisme. Prenez le cas Nahel Merzouk, ce jeune de 17 ans d'origine maghrébine tué par un policier en 2023 lors d'un contrôle routier. Oui, le policier a tiré. Mais soyons honnêtes, Nahel est totalement responsable de sa mort. Il conduisait sans permis, refusait d'obtempérer, fuyait à vive allure, mettait en danger des piétons et d'autres usagers de la route. C'est un comportement délinquant, influencé par une culture de la rue où la défiance envers la police est glorifiée, où la petite criminalité est banalisée. Dans les banlieues françaises, chez certains jeunes arabes ou d'origine immigrée, il y a une part de responsabilité culturelle, comme une éducation qui tolère l’abandon scolaire, les trafics, la violence machiste, et une victimisation constante (« tout est la faute des flics racistes »). Ça n’excuse pas le racisme policier ou les inégalités, mais ignorer cette part individuelle et communautaire, c’est perpétuer le cycle.
Mes amis, le vrai combat pour l’égalité, c’est de reconnaître que chaque communauté a ses failles. Baldwin, West, Loury et McWhorter nous le rappellent.
Je suis désolé pour le long texte, mais ça m'a beaucoup parlé le sujet, tout comme le propos.
je valide complètement ce propos
il y a un jour
Totalement ivre, certes ça excuse rien mais normalement un officier a pas 230 d imc et ça part en immobilisation avec le bâton ou tu le taze avant, au pire tu recule et t attends du renfort ce que moi j aurai fait perso
Je dis pas que c est un boulot facile mais on est pas sur GTA à exécuter les malandrins qui cassent les couilles, j espère qu il prendra 20 ans ce fdp
Je dis pas que c est un boulot facile mais on est pas sur GTA à exécuter les malandrins qui cassent les couilles, j espère qu il prendra 20 ans ce fdp
y a une vidéo ou le mec fait ça , le type pleure demande au flic de pas tirer ca dure 5 mn nofake etc au final le flic se prend 10 balle dans la gueule car il avait pitié du pauvre mec et essayer de le maitriser oklm dans sa voiture ( il est mort le flic aufaite )
il y a un jour
je valide complètement ce propos
Merci crayon !
Après avoir écrit un tel texte, j'étais fatigué. Cependant, le sujet m'avait vraiment interpellé, car il y a de véritables enjeux et OP, comme beaucoup d'autres personnes ont tendance à réduire la conversation au racisme au sein des forces policières. C'est largement plus compliqué que ça et c'est loin d'être un sujet manichéen, comme c'est, la majorité du temps, le cas lorsque ça concerne l'humain.
Cependant, avec des politiciens comme JLM, la plupart des enjeux sociétaux sont réduits à un manichéisme digne d'un film de Disney, c'est-à-dire un affrontement entre le bien et le mal, sans nuances et sans niveaux de lecture.
Après avoir écrit un tel texte, j'étais fatigué. Cependant, le sujet m'avait vraiment interpellé, car il y a de véritables enjeux et OP, comme beaucoup d'autres personnes ont tendance à réduire la conversation au racisme au sein des forces policières. C'est largement plus compliqué que ça et c'est loin d'être un sujet manichéen, comme c'est, la majorité du temps, le cas lorsque ça concerne l'humain.
Cependant, avec des politiciens comme JLM, la plupart des enjeux sociétaux sont réduits à un manichéisme digne d'un film de Disney, c'est-à-dire un affrontement entre le bien et le mal, sans nuances et sans niveaux de lecture.
il y a un jour
100 % heureux que le négro se soit fait abattre
Mon pseudo sur toi nonobstant
Mon pseudo sur toi nonobstant
il y a un jour
Sujet immensément intéressant qui m'interpelle, car j'ai lu plusieurs écrivains et penseurs noirs qui ne sont pas dans la mouvance actuelle de victimisation, comme c'est le cas, bien souvent.
James Baldwin, Cornel West, Glenn Loury et John McWhorter, seraient probablement très critiques du mouvement Black Lives Matter (BLM) et de son insistance à présenter les Noirs comme des victimes constantes et exclusives de la violence policière. Selon-moi, ce discours simplifie une réalité complexe, en ignorant que les arrestations et les confrontations avec la police ne s'expliquent pas uniquement par le racisme au sein des différents corps policiers. Il y a, aussi, par une part de responsabilité individuelle et culturelle au sein de la communauté afro-américaine. Et je vais vous expliquer pourquoi, avant de faire un parallèle avec la situation des Arabes en France.
