Ce sujet a été résolu
C'est quelque chose que j'ai souvent entendu et c'est une idée qui persiste. J'ai l'impression qu'il faut faire partie d'une certaine élite pour pleinement apprécier la musique classique. Je me trompe peut-être et j'espère me tromper.
Qu'en pensez-vous ?
Qu'en pensez-vous ?
NNN 2025, matricule R1-10
il y a 5 jours
Kyrie
5j
Question souvent émise par les esprits les plus vulgaires qui soient
J'aime beaucoup la musique classique.
NNN 2025, matricule R1-10
il y a 5 jours
J'aime beaucoup la musique classique.
il y a 5 jours
HenriIV
5j
C'est quelque chose que j'ai souvent entendu et c'est une idée qui persiste. J'ai l'impression qu'il faut faire partie d'une certaine élite pour pleinement apprécier la musique classique. Je me trompe peut-être et j'espère me tromper.
Qu'en pensez-vous ?
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À une certaine époque, oui, elle n’était accessible qu’à une certaine classe, mais maintenant, tout le monde peut en profiter gratuitement et massivement
Cylindric le Germain ------ Authentique white trash de Lorraine
il y a 5 jours
À une certaine époque, oui, elle n’était accessible qu’à une certaine classe, mais maintenant, tout le monde peut en profiter gratuitement et massivement
Pourtant malgré son accessibilité, elle dégage encore une aura particulière. Comme ci elle était réservée a des initiées réellement capable de la comprends.
NNN 2025, matricule R1-10
il y a 5 jours
Tout raffinement de goût est élitiste par nature, puisqu'il s'affine en ayant une meilleure connaissance des autres oeuvres, de leur contexte, des techniques et procédés par lesquelles elles sont produites, etc.
Mais est-ce que cet ensemble de connaissance sur l'oeuvre et autour de l'oeuvre rend forcément le goût d'une personne supérieur à celui d'une autre ?
Non, pas forcément, il y a des gens forts savants dont le plaisir dérive plus dans l'accumulation pure des connaissances, et dans l'exercice de gymnastique intellectuelle auxquels ils se prêtent à leur sujet. Mais de goût pour la beauté des oeuvres, certain n'en ont presque aucun.
Le deuxième problème est de savoir si tous les goûts sont dans la nature, autrement dit si la beauté d'une oeuvre, affinée par la comparaison de la beauté d'autres oeuvres, et au besoin alimentée par des connaissances théoriques sur ces oeuvres, est finalement une chose purement subjective, ou s'il y a une échelle objective par laquelle on peut juger du goût des oeuvres.
Moi je pencherais pour la deuxième option. Je ne pense pas que la hiérarchisation du goût esthétique entre individus soit impossible car trop subjective. Je pense qu'il y a une certaine beauté universelle, ou idée de beauté, abstraite, vers laquelle tendent les oeuvres et le goût des esthètes.
Je ne pense pas non plus que tout n'est qu'une illusion qui varie en fonction de ce qu'une culture donnée considère comme socialement acceptable ou gratifiant d'aimer.
C'est vrai dans une large mesure, mais toute culture doit se développer par imitation et variations (de la simple variation à l'opposition) par rapport au passé et aux contemporains en son sein. Sans cela, il n'y aurait ni culture, ni art, ni goût, ni rien d'autre que du chaos.
Jusque maintenant perdurent des traditions culturelles encore assez hermétiques, disons entre la musique classique occidentale, celle indienne, etc. Mais ces frontières ont vocation, dans le mouvement d'uniformisation culturelle mondiale, à s'effacer, et il n'y aura qu'une culture alimentée de toutes et source de toute culture future.
Mais est-ce que cet ensemble de connaissance sur l'oeuvre et autour de l'oeuvre rend forcément le goût d'une personne supérieur à celui d'une autre ?
Non, pas forcément, il y a des gens forts savants dont le plaisir dérive plus dans l'accumulation pure des connaissances, et dans l'exercice de gymnastique intellectuelle auxquels ils se prêtent à leur sujet. Mais de goût pour la beauté des oeuvres, certain n'en ont presque aucun.
Le deuxième problème est de savoir si tous les goûts sont dans la nature, autrement dit si la beauté d'une oeuvre, affinée par la comparaison de la beauté d'autres oeuvres, et au besoin alimentée par des connaissances théoriques sur ces oeuvres, est finalement une chose purement subjective, ou s'il y a une échelle objective par laquelle on peut juger du goût des oeuvres.
