je peux inviter le pape à dîner ?
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
Rejoignez la grande église orthodoxe
Pov toi devant nous les catholiques
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
Oui, ça te permet de faire des actions en liant avec le règlement
Merci.
Pour ma première action en tant que nouveau dirigeant du Royaume d'Angleterre, je déclare officiellement dépenser 25 PA pour faire passer une loi contre la corruption qui gangrène mon beau pays.
Je ne SUPPORTE plus tous ces officiers qui acceptent des pots de vins pour faire rentrer en douce de l'herbe du démon sur mon territoire, mais aussi des brevages alcoolisés frelatés et des esclaves sexuels, qui affaiblissent mes citoyens et mes soldats et circulent en toute clandestinité. De plus cette loi me permettra de mieux surveiller les éventuels complots à mon égard. Elle encadre la création d'une garde spéciale du Roi qui aura toute légitimité pour intervenir sur mes ordres, si des lieux ou des personnes sont détectés par mes services d'espionnage comme contrevenant à cette loi.
Je déclare également demander une alliance officielle avec le Royaume du Portugal mais je sais pas combien cela coûte en point d'action.
Je souhaite enfin sceller cette alliance par un Mariage entre @CielBleu et moi ce qui, si j'ai bien compris, ne devrais rien me coûter;
Merci de me préciser si il me reste des points d'action @Armouare pour que je puisse le cas échéant, continuer ce tour.
Pour ma première action en tant que nouveau dirigeant du Royaume d'Angleterre, je déclare officiellement dépenser 25 PA pour faire passer une loi contre la corruption qui gangrène mon beau pays.
Je ne SUPPORTE plus tous ces officiers qui acceptent des pots de vins pour faire rentrer en douce de l'herbe du démon sur mon territoire, mais aussi des brevages alcoolisés frelatés et des esclaves sexuels, qui affaiblissent mes citoyens et mes soldats et circulent en toute clandestinité. De plus cette loi me permettra de mieux surveiller les éventuels complots à mon égard. Elle encadre la création d'une garde spéciale du Roi qui aura toute légitimité pour intervenir sur mes ordres, si des lieux ou des personnes sont détectés par mes services d'espionnage comme contrevenant à cette loi.
Je déclare également demander une alliance officielle avec le Royaume du Portugal mais je sais pas combien cela coûte en point d'action.
Je souhaite enfin sceller cette alliance par un Mariage entre @CielBleu et moi ce qui, si j'ai bien compris, ne devrais rien me coûter;
Merci de me préciser si il me reste des points d'action @Armouare pour que je puisse le cas échéant, continuer ce tour.
Je ferai le repas
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
C'est même plutôt l'inverse
non ? au contraire, que je gagne ou que je perde militairement, je renforce mon rôle diplomatique, je renforce mon rôle religieux, je renforce mon économie
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
Te dégager de Hongrie
La Hongrie qui fait chier les Bohémiens puis les Autrichiens et maintenant l'union Européenne c'est marrant de voir qui ont toujours contesté leurs suzerain jusqu'à aujourd'hui
Tu comptes l'empoisonner ?
non, je ne suis pas assez idiot pour faire ça
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
Merci.
Pour ma première action en tant que nouveau dirigeant du Royaume d'Angleterre, je déclare officiellement dépenser 25 PA pour faire passer une loi contre la corruption qui gangrène mon beau pays.
Je ne SUPPORTE plus tous ces officiers qui acceptent des pots de vins pour faire rentrer en douce de l'herbe du démon sur mon territoire, mais aussi des brevages alcoolisés frelatés et des esclaves sexuels, qui affaiblissent mes citoyens et mes soldats et circulent en toute clandestinité. De plus cette loi me permettra de mieux surveiller les éventuels complots à mon égard. Elle encadre la création d'une garde spéciale du Roi qui aura toute légitimité pour intervenir sur mes ordres, si des lieux ou des personnes sont détectés par mes services d'espionnage comme contrevenant à cette loi.