James Baldwin, disait que le racisme est un mal profond, mais il refusait de réduire les Noirs à des victimes passives. Pour lui, comme il l'écrit dans The Fire Next Time, l'oppression existe, mais elle ne définit pas l'essence d'un homme. Il défendait les Blancs pauvres qui, eux aussi, étaient piégés par le système, et il appelait les Noirs à transcender la haine pour réclamer leur humanité pleine et entière.
Baldwin, encore une fois, selon-moi, aurait vu dans cet accent obsessionnel sur la police une forme de résignation, où l'on oublie que la violence communautaire, comme les fusillades entre gangs ou le trafic de drogue, tue bien plus de Noirs que les flics. Pour Baldwin, ignorer cela, c'est nier la responsabilité individuelle. Un jeune qui choisit la rue au lieu de l'école, ou qui adopte une culture de la défiance systématique, contribue à son propre piège.
Cornel West dénonce le capitalisme comme source de misère pour tous, peu importe la couleur de peau. Dans ses livres comme Race Matters, West critique ce qu'il appelle le « nihilisme » dans la communauté noire, c'est-a-dire une culture qui glorifie la violence, le matérialisme et la misogynie (pensez au hip-hop). Pour lui, BLM, en criant « les Noirs sont toujours des victimes de la police », occulte ces problèmes internes. C'est comme si on disait que tout est la faute des Blancs, sans admettre que la désintégration familiale, l'abandon scolaire ou la culture de la rue jouent un rôle énorme dans les arrestations. C'est une trahison, car au lieu d'élever la communauté, on la maintient dans une posture de victime, ce qui profite finalement aux oppresseurs.
Glenn Loury et John McWhorter, deux intellectuels noirs conservateurs sont encore plus directs. Loury, économiste, parle dans son podcast The Glenn Show d'une « culture de la victimisation » qui infantilise les Noirs. Pour lui, les statistiques montrent que les arrestations impliquent souvent des délits réels (vols, drogues, violences), et que blâmer uniquement la police ignore les dysfonctionnements culturels. La culture noire américaine, c'est une communauté où la paternité absente est la norme, où l'éducation est dévalorisée, et où la violence est romantisée (pensez aux rappeurs qui vendent la « thug life »). McWhorter, dans Woke Racism, compare l'antiracisme de BLM à une religion. Une idéologie qui exige une foi aveugle en la « suprématie blanche » comme explication unique, sans place pour la responsabilité individuelle. Pour eux, dire « tout est racisme systémique » empêche les Noirs de se concentrer sur ce qu'ils peuvent changer, plus précisément l'éducation, la famille, les choix personnels.
En résumé, ces penseurs diraient que BLM, en faisant des Noirs des victimes constantes de la police, masque une vérité inconfortable, celle de la part de faute de l'individu (celui qui choisit la délinquance) et sur la culture communautaire (qui tolère ou glorifie ces comportements).
Et si on regarde ailleurs, chez les Arabes en France, on voit le même mécanisme. Prenez le cas Nahel Merzouk, ce jeune de 17 ans d'origine maghrébine tué par un policier en 2023 lors d'un contrôle routier. Oui, le policier a tiré. Mais soyons honnêtes, Nahel est totalement responsable de sa mort. Il conduisait sans permis, refusait d'obtempérer, fuyait à vive allure, mettait en danger des piétons et d'autres usagers de la route. C'est un comportement délinquant, influencé par une culture de la rue où la défiance envers la police est glorifiée, où la petite criminalité est banalisée. Dans les banlieues françaises, chez certains jeunes arabes ou d'origine immigrée, il y a une part de responsabilité culturelle, comme une éducation qui tolère l’abandon scolaire, les trafics, la violence machiste, et une victimisation constante (« tout est la faute des flics racistes »). Ça n’excuse pas le racisme policier ou les inégalités, mais ignorer cette part individuelle et communautaire, c’est perpétuer le cycle.
Mes amis, le vrai combat pour l’égalité, c’est de reconnaître que chaque communauté a ses failles. Baldwin, West, Loury et McWhorter nous le rappellent.
Je suis désolé pour le long texte, mais ça m'a beaucoup parlé le sujet, tout comme le propos.
