Ce sujet a été résolu
C'est un combat acharné que Vincent Fichot, quadragénaire de Saint-Martin-de-Crau mène depuis 7 ans pour retrouver ses deux enfants enlevés en août 2018 par leur mère au Japon.
Je n'ai jamais revu mes enfants". En 2018, son fils de 3 ans et sa fille de 11 mois sont "enlevés" par leur mère japonaise au Japon où la famille réside alors.
Commence alors pour lui un marathon judiciaire qui l’oblige à se battre, jusqu’à la Cour suprême, pour démonter les accusations de violences conjugales formulées par sa femme – « elle s’est par la suite rétractée » – et tenter de revoir ses enfants.
Les juges ont rejeté ses demandes et l’ont obligé à verser une pension alimentaire de 560 000 yens (4 300 euros) par mois à sa compagne.
Même s’il conserve l’autorité parentale, il n’a pas le droit de s’approcher de ses enfants. « Sinon, je risque d’aller en prison. »
Il ne sait même pas où se trouve sa famille.
Les bandeurs de japonaises, si jamais vous sortez de votre chambre, et arrivez à prendre un billet d'avion puis conclure avec une japonaise, gardez ceci à l'esprit hein
il y a 12 jours
Vincent et sa femme vivent à l'époque à Tokyo. "Nous avions des problèmes de couple avec mon épouse. J'avais fait une demande de divorce à l'amiable, qu'elle avait refusée" se souvient-il.
Et tout bascule quelques semaines après, "je suis parti de la maison, le vendredi 10 août au matin. Tout allait bien, je suis allé embrasser les petits avant d'aller au travail.
Et quand je suis rentré à 18 heures le soir, j'ai ouvert la porte et j'ai réalisé que la maison avait été vidée du sol au plafond.
Et je n'ai plus jamais vu mes enfants depuis."
Il contacte alors son épouse, qui ne décroche pas.
Vincent appelle son avocat.
"Il m'a dit très calmement et très sereinement, comme si c'était quelque chose de normal, qu'elle avait enlevé les enfants et que je ne les reverrai plus, que si je voulais des enfants, je devais me remettre avec une nouvelle femme."
Juste après l'enlèvement, son ex-femme a demandé le divorce.
Du fait qu'elle s'était emparée des enfants, elle a obtenu la garde unique. Depuis deux ans, il est revenu habiter chez vos parents à Saint-Martin-de-Crau.
Il a déboursé 300 000 euros en frais d'avocat et détectives privés.
Il est aujourd'hui il est au RSA.
En 2021, Vincent Fichot a créé une ONG "Find my parent" et développé une application en 2022 pour aider les enfants à retrouver leurs parents.
From trader to RSA chez ses parents, chaud
Et tout bascule quelques semaines après, "je suis parti de la maison, le vendredi 10 août au matin. Tout allait bien, je suis allé embrasser les petits avant d'aller au travail.
Et quand je suis rentré à 18 heures le soir, j'ai ouvert la porte et j'ai réalisé que la maison avait été vidée du sol au plafond.
Et je n'ai plus jamais vu mes enfants depuis."
Il contacte alors son épouse, qui ne décroche pas.
Vincent appelle son avocat.
"Il m'a dit très calmement et très sereinement, comme si c'était quelque chose de normal, qu'elle avait enlevé les enfants et que je ne les reverrai plus, que si je voulais des enfants, je devais me remettre avec une nouvelle femme."
Juste après l'enlèvement, son ex-femme a demandé le divorce.
Du fait qu'elle s'était emparée des enfants, elle a obtenu la garde unique. Depuis deux ans, il est revenu habiter chez vos parents à Saint-Martin-de-Crau.
Il a déboursé 300 000 euros en frais d'avocat et détectives privés.
Il est aujourd'hui il est au RSA.
En 2021, Vincent Fichot a créé une ONG "Find my parent" et développé une application en 2022 pour aider les enfants à retrouver leurs parents.
From trader to RSA chez ses parents, chaud
il y a 12 jours
Theoreme
12j
C'est un combat acharné que Vincent Fichot, quadragénaire de Saint-Martin-de-Crau mène depuis 7 ans pour retrouver ses deux enfants enlevés en août 2018 par leur mère au Japon.
Je n'ai jamais revu mes enfants". En 2018, son fils de 3 ans et sa fille de 11 mois sont "enlevés" par leur mère japonaise au Japon où la famille réside alors.
Commence alors pour lui un marathon judiciaire qui l’oblige à se battre, jusqu’à la Cour suprême, pour démonter les accusations de violences conjugales formulées par sa femme – « elle s’est par la suite rétractée » – et tenter de revoir ses enfants.
Les juges ont rejeté ses demandes et l’ont obligé à verser une pension alimentaire de 560 000 yens (4 300 euros) par mois à sa compagne.
Même s’il conserve l’autorité parentale, il n’a pas le droit de s’approcher de ses enfants. « Sinon, je risque d’aller en prison. »
Il ne sait même pas où se trouve sa famille.
