Ce sujet a été résolu
Je ne fais pas référence à ces cultures comme des perspectives d'avenir mais comme des piliers réels de notre civilisation en déclin, je réponds surtout à ton explication sur le judaïsme qui alimentait le souffle de vie de l’Occident. Je crois que l'occident s'est justement porté au mieux lorsqu'il n'y avait pas ce caractère judaïque dans son esprit mais seulement catholique à savoir la synthèse entre christianisme, antique (greco-romain) et celte.
Mais je suis d'accord pour dire que le christianisme en tant que tel ne peut être un pilier fondateur d'un nouvel élan civilisationnel, tout comme le judaïsme d'ailleurs
Mais je suis d'accord pour dire que le christianisme en tant que tel ne peut être un pilier fondateur d'un nouvel élan civilisationnel, tout comme le judaïsme d'ailleurs
Tu ne peux pas séparer le caractère judaïque du caractère catholique.
Regarde ce que c'est le catholicisme: vénérer et diviniser (bêtement) un rabbin juif... plutôt que de dépasser la seule figure imaginaire du personnage Jésus et reconnaître que au-delà de ce personnage (et c'est la raison pour laquelle on aime ce personnage) il y a ce que Israël a à nous apprendre.
Jésus = le doigt
Israël, la Torah = la lune
Le catholique = l'idiot qui regarde le doigt quand on lui montre la lune.
Regarde ce que c'est le catholicisme: vénérer et diviniser (bêtement) un rabbin juif... plutôt que de dépasser la seule figure imaginaire du personnage Jésus et reconnaître que au-delà de ce personnage (et c'est la raison pour laquelle on aime ce personnage) il y a ce que Israël a à nous apprendre.
Jésus = le doigt
Israël, la Torah = la lune
Le catholique = l'idiot qui regarde le doigt quand on lui montre la lune.
C'est que de l'amour putain !
il y a 12 jours
Un nouvelle élan ne peut passer que par un pragmatisme aristoteicien, un futurisme alliant réel scientifique et enracinement essentiel.
Le judaïsme et son dérivé communiste ne sont que des concurrents ou des contrevenant à un tel ordre nouveau, à moins qu'ils ne soient les vecteur d'une révolution nécessaire
En soit le problème n’est pas “le judaïsme” en tant que tradition spirituelle, mais son incompatibilité structurelle avec l’ADN métaphysique occidental. C’est une pensée du texte, de la loi révélée et de l’exception, là où l’Occident s’est construit sur le logos, la causalité, la hiérarchie du réel et la finalité (Aristote, pas Moïse).
Bref, j'espère que tu comprends que c'est pas une question de passé à vénérer, mais de structure à réactiver. Sans verticalité ontologique, il n’y a ni avenir, ni création Mais et je dis bien Mais seulement du bruit moral et de l’égalisation forcée...
Le judaïsme et son dérivé communiste ne sont que des concurrents ou des contrevenant à un tel ordre nouveau, à moins qu'ils ne soient les vecteur d'une révolution nécessaire
En soit le problème n’est pas “le judaïsme” en tant que tradition spirituelle, mais son incompatibilité structurelle avec l’ADN métaphysique occidental. C’est une pensée du texte, de la loi révélée et de l’exception, là où l’Occident s’est construit sur le logos, la causalité, la hiérarchie du réel et la finalité (Aristote, pas Moïse).
Bref, j'espère que tu comprends que c'est pas une question de passé à vénérer, mais de structure à réactiver. Sans verticalité ontologique, il n’y a ni avenir, ni création Mais et je dis bien Mais seulement du bruit moral et de l’égalisation forcée...
"De la même façon que je me retourne rarement vers le passé, je ne sais jamais de quoi sera fait mon avenir"
il y a 12 jours
Tu ne peux pas séparer le caractère judaïque du caractère catholique.
Regarde ce que c'est le catholicisme: vénérer et diviniser (bêtement) un rabbin juif... plutôt que de dépasser la seule figure imaginaire du personnage Jésus et reconnaître que au-delà de ce personnage (et c'est la raison pour laquelle on aime ce personnage) il y a ce que Israël a à nous apprendre.