James Baldwin, Cornel West, Glenn Loury et John McWhorter, seraient probablement très critiques du mouvement Black Lives Matter (BLM) et de son insistance à présenter les Noirs comme des victimes constantes et exclusives de la violence policière. Selon-moi, ce discours simplifie une réalité complexe, en ignorant que les arrestations et les confrontations avec la police ne s'expliquent pas uniquement par le racisme au sein des différents corps policiers. Il y a, aussi, par une part de responsabilité individuelle et culturelle au sein de la communauté afro-américaine. Et je vais vous expliquer pourquoi, avant de faire un parallèle avec la situation des Arabes en France.
James Baldwin, disait que le racisme est un mal profond, mais il refusait de réduire les Noirs à des victimes passives. Pour lui, comme il l'écrit dans The Fire Next Time, l'oppression existe, mais elle ne définit pas l'essence d'un homme. Il défendait les Blancs pauvres qui, eux aussi, étaient piégés par le système, et il appelait les Noirs à transcender la haine pour réclamer leur humanité pleine et entière.
Baldwin, encore une fois, selon-moi, aurait vu dans cet accent obsessionnel sur la police une forme de résignation, où l'on oublie que la violence communautaire, comme les fusillades entre gangs ou le trafic de drogue, tue bien plus de Noirs que les flics. Pour Baldwin, ignorer cela, c'est nier la responsabilité individuelle. Un jeune qui choisit la rue au lieu de l'école, ou qui adopte une culture de la défiance systématique, contribue à son propre piège.
Cornel West dénonce le capitalisme comme source de misère pour tous, peu importe la couleur de peau. Dans ses livres comme Race Matters, West critique ce qu'il appelle le « nihilisme » dans la communauté noire, c'est-a-dire une culture qui glorifie la violence, le matérialisme et la misogynie (pensez au hip-hop). Pour lui, BLM, en criant « les Noirs sont toujours des victimes de la police », occulte ces problèmes internes. C'est comme si on disait que tout est la faute des Blancs, sans admettre que la désintégration familiale, l'abandon scolaire ou la culture de la rue jouent un rôle énorme dans les arrestations. C'est une trahison, car au lieu d'élever la communauté, on la maintient dans une posture de victime, ce qui profite finalement aux oppresseurs.
Glenn Loury et John McWhorter, deux intellectuels noirs conservateurs sont encore plus directs. Loury, économiste, parle dans son podcast The Glenn Show d'une « culture de la victimisation » qui infantilise les Noirs. Pour lui, les statistiques montrent que les arrestations impliquent souvent des délits réels (vols, drogues, violences), et que blâmer uniquement la police ignore les dysfonctionnements culturels. La culture noire américaine, c'est une communauté où la paternité absente est la norme, où l'éducation est dévalorisée, et où la violence est romantisée (pensez aux rappeurs qui vendent la « thug life »). McWhorter, dans Woke Racism, compare l'antiracisme de BLM à une religion. Une idéologie qui exige une foi aveugle en la « suprématie blanche » comme explication unique, sans place pour la responsabilité individuelle. Pour eux, dire « tout est racisme systémique » empêche les Noirs de se concentrer sur ce qu'ils peuvent changer, plus précisément l'éducation, la famille, les choix personnels.
En résumé, ces penseurs diraient que BLM, en faisant des Noirs des victimes constantes de la police, masque une vérité inconfortable, celle de la part de faute de l'individu (celui qui choisit la délinquance) et sur la culture communautaire (qui tolère ou glorifie ces comportements).
Et si on regarde ailleurs, chez les Arabes en France, on voit le même mécanisme. Prenez le cas Nahel Merzouk, ce jeune de 17 ans d'origine maghrébine tué par un policier en 2023 lors d'un contrôle routier. Oui, le policier a tiré. Mais soyons honnêtes, Nahel est totalement responsable de sa mort. Il conduisait sans permis, refusait d'obtempérer, fuyait à vive allure, mettait en danger des piétons et d'autres usagers de la route. C'est un comportement délinquant, influencé par une culture de la rue où la défiance envers la police est glorifiée, où la petite criminalité est banalisée. Dans les banlieues françaises, chez certains jeunes arabes ou d'origine immigrée, il y a une part de responsabilité culturelle, comme une éducation qui tolère l’abandon scolaire, les trafics, la violence machiste, et une victimisation constante (« tout est la faute des flics racistes »). Ça n’excuse pas le racisme policier ou les inégalités, mais ignorer cette part individuelle et communautaire, c’est perpétuer le cycle.
