Badge Oran-Outonche 
C’est le futur qui attend @AhuriKJ
Qu'est ce que c'est con un trader
Si ma réponse est dépourvue de stickers, c'est qu'elle est à prendre au premier degré.
Merde on fait comment les zero tout dont aucune française ne veut?
Je pensais aller chercher en asie...
Condamné a rester seul sans famille alors
Je pensais aller chercher en asie...
Condamné a rester seul sans famille alors
Merde on fait comment les zero tout dont aucune française ne veut?
Je pensais aller chercher en asie...
Condamné a rester seul sans famille alors
Je pensais aller chercher en asie...
Condamné a rester seul sans famille alors
0 tout en France = 0 tout en Asie hein
Mais pourquoi les japonaises font ça ?
Meilleure période de l’année !
C'est un combat acharné que Vincent Fichot, quadragénaire de Saint-Martin-de-Crau mène depuis 7 ans pour retrouver ses deux enfants enlevés en août 2018 par leur mère au Japon.
Je n'ai jamais revu mes enfants". En 2018, son fils de 3 ans et sa fille de 11 mois sont "enlevés" par leur mère japonaise au Japon où la famille réside alors.
Commence alors pour lui un marathon judiciaire qui l’oblige à se battre, jusqu’à la Cour suprême, pour démonter les accusations de violences conjugales formulées par sa femme – « elle s’est par la suite rétractée » – et tenter de revoir ses enfants.
Les juges ont rejeté ses demandes et l’ont obligé à verser une pension alimentaire de 560 000 yens (4 300 euros) par mois à sa compagne.
Même s’il conserve l’autorité parentale, il n’a pas le droit de s’approcher de ses enfants. « Sinon, je risque d’aller en prison. »
Il ne sait même pas où se trouve sa famille.
Les bandeurs de japonaises, si jamais vous sortez de votre chambre, et arrivez à prendre un billet d'avion puis conclure avec une japonaise, gardez ceci à l'esprit hein
L’horreur courage à lui
C'est un combat acharné que Vincent Fichot, quadragénaire de Saint-Martin-de-Crau mène depuis 7 ans pour retrouver ses deux enfants enlevés en août 2018 par leur mère au Japon.
Je n'ai jamais revu mes enfants". En 2018, son fils de 3 ans et sa fille de 11 mois sont "enlevés" par leur mère japonaise au Japon où la famille réside alors.
Commence alors pour lui un marathon judiciaire qui l’oblige à se battre, jusqu’à la Cour suprême, pour démonter les accusations de violences conjugales formulées par sa femme – « elle s’est par la suite rétractée » – et tenter de revoir ses enfants.
Les juges ont rejeté ses demandes et l’ont obligé à verser une pension alimentaire de 560 000 yens (4 300 euros) par mois à sa compagne.
Même s’il conserve l’autorité parentale, il n’a pas le droit de s’approcher de ses enfants. « Sinon, je risque d’aller en prison. »
Il ne sait même pas où se trouve sa famille.
Les bandeurs de japonaises, si jamais vous sortez de votre chambre, et arrivez à prendre un billet d'avion puis conclure avec une japonaise, gardez ceci à l'esprit hein
22 cm
Très drôle de voir les commentaires des kheys sur le forum qui insultent certaine femme japonaise.
Déjà ce phénomène d'enlèvement est extrêmement rare.
De 2, combien de père français se sont fait enlever leur gosse par la justice rouge et féministe en France ?
Pour finir, personne ne veut de vos Magalie, personne ne veut se casser les couilles avec ses putes.
Déjà ce phénomène d'enlèvement est extrêmement rare.
De 2, combien de père français se sont fait enlever leur gosse par la justice rouge et féministe en France ?
Pour finir, personne ne veut de vos Magalie, personne ne veut se casser les couilles avec ses putes.
C'est un combat acharné que Vincent Fichot, quadragénaire de Saint-Martin-de-Crau mène depuis 7 ans pour retrouver ses deux enfants enlevés en août 2018 par leur mère au Japon.
Je n'ai jamais revu mes enfants". En 2018, son fils de 3 ans et sa fille de 11 mois sont "enlevés" par leur mère japonaise au Japon où la famille réside alors.
Commence alors pour lui un marathon judiciaire qui l’oblige à se battre, jusqu’à la Cour suprême, pour démonter les accusations de violences conjugales formulées par sa femme – « elle s’est par la suite rétractée » – et tenter de revoir ses enfants.
Les juges ont rejeté ses demandes et l’ont obligé à verser une pension alimentaire de 560 000 yens (4 300 euros) par mois à sa compagne.
Même s’il conserve l’autorité parentale, il n’a pas le droit de s’approcher de ses enfants. « Sinon, je risque d’aller en prison. »
Il ne sait même pas où se trouve sa famille.
Les bandeurs de japonaises, si jamais vous sortez de votre chambre, et arrivez à prendre un billet d'avion puis conclure avec une japonaise, gardez ceci à l'esprit hein
Et attends, dans la vidéo, il raconte qu’à peine le mariage celébré, ils ont fait chambre à part
5 ans sans baiser, jusqu’à la conception du premier, puis du second bébé
Puis rien entre les deux, rien après
5 ans sans baiser, jusqu’à la conception du premier, puis du second bébé
Puis rien entre les deux, rien après
WTF 4000 balles de pension alimentaire pour ne pas voir ses enfants
Moi j'aurai dit fuck au juge
Moi j'aurai dit fuck au juge
Ça concerne 150 000 enfants par an au Japon d’après la vidéo
Et ça touche autant les japonais que les étrangers
Un papa australien s’est suicidé de désespoir d’avoir vu ses enfants confisqués par sa femme
Et ça touche autant les japonais que les étrangers
Un papa australien s’est suicidé de désespoir d’avoir vu ses enfants confisqués par sa femme
WTF 4000 balles de pension alimentaire pour ne pas voir ses enfants
Moi j'aurai dit fuck au juge
Moi j'aurai dit fuck au juge
Fuck au juge au Japon =
Fuck au juge au Japon =
Non mais il n'habite pas au Japon à ce que je sache