c'est l'invention qu'il fallait pour décimer les races de boue !
Par contre faudrait les habituer tôt à porter la lame à cause du catholicisme
Par contre faudrait les habituer tôt à porter la lame à cause du catholicisme
Merci beaucoup clef, ce film a l'air génial, en plus y'a les sous-titres en français !
J'allais te demander si c'était pas trop gore, alors j'ai regardé au hasard vers la 56ème min. et là c'était du léger gore/frissons à tendance plutôt comique...
Du coup je vais le regarder...
J'allais te demander si c'était pas trop gore, alors j'ai regardé au hasard vers la 56ème min. et là c'était du léger gore/frissons à tendance plutôt comique...
Du coup je vais le regarder...
Par contre faudrait les habituer tôt à porter la lame à cause du catholicisme
ah oui merde la plupart sont nègres
No Nut : 5ème régiment, matricule R5-05
ah oui merde la plupart sont nègres
Là c'est différent :
Mais l'histoire d'aiguille je suis sûr d'avoir déja vu/entendu ça
Mais l'histoire d'aiguille je suis sûr d'avoir déja vu/entendu ça
Putain c'est tellement intelligent
No Nut : 5ème régiment, matricule R5-05
Jaap Haumann
Un des premiers tampons féminins anti-viol prototypiques était inventé fin 2000 par Jaap Haumann, a Sud-africain l'homme, dans le but de prévenir viol'.[5] L'appareil de Haumann a été conçu pour ressembler à un tampon pour faciliter l'insertion et consistait en un noyau cylindrique en plastique dur contenant une lame à ressort tendue apprêtée à trancher lorsqu'elle était pressée par la pointe d'un pénis. Après l’activation, une partie de l’extrémité du pénis serait retirée, réalisant ainsi un mineur penectomie'.
(Ça c'est la vidéo que j'ai postée) :
Viol-aXe
Un préservatif féminin anti-viol utilisant un design différent a été inventé par Sonette Ehlers[TRADUCTION], un médecin sud-africain.[6] Ehlers a été motivée à le créer alors qu'elle travaillait comme technicienne en sang au sein du service sud-africain de transfusion sanguine, période pendant laquelle elle a rencontré de nombreuses victimes de viol. Ehlers a mentionné qu'elle avait été inspirée pour créer RAPEX (rebaptisé plus tard Rape-aXe) lorsqu'une patiente qui avait été violée a déclaré : « Si seulement j'avais des dents là-bas »[7] suggérant le mythe de la vagin dentée'. Initialement appelé RapeX, le nom a été changé en 2006 après avoir découvert que RAPEX est également un système d'avertissement de l'UE marchandises dangereuses sur le marché.
Le Rape-aXe est un latex gaine encastré avec des fûts pointus et orientés vers l'intérieur barbes cela serait porté par une femme en elle vagin comme un préservatif féminin'. Si un agresseur tentait un viol vaginal, son pénis pénétrerait dans la gaine de latex et serait accroché par les barbes, provoquant une douleur atroce à l'agresseur pendant le sevrage et donnant à la victime le temps de s'échapper. Le préservatif resterait attaché au corps de l'agresseur lorsqu'il se retirerait et ne pourrait être retiré que chirurgicalement,[8] ce qui alerterait le personnel hospitalier et la police. Comme la plupart des préservatifs, Rape-aXe prévient également généralement la grossesse et la transmission du VIH et des infections sexuellement transmissibles
Au final je trouve rien sur l'aiguille
Je pense que je me glisserais un genre de couteau coincé dans la chatte et ensuite j'essaierais de me faire violer pour découper le zgeg des violeurs et les marquer à vie ces fdp
En Asie ( Thaïlande ) certaines danseuses mettent une lame dans la chatte et découpent sur scène des carottes, des concombres….
Je suis le premier au buffet le lendemain.
Je suis le premier au buffet le lendemain.
En Asie ( Thaïlande ) certaines danseuses mettent une lame dans la chatte et découpent sur scène des carottes, des concombres….
Je suis le premier au buffet le lendemain.
Je suis le premier au buffet le lendemain.
Je suis sûr qu'un mec sur cette planète s'est découpé la bite en gardant les couilles et en se greffant un couteau pour devenir Chainsaw Balls
Jaap Haumann
Un des premiers tampons féminins anti-viol prototypiques était inventé fin 2000 par Jaap Haumann, a Sud-africain l'homme, dans le but de prévenir viol'.[5] L'appareil de Haumann a été conçu pour ressembler à un tampon pour faciliter l'insertion et consistait en un noyau cylindrique en plastique dur contenant une lame à ressort tendue apprêtée à trancher lorsqu'elle était pressée par la pointe d'un pénis. Après l’activation, une partie de l’extrémité du pénis serait retirée, réalisant ainsi un mineur penectomie'.
(Ça c'est la vidéo que j'ai postée) :
Viol-aXe
Un préservatif féminin anti-viol utilisant un design différent a été inventé par Sonette Ehlers[TRADUCTION], un médecin sud-africain.[6] Ehlers a été motivée à le créer alors qu'elle travaillait comme technicienne en sang au sein du service sud-africain de transfusion sanguine, période pendant laquelle elle a rencontré de nombreuses victimes de viol. Ehlers a mentionné qu'elle avait été inspirée pour créer RAPEX (rebaptisé plus tard Rape-aXe) lorsqu'une patiente qui avait été violée a déclaré : « Si seulement j'avais des dents là-bas »[7] suggérant le mythe de la vagin dentée'. Initialement appelé RapeX, le nom a été changé en 2006 après avoir découvert que RAPEX est également un système d'avertissement de l'UE marchandises dangereuses sur le marché.
Le Rape-aXe est un latex gaine encastré avec des fûts pointus et orientés vers l'intérieur barbes cela serait porté par une femme en elle vagin comme un préservatif féminin'. Si un agresseur tentait un viol vaginal, son pénis pénétrerait dans la gaine de latex et serait accroché par les barbes, provoquant une douleur atroce à l'agresseur pendant le sevrage et donnant à la victime le temps de s'échapper. Le préservatif resterait attaché au corps de l'agresseur lorsqu'il se retirerait et ne pourrait être retiré que chirurgicalement,[8] ce qui alerterait le personnel hospitalier et la police. Comme la plupart des préservatifs, Rape-aXe prévient également généralement la grossesse et la transmission du VIH et des infections sexuellement transmissibles
Au final je trouve rien sur l'aiguille
Apparemment les femmes dans les collectifs refusent d'avoir la charge mentale du viol, et elles préfèrent prendre le risque de se faire violer pour garder la liberté de ne pas avoir à penser à leurs protections féminines avant de sortir. Ce qui est concevable aussi en vrai
Apparemment les femmes dans les collectifs refusent d'avoir la charge mentale du viol, et elles préfèrent prendre le risque de se faire violer pour garder la liberté de ne pas avoir à penser à leurs protections féminines avant de sortir. Ce qui est concevable aussi en vrai