Jésus = le doigt
Israël, la Torah = la lune
Le catholique = l'idiot qui regarde le doigt quand on lui montre la lune.
Regarde ce que c'est le catholicisme: vénérer et diviniser (bêtement) un rabbin juif... plutôt que de dépasser la seule figure imaginaire du personnage Jésus et reconnaître que au-delà de ce personnage (et c'est la raison pour laquelle on aime ce personnage) il y a ce que Israël a à nous apprendre.
Jésus = le doigt
Israël, la Torah = la lune
Le catholique = l'idiot qui regarde le doigt quand on lui montre la lune.
Je pense comme Mircea Eliade qu'il y a une révolution abrahamique qui a apporté un sens historique nouveau, tandis que les sociétés qui précédaient avaient une vision de l histoire plus cyclique. Je comprends que les traditionnalistes comme Evola ou Spengler préfèrent nier cet aspect, mais je pense que cela écarte un peu vite ce qu'est réellement la civilisation occidentale.
Le catholicisme et plus largement le christianisme accomplit cela d'une certaine manière, en synthétisant Jérusalem, Athènes et Rome. Je pense que c'est une piste à explorer.
Le catholicisme et plus largement le christianisme accomplit cela d'une certaine manière, en synthétisant Jérusalem, Athènes et Rome. Je pense que c'est une piste à explorer.
il y a 12 jours
La taille du nez de l'op va vous étonner
Mon blog https://retsukoforum.neocities.org/ // youtube https://www.youtube.com/@retsukoforum
il y a 12 jours
Belmondo
12j
Un nouvelle élan ne peut passer que par un pragmatisme aristoteicien, un futurisme alliant réel scientifique et enracinement essentiel.
Le judaïsme et son dérivé communiste ne sont que des concurrents ou des contrevenant à un tel ordre nouveau, à moins qu'ils ne soient les vecteur d'une révolution nécessaire
En soit le problème n’est pas “le judaïsme” en tant que tradition spirituelle, mais son incompatibilité structurelle avec l’ADN métaphysique occidental. C’est une pensée du texte, de la loi révélée et de l’exception, là où l’Occident s’est construit sur le logos, la causalité, la hiérarchie du réel et la finalité (Aristote, pas Moïse).
Bref, j'espère que tu comprends que c'est pas une question de passé à vénérer, mais de structure à réactiver. Sans verticalité ontologique, il n’y a ni avenir, ni création Mais et je dis bien Mais seulement du bruit moral et de l’égalisation forcée...
Le judaïsme et son dérivé communiste ne sont que des concurrents ou des contrevenant à un tel ordre nouveau, à moins qu'ils ne soient les vecteur d'une révolution nécessaire
En soit le problème n’est pas “le judaïsme” en tant que tradition spirituelle, mais son incompatibilité structurelle avec l’ADN métaphysique occidental. C’est une pensée du texte, de la loi révélée et de l’exception, là où l’Occident s’est construit sur le logos, la causalité, la hiérarchie du réel et la finalité (Aristote, pas Moïse).
Bref, j'espère que tu comprends que c'est pas une question de passé à vénérer, mais de structure à réactiver. Sans verticalité ontologique, il n’y a ni avenir, ni création Mais et je dis bien Mais seulement du bruit moral et de l’égalisation forcée...
Je comprends pas trop ce que tu veux dire... Tu cites une énumération d'éléments, mais tu n'expliques pas.
Par exemple, soit, le judaïsme s'organise autour du texte de la Torah.
Mais alors c'est quoi le logos ? Et en quoi le logos serait-il incompatible avec le judaïsme ? Logos = discours, non ? Un texte est un discours, non ? (Par exemple: le décalogue) Pourquoi pensée du texte s'opposerait à logos alors ?
Par exemple, soit, le judaïsme s'organise autour du texte de la Torah.