Moi je pencherais pour la deuxième option. Je ne pense pas que la hiérarchisation du goût esthétique entre individus soit impossible car trop subjective. Je pense qu'il y a une certaine beauté universelle, ou idée de beauté, abstraite, vers laquelle tendent les oeuvres et le goût des esthètes.
Je ne pense pas non plus que tout n'est qu'une illusion qui varie en fonction de ce qu'une culture donnée considère comme socialement acceptable ou gratifiant d'aimer.
C'est vrai dans une large mesure, mais toute culture doit se développer par imitation et variations (de la simple variation à l'opposition) par rapport au passé et aux contemporains en son sein. Sans cela, il n'y aurait ni culture, ni art, ni goût, ni rien d'autre que du chaos.
Jusque maintenant perdurent des traditions culturelles encore assez hermétiques, disons entre la musique classique occidentale, celle indienne, etc. Mais ces frontières ont vocation, dans le mouvement d'uniformisation culturelle mondiale, à s'effacer, et il n'y aura qu'une culture alimentée de toutes et source de toute culture future.
il y a 5 jours
Pourtant malgré son accessibilité, elle dégage encore une aura particulière. Comme ci elle était réservée a des initiées réellement capable de la comprends.
Bah c'est pas tout à fait faux
Il faut être initié, il faut savoir l'apprécier. C'est comme le vin, il faut apprendre
Il y a une éducation musicale
Il faut être initié, il faut savoir l'apprécier. C'est comme le vin, il faut apprendre
Il y a une éducation musicale
Cylindric le Germain ------ Authentique white trash de Lorraine
il y a 5 jours
Tout raffinement de goût est élitiste par nature, puisqu'il s'affine en ayant une meilleure connaissance des autres oeuvres, de leur contexte, des techniques et procédés par lesquelles elles sont produites, etc.
Mais est-ce que cet ensemble de connaissance sur l'oeuvre et autour de l'oeuvre rend forcément le goût d'une personne supérieur à celui d'une autre ?
Non, pas forcément, il y a des gens forts savants dont le plaisir dérive plus dans l'accumulation pure des connaissances, et dans l'exercice de gymnastique intellectuelle auxquels ils se prêtent à leur sujet. Mais de goût pour la beauté des oeuvres, certain n'en ont presque aucun.
Le deuxième problème est de savoir si tous les goûts sont dans la nature, autrement dit si la beauté d'une oeuvre, affinée par la comparaison de la beauté d'autres oeuvres, et au besoin alimentée par des connaissances théoriques sur ces oeuvres, est finalement une chose purement subjective, ou s'il y a une échelle objective par laquelle on peut juger du goût des oeuvres.
Moi je pencherais pour la deuxième option. Je ne pense pas que la hiérarchisation du goût esthétique entre individus soit impossible car trop subjective. Je pense qu'il y a une certaine beauté universelle, ou idée de beauté, abstraite, vers laquelle tendent les oeuvres et le goût des esthètes.
Je ne pense pas non plus que tout n'est qu'une illusion qui varie en fonction de ce qu'une culture donnée considère comme socialement acceptable ou gratifiant d'aimer.
C'est vrai dans une large mesure, mais toute culture doit se développer par imitation et variations (de la simple variation à l'opposition) par rapport au passé et aux contemporains en son sein. Sans cela, il n'y aurait ni culture, ni art, ni goût, ni rien d'autre que du chaos.
Jusque maintenant perdurent des traditions culturelles encore assez hermétiques, disons entre la musique classique occidentale, celle indienne, etc. Mais ces frontières ont vocation, dans le mouvement d'uniformisation culturelle mondiale, à s'effacer, et il n'y aura qu'une culture alimentée de toutes et source de toute culture future.
Mais est-ce que cet ensemble de connaissance sur l'oeuvre et autour de l'oeuvre rend forcément le goût d'une personne supérieur à celui d'une autre ?
Non, pas forcément, il y a des gens forts savants dont le plaisir dérive plus dans l'accumulation pure des connaissances, et dans l'exercice de gymnastique intellectuelle auxquels ils se prêtent à leur sujet. Mais de goût pour la beauté des oeuvres, certain n'en ont presque aucun.
Le deuxième problème est de savoir si tous les goûts sont dans la nature, autrement dit si la beauté d'une oeuvre, affinée par la comparaison de la beauté d'autres oeuvres, et au besoin alimentée par des connaissances théoriques sur ces oeuvres, est finalement une chose purement subjective, ou s'il y a une échelle objective par laquelle on peut juger du goût des oeuvres.