Mes amis, le vrai combat pour l’égalité, c’est de reconnaître que chaque communauté a ses failles. Baldwin, West, Loury et McWhorter nous le rappellent.
Je suis désolé pour le long texte, mais ça m'a beaucoup parlé le sujet, tout comme le propos.
Ca sent un peu le pavé GPT mais globalement je suis d'accord. C'est un peu le discours qu'avait Charlie Kirk, il avait tendance à montrer que la cause principale aux soucis des noirs américains était avant tout celle de l'absence du père. Si les jeunes noirs réussissent pas et prennent la voie des gangs et de la criminalité, c'est pas à cause du racisme systémique ou ce genre de chose mais simplement parce qu'ils n'ont pas un daron solide à la maison pour leur foutre des grosses tartes dans la gueule quand ils déraillent du bon chemin.
D'ailleurs Kirk reprenait beaucoup de choses chez Thomas Sowell, un noir américain qui a écrit pas mal de bouquins sur le sujet et qui s'inscrit à fond dans une logique contre la pleurnicherie du camp antiraciste.
D'ailleurs Kirk reprenait beaucoup de choses chez Thomas Sowell, un noir américain qui a écrit pas mal de bouquins sur le sujet et qui s'inscrit à fond dans une logique contre la pleurnicherie du camp antiraciste.
Et toc la mauvaise foi
il y a un jour
Ces petites salopes mouillent sur l uniforme ça me bute
Bah si c'est mérité c'est très bien comme ça
Des jeux Steam pas cher https://www.instant-gaming.com/?igr=gamer-cb611db
il y a un jour
Alors pourquoi ton chouchou s est fait virer de la police d aurora + procès ?
Chercher à me faire réagir politiquement sur la décision politique de ses supérieurs et de la justice c'est pas politiser le truc peut-être ?
Cherches plutôt à comprendre pourquoi ton chouchou s'est fait descendre comme la merde qu'il fût et si le schéma aurait été le même avec n'importe quelle personne armée à la place du flic.
Cherches plutôt à comprendre pourquoi ton chouchou s'est fait descendre comme la merde qu'il fût et si le schéma aurait été le même avec n'importe quelle personne armée à la place du flic.
Et toc la mauvaise foi
il y a un jour
Ca sent un peu le pavé GPT mais globalement je suis d'accord. C'est un peu le discours qu'avait Charlie Kirk, il avait tendance à montrer que la cause principale aux soucis des noirs américains était avant tout celle de l'absence du père. Si les jeunes noirs réussissent pas et prennent la voie des gangs et de la criminalité, c'est pas à cause du racisme systémique ou ce genre de chose mais simplement parce qu'ils n'ont pas un daron solide à la maison pour leur foutre des grosses tartes dans la gueule quand ils déraillent du bon chemin.
D'ailleurs Kirk reprenait beaucoup de choses chez Thomas Sowell, un noir américain qui a écrit pas mal de bouquins sur le sujet et qui s'inscrit à fond dans une logique contre la pleurnicherie du camp antiraciste.
D'ailleurs Kirk reprenait beaucoup de choses chez Thomas Sowell, un noir américain qui a écrit pas mal de bouquins sur le sujet et qui s'inscrit à fond dans une logique contre la pleurnicherie du camp antiraciste.
Je comprends tout à fait le doute, mais je confirme bel et bien que c'est de mon cru.
C'est un sujet qui me passionne depuis l'affaire Georges Floyd, car, à l'instar de bien du monde, je suis incapable d'en faire un héros.
Certes, il ne méritait pas ça, mais pour beaucoup de noirs, mais aussi de blancs et d'autres minorités aux États-Unis, ce fut un moyen de juger sévèrement les blancs, les corps de police, les administrations, les entreprises, etc., sans faire une analyse d'eux-mêmes qui aurait mené à trouver des failles au sein de leur propre communauté. Il faut dire que les militants, les médias et certains gouvernements ont tout fait pour légitimer la haine envers l'État, les policiers et même, dans certains cas, envers les blancs.