Je déclare également demander une alliance officielle avec le Royaume du Portugal mais je sais pas combien cela coûte en point d'action.
Je souhaite enfin sceller cette alliance par un Mariage entre @CielBleu et moi ce qui, si j'ai bien compris, ne devrais rien me coûter;
Merci de me préciser si il me reste des points d'action @Armouare pour que je puisse le cas échéant, continuer ce tour.
Pour ma première action en tant que nouveau dirigeant du Royaume d'Angleterre, je déclare officiellement dépenser 25 PA pour faire passer une loi contre la corruption qui gangrène mon beau pays.
Je ne SUPPORTE plus tous ces officiers qui acceptent des pots de vins pour faire rentrer en douce de l'herbe du démon sur mon territoire, mais aussi des brevages alcoolisés frelatés et des esclaves sexuels, qui affaiblissent mes citoyens et mes soldats et circulent en toute clandestinité. De plus cette loi me permettra de mieux surveiller les éventuels complots à mon égard. Elle encadre la création d'une garde spéciale du Roi qui aura toute légitimité pour intervenir sur mes ordres, si des lieux ou des personnes sont détectés par mes services d'espionnage comme contrevenant à cette loi.
Je déclare également demander une alliance officielle avec le Royaume du Portugal mais je sais pas combien cela coûte en point d'action.
Je souhaite enfin sceller cette alliance par un Mariage entre @CielBleu et moi ce qui, si j'ai bien compris, ne devrais rien me coûter;
Merci de me préciser si il me reste des points d'action @Armouare pour que je puisse le cas échéant, continuer ce tour.
Salut, je suis le roi d'Espagne, j'étais l'allié de ton prédécesseur avant qu'il disparaisse
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
Je ferai le repas
un roi cuisinier ?
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
Et moi je vous donnerai du plombir
Merci.
Pour ma première action en tant que nouveau dirigeant du Royaume d'Angleterre, je déclare officiellement dépenser 25 PA pour faire passer une loi contre la corruption qui gangrène mon beau pays.
Je ne SUPPORTE plus tous ces officiers qui acceptent des pots de vins pour faire rentrer en douce de l'herbe du démon sur mon territoire, mais aussi des brevages alcoolisés frelatés et des esclaves sexuels, qui affaiblissent mes citoyens et mes soldats et circulent en toute clandestinité. De plus cette loi me permettra de mieux surveiller les éventuels complots à mon égard. Elle encadre la création d'une garde spéciale du Roi qui aura toute légitimité pour intervenir sur mes ordres, si des lieux ou des personnes sont détectés par mes services d'espionnage comme contrevenant à cette loi.
Je déclare également demander une alliance officielle avec le Royaume du Portugal mais je sais pas combien cela coûte en point d'action.
Je souhaite enfin sceller cette alliance par un Mariage entre @CielBleu et moi ce qui, si j'ai bien compris, ne devrais rien me coûter;
Merci de me préciser si il me reste des points d'action @Armouare pour que je puisse le cas échéant, continuer ce tour.
Pour ma première action en tant que nouveau dirigeant du Royaume d'Angleterre, je déclare officiellement dépenser 25 PA pour faire passer une loi contre la corruption qui gangrène mon beau pays.
Je ne SUPPORTE plus tous ces officiers qui acceptent des pots de vins pour faire rentrer en douce de l'herbe du démon sur mon territoire, mais aussi des brevages alcoolisés frelatés et des esclaves sexuels, qui affaiblissent mes citoyens et mes soldats et circulent en toute clandestinité. De plus cette loi me permettra de mieux surveiller les éventuels complots à mon égard. Elle encadre la création d'une garde spéciale du Roi qui aura toute légitimité pour intervenir sur mes ordres, si des lieux ou des personnes sont détectés par mes services d'espionnage comme contrevenant à cette loi.
Je déclare également demander une alliance officielle avec le Royaume du Portugal mais je sais pas combien cela coûte en point d'action.