Moi je pencherais pour la deuxième option. Je ne pense pas que la hiérarchisation du goût esthétique entre individus soit impossible car trop subjective. Je pense qu'il y a une certaine beauté universelle, ou idée de beauté, abstraite, vers laquelle tendent les oeuvres et le goût des esthètes.
Je ne pense pas non plus que tout n'est qu'une illusion qui varie en fonction de ce qu'une culture donnée considère comme socialement acceptable ou gratifiant d'aimer.
C'est vrai dans une large mesure, mais toute culture doit se développer par imitation et variations (de la simple variation à l'opposition) par rapport au passé et aux contemporains en son sein. Sans cela, il n'y aurait ni culture, ni art, ni goût, ni rien d'autre que du chaos.
Jusque maintenant perdurent des traditions culturelles encore assez hermétiques, disons entre la musique classique occidentale, celle indienne, etc. Mais ces frontières ont vocation, dans le mouvement d'uniformisation culturelle mondiale, à s'effacer, et il n'y aura qu'une culture alimentée de toutes et source de toute culture future.
Il est 1h15 du matin doucement sur les pavés quand même
il y a 5 jours
Il est 1h15 du matin doucement sur les pavés quand même
il y a 5 jours
Tout raffinement de goût est élitiste par nature, puisqu'il s'affine en ayant une meilleure connaissance des autres oeuvres, de leur contexte, des techniques et procédés par lesquelles elles sont produites, etc.
Mais est-ce que cet ensemble de connaissance sur l'oeuvre et autour de l'oeuvre rend forcément le goût d'une personne supérieur à celui d'une autre ?
Non, pas forcément, il y a des gens forts savants dont le plaisir dérive plus dans l'accumulation pure des connaissances, et dans l'exercice de gymnastique intellectuelle auxquels ils se prêtent à leur sujet. Mais de goût pour la beauté des oeuvres, certain n'en ont presque aucun.
Le deuxième problème est de savoir si tous les goûts sont dans la nature, autrement dit si la beauté d'une oeuvre, affinée par la comparaison de la beauté d'autres oeuvres, et au besoin alimentée par des connaissances théoriques sur ces oeuvres, est finalement une chose purement subjective, ou s'il y a une échelle objective par laquelle on peut juger du goût des oeuvres.
Moi je pencherais pour la deuxième option. Je ne pense pas que la hiérarchisation du goût esthétique entre individus soit impossible car trop subjective. Je pense qu'il y a une certaine beauté universelle, ou idée de beauté, abstraite, vers laquelle tendent les oeuvres et le goût des esthètes.
Je ne pense pas non plus que tout n'est qu'une illusion qui varie en fonction de ce qu'une culture donnée considère comme socialement acceptable ou gratifiant d'aimer.
C'est vrai dans une large mesure, mais toute culture doit se développer par imitation et variations (de la simple variation à l'opposition) par rapport au passé et aux contemporains en son sein. Sans cela, il n'y aurait ni culture, ni art, ni goût, ni rien d'autre que du chaos.
Jusque maintenant perdurent des traditions culturelles encore assez hermétiques, disons entre la musique classique occidentale, celle indienne, etc. Mais ces frontières ont vocation, dans le mouvement d'uniformisation culturelle mondiale, à s'effacer, et il n'y aura qu'une culture alimentée de toutes et source de toute culture future.
Mais est-ce que cet ensemble de connaissance sur l'oeuvre et autour de l'oeuvre rend forcément le goût d'une personne supérieur à celui d'une autre ?
Non, pas forcément, il y a des gens forts savants dont le plaisir dérive plus dans l'accumulation pure des connaissances, et dans l'exercice de gymnastique intellectuelle auxquels ils se prêtent à leur sujet. Mais de goût pour la beauté des oeuvres, certain n'en ont presque aucun.
Le deuxième problème est de savoir si tous les goûts sont dans la nature, autrement dit si la beauté d'une oeuvre, affinée par la comparaison de la beauté d'autres oeuvres, et au besoin alimentée par des connaissances théoriques sur ces oeuvres, est finalement une chose purement subjective, ou s'il y a une échelle objective par laquelle on peut juger du goût des oeuvres.
Moi je pencherais pour la deuxième option. Je ne pense pas que la hiérarchisation du goût esthétique entre individus soit impossible car trop subjective. Je pense qu'il y a une certaine beauté universelle, ou idée de beauté, abstraite, vers laquelle tendent les oeuvres et le goût des esthètes.
