Le seul problème de la France est précisément celui dont personne ne parle. Au risque de paraître

« Par là tous sauront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l'amour les uns pour les autres » (JEAN 13:35).

Et des juifs

"Le problème c'est la disparition de l'amour"

Forçons les gens qui ne s'aiment plus à rester ensemble dans ce cas

Je pense que tu idéalises la formule à l’ancienne et que si on est tombé pour pas mal dans la caricature inverse actuellement c’est bien que ce système induisait du ressentiment et était plutôt injuste.

Par contre je suis d’accord sur le fait que les gens doivent apprendre â ne pas voir les relations uniquement comme des consommables qu’on vit tel une sitcom bas de gamme ou les épisodes s’enchainent sans saveur et doivent apprendre à plus se respecter ainsi que respecter les autres

Bon c’est niais mais je reste d’accord sur le fait que le système actuel est pas viable au niveau demographique et santé mentale, que ça soit pour les individus qui ne se respectent pas et se déchirent bien souvent pendant et après la séparation, et les enfants qui subissent un abandon pour des besoins bien souvent égoistes des parents qui pensaient que les enfants seraient un patchwork relationnel

Disons qu’il faut plutôt apprendre aux gens que l’amour c’est pas systématiquement comme dans les films américains un truc passionnel qui dure éternellement mais bien une maison imparfaite à construire à deux, enfin si tu veux que ça marche, et accepter les hauts comme les bas, plutôt que de couper la porte de sortie, le divorce est très important, c’est pas ça qu’il faut toucher

En fait, la principale erreur sur le plan conceptuel sous-jacente à la conception moderne totalement dévoyée de l'amour, c'est de croire que l'amour est une passion.

C'est-à-dire de croire que c'est quelque chose qui te tombe dessus, que tu ne peux pas maîtriser, comme les coups de foudre dans les films.

Alors que cette passion, ça s'appelle "l'état amoureux". "Être amoureux" de quelqu'un, ce n'est pas la même chose que "aimer" quelqu'un.

L'amour, au contraire, est un choix et une action. On choisit oui ou non d'aimer quelqu'un, comme on choisit d'écrire un livre, comme on choisit d'apprendre un instrument de musique, etc... Et d'ailleurs, choisir d'apprendre un instrument de musique est une forme d'amour aussi (et c'est pour ça qu'à notre époque il y a de moins en moins de musiciens et les gens chantent de moins en moins).

Non mais tu as raison l'opax.

Les gens sont toujours dans la colère, le mépris, et ne savent jamais voir ce qui va bien, l'apprécier, en tirer du bonheur.

Quoi que tu fasses de bien , ce qui compte c'est ce que tu fais mal. Et on se focalise dessus et on rage.

Ca va pas bien dans la vie des gens, souvent à cause d'eux-mêmes, de leur propre bêtise, et donc ils reportent leur colère sur les autres.

Les gens sont intransigeants, capricieux, intolérants, ils créent un monde qui les juge, les rabaisse, les asservit, ils en souffrent et deviennent pires encore, avec ceux qu'ils ont entre leurs mains.

C'est parce qu'ils sont inaptes à l'amour en fait.

L'amour c'est savoir reconnaître les siens comme tels et les prioriser.

C'est facile d'aimer les petits animaux, les petits chats, les petits chiens, les petits oiseaux, les petits bébés.
C'est moins facile d'aimer son fils adolescent, sa fille prépubère, ses vieux parents, ses frères et soeurs, ses cousins. D'aimer son peuple, d'aimer ses subalternes, ses chefs, ses collègues.
C'est facile d'aimer tout le monde, d'être "humaniste", c'est moins facile d'aimer ceux qui sont proches de soi plus qu'on aime les parfaits étrangers.
C'est facile d'aimer l'hindou qui mange pour 50 centimes de farine par jour, c'est moins facile d'aimer son voisin qui fait des repas à 5 euros.

Mes parents avaient une voisine qui leur a confié son incapacité à éprouver de l'amour pour sa fille, des sentiments maternels. Cette femme était grosse, peu féminine. C'était une rageuse notoire, prête à en découdre physiquement avec les autres femmes, par jalousie.
On était dans le cliché de la pure brute goye française, conformiste, crédule, soumise, forte avec les faibles et vice-versa, animée par ses instincts reptiliens : bouffer, capter de l'argent, capter des services, soumettre les autres, et autrement vivre dans la peur.

Il y a 0 amour chez ces golems. De l'orgueil, de la peur, du mépris, de la colère, mais très peu d'amour.

Si tu abandonnes ton instrument de musique, ce n'est pas parce que tu ne l'aimes plus.
C'est parce que tu as choisi de ne plus l'aimer, de ne plus continuer ta relation à cet instrument, relation qui avait pour but de lui faire sortir ce qu'il a dans le ventre, de révéler les potentialités qu'il y avait entre cet instrument et toi.

Tu n'as pas complètement tort, même si ton raisonnement est simplet et naïf. Le problème dont tu parles n'est pas la source mais une conséquence d'un problème antérieur qui entraîne d'autres conséquences néfastes.
Le réel problème de la France est le matérialisme absolu des Lumières, et autres (Kant) qui s'est imposé comme dogme de la République capitaliste en supprimant toute spiritualité dans la société. Plus de religion, plus d'héroïsme, plus d'amour.

"C'est la faute des hommes" Y'en aura toujours un pour dire ça

Les femmes ont leur grande part de responsabilité aussi hein

C'est une conséquence naturelle de la destruction de la famille nucléaire au profit de l'individu (unité de consommation/golem dépourvu de sens critique propre) et de l'émancipation des femmes.
C'est pour ça que beaucoup de femmes ont peur d'avoir un enfant, parce que le système les a endoctriné à ne plus aimer. L'amour de sois compte beaucoup trop dans notre société pour faire place à l'amour d'autrui.

Le problème en France c'est les juifs, les maghrébins et les noirs