Je souhaite enfin sceller cette alliance par un Mariage entre @CielBleu et moi ce qui, si j'ai bien compris, ne devrais rien me coûter;
Merci de me préciser si il me reste des points d'action @Armouare pour que je puisse le cas échéant, continuer ce tour.
Ayaaaaaaaaaa direct un mariage
jpp
Un mariage gay ataoy on va se prendre une croisade dans la gueule
Par contre ça unifierait un empire conséquent
Un mariage gay ataoy on va se prendre une croisade dans la gueule
Par contre ça unifierait un empire conséquent
Il y'aura l'ingrédient surprise du chef
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
(narratif)
L’empereur Athénique se tenait face à la mer, immobile sur les hauteurs de Tunis.
L’océan s’étendait devant lui comme une promesse désormais inutile. Les vagues montaient, retombaient, revenaient encore, toujours fidèles à leur mouvement. Lui ne l’était plus au sien. Le vent passait dans sa cape sans y trouver de résistance, comme s’il traversait un homme déjà absent.
Il avait conquis, marché, ordonné, renversé. Il avait brûlé des cités, fait plier des rois, déplacé des frontières d’un simple geste. Il avait connu le fracas des batailles, le tumulte des charges, l’odeur âcre du fer chaud et du sang. Et maintenant, plus rien ne l’appelait. La Sicile, il l’avait désirée comme on désire une idée plus qu’un lieu, une dernière note à sa symphonie de conquêtes. Mais la Sicile restait close, non pas par les murs, mais par les hommes. Son allié refusait de la lui céder. On ne lui refusait pas une île — on lui refusait un sens.
Alors il regardait l’eau.
Il regardait longtemps, comme on attend une réponse qui ne viendra pas. L’ennui n’était pas brutal, il était lent, profond, étiré comme l’horizon. Il se couchait en lui chaque matin et se relevait chaque soir sans avoir changé de place.
Il n’y avait plus de messagers haletants, plus de cartes étalées sur les tables, plus de généraux penchés sur des plans incertains. Il n’y avait plus que le temps, immense, inutile, pesant.
Il se surprenait à envier les marins anonymes, ceux qui n’avaient ni gloire à défendre, ni nom à porter comme un fardeau.
Eux partaient sans légende, revenaient sans histoire. Lui, il portait un empire inutile pour un cœur vide. Il avait gagné toutes ses guerres, et perdu ce qui justifiait de les mener. Autrefois, chaque matin était une décision. Désormais, chaque matin était une répétition.
Parfois, ses pensées dérivaient malgré lui. Il revoyait les plaines poussiéreuses, les étendards déployés à l’aube, les chevaux frémissants dans la brume.
Il entendait encore les cris de guerre, les tambours, le galop qui faisait trembler la terre. Il revoyait ses soldats, jeunes, pleins d’élan, certains morts depuis longtemps, d’autres vieillis trop vite.
Il se souvenait de l’ivresse étrange de la veille des combats, ce mélange de peur et de grandeur qui donnait à la vie une densité absolue.
Ici, à Tunis, tout était stable. Trop stable. Les jours s’empilaient comme des pierres parfaitement taillées, sans aspérité.
Il n’y avait plus de hasard, plus de vertige, plus de risque. Même la mort semblait l’avoir oublié.
« J’ai voulu trop loin, pensa-t-il. Et me voilà arrêté par trop peu. »
Il comprenait soudain que la victoire était un feu qui ne réchauffe qu’un temps.
Après, il ne reste que des cendres bien rangées.
La gloire, elle aussi, refroidit.
Elle devient un récit que les autres racontent à votre place, un souvenir figé qui ne vous appartient déjà plus.
Autrefois, chaque horizon était un défi. À présent, chaque horizon ressemblait à une limite.
La nuit descendait lentement sur Tunis.
Les lumières s’allumaient une à une dans la ville, comme des étoiles modestes tombées sur la pierre. Les bruits montaient doucement : des voix, des pas, des rires lointains.
La vie continuait sans lui, paisible, indifférente.
L’empereur, lui, n’avait plus d’ennemi extérieur.
Son dernier territoire était l’ennui.