Je ne pense pas non plus que tout n'est qu'une illusion qui varie en fonction de ce qu'une culture donnée considère comme socialement acceptable ou gratifiant d'aimer.
C'est vrai dans une large mesure, mais toute culture doit se développer par imitation et variations (de la simple variation à l'opposition) par rapport au passé et aux contemporains en son sein. Sans cela, il n'y aurait ni culture, ni art, ni goût, ni rien d'autre que du chaos.
Jusque maintenant perdurent des traditions culturelles encore assez hermétiques, disons entre la musique classique occidentale, celle indienne, etc. Mais ces frontières ont vocation, dans le mouvement d'uniformisation culturelle mondiale, à s'effacer, et il n'y aura qu'une culture alimentée de toutes et source de toute culture future.
La musique parle à l'âme, tu auras beau accumuler toutes les connaissances que tu veux, si ton âme n'apprécie pas la musique, y'a rien à faire (à part faire semblant d'apprécier aux yeux des autres)
je ne suis pas un sachant de la théorie de la musique, et pourtant elle me touche comme aucun autre genre de musique
je ne suis pas un sachant de la théorie de la musique, et pourtant elle me touche comme aucun autre genre de musique

il y a 5 jours
L'élitisme, cette fraude. Chacun écoute le style qu'il veut.
A l'époque c'était le fait de simplement danser qui était une question d'élitisme
A l'époque c'était le fait de simplement danser qui était une question d'élitisme
il y a 5 jours
HenriIV
5j
C'est quelque chose que j'ai souvent entendu et c'est une idée qui persiste. J'ai l'impression qu'il faut faire partie d'une certaine élite pour pleinement apprécier la musique classique. Je me trompe peut-être et j'espère me tromper.
Qu'en pensez-vous ?
Qu'en pensez-vous ?
Musique classique : l'élite mondiale
Le rap : les déchets de l'humanité
Le rap : les déchets de l'humanité
il y a 5 jours
Celle symphonique oui.
Dynamiques humaines infectes au sein d'un orchestre, égocentrisme, jalousie, humiliations. L'esthétique s'en ressent et plaît donc à des mélomanes partageant ces défauts.
Les orchestres symphoniques ont été conçus pour faire du volume sonore en multipliant les pupitres, sauf ceux des solistes. Afin de plaire à de grands parterres de nantis et leur en mettre plein les oreilles.
La musique symphonique est donc à la fois un loisir très huppé, mais étrangement grossier, puisque reposant beaucoup sur le volume sonore, et les névroses de grandiloquence du chef d'orchestre manipulant celles des solistes.
Elle peut prendre un sens intéressant chez des compositeurs comme Stravinsky qui exploitait sans vergogne l'aspect grossier et primal du volume, et allait même jusqu'à inclure des coups de canon dans ses oeuvres.
Les oeuvres pour quatuors ou instruments seuls, beaucoup moins voire pas du tout. En raison notamment des inspirations puisées dans les musiques populaires.(Exception dans celle symphonique: Bartok). Et si l'interprète est une bonne personne généreuse, humaine et passionnëe, le résultat transmet toutes ces bonnes vibrations.
Alors qu'un orchestre ne délivrera jamais qu'un paquet de névroses, de tensions, de jalousies, mises en forme par le plus taré d'entre tous, le chef de cuisine.
Je parierais sans crainte que dans la musique savante européenne, on trouve les plus infernaux et vicieux trous du cul dans le secteur de la musique symphonique, musiciens comme simples auditeurs.
Dynamiques humaines infectes au sein d'un orchestre, égocentrisme, jalousie, humiliations. L'esthétique s'en ressent et plaît donc à des mélomanes partageant ces défauts.
Les orchestres symphoniques ont été conçus pour faire du volume sonore en multipliant les pupitres, sauf ceux des solistes. Afin de plaire à de grands parterres de nantis et leur en mettre plein les oreilles.
La musique symphonique est donc à la fois un loisir très huppé, mais étrangement grossier, puisque reposant beaucoup sur le volume sonore, et les névroses de grandiloquence du chef d'orchestre manipulant celles des solistes.
Elle peut prendre un sens intéressant chez des compositeurs comme Stravinsky qui exploitait sans vergogne l'aspect grossier et primal du volume, et allait même jusqu'à inclure des coups de canon dans ses oeuvres.