Je ne dis pas que ma théorie est bonne concernant Nahel, mais, après mes lectures, j'ai trouvé beaucoup de rapprochement entre les problèmes au sein de la communauté afro-américaine et chez les Arabes de France.
C'est un sujet qui me passionne depuis l'affaire Georges Floyd, car, à l'instar de bien du monde, je suis incapable d'en faire un héros.
Certes, il ne méritait pas ça, mais pour beaucoup de noirs, mais aussi de blancs et d'autres minorités aux États-Unis, ce fut un moyen de juger sévèrement les blancs, les corps de police, les administrations, les entreprises, etc., sans faire une analyse d'eux-mêmes qui aurait mené à trouver des failles au sein de leur propre communauté. Il faut dire que les militants, les médias et certains gouvernements ont tout fait pour légitimer la haine envers l'État, les policiers et même, dans certains cas, envers les blancs.
Je ne dis pas que ma théorie est bonne concernant Nahel, mais, après mes lectures, j'ai trouvé beaucoup de rapprochement entre les problèmes au sein de la communauté afro-américaine et chez les Arabes de France.
il y a un jour
Ca sent un peu le pavé GPT mais globalement je suis d'accord. C'est un peu le discours qu'avait Charlie Kirk, il avait tendance à montrer que la cause principale aux soucis des noirs américains était avant tout celle de l'absence du père. Si les jeunes noirs réussissent pas et prennent la voie des gangs et de la criminalité, c'est pas à cause du racisme systémique ou ce genre de chose mais simplement parce qu'ils n'ont pas un daron solide à la maison pour leur foutre des grosses tartes dans la gueule quand ils déraillent du bon chemin.
D'ailleurs Kirk reprenait beaucoup de choses chez Thomas Sowell, un noir américain qui a écrit pas mal de bouquins sur le sujet et qui s'inscrit à fond dans une logique contre la pleurnicherie du camp antiraciste.
D'ailleurs Kirk reprenait beaucoup de choses chez Thomas Sowell, un noir américain qui a écrit pas mal de bouquins sur le sujet et qui s'inscrit à fond dans une logique contre la pleurnicherie du camp antiraciste.
Todd va, aussi, un peu dans ce sens (sans spécifier une ethnie, au contraire de Sowell, qui s'attaque aux causes directes de problèmes intrinsèques aux noirs américains) voit dans la désintégration familiale (hausse des divorces, baisse de la natalité, familles monoparentales, retard ou absence de mariage, etc.) un symptôme et un accélérateur du déclin de la société américaine.
La perte de cohésion sociale (la perte de famille élargie ou solidaire) a, selon Todd, rendu la société plus vulnérable aux crises économiques, mais surtout, dans le cas américain, aux crises morales.
Les États-Unis ont atteint un niveau de nihilisme qui les empêche, du moins, selon-moi, de sortir de la crise, car, comme le dit Todd, les Américains sont devenus une société ''individualiste sans but collectif''.
Pour preuve, l'absence de solidarité familiale renforce la polarisation (riches vs pauvres), la précarité des classes moyennes et l’individualisme narcissique (hyperconsommation, recherche de statut).
La perte de cohésion sociale (la perte de famille élargie ou solidaire) a, selon Todd, rendu la société plus vulnérable aux crises économiques, mais surtout, dans le cas américain, aux crises morales.
Les États-Unis ont atteint un niveau de nihilisme qui les empêche, du moins, selon-moi, de sortir de la crise, car, comme le dit Todd, les Américains sont devenus une société ''individualiste sans but collectif''.
Pour preuve, l'absence de solidarité familiale renforce la polarisation (riches vs pauvres), la précarité des classes moyennes et l’individualisme narcissique (hyperconsommation, recherche de statut).
il y a un jour
Todd va, aussi, un peu dans ce sens (sans spécifier une ethnie, au contraire de Sowell, qui s'attaque aux causes directes de problèmes intrinsèques aux noirs américains) voit dans la désintégration familiale (hausse des divorces, baisse de la natalité, familles monoparentales, retard ou absence de mariage, etc.) un symptôme et un accélérateur du déclin de la société américaine.
La perte de cohésion sociale (la perte de famille élargie ou solidaire) a, selon Todd, rendu la société plus vulnérable aux crises économiques, mais surtout, dans le cas américain, aux crises morales.