Mais alors c'est quoi le logos ? Et en quoi le logos serait-il incompatible avec le judaïsme ? Logos = discours, non ? Un texte est un discours, non ? (Par exemple: le décalogue) Pourquoi pensée du texte s'opposerait à logos alors ?
C'est que de l'amour putain !
il y a 12 jours
Tu ne peux pas séparer le caractère judaïque du caractère catholique.
Regarde ce que c'est le catholicisme: vénérer et diviniser (bêtement) un rabbin juif... plutôt que de dépasser la seule figure imaginaire du personnage Jésus et reconnaître que au-delà de ce personnage (et c'est la raison pour laquelle on aime ce personnage) il y a ce que Israël a à nous apprendre.
Jésus = le doigt
Israël, la Torah = la lune
Le catholique = l'idiot qui regarde le doigt quand on lui montre la lune.
Regarde ce que c'est le catholicisme: vénérer et diviniser (bêtement) un rabbin juif... plutôt que de dépasser la seule figure imaginaire du personnage Jésus et reconnaître que au-delà de ce personnage (et c'est la raison pour laquelle on aime ce personnage) il y a ce que Israël a à nous apprendre.
Jésus = le doigt
Israël, la Torah = la lune
Le catholique = l'idiot qui regarde le doigt quand on lui montre la lune.
T'as une vision beaucoup trop israelo centrée...
Le catholicisme n'a de lien avec le judaïsme que par le christianisme originel qui est une forme révolutionnaire du judaïsme, s'opposant au dogme de l'obéissance de la loi et du peuple élu
Je ne défends pas le catholicisme en tant que force aujourd'hui puisque le christianisme est mort mais je lui reconnais de part son inspiration et son agrégation des cultures antiques et Celte le souffle et la force d été qui fut l'apogée de notre civilisation
Le catholicisme n'a de lien avec le judaïsme que par le christianisme originel qui est une forme révolutionnaire du judaïsme, s'opposant au dogme de l'obéissance de la loi et du peuple élu
Je ne défends pas le catholicisme en tant que force aujourd'hui puisque le christianisme est mort mais je lui reconnais de part son inspiration et son agrégation des cultures antiques et Celte le souffle et la force d été qui fut l'apogée de notre civilisation
"De la même façon que je me retourne rarement vers le passé, je ne sais jamais de quoi sera fait mon avenir"
il y a 12 jours
Je comprends pas trop ce que tu veux dire... Tu cites une énumération d'éléments, mais tu n'expliques pas.
Par exemple, soit, le judaïsme s'organise autour du texte de la Torah.
Mais alors c'est quoi le logos ? Et en quoi le logos serait-il incompatible avec le judaïsme ? Logos = discours, non ? Un texte est un discours, non ? (Par exemple: le décalogue) Pourquoi pensée du texte s'opposerait à logos alors ?
Par exemple, soit, le judaïsme s'organise autour du texte de la Torah.
Mais alors c'est quoi le logos ? Et en quoi le logos serait-il incompatible avec le judaïsme ? Logos = discours, non ? Un texte est un discours, non ? (Par exemple: le décalogue) Pourquoi pensée du texte s'opposerait à logos alors ?
Quand je parle de logos ça ne se résume pas seulement à la notion de discours mais plus généralement à la recherche pragmatique d'une vérité, c'est très différent de l'aspect dogmatique de la loi juive qui est beaucoup plus rigide et fermée.
La vision hellénique implique : analyse, causalité, universel, tandis que la pensée juive traditionnelle implique obéissance, particularisme, interprétation textuelle
Le judaïsme est discours normatif et révélateur, le logos est raison et ordre intelligible
La vision hellénique implique : analyse, causalité, universel, tandis que la pensée juive traditionnelle implique obéissance, particularisme, interprétation textuelle
Le judaïsme est discours normatif et révélateur, le logos est raison et ordre intelligible
"De la même façon que je me retourne rarement vers le passé, je ne sais jamais de quoi sera fait mon avenir"
il y a 12 jours


