Les oeuvres pour quatuors ou instruments seuls, beaucoup moins voire pas du tout. En raison notamment des inspirations puisées dans les musiques populaires.(Exception dans celle symphonique: Bartok). Et si l'interprète est une bonne personne généreuse, humaine et passionnëe, le résultat transmet toutes ces bonnes vibrations.
Alors qu'un orchestre ne délivrera jamais qu'un paquet de névroses, de tensions, de jalousies, mises en forme par le plus taré d'entre tous, le chef de cuisine.
Je parierais sans crainte que dans la musique savante européenne, on trouve les plus infernaux et vicieux trous du cul dans le secteur de la musique symphonique, musiciens comme simples auditeurs.
il y a 4 jours
HenriIV
5j
C'est quelque chose que j'ai souvent entendu et c'est une idée qui persiste. J'ai l'impression qu'il faut faire partie d'une certaine élite pour pleinement apprécier la musique classique. Je me trompe peut-être et j'espère me tromper.
Qu'en pensez-vous ?
Qu'en pensez-vous ?
C'était le cas à des siècles précédents mais plus maintenant vu qu'on peut tous s'en procurer facilement
Coucou
il y a 4 jours
HenriIV
5j
C'est quelque chose que j'ai souvent entendu et c'est une idée qui persiste. J'ai l'impression qu'il faut faire partie d'une certaine élite pour pleinement apprécier la musique classique. Je me trompe peut-être et j'espère me tromper.
Qu'en pensez-vous ?
Qu'en pensez-vous ?
Bah comme tout ce qui a de la qualité, tu apprécies mieux quand tu connais mieux.
il y a 4 jours
Je ne pense pas qu'elle soit par essence élitiste, comme peuvent l'être d'autres formes d'arts comme la musique expérimentale (qui nécessite déjà l'acceptation de l'abstraction et une culture musicale pour comprendre où se place l'expérience). Par contre, culturellement, seules les élites y sont exposées
Ca veut dire que c'est tout à fait accessible aux prolos, mais n'y étant jamais exposés ils ne le savent pas
Ca veut dire que c'est tout à fait accessible aux prolos, mais n'y étant jamais exposés ils ne le savent pas
il y a 4 jours
Je ne pense pas qu'elle soit par essence élitiste, comme peuvent l'être d'autres formes d'arts comme la musique expérimentale (qui nécessite déjà l'acceptation de l'abstraction et une culture musicale pour comprendre où se place l'expérience). Par contre, culturellement, seules les élites y sont exposées
Ca veut dire que c'est tout à fait accessible aux prolos, mais n'y étant jamais exposés ils ne le savent pas
Ca veut dire que c'est tout à fait accessible aux prolos, mais n'y étant jamais exposés ils ne le savent pas
Meme si tu nait dans une famille prolo, au bout d'un moment la curiosité de pousse à t'elever interieurement. Surtout à l'heure d'internet où tout est accessible.
Si cette curiosité ne vient jamais, c'est que t'es fais pour etre un bete esclave du systeme capitaliste abrutissant.
Si cette curiosité ne vient jamais, c'est que t'es fais pour etre un bete esclave du systeme capitaliste abrutissant.
il y a 4 jours
Meme si tu nait dans une famille prolo, au bout d'un moment la curiosité de pousse à t'elever interieurement. Surtout à l'heure d'internet où tout est accessible.
Si cette curiosité ne vient jamais, c'est que t'es fais pour etre un bete esclave du systeme capitaliste abrutissant.
Si cette curiosité ne vient jamais, c'est que t'es fais pour etre un bete esclave du systeme capitaliste abrutissant.
J'ai une énorme curiosité, mais je n'ai jamais été naturellement attiré par la musique classique, justement parce que je voyais ça comme pompeux et prétentieux comme style musical.
Pour la musique plus que n'importe quel autre art, les idées reçues de "qui" écoute tel style musical est un énorme bloquant. Regarde, qui que tu sois, tu n'as probablement jamais fait l'effort d'aller voir les meilleurs oeuvres du rap, du rock, du classique, de l'électro... à la fois. Toujours enclin à rejeter de bloc tout un style.
Pour la musique plus que n'importe quel autre art, les idées reçues de "qui" écoute tel style musical est un énorme bloquant. Regarde, qui que tu sois, tu n'as probablement jamais fait l'effort d'aller voir les meilleurs oeuvres du rap, du rock, du classique, de l'électro... à la fois. Toujours enclin à rejeter de bloc tout un style.
il y a 4 jours





