Les États-Unis ont atteint un niveau de nihilisme qui les empêche, du moins, selon-moi, de sortir de la crise, car, comme le dit Todd, les Américains sont devenus une société ''individualiste sans but collectif''.
Pour preuve, l'absence de solidarité familiale renforce la polarisation (riches vs pauvres), la précarité des classes moyennes et l’individualisme narcissique (hyperconsommation, recherche de statut).
La perte de cohésion sociale (la perte de famille élargie ou solidaire) a, selon Todd, rendu la société plus vulnérable aux crises économiques, mais surtout, dans le cas américain, aux crises morales.
Les États-Unis ont atteint un niveau de nihilisme qui les empêche, du moins, selon-moi, de sortir de la crise, car, comme le dit Todd, les Américains sont devenus une société ''individualiste sans but collectif''.
Pour preuve, l'absence de solidarité familiale renforce la polarisation (riches vs pauvres), la précarité des classes moyennes et l’individualisme narcissique (hyperconsommation, recherche de statut).
Je rajouterais, à mon propre propos, qu'on voit ça, aussi, en France. Par exemple, il y a deux semaines, environ, un crayon avait publié une vidéo d'une conne de gilet jaune qui a pu converser avec Macron et, pourtant, au lieu d'aborder les problèmes que vivent au quotidien les Français (insécurité alimentaire, insécurité dans la rue, violences, etc.), elle parle de son PV de 35 euros et qu'elle exige que Macron lui rembourse, car elle manifestait pendant qu'un agent lui a remis la contravention.
En France, la désintégration de la collectivité nationale est totale et, pour preuve, le clientélisme ethnique ou religieux ne s'est jamais autant bien porté. Notre pays, n'existe plus, car nous n'avons plus d'objectifs collectifs, mais des objectifs individualistes ou, pires, construits et structurés sur des concepts abstraits ou nuisibles, comme la couleur de peau, l'origine ethnique, la religion, l'orientation sexuelle. Ce ne sont pas des projets nationaux.
En France, la désintégration de la collectivité nationale est totale et, pour preuve, le clientélisme ethnique ou religieux ne s'est jamais autant bien porté. Notre pays, n'existe plus, car nous n'avons plus d'objectifs collectifs, mais des objectifs individualistes ou, pires, construits et structurés sur des concepts abstraits ou nuisibles, comme la couleur de peau, l'origine ethnique, la religion, l'orientation sexuelle. Ce ne sont pas des projets nationaux.
il y a un jour
Ca sent un peu le pavé GPT mais globalement je suis d'accord. C'est un peu le discours qu'avait Charlie Kirk, il avait tendance à montrer que la cause principale aux soucis des noirs américains était avant tout celle de l'absence du père. Si les jeunes noirs réussissent pas et prennent la voie des gangs et de la criminalité, c'est pas à cause du racisme systémique ou ce genre de chose mais simplement parce qu'ils n'ont pas un daron solide à la maison pour leur foutre des grosses tartes dans la gueule quand ils déraillent du bon chemin.
D'ailleurs Kirk reprenait beaucoup de choses chez Thomas Sowell, un noir américain qui a écrit pas mal de bouquins sur le sujet et qui s'inscrit à fond dans une logique contre la pleurnicherie du camp antiraciste.
D'ailleurs Kirk reprenait beaucoup de choses chez Thomas Sowell, un noir américain qui a écrit pas mal de bouquins sur le sujet et qui s'inscrit à fond dans une logique contre la pleurnicherie du camp antiraciste.
Ne pas comprendre que tout est génétique
Comme si le fait de ne pas avoir de daron a la maison, ou toutes les conneries que tu pourras nous sortir, était un truc séparé de la génétique
Comme si le fait de ne pas avoir de daron a la maison, ou toutes les conneries que tu pourras nous sortir, était un truc séparé de la génétique
Immunisé aux poc
il y a un jour
Ne pas comprendre que tout est génétique
Comme si le fait de ne pas avoir de daron a la maison, ou toutes les conneries que tu pourras nous sortir, était un truc séparé de la génétique
Comme si le fait de ne pas avoir de daron a la maison, ou toutes les conneries que tu pourras nous sortir, était un truc séparé de la génétique
La génétique n'a aucun impact, crayon.
C'est réducteur, c'est comme dire que la couleur de peau ou ton orientation sexuelle te définissait comme individu, chose qui est, factuellement, fausse, bien que les gauchistes essayent constamment de faire croire que c'est bel et bien le cas.