Son dernier champ de bataille, le silence.
Et pour la première fois de toute sa vie, il se demanda si le plus dur n’était pas de vivre après avoir tout voulu. Et il pleura en regardant la Mer.
L’empereur Athénique se tenait face à la mer, immobile sur les hauteurs de Tunis.
L’océan s’étendait devant lui comme une promesse désormais inutile. Les vagues montaient, retombaient, revenaient encore, toujours fidèles à leur mouvement. Lui ne l’était plus au sien. Le vent passait dans sa cape sans y trouver de résistance, comme s’il traversait un homme déjà absent.
Il avait conquis, marché, ordonné, renversé. Il avait brûlé des cités, fait plier des rois, déplacé des frontières d’un simple geste. Il avait connu le fracas des batailles, le tumulte des charges, l’odeur âcre du fer chaud et du sang. Et maintenant, plus rien ne l’appelait. La Sicile, il l’avait désirée comme on désire une idée plus qu’un lieu, une dernière note à sa symphonie de conquêtes. Mais la Sicile restait close, non pas par les murs, mais par les hommes. Son allié refusait de la lui céder. On ne lui refusait pas une île — on lui refusait un sens.
Alors il regardait l’eau.
Il regardait longtemps, comme on attend une réponse qui ne viendra pas. L’ennui n’était pas brutal, il était lent, profond, étiré comme l’horizon. Il se couchait en lui chaque matin et se relevait chaque soir sans avoir changé de place.
Il n’y avait plus de messagers haletants, plus de cartes étalées sur les tables, plus de généraux penchés sur des plans incertains. Il n’y avait plus que le temps, immense, inutile, pesant.
Il se surprenait à envier les marins anonymes, ceux qui n’avaient ni gloire à défendre, ni nom à porter comme un fardeau.
Eux partaient sans légende, revenaient sans histoire. Lui, il portait un empire inutile pour un cœur vide. Il avait gagné toutes ses guerres, et perdu ce qui justifiait de les mener. Autrefois, chaque matin était une décision. Désormais, chaque matin était une répétition.
Parfois, ses pensées dérivaient malgré lui. Il revoyait les plaines poussiéreuses, les étendards déployés à l’aube, les chevaux frémissants dans la brume.
Il entendait encore les cris de guerre, les tambours, le galop qui faisait trembler la terre. Il revoyait ses soldats, jeunes, pleins d’élan, certains morts depuis longtemps, d’autres vieillis trop vite.
Il se souvenait de l’ivresse étrange de la veille des combats, ce mélange de peur et de grandeur qui donnait à la vie une densité absolue.
Ici, à Tunis, tout était stable. Trop stable. Les jours s’empilaient comme des pierres parfaitement taillées, sans aspérité.
Il n’y avait plus de hasard, plus de vertige, plus de risque. Même la mort semblait l’avoir oublié.
« J’ai voulu trop loin, pensa-t-il. Et me voilà arrêté par trop peu. »
Il comprenait soudain que la victoire était un feu qui ne réchauffe qu’un temps.
Après, il ne reste que des cendres bien rangées.
La gloire, elle aussi, refroidit.
Elle devient un récit que les autres racontent à votre place, un souvenir figé qui ne vous appartient déjà plus.
Autrefois, chaque horizon était un défi. À présent, chaque horizon ressemblait à une limite.
La nuit descendait lentement sur Tunis.
Les lumières s’allumaient une à une dans la ville, comme des étoiles modestes tombées sur la pierre. Les bruits montaient doucement : des voix, des pas, des rires lointains.
La vie continuait sans lui, paisible, indifférente.
L’empereur, lui, n’avait plus d’ennemi extérieur.
Son dernier territoire était l’ennui.
Son dernier champ de bataille, le silence.
Et pour la première fois de toute sa vie, il se demanda si le plus dur n’était pas de vivre après avoir tout voulu. Et il pleura en regardant la Mer.
Bordel mais
MITAAAAA 
Dans ce cas, il ne me reste plus qu’à attendre
