Ce sujet a été résolu
Il faut privilégier les gens qui sont vivants (nés) en priorité
donc :
En cas de risque pour la mère (ou si la mère est trop jeune)
En cas de malformations graves du bébé
En cas de viol
En cas de problèmes psy avérés de la mère
Ce qu'il faut arrêter c'est l'IVG de confort
En cas de risque pour la mère (ou si la mère est trop jeune)
En cas de malformations graves du bébé
En cas de viol
En cas de problèmes psy avérés de la mère
Ce qu'il faut arrêter c'est l'IVG de confort
Je suis d'accord avec le fait qu'il faille privilégier la vie de la mère en cas de choix.
Mais je ne suis pas d'accord sur le fait qu'il faille empêcher le futur enfant de profiter de la chance de vivre qui lui est offerte s'il est malformé ou que ses parents ont des problèmes psychiatriques avérés.
Premièrement, cela envoie le message aux handicapés qui sont nés et qui ont survécu que leur vie ne vaut pas la peine d'être vécue. Tous ne seront pas de cet avis.
De plus, il existe des institutions comme l'adoption ou les foyers pour laisser des enfants grandir loin de parents psychiatriquement inapte à élever un enfant.
Mais je ne suis pas d'accord sur le fait qu'il faille empêcher le futur enfant de profiter de la chance de vivre qui lui est offerte s'il est malformé ou que ses parents ont des problèmes psychiatriques avérés.
Premièrement, cela envoie le message aux handicapés qui sont nés et qui ont survécu que leur vie ne vaut pas la peine d'être vécue. Tous ne seront pas de cet avis.
De plus, il existe des institutions comme l'adoption ou les foyers pour laisser des enfants grandir loin de parents psychiatriquement inapte à élever un enfant.
Onche, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font
il y a 17 heures
où ça doit être consideré comme meurtre, ou alors on elargit la notion de foetus à tout être qui ne devient pas mature à terme et donc à tout les gauchistes.
il y a 17 heures
Je suis d'accord avec le fait qu'il faille privilégier la vie de la mère en cas de choix.
Mais je ne suis pas d'accord sur le fait qu'il faille empêcher le futur enfant de profiter de la chance de vivre qui lui est offerte s'il est malformé ou que ses parents ont des problèmes psychiatriques avérés.
Premièrement, cela envoie le message aux handicapés qui sont nés et qui ont survécu que leur vie ne vaut pas la peine d'être vécue. Tous ne seront pas de cet avis.
De plus, il existe des institutions comme l'adoption ou les foyers pour laisser des enfants grandir loin de parents psychiatriquement inapte à élever un enfant.
Mais je ne suis pas d'accord sur le fait qu'il faille empêcher le futur enfant de profiter de la chance de vivre qui lui est offerte s'il est malformé ou que ses parents ont des problèmes psychiatriques avérés.
Premièrement, cela envoie le message aux handicapés qui sont nés et qui ont survécu que leur vie ne vaut pas la peine d'être vécue. Tous ne seront pas de cet avis.
De plus, il existe des institutions comme l'adoption ou les foyers pour laisser des enfants grandir loin de parents psychiatriquement inapte à élever un enfant.
Y a pas de bonnes réponses de toute façon
Je parle des cas où c'est des trisomies graves ou le bébé meurt au bout de 3 ans c'est horrible
ou d'autres maladies de souffrances infinies, ou de mort infantile très tôt
Et pour une mère handicapé mental une grossesse ça risquerait d'empirer son cas
Je parle des cas où c'est des trisomies graves ou le bébé meurt au bout de 3 ans c'est horrible
Et pour une mère handicapé mental une grossesse ça risquerait d'empirer son cas
Quomodo vales ? Nam ego sum Solanum tuberosum !
il y a 17 heures
Y a pas de bonnes réponses de toute façon
Je parle des cas où c'est des trisomies graves ou le bébé meurt au bout de 3 ans c'est horrible
ou d'autres maladies de souffrances infinies, ou de mort infantile très tôt
Et pour une mère handicapé mental une grossesse ça risquerait d'empirer son cas
Je parle des cas où c'est des trisomies graves ou le bébé meurt au bout de 3 ans c'est horrible
Et pour une mère handicapé mental une grossesse ça risquerait d'empirer son cas
J'entends l'idée bien sûr. Mais je pense que la vie vaut toujours le coup d'être vécue, peu importe la quantité de souffrance qu'elle apporte. Mais je comprends qu'on puisse penser le contraire.
Pour le cas de la mère handicapée qui pourrait souffrir de la grossesse, c'est aussi une situation où je peux comprendre le positionnement. Peut-être qu'il faudrait effectivement mieux tuer l'embryon dans certains cas.
Pour le cas de la mère handicapée qui pourrait souffrir de la grossesse, c'est aussi une situation où je peux comprendre le positionnement. Peut-être qu'il faudrait effectivement mieux tuer l'embryon dans certains cas.
Onche, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font
il y a 17 heures
Y a pas de bonnes réponses de toute façon
Je parle des cas où c'est des trisomies graves ou le bébé meurt au bout de 3 ans c'est horrible
ou d'autres maladies de souffrances infinies, ou de mort infantile très tôt
Et pour une mère handicapé mental une grossesse ça risquerait d'empirer son cas
Je parle des cas où c'est des trisomies graves ou le bébé meurt au bout de 3 ans c'est horrible
Et pour une mère handicapé mental une grossesse ça risquerait d'empirer son cas
Oui, il n'y a pas de réponse arrêtée, chacun sa pensée et son positionnement moral. Je ne fais que partager le mien et ses justifications
Onche, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font
il y a 17 heures




