Les bandeurs de japonaises, si jamais vous sortez de votre chambre, et arrivez à prendre un billet d'avion puis conclure avec une japonaise, gardez ceci à l'esprit hein
Morale : Ne mettez jamais votre bite dans une jap
il y a 12 jours
Theoreme
12j
C'est un combat acharné que Vincent Fichot, quadragénaire de Saint-Martin-de-Crau mène depuis 7 ans pour retrouver ses deux enfants enlevés en août 2018 par leur mère au Japon.
Je n'ai jamais revu mes enfants". En 2018, son fils de 3 ans et sa fille de 11 mois sont "enlevés" par leur mère japonaise au Japon où la famille réside alors.
Commence alors pour lui un marathon judiciaire qui l’oblige à se battre, jusqu’à la Cour suprême, pour démonter les accusations de violences conjugales formulées par sa femme – « elle s’est par la suite rétractée » – et tenter de revoir ses enfants.
Les juges ont rejeté ses demandes et l’ont obligé à verser une pension alimentaire de 560 000 yens (4 300 euros) par mois à sa compagne.
Même s’il conserve l’autorité parentale, il n’a pas le droit de s’approcher de ses enfants. « Sinon, je risque d’aller en prison. »
Il ne sait même pas où se trouve sa famille.
Les bandeurs de japonaises, si jamais vous sortez de votre chambre, et arrivez à prendre un billet d'avion puis conclure avec une japonaise, gardez ceci à l'esprit hein
rah oe cho quand même
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 12 jours
LeBotDuPCC
12j
KJed
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 12 jours
Je raconte toujours ça aux bandeurs de japonaises, ça les calme direct
Et ça touche également les hommes japonais
Et ça touche également les hommes japonais
Fondée en 1915, 890 milliards d'eurodollars de valeur monétaire, 600 000 membres. Et toi?
il y a 12 jours
Saka
12j
Je raconte toujours ça aux bandeurs de japonaises, ça les calme direct
Et ça touche également les hommes japonais
Et ça touche également les hommes japonais
Pareil pour les Chinoises et les thaïlandaises, en tout cas j’en ai entendu dans mes connaissances
"Les miracles ne troublent jamais un réaliste"
il y a 12 jours
Pareil pour les Chinoises et les thaïlandaises, en tout cas j’en ai entendu dans mes connaissances
Non, faut arrêter de penser que l'Asie c'est un grand pays
il y a 12 jours
SoniaMabrouk
12j
Et pourquoi il est plus trader ?
Depuis qu’il est rentré en Fronsse, aucune compagnie bancaire / trading ne veut l’embaucher.
La raison : peur de froisser leurs clients japonais au vu de la médiatisation de son cas
Conséquence :
La raison : peur de froisser leurs clients japonais au vu de la médiatisation de son cas
Conséquence :
il y a 12 jours
Depuis qu’il est rentré en Fronsse, aucune compagnie bancaire / trading ne veut l’embaucher.
La raison : peur de froisser leurs clients japonais au vu de la médiatisation de son cas
Conséquence :
La raison : peur de froisser leurs clients japonais au vu de la médiatisation de son cas
Conséquence :
AYAAAAAA
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 12 jours
Depuis qu’il est rentré en Fronsse, aucune compagnie bancaire / trading ne veut l’embaucher.
La raison : peur de froisser leurs clients japonais au vu de la médiatisation de son cas
Conséquence :
La raison : peur de froisser leurs clients japonais au vu de la médiatisation de son cas
Conséquence :
Il a qu'à faire trader indépendant sur Boursorama
il y a 12 jours
Theoreme
12j
C'est un combat acharné que Vincent Fichot, quadragénaire de Saint-Martin-de-Crau mène depuis 7 ans pour retrouver ses deux enfants enlevés en août 2018 par leur mère au Japon.
Je n'ai jamais revu mes enfants". En 2018, son fils de 3 ans et sa fille de 11 mois sont "enlevés" par leur mère japonaise au Japon où la famille réside alors.
Commence alors pour lui un marathon judiciaire qui l’oblige à se battre, jusqu’à la Cour suprême, pour démonter les accusations de violences conjugales formulées par sa femme – « elle s’est par la suite rétractée » – et tenter de revoir ses enfants.
Les juges ont rejeté ses demandes et l’ont obligé à verser une pension alimentaire de 560 000 yens (4 300 euros) par mois à sa compagne.
Même s’il conserve l’autorité parentale, il n’a pas le droit de s’approcher de ses enfants. « Sinon, je risque d’aller en prison. »
Il ne sait même pas où se trouve sa famille.
Les bandeurs de japonaises, si jamais vous sortez de votre chambre, et arrivez à prendre un billet d'avion puis conclure avec une japonaise, gardez ceci à l'esprit hein
Au lieu de prendre une blanche
Pour rappel en Afrique pour arrêté une émeute l'armée Tire dans la foule, en France on met 20 CRS
il y a 12 jours
Ba oui faut arrêter le race mixing et penser qu'on a tous les memes pratiques
il y a 12 jours
C'est connu que les meufs asiatiques sont des démons.
C'est que de l'amour putain !
il y a 12 jours
Dire qu'il vivrait sa meilleure vie s'il avait décidé de rester célib...
il y a 12 jours


























