Cette 8/10 de 37 ans en misère sexuelle

@allouarn5

il y a 4 semaines

Cette mère seule avec enfants de 37 ans veut un homme « attentionné », « sportif », qui ne « fume pas » et qui « gagne bien sa vie ». Attention, ce n’est pas pour « l’argent » car Magalie n’est pas « vénale », mais parce que cela montre qu’il a un « parcours ».

Magalie est claire avec les hommes : il faut qu’ils l’acceptent sans la juger – ni au physique, ni au moral, encore moins sur son « parcours » (kilométrage).

Si vous trouvez qu’il y a un déséquilibre dans la négociation entre Magalie qui veut tout et les mecs qui sont priés de ne rien exiger, c’est normal, c’est le paramètre par défaut d’une société reconfigurée par le féminisme.

Magalie veut à la fois un homme dominant (beau, fort, riche) avec les qualités d’un homme dominé, c’est-à-dire docile et sans critères de sélection. La quadrature du cercle que toute pouf émancipée qui se respecte cherche à résoudre.

Il n’y a pas de sortie de cette impasse anthropologique en démocratie paritaire, toute la force de l’État garantit cet ordre social.

Si vous contestez, vous êtes un « macho » et un « connard », voire un « islamiste mental ».

Bref, un « blaireau » comme dit Magalie.

Magalie a également le feu quelque part, parce que « les femmes sont aussi des êtres humains ». Mais si elle a le feu quelque part, elle ne couche pas dès la première rencontre, seulement la deuxième.

Magalie n’a pas l’air de réaliser qu’un net réajustement de ses demandes est nécessaire pour correspondre à son prix à l’argus. Et pour cause, cette société vaginocentrique apprend aux femmes à tout pouvoir et devoir exiger des hommes sans rien offrir en retour, parce que la « charge mentale ».

Magalie reste donc sur le mode qu’elle avait dix ans plus tôt, quand les mecs pouvaient encore la regarder dans la rue ou en soirée. Entretemps, les dieux ont achalandé le marché avec de nouvelles nymphes de 20 ans hyper voraces.

Patience, la rédemption approche pour tous ceux qui ont été micro-agressés par ces créatures arrogantes.

Dans la société post-mariage, une fois la trentaine passée, l’environnement devient extraordinairement périlleux pour les femmes. Si elles étaient de virulentes féministes quand la nature leur donnait un corps jeune et frais, elles réalisent que ce qui faisait leur force devient ce qui fait leur faiblesse. Avec la fin du système social qui suivra l’explosion de la dette publique, être une femme seule de 38 ans en 2030 sera vraiment merdique pendant les 40 prochaines années. Sans état pourvoyeur, plus de filet de sécurité et retour de l’humilité.

Tout est cyclique.

Les femmes ont bénéficié d’un cycle haussier atrocement surcoté pendant 80 ans, à présent c’est l’inversion de tendance.