Il y a des facteurs liés, biens évidemment culturels ou familiales, mais les gens oublient, la plupart du temps, le libre arbitre.
Rien ne force les Afro-Américains à adopter la culture de nègre, c'est un choix individuel. Tu fais le choix de lire Coates ou Ibrahim X, plutôt que de lire Baldwin ou Fanon.
Il y a la mauvaise culture afro-américaine (la ''culture nègre'' imposée ou internalisée) :
C’est la glorification de la violence, de la misogynie, du matérialisme, du trafic de drogue et de la vie de rue comme identité. Elle réduit le Noir à un rôle de criminel, de sexuel débridé ou de victime éternelle et, surtout, de reproduction des stéréotypes racistes qui détruisent la communauté de l’intérieur.
La bonne culture noire :
C’est l’héritage de la résilience, de la foi, de la solidarité familiale, de l’éducation, de la dignité et de la création artistique (gospel, jazz, blues, littérature). C’est refuser la caricature imposée, la majorité du temps, par les militants et les blancs progressistes. C'est aimer l’humanité entière sans haine raciale, et élever sa communauté par la responsabilité individuelle et collective.
La "mauvaise culture noire" est une trahison de l’héritage noir authentique, voire une prison auto-imposée qui perpétue l’oppression au lieu de la transcender.
C'est réducteur, c'est comme dire que la couleur de peau ou ton orientation sexuelle te définissait comme individu, chose qui est, factuellement, fausse, bien que les gauchistes essayent constamment de faire croire que c'est bel et bien le cas.
Il y a des facteurs liés, biens évidemment culturels ou familiales, mais les gens oublient, la plupart du temps, le libre arbitre.
Rien ne force les Afro-Américains à adopter la culture de nègre, c'est un choix individuel. Tu fais le choix de lire Coates ou Ibrahim X, plutôt que de lire Baldwin ou Fanon.
Il y a la mauvaise culture afro-américaine (la ''culture nègre'' imposée ou internalisée) :
C’est la glorification de la violence, de la misogynie, du matérialisme, du trafic de drogue et de la vie de rue comme identité. Elle réduit le Noir à un rôle de criminel, de sexuel débridé ou de victime éternelle et, surtout, de reproduction des stéréotypes racistes qui détruisent la communauté de l’intérieur.
La bonne culture noire :
C’est l’héritage de la résilience, de la foi, de la solidarité familiale, de l’éducation, de la dignité et de la création artistique (gospel, jazz, blues, littérature). C’est refuser la caricature imposée, la majorité du temps, par les militants et les blancs progressistes. C'est aimer l’humanité entière sans haine raciale, et élever sa communauté par la responsabilité individuelle et collective.
La "mauvaise culture noire" est une trahison de l’héritage noir authentique, voire une prison auto-imposée qui perpétue l’oppression au lieu de la transcender.
il y a un jour
Ne pas comprendre que tout est génétique
Comme si le fait de ne pas avoir de daron a la maison, ou toutes les conneries que tu pourras nous sortir, était un truc séparé de la génétique
Comme si le fait de ne pas avoir de daron a la maison, ou toutes les conneries que tu pourras nous sortir, était un truc séparé de la génétique
Du coup t'expliques comment que le noir qui a grandi avec un père à la maison s'en sort nettement mieux que celui qui n'en a pas eu ?
Et toc la mauvaise foi
il y a un jour
100 % heureux que le négro se soit fait abattre
Mon pseudo sur toi nonobstant
Mon pseudo sur toi nonobstant
Meilleure période de l’année !
il y a un jour
Et pourtant, il a offert un message de paix à l'OP, malgré ses propos crus.
C'est gentil, non ?
C'est gentil, non ?
il y a un jour
Du coup t'expliques comment que le noir qui a grandi avec un père à la maison s'en sort nettement mieux que celui qui n'en a pas eu ?
Ça n'enlève rien au rôle que joue la génétique.
Only White Lives Matter.
il y a un jour
Et pourtant, il a offert un message de paix à l'OP, malgré ses propos crus.
C'est gentil, non ?
C'est gentil, non ?
Ton avatar ressemble à l’insigne des word bearers pré heresy.
Meilleure période de l’année !
il y a un jour




























